Brest - Lens EN DIRECT ici sur ce site en cliquant sur ce lien
mardi 30 novembre 2010
Ligue 1 - On remet ça ?
Stoppé samedi par la neige, le match Brest-Lens sera rejoué ce soir (20h00). Les enjeux sont opposés mais réels : rejoindre l'OM et Lille en tête du classement pour les Bretons, sortir de la zone de relégation pour les Nordistes. Après 45 minutes d'observation, la donne sera forcément différente
Si l'affiche est moins alléchante sur le papier que les Marseille-Montpellier, Bordeaux-Lille ou Lyon-PSG du week-end dernier, la confrontation entre Brest et Lens n'en est pas moins susceptible de modifier le physionomie du classement. D'autant plus que les deux équipes connaissent désormais les résultats de leurs adversaires. En cas de victoire, le Stade Brestois reviendrait ainsi à égalité de points avec Marseille et Lille, les deux premiers. Pour le RC Lens, il devient urgent de réagir et de sortir de la zone de relégation. Après une jolie série de cinq matches sans défaite, les Sang et Or avaient rechuté face à Lyon (3-1) lors de la dernière journée, à l'issue d'une deuxième période où ils n'avaient pas existé. Mais les deux équipes font face à une situation peu commune : elles ont déjà eu le droit à un round d'observation de 45 minutes, samedi, avant que leur match ne soit stoppé à la pause en raison des fortes chutes de neiges sur la Bretagne.
Un arrêt qui ne fait pas que des heureux à Lens. "Même si ça ne ressemblait pas trop à du foot, j’aurais bien voulu continuer", a ainsi regretté Yahia. Jean-Guy Wallemme a tenu le même discours, estimant qu'il aurait mieux valu arrêter le match tout de suite ou aller jusqu'au bout : "C’était autant jouable après 45 minutes que 20. Peut-être est-ce à cause de nos 30 minutes de mieux dans le jeu ou aussi du voyage, mais nous souhaitions continuer et pas forcément Brest. S'il y avait eu ouverture du score, il n'y aurait peut-être pas eu remise à la mi-temps". Car l'entraîneur sait que cette mésaventure va compliquer la vie de son équipe. Après une mi-temps disputées dans des conditions dantesques, les Sang et Or ont eu le droit à un deuxième aller-retour entre le Nord et le Finistère. "On aurait préféré y retourner la semaine prochaine pour conjuguer Brest et Lorient. Ça nous aurait permis de rester là-bas et de faire un seul déplacement entre guillemets, a fait savoir Wallemme. Parfois, ça ressoude un groupe de connaître ce genre d'aventure". Au moins le RCL a-t-il obtenu de rejouer mardi et non mercredi afin de pouvoir préparer la réception d'Auxerre, samedi.
"Si on y va et qu'on ne joue pas..."
Donc on efface tout et on recommence ? Pas si sûr. Les deux équipes, qui partaient dans l'inconnue le week-end dernier, ont désormais eu 45 minutes pour se jauger. Une sorte d'entraînement grandeur nature. Et ça change forcément beaucoup de choses. Samedi, si les deux équipes s'étaient quittées sur un score de parité, Lens avait su tirer son épingle du jeu après dix premières minutes difficiles. Ce qui fait dire au jeune Raphaël Varane : "Chacun a pu constater sur le début de match qu’il existait peu de différences dans le jeu entre Brest et Lens. Au final, l’écart au classement s’est peu vu sur ces 45 minutes. Mais si Brest évolue dans le haut de tableau, c’est parce qu’il a su prendre des points dès le début de saison, ce qui n’est pas notre cas". Les deux entraîneurs vont-ils alors tenter de brouiller les cartes, notamment Dupont qui avait surpris en débutant avec un 4-1-4-1 ? Wallemme semble s'y attendre. "(Alex Dupont) va peut-être changer quatre ou cinq joueurs par rapport aux 45 premières minutes. S'il y a une différence, ce sera là, prévient l'entraîneur. Si on remet les mêmes équipes, on sera sur un pied d'égalité... sauf qu'il y aura un déplacement en plus donc de la fatigue supplémentaire. Mais il ne faudra pas qu'on s'en serve comme excuse".
Il y a une chose qui risque de ne pas changer, c'est l'état de la pelouse du Stade Francis-Le Blé. "Le problème, c'est l'état du terrain. Il ne devrait pas être beaucoup mieux mardi", prévoit Alex Dupont. Si le soleil est de retour en Bretagne, il a fait fondre la neige qui était tombée ces derniers jours. Un nouveau coup dur pour une pelouse qui aurait dû vivre ses derniers heures samedi soir avant d'être remplacée dans la semaine. Le duel des extrêmes pourrait donc se disputer sur un véritable bourbier. "De telles conditions favorisent le jeu long car il est difficile de faire circuler le ballon", rappelait dimanche Alex Dupont. Pour Varane, "il faut donc s’attendre à des conditions de jeu similaires. Sur un tel terrain, personne n’aura le droit à l’erreur quant aux appuis". Si un délégué a confirmé lundi après-midi le maintien de la rencontre, les conditions restent précaires. Selon l'entraîneur brestois, "le règlement nous impose de rejouer avant la trêve". "Si on y va et qu'on ne joue pas, ça va ronfler. On aurait pu trouver une autre date. Je suis curieux de voir le terrain", a déjà annoncé Wallemme... Malgré tout, les Lensois sont sans doute pressés de jouer. En 2007-2008, ils avaient accumulé quatre matches en retard. Et ils avaient fini par descendre...
