mercredi 30 novembre 2011

Gignac s'excuse et revient

Ecarté suite à son clash avec Didier Deschamps, André-Pierre Gignac va réintégrer le groupe mercredi "après avoir présenté ses excuses", a annoncé l'OM. En l'absence probable de Loïc Rémy, blessé, l'attaquant pourrait même débuter à Caen, vendredi. Une opportunité qu'il devra saisir.
Le calme est revenu à Marseille. Après la victoire face au PSG (3-0), le club vient de régler le cas Gignac. L'attaquant, exclu du groupe professionnel jeudi dernier après une altercation verbale avec Didier Deschamps, s'est entretenu mardi matin avec son entraîneur et son président, Vincent Labrune. Arrivé à 10h00 au centre d'entraînement Robert-Louis Dreyfus, il n'a finalement pas été sanctionné. "A la suite de ces entretiens, il a été convenu que le joueur réintégrerait le groupe professionnel mercredi matin après avoir présenté ses excuses à l’ensemble de l’effectif", annonce un communiqué du club précisant que "l’OM est plus que jamais concentré sur les importantes échéances sportives qui l’attendent jusqu’à la trêve".
Titulaire à Caen ?
Une nouvelle fois, la semaine s'annonce en effet décisive pour le club phocéen qui disputera notamment un match capital à Dortmund en Ligue des Champions, mardi prochain. L'heure est donc à l'apaisement. "Le dossier est clos, a ainsi assuré Vincent Labrune sur le site de La Provence. Il y a une réelle volonté d'apaisement de la part d'André-Pierre Gignac et une réelle volonté du club de rester concentré sur nos objectifs sportifs jusqu'a la trêve." Le président de l’OM s’est entretenu avec l'agent du joueur, Christophe Cano, tandis que Didier Deschamps s’est expliqué pendant un peu moins d'une heure avec APG. L'occasion de s'excuser et d'enterrer la hache de guerre.
Gignac s'en tire donc à moindre frais. Il faut dire que l'OM n'a pas vraiment le choix. Face aux échéances qui l'attendent, le club a besoin de tout le monde, d'autant plus que Loïc Rémy s'est blessé dimanche face à Paris. Touché à une cheville, il souffre d'une entorse qui nécessite plusieurs jours de repos. Résultat : il est d'ores et déjà annoncé forfait pour le déplacement à Caen, vendredi. Une aubaine pour Gignac. Si Deschamps décide de laisser Jordan Ayew au repos, l'ancien Toulousain pourrait en profiter pour honorer sa deuxième titularisation de la saison. Une chance qu'il n'a pas intérêt à laisser passer...
/ Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29112011/70/ligue-1-gignac-s-excuse-et-revient.html
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mardi 29 novembre 2011

Deschamps peut compter sur eux

La réaction d’orgueil de l’OM face au PSG a été impressionnante dimanche. En remportant haut la main le match (3-0), Marseille s’est relancé. Et Didier Deschamps a conforté sa place. Au-delà des schémas tactiques, DD a surtout fait confiance à des joueurs capables de se transcender pour lui
Didier Deschamps les avait prévenus. A la causerie d’avant-match, le coach marseillais avait mis les choses au clair. "Le discours du coach a été très bon samedi et surtout dimanche juste avant la rencontre, a révélé Stéphane Mbia. On a tous adhéré à son discours. C’est pour cela que nous avons été grands sur le terrain. Il fallait absolument que l’on soit présent mentalement. Techniquement, ce n’était pas important. Mais on a réussi à répondre présent pour finalement gagner assez facilement". Pour battre Paris, Deschamps avait décidé de stimuler la testostérone de ses troupes. Il lui fallait des hommes. Des vrais. Revenir aux valeurs ancestrales. "On a gagné à l'ancienne, a expliqué le capitaine de l’OM des années Tapie. J'aurais aimé aller sur le terrain. Ça ressemblait aux matches que l'on jouait à l'époque. Avec moins de débordements..." En creux, Deschamps réclamait plus d’implication à son équipe. Une envie inversement proportionnelle à celle entrevue contre l’Olympiakos en Ligue des champions.
Pour bousculer le PSG, l’OM devait donc montrer ses muscles. Deschamps a ainsi opté pour une équipe virile et finalement plus que correcte. "On a réalisé une grosse performance collective, se félicite-t-il. On a réussi à imposer un combat athlétique et on a su très bien défendre tous ensemble." Souleymane Diawara se réjouit de cet état d’esprit à nouveau conquérant sur le pré. "On a les moyens de réaliser des matches comme celui contre Paris, avance-t-il. J’avais passé un petit coup de gueule après le non-match contre l’Olympiakos. Mais ça fait du bien de temps en temps. On a discuté entre nous." Son capitaine confirme la prise de conscience collective. "On a connu pas mal de soucis en dehors du terrain, avoue Steve Mandanda. On avait à cœur de répondre." La réponse fut claire et nette : les joueurs soutiennent Didier Deschamps. Le coach marseillais paraissait esseulé depuis quelques semaines. Et l’affaire Gignac n’avait pas arrangé les choses. Certains joueurs avaient ainsi du mal à choisir leur camp. Plus que la victoire face à Paris, la soirée de dimanche a été marquée par la reprise en main du groupe par DD.
André Ayew n’oublie pas Anigo…
Au coup d’envoi, Deschamps avait choisi de laisser Cheyrou, Valbuena et Kabore sur le banc. Ecarté du groupe, Gignac regardait quant à lui la rencontre des tribunes. Ces choix trahissent forcément un clivage au sein du groupe. "Quand mon équipe gagne, vous dites que mes choix sont gagnants, analyse Deschamps. Mais la prochaine fois, vous allez me demander pourquoi j’ai mis celui-là et pas celui-ci. Je fais des choix. Ensuite, c’est aux joueurs de répondre présent. Ceux qui ont débuté contre Paris ont bien joué. Mais ceux qui sont entrés ont été bons aussi. Personne n’est écarté. J’ai un groupe. Il faut faire en sorte de garder cette idée collective commune." Si DD prône l’unité, il laisse aussi percer son agacement devant le comportement de certains. "A Marseille, il y a une caisse résonance un peu plus importante quand il n'y a pas de résultats. Mais dans tous les clubs, il y a toujours trois ou quatre joueurs... Les mêmes quand ils vont à l'étranger, ils ne bronchent pas. J'ai connu l'étranger, il y a un cadre et une rigueur un peu plus définie. C'est un peu plus relax en France." A bon entendeur…
S’il peut compter sur un socle fort, Deschamps n’est pas dupe. Il sait que le moindre dérapage lui sera à nouveau imputé. Ces vicissitudes marseillaises, Vincent Labrune commence à les cerner. "C’est violent quand ça ne va pas à l’OM, constate le néo-patron olympien. Et on est dans l’extraordinaire parfois. Mais il y a quand même une cohésion et des gens soudés et unis. Ce n’était pas tout noir avant Paris. Et ce n’est pas tout rose après. Mais il y a bon espoir pour la suite." Car la performance réalisée face au PSG demande confirmation. "A partir du moment où chaque joueur se met au service du collectif, on est capable de réaliser ce genre de match, explique Deschamps. Ça n'a pas toujours été le cas." Car Paris ne sera pas au Vélodrome tous les week-ends. L’OM va devoir trouver d’autres ressorts de motivation que l’opposition inhérente au clasico. "Il ne faut pas uniquement jouer comme ça contre Arsenal, Dortmund ou Paris, décrit ainsi André Ayew. On a montré que l’on avait les joueurs pour mettre de l’impact dans le jeu. Mais pas uniquement. Je suis donc très content pour le coach, les joueurs mais aussi José Anigo." L’aîné des frères Ayew n’oublie personne dans ses remerciements. Il sait ce qu’il doit à son directeur sportif et à son entraîneur. C’est un peu le trait d’union entre les deux hommes…
http://fr.sports.yahoo.com/28112011/70/ligue-1-deschamps-peut-compter-sur-eux.html
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lundi 28 novembre 2011

