dimanche 28 avril 2013

34e journée. Stéphanois et Lyonnais dos à dos

Il n’y aura pas de 40e victoire stéphanoise dans ce 106e derby. Gourcuff a répondu à l’ouverture du score de Zouma en première période. L’ASSE, toujours quatrième, reste à deux points derrière l’OL.

Privés à la dernière minute de leur capitaine, Loïc Perrin qui a ressenti une gêne à la cuisse, les Stéphanois ont ramené « un bon point » de Gerland, selon Christophe Galtier. Mais le match a d’abord eu du mal à s’emballer. Après vingt minutes sans rythme, sans intensité, les Lyonnais qui ont pourtant eu la possession ont trop souvent perdu le ballon. Inhibés, sans solutions, ils se sont cassé les dents sur un bloc stéphanois très bien organisé et qui a patiemment attendu les Lyonnais. Si Aubameyang (6e) s’est créé la première occasion du match, repoussée du pied par Lopes, c’est finalement Lisandro qui a réveillé les Stéphanois. Car deux minutes après sa belle tête claquée en corner par Ruffier (27e), c’est le jeune Zouma qui a permis aux Verts d’ouvrir le score d’une belle tête plongeante au premier poteau après un corner de Mollo (29e).
Les Stéphanois, très sereins en première période auraient pu aggraver le score. Sur deux contres. Aubameyang a d’abord oublié Cohade (35e) puis l’attaquant gabonais a ensuite manqué de précision sur son plat du pied (46e). Le meilleur buteur stéphanois n’a pas su inscrire son vingtième but. Inefficace, il a pourtant eu des situations notamment dans le deuxième acte (49e, 75e, 90e). Au cours d’une deuxième période échevelée, les Rhodaniens ont su relever la tête et ont effectué une bien meilleure deuxième période. Avec envie, ils ont même égalisé grâce à Gourcuff qui s’est arraché pour inscrire son deuxième but de la saison (54e). Les Verts ont alors subi devant le pressing lyonnais mais ce sont bien les visiteurs qui se sont créés les occasions les plus nettes. Sans contestation possible.
Il a juste manqué un peu de fraîcheur pour concrétiser à l’image d’Hamouma (66e) ou de Bodmer (93e). Sur le tout dernier corner du match, l’OL aurait aussi pu s’imposer dans ce 106e derby mais Ruffier a sorti sur sa ligne une tête lyonnaise (94e). Ce résultat nul permet aux Verts, toujours invaincu en L1 en 2013, de rester au contact des Lyonnais qui ont toujours deux points d’avance sur l’ASSE. A contrario, les hommes de Rémi Garde perdent du terrain sur l’OM (2e) et comptent désormais quatre points de retard.

http://www.leprogres.fr/football/2013/04/28/stephanois-et-lyonnais-dos-a-dos

Ligue 1. Suivez le derby Lyon - Saint-Etienne en direct à partir de 14 h

 
Lyon et Saint-Etienne s'affrontent dimanche à Gerland (14 h) dans le cadre de la 34e journée de L1 et surtout du 106e derby de l'histoire des deux clubs qui va cette fois au-delà de la seule rivalité régionale avec le podium pour enjeu.
Si le 9 septembre 1980, l'OL et l'ASSE s'étaient rencontrés à Gerland en étant co-leaders avec Bordeaux (9e journée, 1-1), c'est la première fois depuis la 34e journée de la saison 1973-74 qu'ils sont opposées en étant l'un et l'autre aussi bien classés si tard dans la saison. Le 19 avril 1974, les Verts, leaders, avait battu l'Olympique lyonnais, 3e, au stade Geoffroy-Guichard (2-0) et avaient remporté le championnat, Lyon terminant 3e.
Le titre, il n'en est cette fois pas question
Actuellement 4e, les Stéphanois ont au moins déjà validé leur ticket pour l'Europa league en remportant il y a huit jours la Coupe de la Ligue, cette compétition souvent décriée qui avait changé le destin de l'OL en 2001, prélude à la domination sur le football français de l'Olympique lyonnais, sept fois de suite champion de France.
Mais l'ASSE aura deux tours préliminaires à disputer au coeur de l'été. Les Verts n'auraient qu'un seul barrage s'ils terminaient 4e, mais ils n'ont pas fait une croix sur la 3e place et une qualification en Ligue des champions, avec là aussi deux tours préliminaires en juillet-août. «Oui, on y pense. On sait que c'est possible car nous ne sommes pas loin, mais nous ne sommes pas les seuls à la vouloir. Il va falloir travailler pour avoir quelque chose d'encore plus beau que ce que l'on fait actuellement et cela passe par de bons matches», confie le milieu Renaud Cohade.
Pour Lyon, retrouver la C1 est vital afin de rester parmi les clubs dominants du football français, mais l'entraîneur Rémi Garde refuse de considérer ce derby comme un quitte ou double.
Les deux camps plutôt discrets
«Je ne pense pas qu'un match puisse faire entrer un club dans l'ombre», dit-il, reconnaissant toutefois que ce 106e derby «était un peu plus particulier que d'habitude par le classement des deux clubs à cette période de la saison».
Et l'Olympique lyonnais, qui vient de gagner ces deux derniers matches, difficilement, après trois défaites de suite, aimerait bien être la première équipe à faire chuter Saint-Etienne en championnat en 2013. «Il me semble que la dynamique est plus stéphanoise. Nous allons essayer de résister face à cette équipe de Saint-Etienne qui joue bien, de faire du mieux possible mais je ne pense pas que l'OL ait plus la pression», souligne Garde qui s'est «offusqué» d'avoir lu que «Lyon était favori» dans ce qu'il a décrit comme «une petite phrase» d'avant-derby.
C'était peut-être bien la seule, bien qu'elles ont souvent soit fait le charme de la rivalité, soit attisé les tensions comme l'an dernier avec le fameux «chant des bâtards», entonné par les joueurs lyonnais du balcon de l'Hôtel de Ville après leur victoire en Coupe de France.
Alors que le match est présenté à hauts risques, entre groupes de supporteurs après le vol d'une banderole stéphanoise cette semaine, les responsables des deux clubs ont été absents des médias.
A l'aller, les propos du président de l'ASSE, Roland Romeyer comparant les gardiens Rémy Vercoutre de l'OL à une 2CV et Stéphane Ruffier de Saint-Etienne, vu comme une Ferrari, s'étaient retournés contre les Verts. Ceux-ci s'étaient inclinés sur une erreur de leur portier après un coup franc de Michel Bastos (1-0) pour la cinquième défaite consécutive dans le derby de l'AS Saint-Etienne qui s'était toutefois imposé le 25 septembre 2010 à Gerland pour la 100e édition (1-0).
 

