L'Olympique de Marseille s'est qualifié ce jeudi à Fos-sur-Mer pour les barrages de la Ligue Europa. L'équipe d'Elie Baup a tranquillement disposé d'Eskisehirspor (3-0, 1-1 à l'aller).Trois jours avant leur premier match de championnat contre Reims, dimanche, les Olympiens n'ont pas manqué leur rendez-vous européen. Une élimination en tour préliminaire face à un club turc inconnu aurait fait tâche. Pas de panique, l'Olympique de Marseille jouera bien les barrages de la Ligue Europa, grâce à sa victoire qui ne souffre aucune contestation ce jeudi à Fos-sur-Mer sur Eskisehirspor (3-0), une semaine après le match nul brouillon (1-1) ramené de Turquie. Les quelques jours qui ont séparé ces deux rencontres ont fait du bien à une équipe marseillaise plus en jambes, plus combative et donc davantage en confiance. Sur ce dernier point, des joueurs comme Ayew et Gignac ont montré un visage séduisant. Le premier a inscrit un doublé alors que le second a marqué sur ses terres natales un but splendide.
André-Pierre Gignac, qui a grandi à quelques dizaine de mètres du stade Parmesain, n'a pas raté l'occasion de briller et de faire taire ses (nombreux) détracteurs. Virevoltant, l'ancien Toulousain a doublé la mise à la 36e minute d'une reprise de l'extérieur du droit croisé sur un centre de Valbuena. Ce geste technique réalisé avec sang-froid, il ne l'aurait sans doute pas réussi et peut-être même pas tenté il n'y a encore pas si longtemps. « Je la prends comme elle vient, sans me poser de question », a avoué l'attaquant. Enfin en pleine confiance, il a aussi confié se sentir aussi bien que depuis sa saison extraordinaire réussie avec Toulouse en 2008-2009, quand il avait claqué la bagatelle de 24 buts.
La résurrection de Gignac est bonne nouvelle pour Elie Baup en attendant le retour de Loïc Rémy. La concurrence pour le poste d'attaquant de pointe va battre son plein. « Il faut qu'il continue à marquer », a lâché Elie Baup après la rencontre. Aidé par un Mandanda toujours aussi rassurant sur sa ligne (27e), l'OM a très vite mis les choses au clair. Dès la 7e minute, André Ayew a trouvé le cadre sur une remise d'Amalfitano. Le duo d'anciens Lorientais a remis ça après l'heure de jeu. Fanni a d'abord vu son tir renvoyé par le poteau. Puis, Amalfitano, qui avait bien suivi, a centré pour Ayew, buteur de la tête (65e). Les Turcs étaient K.-O. ce qui n'a pas empêché l'OM de voir rouge et de finir à dix. Benoît Cheyrou a été expulsé à un quart d'heure de la fin. La seule ombre au tableau. -
André-Pierre Gignac, qui a grandi à quelques dizaine de mètres du stade Parmesain, n'a pas raté l'occasion de briller et de faire taire ses (nombreux) détracteurs. Virevoltant, l'ancien Toulousain a doublé la mise à la 36e minute d'une reprise de l'extérieur du droit croisé sur un centre de Valbuena. Ce geste technique réalisé avec sang-froid, il ne l'aurait sans doute pas réussi et peut-être même pas tenté il n'y a encore pas si longtemps. « Je la prends comme elle vient, sans me poser de question », a avoué l'attaquant. Enfin en pleine confiance, il a aussi confié se sentir aussi bien que depuis sa saison extraordinaire réussie avec Toulouse en 2008-2009, quand il avait claqué la bagatelle de 24 buts.
La résurrection de Gignac est bonne nouvelle pour Elie Baup en attendant le retour de Loïc Rémy. La concurrence pour le poste d'attaquant de pointe va battre son plein. « Il faut qu'il continue à marquer », a lâché Elie Baup après la rencontre. Aidé par un Mandanda toujours aussi rassurant sur sa ligne (27e), l'OM a très vite mis les choses au clair. Dès la 7e minute, André Ayew a trouvé le cadre sur une remise d'Amalfitano. Le duo d'anciens Lorientais a remis ça après l'heure de jeu. Fanni a d'abord vu son tir renvoyé par le poteau. Puis, Amalfitano, qui avait bien suivi, a centré pour Ayew, buteur de la tête (65e). Les Turcs étaient K.-O. ce qui n'a pas empêché l'OM de voir rouge et de finir à dix. Benoît Cheyrou a été expulsé à un quart d'heure de la fin. La seule ombre au tableau. -
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