Marseille bat PSG 3-0 Le coup de gueule de Makelele

Antoine Kombouaré vient de quitter les vestiaires pour filer en conférence de presse. Claude Makelele prend alors la parole devant des joueurs parisiens abattus. Le conseiller de la direction du PSG passe un savon à Sakho et ses partenaires. « Il nous a gueulé dessus, raconte un joueur. Il nous a dit que l’on avait raté notre match, que l’on s’était fait dessus.
» Quelques minutes auparavant, l’entraîneur parisien avait glissé à ses hommes que « l’OM avait joué avec le cœur », sous-entendu pas eux, et qu’il était délicat de gagner un match sans remporter les duels…

« C’est un jour sans, il faut se remettre au boulot. Et c’est dur d’expliquer une telle contre-performance », a lâché Blaise Matuidi, l’un des rares Parisiens à s’exprimer après la rencontre avec Sissoko et Sirigu. « Ce qui a fait la différence, c’est que Marseille a joué avec détermination et envie », a confié le gardien italien. Sissoko a parlé, lui, de « rigueur et d’envie plus présente » chez les Marseillais que chez les Parisiens. Sollicité, Erding a répondu : « Parler, pourquoi? » C’est vrai qu’hier il n’y avait pas grand-chose à dire.

Ce naufrage pourrait avoir des conséquences sur la suite de la saison du PSG. « Kombouaré va devoir assumer son choix d’équipe », lance, amer, un proche du groupe. Si Leonardo lui a officiellement réitéré le soutien de la direction du club, il n’est pas impossible que depuis hier soir plusieurs joueurs aient décidé de se couper de lui.

Lyon revient dans le coup

Après un mois sans gagner, l'OL a retrouvé le chemin de la victoire à Auxerre (0-2) grâce à un doublé de Lisandro Lopez (20e, 68e) et un but de Bastos (88e). Ce succès permet à l'équipe de Rémi Garde de prendre la cinquième place à Toulouse. Mais Auxerre aurait pu bénéficier de deux penalties à 0-1.
Lyon est de retour à la cinquième place du classement. Par les temps qui courent, c'est presque un événement. L'air de rien, avant de l'emporter à Auxerre (0-3), ce dimanche, l'OL n'avait plus gagné une rencontre depuis un mois et son doublé succès face à Saint-Etienne en Coupe de la Ligue (2-1) puis en L1 (1-0). L'équipe de Rémi Garde a su mettre fin à la sinistrose qui menaçait depuis son échec en Ligue des champions contre l'Ajax cette semaine (0-0) en remportant une large victoire au stade de l'Abbé-Deschamps. Ce succès, tout simplement le plus large de la saison, porte la marque de Lisandro Lopez. Pour sa deuxième titularisation depuis son retour de blessure, l'Argentin a inscrit un doublé tranchant (20e et 68e). Bastos a arrondi le score en fin de rencontre (90e) après un beau numéro de puissance sur son aile gauche.

C'est un succès qui porte aussi la marque d'une réussite insolente ou, dit autrement, du point de vue auxerrois en tout cas, d'un arbitrage déséquilibré. Les Bourguignons peuvent clairement revendiquer deux penalties. L'un et l'autre auraient pu permettre à l'AJA d'égaliser quasiment dans la foulée du premier but de Lisandro, inscrit d'une belle tête plongeante après un centre de Bastos et une grosse erreur de marquage auxerroise (20e). A la 24e, Oliech avait fait la différence avec sa vitesse quand Lovren est revenu sur lui et a interrompu sa course de façon irrégulière, par derrière, une faute que le Kenyan a certainement eu le tort d'amplifier. Cinq minutes plus tard, c'est une main de Cris à l'entrée de la surface que M. Piccirillo jugeait hors limite. A tort. "Il y avait déjà deux penalties (refusés) à Valenciennes, deux encore ce soir, ça fait beaucoup, a déploré Laurent Fournier à chaud sur Foot+. La semaine dernière, je n'ai rien dit. Mais c'est dur à encaisser pour les joueurs. Quand il y a penalty, il faut siffler. Desfois, il y en a ras le bol."

Lyon s'est retrouvé, de fait, dans des conditions optimales pour faire fructifier son résultat. Même si son organisation défensive a encore donné des signes de fébrilité, Ederson et ses partenaires ont réussi à s'appuyer sur leur avance pour forcer l'AJA à se découvrir et pour placer des contres tranchants qui ont fini par donner cette ampleur au score. Le deuxième but est allé très vite entre un renvoi de Cris de la tête, une longue percée de Bastos, et une passe vers Lisandro qui a eu la lucidité d'effacer Berthod avant de frapper au but. Sur le troisième, le Brésilien de l'OL a réussi à pousser son action jusqu'au bout et à clore l'action lui-même. Ce succès permet à l'OL de devancer Toulouse à la différence de buts. La venue à Gerland de ce rival inattendu pour les places européennes, dimanche prochain, sera une occasion en or de confirmer ce retour aux affaires.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/27112011/70/ligue-1-lyon-revient-dans-le-coup.html
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dimanche 27 novembre 2011

L’affiche de gala du Championnat de France OM - PSG en live ici

Suivez OM -PSG EN DIRECT EN CLIQUANT SUR CE LIEN......

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La suite dela ligue 1 en live

Auxerre-Lyon et Lorient-Nice   EN DIRECT  en cliquant sur ces liens ..............
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Mort de Gary Speed (42 ans): Le sélectionneur gallois se serait pendu, selon la presse anglaise

Ancien joueur d'Everton et Newcastle, il était le sélectionneur gallois depuis décembre 2010...
L’information est confirmée par la fédération galloise: A 42 ans, le sélectionneur national Gary Speed est décédé dans la nuit de samedi à dimanche. «Nous exprimons toute notre sympathie et nos condoléances à la famille, et nous demandons à tout le monde de respecter la vie privée de la famille», indique la fédération galloise dans un communiqué.
Selon The Guardian, Gary Speed a été retrouvé chez lui tôt ce dimanche matin, après que la police locale ait été informée d'une «mort soudaine», tout en précisant qu'il n'y avait pas de «circonstances suspectes». Un autre journal anglais, The Sun, indique que Gary Speed se serait pendu.
International à 85 reprises pour le pays de Galles, Gary Speed était en poste depuis décembre 2010. Il avait également porté les couleurs de Leeds, Everton, Newcastle, Bolton et Sheffield United

http://www.20minutes.fr/article/831334/gary-speed-42-ans-selectionneur-pays-galles-mort
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Compagnons de galère