Lyon: Saison finie pour Rémy Vercoutre

Le gardien de l'OL manquera le derby contre Saint-Etienne dimanche…
Saison finie pour Rémy Vercoutre. Blessé à l’entraînement ce samedi matin, le gardien titulaire de Lyon souffre d’une rupture des ligaments croisés antérieurs du genou droit. Une grave blessure qui l’empêchera donc de disputer le derby contre Saint-Etienne ce dimanche.
Pour le suppléer, le staff lyonnais misera sur l’habituel remplaçant à ce poste, Anthony Lopes. Le jeune homme de 22 ans fera ses débuts en Ligue 1 contre les Verts, lui qui n’a disputé que deux matchs avec les pros dans sa carrière. Lopes a débuté un match de Ligue Europa et un autre de Coupe de la Ligue avec Lyon cette saison. Contre Saint-Etienne, il sera très observé.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1146311-20130427-lyon-saison-finie-remy-vercoutre

samedi 27 avril 2013

Marseille prend le large à Lorient

Toujours aussi rigoureux à défaut d'être flamboyant, l'Olympique de Marseille a conforté samedi après-midi sa deuxième place de Ligue 1 en battant Lorient 1-0 grâce à un but de Mathieu Valbuena.
Marseille a remporté samedi à Lorient un nouveau succès minimaliste (1-0) qui consolide sa 2e place lors de son match de la 34e journée du championnat de France puisque Lyon, qui accueille Saint-Etienne dimanche dans un choc sulfureux, compte désormais cinq points de retard.
L'OM, grâce à ce 12e succès sur 19 avec ce score cette saison, compte désormais 64 points. Si le 3e, actuellement pointé à 59 unités, ne bat pas dimanche le 4e, il pourra même considérer avoir fait un grand pas pour le gain final de la 2e place alors que le titre semble promis au PSG, 70 points avant son déplacement à Evian. C'est pourtant un petit exploit que les Olympiens réalistes ont réalisé en infligeant aux Merlus leur 2e défaite seulement cette saison à domicile après celle de la 12e journée contre Bordeaux.
Sept matchs sans encaisser de but
Un but du rôdeur Valbuena (25), son 3e cette saison, a en effet concrétisé leur bonne entame et ensuite ses coéquipiers ont surtout pensé à gérer alors que Gignac et Fanni sont sortis sur blessure. Malgré Aliadière, 15 buts en championnat cette saison, et l'activité de Barthelmé en 2e période, Lorient a bien tenté de réagir mais la vista de Mandanda, sauvé par son poteau (73), a sauvé un OM toujours aussi peu convaincant dans le jeu qu'il est efficace.
L'OM en est désormais à sept matches sans avoir encaissé de but et même huit matches d'invincibilité. En revanche, il a parfaitement optimisé ses quatre petits buts inscrits lors des sept dernières rencontres. En face, Lorient, 50 points, conserve sa 7e place avant la fin de la journée.
 

Lille - FC Sochaux-Montbéliard 3-3 26.04.2013

Le miracle sochalien

« On aurait pu en prendre cinq et au final, on a une chance incroyable. On a fait la même première mi-temps qu’à Nice, on avait honte. On voulait cette révolte », version Cédric Kanté. « Quitte à rester à 3-0, on n’a rien lâché. On est revenu au courage. C’est un point capital pour le maintien », version Nogueira, héros du soir. Il y avait une forme d’incrédulité dans les propos. Forcément. Comment expliquer l’irrationnel ? L’inconcevable ?
Par nature, une boussole indique le Nord magnétique. C’est dans l’ordre des choses. Mais hier soir, celle des Sochaliens s’est sérieusement affolée. Tous les appareils de contrôle ont eu beau déceler des manquements graves, sonner dans tous le sens, les pompiers étaient en grève et la maison s’est effondrée. Étage après étage. Il fallait une bonne dose de culot - ou d’insouciance - pour espérer contenir les pyromanes lillois. Ils mettent le feu aux quatre coins des terrains de Ligue 1 depuis des semaines et des semaines. Mais Sochaux s’en était-il donné les moyens ? La question est restée longtemps sans réponse : 80 minutes exactement.