Rarement un Marseille – Paris Saint-Germain ne s’est annoncé aussi brûlant pour les entraîneurs des deux clubs. Didier Deschamps, coach d’un OM qui s’est perdu en route, et Antoine Kombouaré, technicien d’un PSG qui file droit devant mais ne séduit pas, sont sur la corde raide. Leur destin est lié.
Une dizaine de mètres à tout casser. A vue d’œil, c’est la distance qui sépare les deux bancs de touche au stade Vélodrome. Dans l’espace et le temps d’une soirée, c’est ce qui éloignera Didier Deschamps, entraîneur de l’Olympique de Marseille, d’Antoine Kombouaré, en charge du Paris Saint-Germain. Autant dire, pas grand-chose. Un peu comme dans les faits. Les deux hommes vont évoluer durant quatre-vingt-dix minutes avec une épée de Damoclès suspendue au-dessus de leur tête respective. Rarement la maxime "le malheur des uns fait le bonheur des autres" n’aura été aussi appropriée à l’issue d’un Marseille – Paris Saint-Germain dont les conséquences sportives iront vraisemblablement au-delà du score, de la simple lecture du classement ou de l’écart séparant les deux écuries.
Didier Deschamps et Antoine Kombouaré se connaissent depuis bientôt trente ans. Leur vie sportive a commencé au centre de formation de Nantes. Leur carrière pro sous les couleurs des Canaris. De cette époque, Kombouaré et Deschamps conservent une estime et une amitié certaine. Dimanche, ils se retrouveront face-à-face. Sans aucune animosité malgré l’urgence liée à leur situation professionnelle. "On est au-dessus de ça, jure Didier Deschamps. On s'est connu très jeunes. Il y a beaucoup de respect entre nous deux. On sera adversaire pendant le match et après on oubliera." Même son de cloche (ou presque) du côté de Kombouaré. "Ma situation est identique (à celle de Deschamps). On a les mêmes soucis à la seule différence que, nous, on est premiers et on va là-bas avec un peu plus de confiance", déclarait-il samedi avant la prise de pouvoir de Montpellier.
Si loin, si proche
En ce début de saison, DD et AK symbolisent à leur manière la difficulté de la tâche dévolue aux techniciens. L’ingratitude latente qui ressurgit au moindre coup d’arrêt et qui ne peut en rien être compensée par la gloire qu’ils ont retirée, dans le cas de Deschamps, ou retireront peut-être, concernant Kombouaré, d’avoir soulevé tel ou tel trophée. Entraîneur est devenu un métier de chien où allier la forme et le fond sont un minimum requis pour durer ou survivre. Regardez Antoine Kombouaré. Le coach parisien mène la danse en championnat avec sa "Dream Team à taille hexagonale" bâtie à plus de 90 millions d’euros par QSI et Leonardo. Problème, son employeur et son directeur sportif ont à peu près autant confiance en lui qu’une agence de notation envers la Grèce. Chaque petit accroc sur le terrain, bruit de vestiaire ou râlement est traduit comme un manque d’envergure du Kanak, qui continue à faire bonne figure et poursuit sa mission du mieux possible, soutenu par les supporters. Même lorsque Leonardo rencontre Carlo Ancelotti, Kombouaré fait front.
Les moyens quasi-illimités du premier, Didier Deschamps ne les a pas. Il n’en est "pas jaloux", rétorque-t-il à qui met le sujet sur le tapis. L’OM s’est lancé dans une cure d’austérité qui explique en partie au moins les piètres résultats d’une équipe qui n’est plus sortie du podium depuis 2007. DD a en revanche un crédit, non plus illimité, mais jusqu’ici toujours important auprès de son président Vincent Labrune et de l’actionnaire du club Margarita Louis-Dreyfus. Ces derniers ont toujours pris fait et cause pour leur entraîneur quand le bateau tanguait. Face aux joueurs qui dépassent les bornes, comme André-Pierre Gignac, prié d’aller faire un tour en réserve durant quelques jours, ou, plus symboliquement, aux dépens de José Anigo, après l’anicroche qui avait opposé le directeur sportif olympien à l’entraîneur.
Les cinq titres glanés par Didier Deschamps depuis sa prise de pouvoir y sont évidemment pour beaucoup. Ils représentent plus qu’aux yeux des virages du Vélodrome, qui ont déjà réclamé la tête de l’ancien capitaine de l’OM, et qui continueront tant que la barre ne sera pas redressée ou que la direction n’aura pas pris les mesures souhaitées. Drôle de vie. Dont s’accommode Deschamps. "Quand on est entraîneur, on a la pression. Et on vit avec. J'ai connu des périodes où ça envoyait de chaque côté avant un OM-PSG. Aujourd'hui, ça a changé. Paris, c'est la capitale. Marseille, c'est le Sud. Il y a forcément une opposition particulière." Particulière, savoureux euphémisme.
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/27112011/70/ligue-1-compagnons-de-galere.html
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samedi 26 novembre 2011

Le multiplex de 15e journée de Ligue 1 est à suivre en live

Suivez Le multiplex de 15e journée de Ligue 1 en direct en cliquant sur ce lien............


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Ça chauffe aussi au PSG

Une vive altercation a opposé jeudi matin les deux joueurs du Paris Saint-Germain Mathieu Bodmer et Nene au cours de l'entraînement. A quelques jours du choc Marseille-PSG, la tension monte dans les deux clubs.
C'était jour de clash jeudi à Paris et à Marseille. Alors que Didier Deschamps et André-Pierre Gignac s'écharpaient à la Commanderie (voir par ailleurs), une altercation a eu lieu au Camp des Loges entre Mathieu Bodmer et Nene. Débuté sur le terrain du centre d'entraînement, cet échange houleux s'est poursuivi dans les vestiaires, obligeant Antoine Kombouaré et plusieurs équipiers à intervenir.
Tout a commencé lors d'un exercice sur la pelouse du Camp des Loges. Selon Le Parisien, l'incident serait parti d'une remarque ironique de Bodmer qui aurait déplu à Nene. S'en sont suivis des insultes, poussant Antoine Kombouaré à venir calmer les deux hommes. Le technicien kanak aurait alors demandé à l'ancien lyonnais d'aller faire des tours de terrain pour se calmer, ce que ce dernier aurait refusé, préférant rentrer directement aux vestiaires.
Plus tard, une fois de retour à l'intérieur, les deux hommes ont repris leur dispute. Bodmer s'est même avancé près du Brésilien pour en découdre, avant d'être stoppé par plusieurs coéquipiers et Yves Bertucci, l'entraîneur adjoint. Présent au Camp des Loges, Leonardo a assisté à l'accroc et en a discuté avec Antoine Kombouaré à l'issue de la séance.
Si ce genre de scène se déroule épisodiquement dans la vie d'un groupe, elle témoigne surtout de la tension qui règne au sein de l'effectif parisien ces derniers temps. Une tension exacerbée par le déplacement à Marseille dimanche (21h).
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/25112011/70/ligue-1-ca-chauffe-aussi-au-psg.html
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vendredi 25 novembre 2011

Gignac-Deschamps, le clash

Le torchon brûle entre André-Pierre Gignac et Didier Deschamps. Notre correspondant à Marseille a confirmé la mise à l'écart de l'attaquant phocéen par son entraîneur. Arrivé de Toulouse à l'été 2010 pour 18 millions d'euros, l'international français a eu une altercation avec son coach en raison de son statut de remplaçant à l'OM. Il ne sera pas dans le groupe pour la réception du PSG dimanche soir (21h00) au Vélodrome lors de la 15e journée de Ligue 1, et sera à disposition de l'équipe réserve.
La rupture entre les deux hommes est intervenue ce jeudi matin, au lendemain du revers subi par le club phocéen face à l'Olympiakos (0-1) en Ligue des champions, rencontre que Gignac a débutée sur le banc de touche avant de remplacer Jordan Ayew à l'heure de jeu. Ils ont eu une explication musclée dans le vestiaire, sous les yeux du reste de l'effectif, qui a abouti à la décision de Deschamps d'écarter son joueur du groupe professionnel. Une sanction approuvée par la direction du club marseillais.
Gignac, longtemps blessé en début de saison, n'a participé qu'à huit matches de Ligue 1, dont un seul en tant que titulaire,. Jusqu'ici, son temps de jeu en L1 se résume à 197 minutes. Il a inscrit son seul but de la saison lors du 8e de finale de Coupe de la Ligue remporté facilement face à Lens (4-0) au Stade Vélodrome, il y a un mois. L'ancien Toulousain, qui avait déjà failli être prêté à Fulham en toute fin de mercato l'été dernier, semble plus que jamais promis à un départ cet hiver.
 Eurosport

http://fr.sports.yahoo.com/24112011/70/ligue-1-gignac-deschamps-le-clash.html
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mercredi 23 novembre 2011

Lille reprend son destin en main

Lille a remporté sa première victoire en Ligue des champions cette saison sur la pelouse synthétique du CSKA Moscou (0-2, buts de Berezutsky csc et Sow). Elle relance totalement les chances de qualification de l'équipe de Rudi Garcia, deuxième avant Trabzonspor-Inter (20h45). L'Inter est qualifiée.
Le ciel s'est sérieusement éclairci pour les Lillois. Retardés plusieurs heures à Lille en raison du brouillard, ils sont repartis de Russie avec leur première victoire en Ligue des Champions face au CSKA Moscou (0-2). Un premier succès qui permet au LOSC de rester en course pour les 8e de finale. Pour une fois, il a finalement été récompensé après avoir dominé. Une victoire probante et une situation quasi inespérée dans le groupe B après un début de campagne frustrant (deux nuls et deux défaites). Désormais à égalité avec les Moscovites, qui avaient arraché le nul au Stadium (2-2), les hommes de Rudi Garcia peuvent encore accompagner l’Inter Milan, qualifiée malgré son match nul à Trabzonspor (1-1). Pour cela, il leur faudra récidiver dans deux semaines lors de la réception des Turcs. Après le nul du match aller (1-1), une victoire validera leur billet.
Sow retrouve le sourire
A défaut d'avoir retrouvé l'efficacité qui leur manquait lors de leurs dernières sorties, Lille a pu compter sur la réussite pour se réchauffer malgré les -4°C. Alors que la domination des Nordistes était encore stérile en première période, laissant craindre un nouveau match nul malgré l'impact du duo Cole-Hazard devant et Balmont-Gueye au milieu, Vasily Berezutsky a débloqué la situation après la pause en marquant contre son camp en voulant intercepter un centre de Balmont difficilement contrôlé par Moussa Sow (49e, 0-1). Un coup du sort peut-être libérateur pour l'attaquant sénégalais qui passait jusque là une soirée difficile. Critiqué ces dernières semaines pour son maigre bilan (4 buts seulement en Ligue 1), le meilleur buteur du championnat l'an passé a marqué quelques minutes plus tard un but plein d'opportunisme suite à une frappe de Joe Cole sur le poteau pour doubler la mise (64e, 0-2).
Mais la victoire du LOSC n'a rien d'imméritée. Au contraire. Dos au mur au moment d'entrer sur la pelouse synthétique du Stade Loujniki, le club français s'est montré le plus dangereux et le plus entreprenant dans le jeu, n'accordant que 4 tirs au CSKA. La liste des regrets aurait pourtant pu être longue. Après une frappe trop écrasée de Cole (15e), Debuchy a ainsi trouvé la barre dès la 20e minute avant que Béria ne manque le cadre face au but vide (39e). Mais, cette fois, les efforts ont fini par payer et Lille a su tenir le score jusqu'au bout, grâce notamment à un Chedjou solide face à Vagner Love et quelques interventions de Landreau (70e, 89e). Hazard et ses coéquipiers joueront donc leur "finale" le 7 décembre à domicile face à Trabzonspor. Sans Rozehnal, suspendu, mais avec un Sow libéré et en espérant le retour de Basa, l'espoir est plus que jamais permis.
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/22112011/70/ligue-des-champions-lille-reprend-son-destin-en-main.html
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mardi 22 novembre 2011

LdC : match crucial pour Lyon contre l'Ajax ..en live à partir de 20h45


A suivre en direct à partir d 20h45 sur ce lien....


L'heure du dégel.... en live à 18h

Après avoir gâché maintes occasions depuis le début de la Ligue des champions, Lille n'a plus le choix. Dans le froid moscovite, le champion de France, dernier du groupe B, doit s'imposer sur la pelouse du CSKA, mardi (18h00). Sous peine de dire irrémédiablement adieu aux 8e de finale.
L'ENJEU
Le cas lillois n'a jamais été aussi désespéré dans cette Ligue des champions 2011/2012. Jamais aussi clair également. Pour être convié à coup sûr au banquet du Top 16 de la prestigieuse compétition, les joueurs de Rudi Garcia doivent remporter leurs deux derniers matches, face à Trabzonspor, lors de la dernière journée, et mardi à Moscou, contre le CSKA. Les Russes comptent à l'heure actuelle trois unités de plus que les Nordistes, bloqués à deux points suite aux deux défaites concédées face à l'Inter Milan. Les Lillois ont conscience de l'enjeu, Rudi Garcia en tête. Le technicien parle de "demi-finale de Ligue des champions". Demie que les champions de France abordent avec confiance, rassérénés par leur match de Toulouse (0-0), vendredi. Certes, le LOSC n'a toujours pas gagné mais s'est rassuré au niveau de la forme. "On a retrouvé une équipe du LOSC conquérante, a analysé Garcia sur le site du club. C'est de bon augure. On a eu les occasions." Mardi, il faudra les mettre.
LES REPÈRES
Retrouver le CSKA Moscou rappelle forcément l'entame gâchée des Lillois au mois de septembre dernier. Les deux clubs s'étaient séparés bons amis (2-2). Les regrets, eux, avaient été lillois. Pour que cela ne se réitère pas mardi, les joueurs du LOSC devront vaincre le froid et un adversaire qui ne réussit pas si mal aux Français, surtout ces dernières saisons. En neuf confrontations, les hommes de Leonid Slutski ont gagné quatre fois. Le dernier club français à avoir rendu visite à l'ancien club de l'armée s'y était imposé (2-1, Marseille en C3) et, lors des quatre plus récentes confrontations franco-russes, seul Nancy avait mordu la poussière. C’était à Marcel-Picot (3-4, 2008 en C3).
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LA STAT : 1
Comme le nombre de victoires à l'extérieur du LOSC en Ligue des Champions. Douze matches joués, un seul remporté. Mais pas n'importe où puisque les Lillois s'étaient imposés à Giuseppe-Meazza face au Milan AC (0-2) qui, il est vrai, avait déjà composté son billet pour la suite de la compétition. Cette victoire unique dans l'histoire du football français avait permis aux Nordistes de se qualifier pour les huitièmes de finale de la C1.
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LE DUEL : Sow vs Gabulov
Moussa Sow avait marqué à l'aller son premier but en Ligue des Champions. Moussa Sow ne marque plus actuellement. Vendredi, le Lillois a même vu son penalty repoussé par le Toulousain Ali Ahamada. Le meilleur buteur du dernier Championnat de France n'est pas dans la meilleure phase de sa saison. L'homme doute mais serait bien inspiré de repartir de plus belle face à Moscou et un certain Vladimir Gabulov, portier du CSKA. En l'absence d'Igor Akinfeev, c'est lui qui garde les buts de la formation slave. Et ce week-end, il n'a pas été plus inspiré que Sow. Face à Kazan (1-2), une boulette est venue "couronner" sa prestation. Il aura quelque chose à se faire pardonner face à Lille.
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LA DÉCLA :
Sur la pelouse synthétique du CSKA Moscou, Rudi Garcia craint que les conditions de jeu ne soient pas favorables à son équipe. "Tant qu’on pourra avoir des conditions où le terrain est jouable, on pourra défendre nos chances. Mais si ça devient une parodie de football en raison d’une trop grande quantité de neige, ça sera plus embêtant", prévient l'entraîneur lillois.
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LES ÉQUIPES PROBABLES :
Dans le froid moscovite, Rudi Garcia pourra-t-il compter sur Marko Basa et Benoit Pedretti ? Les deux hommes, respectivement touchés à l'épaule et aux adducteurs, ont fait le voyage. Mais sont loin d'être assurés de fouler la pelouse synthétique du stade Luzhniki, mardi. Remplaçant à Toulouse, Eden Hazard va faire son retour dans le onze. Au sein d'un 4-2-3-1 ou d'un 4-3-3 ? Si la première option est choisie par Garcia, c'est certainement Gueye, titulaire vendredi, qui laissera sa place. Dans la seconde, l'entraîneur des Dogues alignerait le quatuor Payet-Cole-Hazard-Sow. En défense, Mathieu Debuchy, suspendu en L1, reprendra son poste à droite.
Côté moscovite, un grand absent : le serial buteur ivoirien Seydou Doumbia. Suspendu, celui qui avait réussi un doublé à Lille suivra la rencontre de loin. "C'est un grand atout en moins mais on a les armes pour s'adapter, a expliqué Leonid Slutski en conférence de presse. Son absence ne m'inquiète pas plus que cela car je pense que Vagner (Love) a les armes et qu'il sera au niveau. Il a bien travaillé, il est en forme. Et on sait que c'est aussi dans la tête qu'il doit être bien. Et je pense que c'est le cas." Keysuke Honda va également mieux. Remis d'une blessure au genou droit, iI devrait prendre place dans le couloir droit et aura pour mission d'alimenter Vagner Love.
Les équipes probables