La glissade de Nogueira

Pour stigmatiser l’impuissance du FCSM, l’énumération de ses actions suffisait. Oh, ne vous éloignez pas, cela va prendre le temps d’un battement de sourcil. Une frappe enroulée de Sio (36’), un duel perdu par Privat devant Elana (52’). Par charité chrétienne, on ajoutera un penalty qui n’aurait pas été scandaleux sur une action de Bakambu. Mais franchement, le constat faisait froid dans le dos quand on sait le spectre qui plane au-dessus de Sochaux : il y avait une division d’écart, hier soir, sur une pelouse nordiste bien verte dans ce sprint final. Martin, Kalou, Roux, Payet auraient pu, auraient dû donner à la leçon une proportion plus marquée. Encore que…
À 3-0 à la 80’, il y avait longtemps que les supporters lillois se frottaient les mains. Les joueurs aussi ? C’est la question qui taraudait les esprits. Le LOSC n’a sûrement pas fait le métier jusqu’au bout. Et ce péché d’orgueil lui est revenu en pleine figure !
C’est là que l’analyse trouve ses limites. Sur le fond, Sochaux n’a pas rassuré. Sur la forme, il a pris un point précieux et montré des ressources mentales qui peuvent servir. C’est d’ailleurs un symbole que de voir Nogueira, discret et sevré de ballons jusque-là, retourner le match presqu’à lui tout seul. Trois coups francs. Deux buts. Une passe décisive (pour Kanté). Et une égalisation sur une glissade incroyable.
Sochaux peut lui dire merci. Et bénir ces phases arrêtées qui lui permettent de rester en vie à cette heure (20 buts sur 37 sur ces phases). C’est un cliché, mais un match de foot n’est jamais fini. On l’a vérifié hier soir et ce point extirpé, arraché, braqué, peut changer beaucoup de choses.

Lille et Sochaux : 3-3

Lille. Mi-temps : 2-0. Spectateurs : 41.306. Arbitre : P. Kalt.
Les buts _ Lille : Kalou (26’, 45’+2), Basa (48’) ; Sochaux : Kanté (79’), Nogueira (84’, 87’).
Avertissements_ Sochaux : Boudebouz (29’), Pouplin (42’).
LILLE : Elana – Bonnart, Basa, Chedjou, Digne – Balmont (De Melo 88’), Gueye, Martin (Pedretti 83’) – Rodelin, Kalou (Roux 70’), Payet.
SOCHAUX : Pouplin – Sauget, Kanté, Carlao, Roussillon – Boudebouz (Privat 46’), Romeric Lopy, Nogueira, Doubai (Mikari 75’), Bakambu – Sio (Peybernes 56’).

http://www.estrepublicain.fr/sport/2013/04/27/paris-y-est-presque

PSG : Ancelotti dit avoir à faire "un choix difficile", Wenger sur les rangs ?

L'actuel entraîneur du PSG dément avoir déjà annoncé son départ à sa direction et repousse sa décision au lendemain de la victoire, ou non, du PSG en Ligue 1. Selon Le Parisien, la direction du PSG aurait approché l'entraîneur de Manchester.
L'entraîneur du Paris SG Carlo Ancelotti a démenti samedi avoir annoncé à la direction du club son départ à l'issue de la saison, et a assuré qu'il n'avait discuté avec "aucun club". "Je prendrai ma décision après avoir parlé avec le club quand le titre sera gagné, mais nous n'avons pas encore parlé", a dit le technicien en conférence de presse.
"Nous avons le temps. Ce n'est pas vrai que j'ai dit au club que je veux quitter le PSG". Le journal Le Parisien avait écrit vendredi que l'Italien avait annoncé mercredi à son président Nasser Al-Khelaifi son intention de quitter le club de la capitale à l'issue de la saison.
Tranquille, serein
L'Equipe l'annonce très proche du Real Madrid. "La presse a parlé du Real Madrid et d'autres clubs, mais je n'ai parlé avec aucun club, parce que je veux être clair avec le club où je travaille", a-t-il ajouté.
"C'est un choix que je dois faire, un choix pas facile, mais je suis tranquille, serein. J'ai un contrat, donc je n'ai pas un choix libre, je prends en considération que j'ai un contrat qui finit en juin 2014", a-t-il aussi remarqué. "J'ai parlé aux joueurs hier (vendredi) parce qu'il y a beaucoup de rumeurs, mais il n'y a pas de nouvelles", a-t-il relevé. "Je l'ai déjà dit avant : je veux finir le championnat, en accord avec le club, et nous allons parler après pour prendre une décision".
Le journal Le Parisien affirmait par ailleurs samedi que les dirigeants du club avaient d'ores et déjà prévu de rencontrer un certain nombre d'entraîneurs. Et selon le quotidien, Arsène Wenger, entraîneur d'Arsenal et commentateursur TF1, aurait la préférence des Qataris.
 

Ligue 2. Nantes creuse l'écart avec Guingamp et Angers, Le Mans toujours relégable

Nantes s'est rapproché de l'élite grâce à sa victoire 1-0 à Niort, profitant également des faux-pas de Guingamp (3e) et Angers (4e), battus respectivement à Istres (2-0) et Nîmes (3-0), vendredi lors de la 34e journée de Ligue 2 de football. Samedi, Caen reçoit Dijon et pourrait retarder le retour du leader Monaco en L1 en cas de victoire.
Le premier non-relégable Clermont a concédé une embarrassante défaite à domicile (2-0) face au Gazélec Ajaccio, lanterne rouge et déjà rétrogradé en National.
Sous une pluie battante, Auxerre et Châteauroux n'ont pu se départager (0-0), tandis que dans un duel du ventre mou, Le Havre est allé s'imposer à Tours (2-1). Mahrez (18) et Mesloub (41) ont marqué pour les Normands, tandis que les Tourangeaux ont réduit le score sur un but contre son camp de Touré (59e).
Le leader Monaco se déplace lundi chez l'avant-dernier, Sedan.
La 34e journée :
Vendredi :
AJ Auxerre - Châteauroux : 0-0
Clermont - GFC Ajaccio : 0-2
FC Istres - EA Guingamp : 2-0
Laval - Lens : 1-1
Le Mans - Arles-Avignon : 0-0
Nimes - Angers : 3-0
Niort - Nantes : 0-1
Tours - Le Havre : 1-2