CSKA Moscou : Gabulov - V. Berezutsky, Nababkin (ou Shchennikov), Ignashevich (cap.), A. Berezutsky - Aldonin, Mamaev (ou Rahimic), Honda, Dzagoev - Oliseh, Vagner Love

Lille : Landreau - Debuchy, Rozenhal (ou Basa), Chedjou, Béria - Mavuba (cap.), Balmont - Payet (ou Pedretti), Cole, Hazard - Sow
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/22112011/70/ligue-des-champions-l-heure-du-degel.html

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Kombouaré y aura survécu

Annoncé comme le match de la dernière chance pour lui, PSG - Nancy aura finalement permis de mesurer la côte de popularité d'Antoine Kombouaré, malgré la défaite (0-1). Leonardo s'est empressé de le conforter juste après le match. Mais OM-PSG risque de peser lourd, dimanche.
Tout le monde ne lui souhaitait que du bien, et pourtant, Antoine Kombouaré n'a pu rendre cette confiance comme il l'imaginait dimanche. Il n'y a pas eu de trêve internationale pour l'entraîneur du PSG. Depuis le match nul à Bordeaux (1-1), les rumeurs qui annoncent son remplacement, latentes depuis l'arrivée de Leonardo au poste de directeur sportif à l'intersaison, se sont faites de plus en plus persistantes. Nancy constituait pour lui un match à forte pression. Il l'a perdu (0-1). Mais le soutien public de ses joueurs (Ménez, Jallet, Matuidi), l'ovation explicite du Parc des Princes ont un peu fait retomber la pression. Le public du Parc n'a pas attendu le coup d'envoi de la rencontre pour manifester son soutien à Kombouaré. A l'annonce de la composition des équipes, le nom de l'entraîneur parisien a été applaudi par les supporters, puis scandé par les deux virages durant une dizaine de secondes. Les "Kombouaré !", "Kombouaré !" ont repris de plus belle à l'entrée des deux équipes pour le match. Dans la tribune Auteuil, une banderole où l'on pouvait lire "Au PSG, Kombouaré doit rester" a aussi été déployée.
Esprit offensif et conquérant pendant... dix minutes
Sur le terrain, le PSG a d'abord donné l'impression d'emboîter le pas de ses supporters. Très hauts dès le coup d'envoi, les Parisiens ont manifesté l'état d'esprit offensif et conquérant cher à leur entraîneur. Mais cela n'a pas duré bien longtemps. Debout dans sa zone technique, encourageant sans cesse ses joueurs à aller de l'avant, Kombouaré a assisté impuissant à la baisse de régime de son équipe après une grosse dizaine de minutes. A l'image d'un Javier Pastore hors du coup et nonchalant, le PSG a perdu le fil du match et s'est montré incapable de bouger une équipe lorraine bien en place. Son jeu s'est appauvri au milieu, où Mathieu Bodmer a été inexistant tant à la récupération qu'à la création, ses mouvements offensifs ont été dénués d'inspiration et de percussion. Paris a dégagé cette image - que les dirigeants parisiens critiqueraient en privé - jusqu'à l'ouverture du score nancéenne peu après la reprise.
Dépendant des individualités
Dos au mur, l'équipe d'Antoine Kombouaré a bien tenté de réagir. Avec énergie, mais sans réelle organisation. Malgré un manque de réussite certain, à l'image de la tentative sur la barre de Kevin Gameiro (79e) ou du double arrêt miracle du portier lorrain sur Nenê et Bodmer (81e), c'était trop peu pour mettre en danger la formation d'un Jean Fernandez souvent en réussite au Parc des Princes. Dans ce match face à Nancy, le PSG a - encore - trop souvent semblé dépendre exclusivement de ses individualités. Il a donné des raisons à ses dirigeants de croire que Kombouaré n'était pas l'homme de la situation. Malgré la première place au classement, Paris reste sur deux matches sans victoire en L1. Cela ne lui était plus arrivé depuis le début du championnat, avec la défaite face à Lorient (0-1) et le nul à Rennes (1-1). Déjà sous pression, Kombouaré avait été sauvé par le succès acquis face à Valenciennes. Cette fois, il devra compter sur un bon résultat à Marseille le week-end prochain. En attendant, même si Leonardo a cherché à faire baisser la pression dès le coup de sifflet final, la semaine risque d'être agitée pour le Kanak. Mais ça, il commence à en avoir l'habitude.
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lundi 21 novembre 2011

Paris, leader blessé

Le Paris-SG a concédé dimanche au Parc des Princes sa deuxième défaite de la saison en Championnat, face à Nancy (0-1), en clôture de la 14e journée . Calvé a inscrit l'unique but de la rencontre (49e). Le PSG conserve la première place à la différence de buts devant Montpellier (30 points).
Le scénario parfait pour Nancy, le pire pour Paris et Antoine Kombouaré. Fragilisé par la révélation d'une entrevue entre Leonardo et Carlo Ancelotti durant la trêve internationale, l'entraîneur parisien espérait voir son équipe gagner mais aussi séduire face à Nancy. Au final, l'équipe parisienne a buté sur une formation lorraine qui a fermé le jeu et a surpris le PSG au retour des vestiaires sur une belle frappe de Jean Calvé (0-1 score final, 49e). Après son nul à Bordeaux (1-1) où la formation parisienne avait montré un visage terne, l'équipe de Mamadou Sakho chute pour la première fois en L1 depuis sa défaite lors de la première journée contre Lorient (0-1) et voit Montpellier revenir à sa hauteur au classement. Dimanche soir à l'issue de cette 14e journée, le PSG est toujours leader de L1 mais seulement grâce à une meilleure différence de but (+ 14 pour le PSG, +13 pour Montpellier).
Jean Fernandez a réussi son coup. Sa formation, pire équipe du championnat à l'extérieur et 18e de L1 avant cette journée, semblait pourtant être la victime idéale avant la rencontre. Conscient de ses forces et appliqué tactiquement, Nancy a finalement fait le match idéal pour remporter sa première victoire hors de ses bases et sortir de la zone rouge. Dès les premières minutes, Paris a compris. Nancy, avec cinq défenseurs, était venu pour défendre et tenter de placer des contres. Le PSG a donc eu la possession de balle (62% contre 38%) et a accumulé les tirs (24 mais seulement 8 cadrés contre 8 et 7 cadrés pour Nancy). Mais les Parisiens n'ont jamais réussi à forcer le verrou lorrain.
Le PSG a accumulé les centres. Mais a surtout manqué trop longtemps de précision et de percussion. En l'absence de Jérémy Menez, Nenê a été trop seul pour tenter de faire exploser le bloc nancéien alors que Javier Pastore a, pendant de longues minutes, été incapable de peser sur le match pour montrer le chemin à suivre. Avec l'entrée d'Erding à la 67e juste après une superbe parade de Salvatore Sirigu et le passage en 4-4-2 en losange qui a permis à l'Argentin de sortir un peu de sa léthargie, Paris s'est montré plus tranchant. Mais Gameiro a trouvé la barre (74e) et Guy Ndy Assembe a repoussé les tentatives de Nene et Bordmer coup sur coup (77e). Un brin de chance pour Nancy, qui peut se féliciter de sa sortie. Paris risque encore de vivre une semaine agitée avant son choc très attendu face à Marseille dimanche prochain.
 Eurosport
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dimanche 20 novembre 2011