PSG: L'entraîneur de Lyon «aime bien» Kevin Gameiro

L'attaquant du PSG pourrait quitter la capitale... pour jouer à l'OL?
Et si Kevin Gameiro rebondissait à Lyon? Cantonné sur le banc de touche au PSG, l’attaquant français pourrait bien faire ses valises cet été. Interrogé en conférence de presse ce vendredi sur la probabilité de la venue de Gameiro, l’entraîneur de l’OL Rémi Garde n’a pas voulu confirmer l’intérêt du club. Mais n’a pas manqué de souligner les qualités du buteur.
«Il shoote bien dans les bouteilles, a d’abord ironisé Garde, faisant référence à la sortie du Parisien lors du match contre Troyes. Il shoote bien dans les ballons aussi! Je l’aime bien, c’est un joueur confirmé de Ligue 1 dont les déplacements sont très intéressants. Il était dans une équipe dans laquelle il a peu joué mais il a beaucoup de talent.»
Sous contrat jusqu’en 2015, Kevin Gameiro est également suivi par Valence et Liverpool.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1145927-20130426-psg-entraineur-lyon-aime-bien-kevin-gameiro

vendredi 26 avril 2013

Transfert: L'AS Monaco pense à recruter Ménez

Il y a cinq ans, son passage à l’AS Monaco avait marqué son envol. L’attaquant international avait franchi sur le Rocher la marche qui lui a permis d’accéder à un grand d’Europe, l’AS Rome. Actuellement au PSG, Jérémy Ménez pourrait pourtant effectuer son retour sur la Côte d’Azur, puisque l’ASM convoiterait son ancien joueur.
Selon L’Equipe, le joueur ne serait pas contre un transfert chez le futur promu. A Paris, son temps de jeu a considérablement diminué depuis l’arrivée de Lucas Moura et Carlo Ancelotti ne fait plus de lui un premier choix. A un an de la Coupe du monde au Brésil, Ménez a besoin de temps de jeu. Pour cela, il serait prêt à sacrifier sa participation à la Ligue des champions avec paris. Par ailleurs, sa cote reste élevée en Italie où l’Inter Milan aurait un œil sur lui.

http://www.20minutes.fr/sport/1145617-20130426-transfert-monaco-pense-a-recruter-menez

Carlo Ancelotti va dire "Ciao" au PSG

Le coach parisien aurait même déjà annoncé sa décision au président du PSG Nasser Al-Khelaifi, affirme Le Parisien. Il serait prêt à conclure un accord avec le Real de Madrid... ou Manchester City.
Il affirme n'avoir encore pris "aucune décision". Mais en coulisses, l'entraîneur du PSG Carlo Ancelotti aurait déjà fait son choix : le départ. Le coach italien, 53 ans, aurait même déjà annoncé sa décision de quitter le club au président Nasser Al-Khelaifi, affirme ce vendredi Le Parisien qui n'exclut pas cependant que le club fasse une nouvelle offre au stratège italien pour qu'il prolonge son contrat.

Arrivé en décembre 2011 pour succéder à Antoine Kombouaré, Ancelotti est engagé jusqu'à juin avec le club parisien. Après quoi, son salut pourrait plutôt se jouer en Espagne... ou en Angleterre. L'intéressé serait en effet courtisé par le Real Madrid mais aussi Manchester City ou Arsenal. L'accord avec le Real serait tout proche. Ancelotti prendrait les commandes en lieu et place de José Mourinho en route pour Chelsea... ex-club d'Ancelotti !

Qui pour lui succéder ?
Son départ pourrait être annoncé à l'issue du titre de champion qui pourrait revenir à Paris dès ce week-end ou plus vraisemblablement la semaine prochaine. Pourquoi partir ? Ancelotti n'aurait notamment pas supporté l'élimination du PSG en Coupe de France la semaine dernière mais surtout, à 53 ans, il n'a pas l'intention de laisser passer la chance que lui propose le très puissant Real Madrid. Arsène Wenger - actuel manager d'Arsenal serait sur les rangs pour lui succéder.
 

jeudi 25 avril 2013

Ligue des champions: Comment le Bayern Munich et le Borussia Dortmund ont bluffé l’Europe

En position très favorable pour accéder à la finale après leurs victoires respectives contre le Barça (4-0) et le Real Madrid (4-1), les deux clubs récoltent les fruits d’un travail entamé il y a plusieurs années…
Deux clubs allemands en finale de Ligue des champions? L’idée aurait fait pouffer toute l’Europe il y a encore quelques mois. Mais après les demi-finales aller, les clubs allemands ne font plus rire grand-monde. Le Barça et le Real Madrid surtout, corrigés l’un après l’autre par le Bayern (4-0) et le Borussia Dortmund (4-1). Pour Valérien Ismaël, présent en Allemagne depuis dix ans, ces résultats sont le fruit d’un travail entamé il y a plusieurs années. L’investissement placé dans les centres de formation serait en train de payer. «Quand on voit l’évolution de Götze, Reus, Hummels, Gündogan, Kroos, Müller, ils sortent tous de centres allemands. Ça montre que les clubs ont investi au bon moment», glisse l’ancien défenseur du Bayern.
Sans parler d’une nouvelle ère, l’actuel entraîneur de la réserve de Hanovre voit bien les clubs allemands prendre un abonnement longue durée dans le dernier carré de la compétition. «Pour quatre ou cinq ans», puisque les deux géants s’appuient sur des jeunes qui n’ont pas atteint leur maturité. Aujourd’hui, rien ne les pousse à quitter la Bundesliga pour l’étranger. «Les stades sont modernes, pleins. Les infrastructures sont exceptionnelles en première, deuxième et même en troisième division. Forcément, un jeune joueur envisage toute sa carrière ici.» Côté finances, les deux demi-finalistes européens sont des exemples de gestion, pas effrayés par les règles du fair-play financier.
Zeidler: «L’état d’esprit a changé»
Portés constamment sur l’offensive et les remontées de balles express, le Bayern comme le Borussia ont aussi prouvé qu’il était possible de faire déjouer les plus grands en produisant du jeu. «C’est l’illustration d’un football où on ne joue pas pour un 0-0. On pense au business que représente le foot. Les gens viennent pour voir du spectacle», analyse Ismaël. «L’état d’esprit a changé, confirme Peter Zeidler, ancien coach adjoint de Hoffenheim, actuellement à la tête de la réserve de Salzbourg. «C’est la façon dont les deux équipes récupèrent le ballon qui crée la différence. C’est la philosophie de Klopp notamment. Le Bayern a copié le style de Dortmund. On récupère tout de suite et ça va vite vers l’avant avec des individualités.»
Pour Zeidler, un seul risque guette les Allemands après cette éventuelle finale 100% Bundesliga: penser être arrivé au sommet, comme ce fut le cas en 1990 après le titre mondial de l’Allemagne réunifiée. «Le Kaiser [Franz Beckenbauer] disait qu’on ne pouvait plus nous battre parce qu’on avait les Allemands de l’Est avec nous. Cette prétention, il faut l’éviter», assure l’ancien coach de Tours. Sous peine de subir le sort de la France post-98 et 2000.