PSG Nancy en live

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Montpellier, c'est sérieux

Montpellier continue de jouer dans la cour des grands. Le MHSC s'est imposé à domicile (1-0) face à Marseille samedi soir lors de la 14e journée de L1. Les Héraultais reviennent à la hauteur du PSG en tête du classement. Coup d'arrêt pour l'OM, invaincu depuis deux mois. Nice et Bordeaux ont sombré.
La bonne affaire de Montpellier. Vingt quatre heures après avoir vu Lille concéder le nul à Toulouse (0-0) et Lyon chuter face à Rennes (1-2), les Héraultais ont pris les trois points face à Marseille suite à un but contre sans camp de Souleymane Diawara après la pause (1-0). Sous des trombes d'eau et dans un match âprement disputé où les deux équipes ont eu leurs temps forts, ils s'offrent enfin l'OM et confortent leur deuxième place avec cinq points d'avance sur Lille, troisième. La bande d'Olivier Giroud prouve encore une fois qu'il faudra bien compter sur elle cette année et revient en plus à hauteur du PSG, qui joue dimanche soir contre Nancy, et devra s'imposer pour reprendre ses aises en tête.
Marseille pourra regretter ses débuts de période manqués. Car l'OM eu la possession de balle mais a craqué sur une erreur défensive et n'a pas pu revenir au score malgré les entrées de Gignac, Valbuena et Lucho. Les Phocéens voient leur remontée s'arrêter net en championnat et se retrouvent à 12 points de leur adversaire du soir. Ils démontrent encore une fois leurs soucis face aux "gros" après leurs défaites contre Lille, Lyon et encore Rennes. Ils risquent encore une fois de voir le doute ressurgir avant une semaine décisive avec un match clef en Ligue des Champions contre l'Olympiakos et un choc comme toujours très attendu face au PSG.
Nice et Bordeaux sombrent
Dans les autres matches de la soirée, Bordeaux est retombé dans ses travers. Le nul face à Paris (1-1) avait laissé entrevoir quelques promesses. Face à Dijon, qui restait sur quatre défaites consécutives en L1, les Girondins se sont repris les pieds dans le tapis après la pause en se montrant bien frileux. Battus 2 à 0, ils permettent à Dijon de se relancer et de leur passer devant au classement (14e). Pour ses débuts sur le banc niçois face à Saint-Etienne, René Marsiglia a connu une soirée aussi compliquée. Nommé à la place d'Eric Roy, le nouvel entraîneur des Aiglons a vite vu ses protégés se bruler les ailes. Après une mauvaise passe de Renato Civelli, David Ospina s'est fait expulser et a offert un penalty aux Verts dès la 22e minute. Le début du cauchemar. Huit minutes plus tard, les Niçois se sont retrouvés à neuf suite à un rouge direct assez sévère pour Eric Mouloungui, auteur d'un tacle sur Lemoine. Le Gym a finalement terminé à huit après une agression de Civelli à la 85e et s’incline 2 à 0. Une soirée à oublier. Déjà...
Septième de L1, Lorient n'est, bien sûr, pas dans la même situation. Mais les Merlus, repartis de l'avant avant la trêve internationale, ont aussi rechuté sur la pelouse d'Evian (2-1), qui continue son parcours plus qu'honorable. Enfin, Caen, qui avait commencé la soirée en voyant son bus se faire caillasser à son arrivée au stade François-Coty, a concédé le nul (2-2) dans les dernières minutes à Ajaccio après avoir inversé le score. Après quatre défaites consécutives, l'ACA prend enfin un point mais reste lanterne rouge avec trois points de retard sur le trio Nancy-Nice-Valenciennes.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/19112011/70/ligue-1-montpellier-c-est-serieux.html
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samedi 19 novembre 2011

La 14e journée de Ligue 1 en live

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Rennes fait tomber Gerland

Au terme d'une rencontre séduisante, Lyon a concédé sa première défaite à Gerland depuis un an. Rennes a fait honneur à son statut de bête noire de l'OL en venant à bout des Gones (1-2) lors de la 14e journée de L1. Les Bretons, désormais 4e, doublent l'OL, impuissant malgré la rentrée de Lisandro
Gerland est son jardin. Invaincu depuis janvier 2005 à Lyon, le Stade Rennais s'est une nouvelle fois régalé entre Saône et Rhône à l'issue d'une rencontre d'une excellente facture (1-2). Si l'OL a globalement dominé la première période, ouvrant même la marque par Ederson (36e), les hommes de Rémi Garde ont tiré la langue au retour des vestiaires. Les contres des Rouge et Noir ont fait mouche et la bande à M'Vila récolte trois points qui récompensent son panache.
Rennes est désormais quatrième, deux points devant son hôte du soir. Pour l'OL, en difficulté à l'extérieur et plutôt séduisant ce vendredi, ce revers est particulièrement difficile à avaler. Il brise la série de 21 matches sans défaite de Lyon sur ses terres. Les entrées en jeu de Lisandro et Michel Bastos n'ont pas changé le cours du match. Mais il aura fallu un grand Stade Rennais, plein d'audace, pour faire tomber Gerland.
De l'audace, la feuille de match de l'OL en regorgeait. Avec Yoann Gourcuff en milieu récupérateur en lieu et place de Maxime Gonalons, touché à un mollet, Rémi Garde a tenté un pari. Tenu jusqu'à la pause. Gourcuff a franchement convaincu dans le coeur du jeu. Autre revenant, Ederson a brillé, ouvrant la marque en déviant une frappe de Kim Källström. Mais Rennes n'a jamais refusé le jeu. Bien au contraire. Dans le sillage d'un Jonathan Pitroipa plus insaisissable que jamais, les Bretons ont fait peser un danger constant sur le but d'Hugo Lloris.
Pitroipa insaisissable
Une tête de Victor Hugo Montano sur le poteau comme premier avertissement (13e), une accélération fatale de Jonathan Pitroipa sur une offrande de Julien Féret comme sanction (1-1, 39e). La technique en mouvement des Rennais a causé bien des tourments à l'arrière-garde lyonnaise. A l'image d'Anthony Reveillère et Bakary Koné, complétement dépassés par les fulgurances de Pitroipa et, un degré moindre, de Jirés Kembo-Ekoko. Sur une perte de balle de Källström, c'est d'ailleurs Kembo qui a planté la banderille fatale sur un service parfait de Yann M'Vila (53e).
Sans un Cris omniprésent, Lyon aurait pu sombrer. Les entrées en jeu de Lisandro et Michel Bastos n'ont pas permis à l'OL de redresser la tête. Et Benoît Costil a confirmé son excellent début de saison sur quelques parades décisives (19e, 38e, 74e). Rennes met fin à une série de 5 nuls consécutifs et décroche un succès qui doit lui donner envie de voir plus haut. Frédéric Antonetti annonçait cette semaine qu'il voulait titiller le top 4 de la Ligue 1. Pas de doute, ce week-end, Lyon aura quelques maux de tête.
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/18112011/70/ligue-1-rennes-fait-tomber-gerland.html
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vendredi 18 novembre 2011

Toulouse-Lille et Lyon-Rennes en live

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Guillaume Hoarau fera-t-il long feu au PSG ?

Blessé à l’épaule de puis la fin du mois d’août, Guillaume Hoarau attend avec impatience de pouvoir revêtir à nouveau la tunique du Paris Saint-Germain après avoir disputé seulement trois petits matches cette saison (contre Lorient, Rennes et Differdange). Annoncé comme imminent, le retour à la compétition du Réunionnais ravira sans doute Antoine Kombouaré qui disposera d’une cartouche supplémentaire en attaque.
Mais dans ce PSG version Qatar, l’ancien Havrais peut-il envisager un avenir sur le long terme ? À l’heure actuelle, Antoine Kombouaré privilégie un 4-2-3-1 composé pour son meneur de jeu argentin Javier Pastore où ne figure qu’une seule pointe, Kévin Gameiro. Titulaire indiscutable, l’ex-Lorientais a relégué Mevlut Erding au rang de doublure. Hoarau est donc davantage parti pour batailler avec le Turc pour une place de nº 2, même si divers facteurs tels qu’un passage en 4-4-2, une panne sèche de Gameiro ou l’accumulation de matches (L1, coupe d’Europe, etc.) lui permettront de grappiller du temps de jeu.
S’il peut donc espérer jouer cette saison, qu’en sera-t-il pour l’exercice 2012/2013 ? À l’instar d’Erding, Hoarau sait que les nouveaux patrons des Rouge-et-Bleu ont la volonté de construire une équipe faite essentiellement de noms clinquants. Et le poste d’attaquant n’échappera bien entendu pas à la règle. Si des joueurs du calibre de Milito ou Berbatov débarquent, sa situation se dégradera donc forcément. Outre le fait d’avoir le plaisir de jouer des matches, Hoarau sait qu’être titulaire lui permettrait également de postuler en équipe de France. Mal parti pour disputer l’Euro 2012 depuis que Laurent Blanc a testé le Lyonnais Bafé Gomis et le Montpelliérain Olivier Giroud à son poste, le natif de Saint-Louis est conscient qu’il part de loin.
Dès lors, un départ vers un club lui offrant un meilleur statut ne serait pas incompréhensible. Enfin, sa situation contractuelle risque de compter aussi. Lié au PSG jusqu’en 2013, Hoarau n’a toujours pas prolongé. Au cas où il ne réussirait pas une deuxième moitié de saison de bonne facture, pas sûr que ses dirigeants voudront lui faire signer un nouveau contrat. Si un tel scénario se produit, le PSG se verrait alors obligé de s’en séparer sous peine de prendre le risque de le perdre sans encaisser un seul sou en 2013.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/hoarau-peut-il-faire-long-feu-au-psg_76043
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jeudi 17 novembre 2011

Kombouaré sans filet

Maintenu sur le banc du PSG malgré la rumeur Ancelotti, Antoine Kombouaré reste pourtant sous la menace d'un limogeage. Tant que les résultats suivent, l'entraîneur parisien garde le soutien de ses joueurs. Une situation qui semble de plus en plus intenable.
Officiellement, Antoine Kombouaré est toujours l'entraîneur du PSG. Il le sera dimanche, face à Nancy. Mais jusqu'à quand ? La question peut paraître déplacée : après tout, sous les ordres du Kanak, Paris est leader de la Ligue 1. Un leader qui ne séduit pas, mais un leader qui gagne. Il y a encore quelques mois, une telle position aurait dégagé l’horizon de Kombouaré sur le banc parisien. Au moins à court terme. Aujourd'hui, AK est au volant d'une Formule 1. Assis sur un siège éjectable. Il le sait : au moindre grain de sable, à la moindre sortie de piste, QSI appuiera sur le bouton. "Aujourd’hui, c’est comme une vieille voiture que l’on sait capable de lâcher à tout moment, explique un proche du club dans Le Parisien. Mais tant qu’elle ne lâche pas, on continue de rouler avec."
Licencier Kombouaré et son staff, sous contrat jusqu'en 2013, coûterait près de 5 millions d'euros. Une goutte d'eau dans le pétrole qatari. Puisque Paris a aujourd'hui les moyens de limoger son entraîneur quand bon lui semble, la situation de l'ancien coach valenciennois semble précaire. Imperturbable, l'intéressé assure "rester concentré sur (son) boulot". "Je suis heureux ici, surtout sur le terrain, lâchait-il mardi, dans les colonnes de L'Est Républicain. Je travaille avec un bon staff, il ne faut pas se relâcher."
Decourrière : "Il n'est pas au fond du trou"
La vraie-fausse arrivée de Carlo Ancelotti, à peine démentie par Leonardo, a pourtant alimenté cette thèse : Kombouaré n’aurait pas les épaules suffisamment larges pour étancher la soif des ambitions qataries. Pour que Paris s'impose comme une place forte du football européen. Le climat est devenu malsain. Quasi-invivable. Pour l'instant, AK garde le cap. Traverse les tempêtes sans faire de vagues. "Je l’ai eu récemment au téléphone, confie, dans 20 Minutes, Francis Decourrière, qui fut son président à Valenciennes. Il est très serein. Vous savez, c’est un costaud. Il n’a rien à perdre. Il n’est pas au fond du trou, bien au contraire."
Sans doute parce que ses joueurs ont pris publiquement sa défense. "Pour l'instant tout se passe bien. Pour moi et pour tout le groupe, il fait très bien son boulot", disait Mamadou Sakho mardi soir, dans les couloirs du Stade de France. Deux jours plus tôt, devant les caméras de Téléfoot, Jérémy Ménez évoquait "une bonne personne", qui "fait du bon travail". A qui "on ne peut pas lui reprocher grand-chose, puisqu'on est premiers". "Quand on parle de virer un entraineur, c’est que les résultats ne vont pas, lâchait Blaise Matuidi sur RTL. Là, on est premier, on est invaincu en championnat depuis la première défaite face à Lorient, j’ai envie de dire : 'Où est le problème ?".
Tant que Paris préservera son fauteuil de leader, Kombouaré restera en poste. Et si les résultats ne suivent plus ? Si Paris trébuche face à Nancy, ou, pire, perd le Clasico à Marseille, une semaine plus tard ? Les patrons du PSG trancheront fatalement dans le vif. La solidarité affichée par les joueurs risque alors de voler en éclats. Sakho a déjà prévenu : "S'il y a des décisions à prendre, elles viendront d'en haut, et nous joueurs, on n'aura pas notre mot à dire."
http://fr.sports.yahoo.com/17112011/70/ligue-1-kombouare-sans-filet.html
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Où vont les Bleus ?