http://www.20minutes.fr/sport/1145199-20130425-ligue-champions-comment-bayern-munich-borussia-dortmund-bluffe-leurope

PSG: Jérémy Ménez, perdu pour la cause?

L'attaquant parisien pourrait quitter le club à la fin de la saison...
Pour Jérémy Ménez, la Ligue est un peu longue à la détente. Le joueur parisien devrait attendre une dizaine de jours avant de connaître le tarif pour sa sortie verbale non maîtrisée à l’encontre de Tony Chapron, l’arbitre du match PSG-Nice. Ce devrait être trois matchs de suspension. Ce qui lui laisse une petite fenêtre pour convaincre le PSG de le garder, ou se convaincre qu’il ferait bien d’y rester, c’est selon. Abonné au banc de touche depuis l’arrivée de Lucas, pas forcément bien vu de ses coéquipiers depuis qu’il a étalé sa frustration dans le vestiaire au mauvais moment (après la victoire à Valence en C1) et dans le viseur des dirigeants pour ses sautes d‘humeur à répétition, Ménez ne traverse pas la meilleure période de sa carrière. «Jérémy a toujours été un caractériel, se souvient Jacques Crevoisier, qui l’a croisé à Sochaux. Le problème, c’est que je ne crois pas qu’on puisse noter une amélioration significative alors qu’il a maintenant atteint l’âge de raison.»
«Regarder ce qui se passe dans les grands clubs»
Comme Ben Arfa, Ménez aime répéter qu’il «a besoin de sentir la confiance autour de lui pour donner tout ce qu’il a», comme à «Téléfoot» en début d’année. Du genre de celle que lui donnait sans réserve Guy Lacombe, qui l’a lancé en L1: «Vous me donner le PSG, Jérémy je le mets d’entrée. Il est perforant, il apporte un registre différent à l’équipe. Après, je comprends que Paris puisse s’interroger sur lui… Jérémy, il faut le prendre comme il est. A 26 ans, on peut espérer qu’il arrive à maturité. Il faut juste qu’il soit un peu plus respectueux de ce que représente le football.» Un reproche qui le poursuit depuis toujours, masquant une production pourtant honorable (7 buts et 12 passes l’an passé, 4 buts et 7 passes cette saison). «Ça vaudrait le coup qu’il reste, approuve Crevoisier. Mais d’autres joueurs dans la même situation vivent beaucoup mieux que lui le statut d’intermittent du spectacle, la réalité des grands clubs. Higuain et Gomez, qu’est-ce qu’ils devraient dire? Paris recrute un joueur et lui il va faire la gueule? Il va partir?»
Un départ vers l’Italie?
C’est en effet le choix qu’a fait Ménez à Monaco ou à la Roma, quand il a vu que sa carrière ne décollait pas. Même son agent, Jean-Pierre Bernès, a reconnu que son protégé «avait tendance à lâcher» quand la roue ne tournait pas dans son sens. La donne pourrait-elle être différente cette fois-ci? Guy Lacombe en est persuadé: «Je sais ce que représente le PSG pour lui. Il a beau paraître un peu hors du temps parfois, c’est son rêve de gosse de joueur dans ce club. Il a vraiment l’amour du maillot parisien.» Et toujours une bonne cote en Italie, si jamais l’amour en question n’était plus réciproque. «Jérémy ne sera pas au chômage», répond Bernès, quand on l’interroge sur l’intérêt supposé de la Juventus Turin pour Ménez. Le chômage, peut-être pas, mais la sensation de partir sur un nouvel échec, sûrement.

http://www.20minutes.fr/sport/1145187-20130425-ligue-1psg-jeremy-menez-perdu-cause

Après Dortmund, où va signer Robert Lewandowski?

Le héros de Dortmund pourrait finalement rester...
Sa valeur a grimpé en flèche, mais pas forcément sa cote de popularité. Auteur d’un quadruplé historique face au Real Madrid mercredi soir en Ligue des champions, l’attaquant de Dortmund Robert Lewandowski était déjà convoité par une bonne partie des top clubs européens. Manchester United, déjà convaincu, avait même tenté de s’offrir les services du Polonais de 24 ans à l’été dernier, mais Dortmund avait refusé cette offre.
Un accord avec le Bayern?
Sauf que cet été, Lewandowski veut voir plus grand. Lui qui n’a plus qu’une saison de contrat avec le Borussia, et qui a annoncé qu’il ne prolongerait pas, doit ainsi partir au prochain mercato pour rapporter quelque chose à son club. Ce quelque chose, ce serait environ 20 millions d’euros. Une somme sur laquelle le club serait prêt à s’assoir pour le garder une saison supplémentaire. «C'est clair que nous souhaitons qu'il reste chez nous, a expliqué le président du BVB Hans Joachim Watzke au micro de Sky News. On se passera même du montant du transfert, qui est mineur et de toute façon et ne nous intéresse pas.»
L’intéressé, lui, n’a pas voulu parler de son avenir. Il y a quelques jours, pourtant, en marge de l’annonce de la signature de son coéquipier Mario Götze pour le Bayern Munich (contre 37 millions d’euros), des rumeurs annonçaient que Lewandowski pourrait faire le même trajet. Mais, selon le journal espagnol Mundo Deportivo, Pep Guardiola, le futur entraîneur de Munich, aurait lui-même mis son véto à l’arrivée du Polonais.
Manchester toujours sur les rangs
Mais il a le droit de changer d’avis, surtout après la performance XXL de l’avant-centre face au Real. Surtout qu’Enrique Reyes, l’agent du futur ex-entraîneur du Bayern (ou de l’actuel, comme vous voulez) Jupp Heynckes, a annoncé à la radio espagnole Cadena Cope que le transfert de Lewandowski chez les Bavarois était ficelé. S’il ne l’est pas, Manchester United, toujours très intéressé, devra auparavant faire une place dans son effectif à un nouvel avant-centre pour le convaincre. Mais entre Rooney, Van Persie, Hernandez et Welbeck, Sir Alex Ferguson a déjà du monde à ce poste. Et on n’imagine déjà que ses performances ont attiré le regard d’autres clubs puissants. Manchester City? Le PSG? Barcelone?... Bref, l’an prochain, Lewandowski pourra planter des quadruplés à peu près partout, et même à Dortmund.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1144885-20130425-transferts-ou-va-signer-robert-lewandowski

L1 : Saint-Etienne revient au pied du podium, Rennes chute encore

Deux rencontres, deux issues différentes pour les finalistes de la Coupe de la Ligue, mercredi. Si les Verts se sont facilement imposés face à l'AC Ajaccio (4-2), revenant ainsi à deux points de Lyon, les Bretons ont enchaîné leur neuvième match de suite sans victoire en Championnat (1-2) contre Troyes.
Après le Stade de France, Saint-Etienne et Rennes ont retrouvé leurs stades respectifs, mercredi, pour deux matches en retard de la 33e journée de L1. Car le Championnat ne s'est pas arrêté pendant qu'ils se disputaient la Coupe de la Ligue. Vainqueurs de la médaille en chocolat samedi, les Rennais sont retombés dans leurs travers contre Troyes. Victime d'une défense toujours aussi friable, le club breton s'est englué face à la lanterne rouge du Championnat.
Les hommes de Frédéric Antonetti ont même été menés 0-2 au Stade de la Route de Lorient, grâce à des buts de Bahebeck (5e) et Bréchet (27e). Féret a réduit le score à la demi-heure de jeu. Score final : 1-2. Rennes a signé son neuvième match de suite sans victoire en Championnat tandis que Troyes a décroché son premier succès à l'extérieur. Toujours derniers, les hommes de Jean-Marc Furlan se retrouvent à six points du premier non relégable.
Derby à enjeu européen dimanche entre Lyon et Saint-Etienne
Dans le haut du classement, les Verts n'ont pas tremblé face à l'AC Ajaccio. Bousculés en première période, ils ont eu du mal à rentrer dans leur match. Après la pause, leur niveau de jeu a été de bien meilleure facture. Aubameyang a réussi un doublé (23e, 88e), ce qui porte son total à 19 buts en L1 cette saison, et réussi une passe décisive. Saint-Etienne s'est détaché en inscrivant deux buts coup sur coup à la reprise, par Bodmer (48e) et Cohade (50e). Mutu a lui aussi réussi un doublé (15e, 76e s.p.) et totalise désormais 10 buts en L1.
Les joueurs de Christophe Galtier étaient pourtant sous pression puisque Lille, vainqueur de Bastia dimanche (2-1) avait profité du week-end pour leur passer devant. En s'imposant 4-2 face à l'autre club corse, les Stéphanois ont repris leur 4e place, à un point devant Lille. Et deux points devant Lyon qu'ils retrouvent dimanche à 14h. Une rencontre aux enjeux européens très importants puisque la 3e place est synonyme de tour préliminaire de la Ligue des champions. Le derby s'annonce bouillant à Gerland.
 

Foot: Lewandowski assomme le Real, finale en vue pour Dortmund

Football/Ligue des champions : Dortmund écrase Madrid 4 à 1

Dortmund bat Real Madrid 4-1 grâce au quadriplé de Lewandowski.
Le Borussia Dortmund a battu le Real Madrid 4 à 1 (mi-temps: 1-1) grâce à un quadruplé du Polonais Robert Lewandowski en demi-finale aller de la Ligue des champions de football, mercredi soir à Dortmund. Cristiano Ronaldo a marqué pour le Real son 12e but en C1 cette saison et le 50e de sa carrière dans cette compétition. La demi-finale retour aura lieu le mardi 30 avril au stade Santiago Bernabeu de Madrid.
Lewandowski a ouvert le score dès la 8e minute
Lewandowski, l'homme du match qui intéresse le Bayern, a ouvert le score dès la 8e minute en reprenant de près un centre de Götze, Cristiano Ronaldo égalisant en marquant dans le but vide au second poteau après un centre d'Higuain (43e). A la reprise, le Borussia repartait de l'avant et c'est encore Lewandowski qui a redonné l'avantage aux siens (50e) avant de réussir le plus beau but de la soirée: contrôle, roulette pour lui-même et frappe du droit dans la foulée (55e).
K.O debout, le Real concédait un penalty après une faute de Xabi Alonso dans la surface, Lewandowski transformant en force (66e). Mardi, le Bayern Munich avait battu le FC Barcelone 4 à 0 dans la première demi-finale. C'est la deuxième fois cette saison que Dortmund bat le Real après son succès 2-1 en phase de poule.