L'équipe de France a bouclé son année 2011 par un triste match nul face à la Belgique (0-0), mardi. Quels sont les axes de progrès des Bleus ? Auront-ils le temps de redresser la barre à sept mois du début de l'Euro ? Que peuvent-ils espérer en Pologne et en Ukraine ? Perspectives.
DU BON...
Plus d'un an après le traumatisme de Knysna, Laurent Blanc a rempli la mission qu'on lui avait confiée, à savoir qualifier l'équipe de France pour l'Euro 2012. Et ce, sans passer par les barrages. Depuis sa prise de fonctions, le sélectionneur peut même se targuer d'avoir permis aux Bleus de signer une série de 17 matches sans défaite d'affilée et quelques victoires de prestige en amical (face à l'Angleterre et au Brésil). Ils n'ont plus perdu depuis septembre 2010. "L'essentiel pour nous, c'est qu'on n'ait pas perdu un match en 2011", a-t-il d'ailleurs retenu à l'issue de son dernier match de l'année face à la Belgique (0-0). Une réussite comptable qu'on doit notamment à une solide assise défensive bâtie par le Président, même lorsque celui-ci n'a pas pu compter sur sa charnière centrale Rami-Mexès. Un message qu'il martèle à chaque rassemblement, raconte Yohan Cabaye : "Dans son discours, il aime répéter qu'il faut avoir le ballon et qu'il veut jouer dans le camp adverse pour les mettre en difficulté. Mais, avant chaque fin de discours, il répète que, à partir du moment où on ne prend pas de but, déjà le match n'est pas perdu. C'est très important pour lui".
. ... ET DU MOINS BON
Après l'optimisme des premiers mois, les matches amicaux du mois de novembre ont laissé la désagréable impression que les Bleus avaient régressé. Ou du moins qu'ils stagnaient. "On a avancé et progressé même si on ne l'a pas vu sur ces deux matches", assure Blanc. Pourtant, l'animation offensive laisse toujours à désirer, même contre des formations mineures (Albanie, Etats-Unis, Belgique). "Vu la qualité de leurs joueurs, ils peuvent faire mieux", a ainsi témoigné le Belge Eden Hazard. Marvin Martin, qui avait les clés du jeu offensif mardi soir, a lui-même fait son autocritique : "au niveau défensif, c'était pas mal mais, offensivement, j'aurais pu faire un peu mieux. Ça manquait un peu de mouvement et j'aurais dû être plus disponible". Car, de leur propre aveu, les Bleus aimeraient aussi voir du beau jeu. Ils n'en ont tout simplement pas les moyens pour l'instant. "Moi, je suis un joueur qui aime bien le beau jeu mais parfois c'est comme ça, a regretté Benzema. A chaque match, on a envie de mettre trois ou quatre buts, mais dans le foot actuel, je ne vois pas quelle équipe peut le faire". Le Real Madrid peut-être ? Mais les Bleus en sont encore loin.
. AVEC QUEL GROUPE ?
D'ici l'Euro, le groupe France peut encore évoluer. Il le sera d'ailleurs par le jeu des retours de blessures. Et le jeu pourrait s'en retrouvé amélioré. Mardi, Laurent Blanc a fustigé le manque d'expérience de ses jeunes joueurs. "Techniquement, on peut être meilleurs car les joueurs ont un meilleur potentiel mais on est tendres et naïfs, a-t-il stigmatisé. Mais ceci s'explique par le fait qu'on a des joueurs qui sont des gamins, des enfants. Ils ne peuvent pas jouer comme des joueurs expérimentés. La jeunesse a ses limites au plus haut niveau". Le patron des Bleus espère donc de tout coeur le retour de certains "cadres". "Si on récupère des joueurs blessés et qu'ils reviennent à leur meilleur niveau, je pense qu'on sera meilleur", a-t-il estimé. Il pense évidemment à Nasri, Diaby, Gourcuff... "et Mexès", dit Blanc dans un cri du coeur. "Ce ne sont pas des joueurs qui évoluent dans n'importe quels clubs, insiste-t-il. On espère récupérer avec des joueurs avec un peu plus d'expérience et un peu plus de volume dans le jeu. S'ils arrivent à leur meilleur niveau, il faudra compter avec eux".
. ENCORE LE TEMPS DE PROGRESSER ?
Les Bleus ont encore 7 mois avant le début de l'Euro. 7 mois pour essayer de progresser. C'est loin mais en même temps très proche. "Il reste du temps. D'un autre côté, on se rassemble seulement trois jours en février. Il n'y a que quatre matches avant la compétition, résume Cabaye. Il faudra se servir du moindre instant pour travailler ensemble". Avant l'annonce de la liste des 23, ils n'auront qu'un match amical, le 29 février en Allemagne, une formation qui est actuellement "au-dessus de tout le monde", dixit Blanc. "Ça sera un bon test pour connaître le niveau de l'équipe de France", confirme Benzema. Franck Ribéry est bien placé pour parler de l'écart qui existe aujourd'hui entre les deux nations. "Depuis quelques années, ils font de bonnes choses. Ils se trouvent facilement, ils se connaissent parfaitement. C'est qui nous fait défaut actuellement, dit le joueur du Bayern. On travaille pour y arriver. On n'a pas beaucoup de temps mais on essaye d'améliorer les choses". "En Allemagne, il y a aussi beaucoup de joueurs qui évoluent dans le même club", avance-t-il également. Quelques jours pour trouver des automatismes, c'est court, très court. Mais les Bleus n'ont pas le choix selon Ribéry : "Il y aura beaucoup de choses à revoir face à l'Allemagne car, ensuite, l'Euro arrivera très vite et il faudra être prêt".
. QUELLES AMBITIONS A L'EURO ?
"L'objectif, c'est d'être prêt pour l'Euro", martèle Benzema. Mais, si elle est qualifiée, à quoi pourra prétendre la France en Pologne et en Ukraine ? "On a envie de gagner l'Euro", assure Ribéry. Pourtant, les Bleus sont conscients de leurs limites actuelles. "Quand on voit l'Allemagne et l'Espagne, ça joue au ballon. Notre équipe est encore jeune, mais on essaye", laisse ainsi entendre Benzema. Pour Laurent Blanc, le tirage au sort sera "déterminant" : "vous savez sur qui vous allez tomber, les possibilités au niveau de notre groupe. On va attendre le 2 décembre avec impatience". Le problème, c'est que la France sera dans le chapeau 4 et pourrait hériter d'un groupe meurtrier (Espagne, Allemagne, Portugal). "Je peux vous dire qu'à l'étranger, on a plus de considération pour l'équipe nationale française, relative toutefois Blanc. Pour en avoir discuté avec les Espagnols, les Allemands et les Néerlandais, ils veulent éviter la France au 4e chapeau, c'est plutôt un compliment. Je les rassure, nous aussi on veut les éviter." Selon la composition son groupe, l'objectif des quarts de finale sera plus ou moins relevé. Mais, quoi qu'il en soit, les Bleus auront besoin que leurs individualités haussent leur niveau, notamment Ribéry. "Je ne me fais pas trop de souci pour la France, estime toutefois Hazard. Ça peut être un très beau outsider".
 Eurosport

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mercredi 16 novembre 2011

France - Belgique 0 à 0

La France a enregistré mardi son 17e match sans défaite en faisant match nul à domicile face à la Belgique (0-0), sans toutefois susciter l'adhésion. Les Bleus terminent l'année invaincue mais les bonnes intentions de jeu exprimées par les hommes de Laurent Blanc en début de première mi-temps se sont peu à peu évaporées dans la fraîche nuit dyonisienne. Malgré leur bonne volonté, les Français n'ont jamais pu traduire en buts leur domination initiale et ont dû même s'employer en fin de match pour préserver leur longue invincibilité. Les Bleus entament la rencontre avec l'intention de séduire la cinquantaine de milliers de spectateurs venus dans l'enceinte de Saint-Denis. Les Bleus s'efforcent de faire circuler rapidement le ballon, de jouer à une touche de balle, en triangle, mais ces mouvements demeurent confinés loin des buts adverses, malgré l'activité sur l'aile droite de Loïc Rémy, unique buteur français contre les Etats-Unis, vendredi. En face, les Belges proposent un fort impact physique avec le joueur d'Everton Marouane Fellaini, et la première occasion du match est pour les Diables rouges, une tête du défenseur du Bayern Munich Daniel Van Buyten venant échouer sur le petit filet extérieur des buts de Hugo Lloris (16e). Les Français parviennent petit à petit à franchir le premier rideau défensif adverse, ce dont profite Karim Benzema qui dépose la balle sur la tête de Loïc Rémy, mais la frappe du Marseillais est trop molle.

Les hommes de Laurent Blanc semblent enfin s'enhardir. A gauche, Franck Ribéry multiplie les raids solitaires et les tirs de loin, sans grand succès. Après avoir remporté un duel aérien, Yann M'Vila tombe lourdement au sol et doit être évacué sur une civière avec une minerve au cou. Il est remplacé peu avant la pause par Maxime Gonalons qui, à 22 ans, bénéficie ainsi de sa seconde sélection après celle de vendredi contre les Etats-Unis.
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mardi 15 novembre 2011

France-Belgique est à suivre en live ici

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Equipe de France: Laurent Blanc laisse planer le doute sur son avenir

Le sélectionneur des Bleus a évoqué la possibilité d'un départ en cas de «désaccord sur les négociations à mener»...
Pour énerver Laurent Blanc, il existe une recette terriblement efficace: lui parler de son renouvellement de contrat à la tête de l’équipe de France. Affable et rigolard en début de conférence de presse lundi, le sélectionneur des Bleus s’est montré très irrité au moment de commenter l’information de l’Equipe selon laquelle le président de la FFF, Noël le Graët, ne voudrait pas le prolonger avant l’Euro. Une condition pourtant annoncée comme sine qua non par Blanc pour continuer après juin 2012.
«Indécent de parler de mon renouvellement»
«Depuis que M. Le Graët est président, vous (ndlr: la presse) avez décidé de nous mettre tous les deux en opposition, s’agace-t-il. On ne l’est pas, on a tout intérêt à travailler en collaboration. Je trouve indécent que l’on parle de mon renouvellement maintenant, ce n’est pas le moment. Je n’y pense pas.»
Quand donc, alors? «Il n’y a pas de calendrier prévu, de date butoir. Il faudra y songer (au renouvellement), il faudra peut-être se voir. Mais… si on n’est pas d’accord sur l’emploi du temps, sur les négociations à mener, eh bien on se séparera. Voilà, c’est la vie. Mais je ne vais pas aller voir M. Le Graët car à l’heure actuelle, je n’ai rien à lui demander.» Dont acte.
http://www.20minutes.fr/article/823038/laurent-blanc-evoque-depart-possible

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