http://www.midilibre.fr/2013/04/24/retrouvailles-a-deux-pas-du-sommet,684921.php

mercredi 24 avril 2013

Real Madrid: Mourinho s'attend à un Dortmund "très offensif"

Luis Suarez suspendu dix matchs

L'attaquant de Liverpool a mordu un joueur de Chelsea…
La fédération anglaise a sévi. L’attaquant de Liverpool Luis Suarez a été condamné à dix matchs de suspension pour
avoir mordu le défenseur de Chelsea Branislav Ivanovic lors de la rencontre entre les deux équipes dimanche (2-2).
L’attaquant uruguayen a donc fini sa saison et manquera les quatre dernières rencontres des Reds. Il sera également privé des six premiers matchs de Liverpool la saison prochaine.
Liverpool est «choqué»
Dans un communiqué publié sur son site Internet, le club anglais s’est dit «choqué et déçu» de la sanction infligée à son joueur. Liverpool attend désormais de connaître les motivations du jugement avant de s’exprimer de nouveau.
Luis Suarez avait déjà été suspendu huit matchs fin 2011 pour des propos racistes à l’encontre du défenseur français de Manchester United Patrice Evra… et sept matchs pour avoir mordu, déjà, un adversaire lorsqu’il évoluait sous le maillot de l’Ajax.
 

Ligue des champions : le Bayern humilie le Barça

Le Bayern Munich a infligé une correction au Barcelone de Messi, s'imposant 4 à 0 en demi-finale aller de la Ligue des champions et prenant une très bonne option sur la finale, mardi soir à l'Allianz Arena.
Etrillé 4-0, le FC Barcelone s'est vu infliger une leçon de football par le Bayern de Munich, mardi soir à l'Allianz Arena, en demi-finale aller de la Ligue des champions Titre national en poche et qualifié en Coupe d'Allemagne, le Bayern poursuit avec brio sa route vers une troisième finale de C1 en quatre ans, avec le rêve de s'imposer enfin pour réaliser le premier triplé outre-Rhin. L'ogre bavarois a pris sa revanche sur le Waterloo de 2009 lorsqu'il avait été battu par le Barça sur le même score en quarts de finale aller avant d'être éliminé. Le tout sous le regard de son président Uli Hoeness, qui effectuait sa première sortie en public depuis l'affaire de fraude fiscale qui a presque fait de l'ombre à la préparation de ce match au sommet.
Le Barça devra montrer un tout autre visage la semaine prochaine au Camp Nou. Et particulièrement Messi. Pour son retour en jeu après deux matches de Liga d'absence, l'Argentin fut loin du niveau du quadruple Ballon d'or qu'il est...
Le Barça déboussolé
Certes, l'équipe de Vilanova a déjà renversé la vapeur contre le Milan en quarts mais le retard n'était alors que de deux buts... "La possession du ballon sera cruciale", avait dit Xavi la veille en conférence. Mais si le capitaine, avec Iniesta et Co ont monopolisé le cuir durant la première période (63% contre 37%), le Barça n'a quasiment pas existé en attaque, à l'image d'un Messi transparent, qui a plus marché que couru.
Si Robben a manqué le coche dès la 2e minute sur une intervention de Valdes, le Bayern, où certains comme Schweinsteiger semblaient tendus, a logiquement pris l'avantage par Müller à la 25e minute. Sur un énième corner, les Bavarois sont restés devant, Robben centrant sur Dante qui croisait bien sa tête sur Müller dont la tête au deuxième poteau trompait Valdes (1-0). La meilleur occasion catalane est intervenu quatre minutes plus tard sur un centre de Pedro qui était juste détourné par Dante alors que Messi avait armé sa frappe.
Du rêve au cauchemar
A la reprise, le Barça reprenait le contrôle du ballon mais ne parvenait pas à contourner un bloc bavarois bien en place. Et sur un nouveau corner, tiré par Robben, Müller remettait au centre avec Gomez, seul devant le but et en position de hors jeu, à la conclusion (2-0, 49). Le scénario commençait à devenir cauchemardesque pour les Blaugrana! Ils n'arrivaient pas à franchir la dernière ligne bavaroise et s'exposaient à chaque attaque adverses de Ribéry et Robben.
Ce dernier, très en jambes, prenait de vitesse son défenseur, et profitait d'un écran de Müller pour inscrire le 3e but (73). La partie tournait ensuite à la correction: sur un contre rapide, Ribéry servait Gustavo dont le centre était repris par Müller (4-0, 82), son 7e but en C1 et le 134e du Bayern cette saison toutes compétitions confondues.
 

mardi 23 avril 2013

La première demi-finale est un énorme choc…on la suit ensemble en live !!!

Ligue des champions: Suivez Bayern Munich-FC Barcelone en direct à partir de 20h30 en cliquant sur ce lien ............ http://www.20minutes.fr/sport/football/1143149-20130423-ligue-champions-suivez-bayern-munich-fc-barcelone-live-comme-a-la-maison-a-partir-20h30

Pour une fois, les Barcelonais ne sont presque pas favoris. Après avoir sorti le PSG en quart de finale sans gagner un seul match, le Barça s’attaque à une vraie montagne. Le Bayern Munich est dans une forme exceptionnelle, déjà assuré de son titre de champion et filant des roustes à la moindre équipe qui passe dans ses parages. Mais les Catalans compteront sur un Messi définitivement remis de sa blessure à la cuisse, que Jupp Heynckes espère neutraliser avec
son «plan»
. Pour
le futur retraité
 terminer sur une finale de C1, il n’y aurait pas grand-chose de plus beau avant de passer la main à Pep Guardiola.

Se payer le Barça…

Bayern contre Barça, Ribéry face à Messi, Schweinsteiger contre Xavi : la première manche de ce choc entre ces deux poids lourds en quête d’un 5e triomphe en C1 fait saliver le monde depuis le tirage, laissant presque dans l’ombre le Dortmund-Real de demain.
Pour le capitaine Lahm tout comme le néo-bavarois Martinez, tous les ingrédients sont en effet réunis pour « une énorme fête du football », « une nuit magique » pour l’entraîneur Jupp Heynckes qui rêve d’aller décrocher à Wembley le premier triplé du Bayern avant de passer le témoin cet été à Pep Guardiola.
« Mais nous voulons aller à Londres », a souligné Martinez, avis partagé par tous ses partenaires, particulièrement ceux qui ont souffert le martyr de la finale 2012 perdue contre Chelsea sur la pelouse munichoise.

Tyran en Allemagne

« Depuis, on est revenu bien meilleurs. On joue mieux en C1, particulièrement en défense », assure le capitaine Lahm alors que Robben estime que si le Bayern « produit son meilleur rendement, on peut battre n’importe qui, même Barcelone ».
Le présent parle en faveur des Bavarois, véritable tyran en Allemagne (titre en poche et la finale de Coupe en vue), qui font exploser toutes les défenses et restent sur une impressionnante série de 9 victoires en 10 matches disputés à domicile.
Le coach Heynckes peut compter sur le groupe qui a mis sous silence la Juve en quarts de finale, en ayant préservé depuis des pièces maîtresses comme Schweinsteiger, Muller et Ribéry grâce à la qualité de son banc.
Mandzukic, suspendu, l’entraîneur devra choisir entre Gomez et Pizarro, auteur chacun d’un doublé à Hanovre (6-1) samedi, pour occuper la pointe de l’attaque.
Pour des Barcelonais qui ne se cachent pas de leur Messi-dépendance, la meilleure nouvelle est évidemment le retour en forme du quadruple Ballon d’Or. Ménagé en Liga contre Saragosse et Levante, Messi, qui avait joué le quart de finale retour contre le PSG (2-2 ; 1-1) sur un pied, semble à nouveau d’attaque.
Le feu follet argentin, crédité de 43 buts en championnat et 8 en C1, avait déjà laissé un bien mauvais souvenir aux Bavarois lors de leur dernière confrontation, inscrivant un doublé lors des quarts de finale en 2008-09.

Défense fragilisée

Les Bavarois savent qu’ils devront de toute façon aussi garder un œil sur d’autres incontournables comme Xavi, Iniesta et Pedro, qui ont pu souffler en partie samedi contre Levante (1-0).
« Ils ont de nombreux super joueurs qui savent évoluer au plus haut niveau, comme Inesta », a d’ailleurs répété Heynckes, avouant avoir un plan de jeu pour contrecarrer les plans du Barça avec Messi qui, pour le coach allemand, « a été préservé samedi en championnat pour mieux jouer ce mardi ».
Si ces Blaugrana ont une faille, c’est certainement en défense, considérablement fragilisée par les blessures de longue durée de Puyol et de Mascherano.
En l’état des choses, Piqué sera donc le chef d’une arrière-garde chahutée cette saison (le Barça possède seulement la 3e défense de Liga) et confrontée à l’incertitude du second occupant de la charnière centrale : le jeune Bartra, plutôt convaincant face au PSG, ou Abidal, qui a rejoué samedi 90 minutes pour la première fois depuis sa greffe du foie.
« C’est vrai que le Bayern est dans une forme stratosphérique mais les matches de Ligue des champions se jouent souvent sur des détails », a prévenu Xavi…

http://www.republicain-lorrain.fr/sports/2013/04/23/se-payer-le-barca

    L1 : Jean Fernandez succède à René Girard à Montpellier

    L'ancien entraîneur de Nancy prendra ses fonctions chez les champions de France 2012 dès le 1er juillet, a annoncé lundi le président Nicollin. Un contrat de deux ans qui fait de lui le 15e technicien montpelliérain.
    Il a été choisi par l'emblématique président montpelliérain, qui a lui-même annoncé la nouvelle. Pas de Diego Maradona, mais un grand nom du football français. C'est Jean Fernandez qui sera l'entraîneur du MHSC la saison prochaine.
    A 59 ans, l'ancien technicien de l'AJ Auxerre succède à René Girard au sein du club champion de France 2012. Il prendra ses fonctions dès le 1er juillet prochain, indique la direction sur son site, précisant que Jean Fernandez "va parapher un contrat de 2 ans et deviendra ainsi le 15e entraîneur de l'histoire du club montpelliérain".
    Il a découvert Zidane
    "Son profil d'entraîneur formateur, sa grande connaissance du football hexagonal et son passé de bâtisseur sont autant d'éléments qui ont convaincu Louis et Laurent Nicollin de lui confier les rênes du club montpelliérain", ajoute le communiqué. Tout en soulignant que Montpellier, auteur d'une saison en demi-teinte après son bel exercice précédent, "va entamer un nouveau cycle en juin prochain".
    Ancien joueur de Marseille, Bordeaux et Cannes, il a fait ses débuts d'entraîneur dans de ce dernier club. Où il a découvert un certain... Zinédine Zidane. Avant son passage difficile à Nancy, qu'il a quitté en janvier dernier, Jean Fernandez avait qualifié l'AJA en Ligue des champions en 2010.