LES EQUIPES PROBABLES :
Brest : Elana - Baysse, Brou Apanga, Kantari, Daf - Licka, Ewolo - Poyet, Grougi, Soumah - Roux
Lens : Runje - Aurier, Yahia, Varanne, Bédimo - Hermach, Kovacevic - Démont, Roudet, Boukari - Eduardo
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30112010/70/ligue-1-on-remet-ca.html
Si l'affiche est moins alléchante sur le papier que les Marseille-Montpellier, Bordeaux-Lille ou Lyon-PSG du week-end dernier, la confrontation entre Brest et Lens n'en est pas moins susceptible de modifier le physionomie du classement. D'autant plus que les deux équipes connaissent désormais les résultats de leurs adversaires. En cas de victoire, le Stade Brestois reviendrait ainsi à égalité de points avec Marseille et Lille, les deux premiers. Pour le RC Lens, il devient urgent de réagir et de sortir de la zone de relégation. Après une jolie série de cinq matches sans défaite, les Sang et Or avaient rechuté face à Lyon (3-1) lors de la dernière journée, à l'issue d'une deuxième période où ils n'avaient pas existé. Mais les deux équipes font face à une situation peu commune : elles ont déjà eu le droit à un round d'observation de 45 minutes, samedi, avant que leur match ne soit stoppé à la pause en raison des fortes chutes de neiges sur la Bretagne.
Un arrêt qui ne fait pas que des heureux à Lens. "Même si ça ne ressemblait pas trop à du foot, j’aurais bien voulu continuer", a ainsi regretté Yahia. Jean-Guy Wallemme a tenu le même discours, estimant qu'il aurait mieux valu arrêter le match tout de suite ou aller jusqu'au bout : "C’était autant jouable après 45 minutes que 20. Peut-être est-ce à cause de nos 30 minutes de mieux dans le jeu ou aussi du voyage, mais nous souhaitions continuer et pas forcément Brest. S'il y avait eu ouverture du score, il n'y aurait peut-être pas eu remise à la mi-temps". Car l'entraîneur sait que cette mésaventure va compliquer la vie de son équipe. Après une mi-temps disputées dans des conditions dantesques, les Sang et Or ont eu le droit à un deuxième aller-retour entre le Nord et le Finistère. "On aurait préféré y retourner la semaine prochaine pour conjuguer Brest et Lorient. Ça nous aurait permis de rester là-bas et de faire un seul déplacement entre guillemets, a fait savoir Wallemme. Parfois, ça ressoude un groupe de connaître ce genre d'aventure". Au moins le RCL a-t-il obtenu de rejouer mardi et non mercredi afin de pouvoir préparer la réception d'Auxerre, samedi.
"Si on y va et qu'on ne joue pas..."
Donc on efface tout et on recommence ? Pas si sûr. Les deux équipes, qui partaient dans l'inconnue le week-end dernier, ont désormais eu 45 minutes pour se jauger. Une sorte d'entraînement grandeur nature. Et ça change forcément beaucoup de choses. Samedi, si les deux équipes s'étaient quittées sur un score de parité, Lens avait su tirer son épingle du jeu après dix premières minutes difficiles. Ce qui fait dire au jeune Raphaël Varane : "Chacun a pu constater sur le début de match qu’il existait peu de différences dans le jeu entre Brest et Lens. Au final, l’écart au classement s’est peu vu sur ces 45 minutes. Mais si Brest évolue dans le haut de tableau, c’est parce qu’il a su prendre des points dès le début de saison, ce qui n’est pas notre cas". Les deux entraîneurs vont-ils alors tenter de brouiller les cartes, notamment Dupont qui avait surpris en débutant avec un 4-1-4-1 ? Wallemme semble s'y attendre. "(Alex Dupont) va peut-être changer quatre ou cinq joueurs par rapport aux 45 premières minutes. S'il y a une différence, ce sera là, prévient l'entraîneur. Si on remet les mêmes équipes, on sera sur un pied d'égalité... sauf qu'il y aura un déplacement en plus donc de la fatigue supplémentaire. Mais il ne faudra pas qu'on s'en serve comme excuse".
Il y a une chose qui risque de ne pas changer, c'est l'état de la pelouse du Stade Francis-Le Blé. "Le problème, c'est l'état du terrain. Il ne devrait pas être beaucoup mieux mardi", prévoit Alex Dupont. Si le soleil est de retour en Bretagne, il a fait fondre la neige qui était tombée ces derniers jours. Un nouveau coup dur pour une pelouse qui aurait dû vivre ses derniers heures samedi soir avant d'être remplacée dans la semaine. Le duel des extrêmes pourrait donc se disputer sur un véritable bourbier. "De telles conditions favorisent le jeu long car il est difficile de faire circuler le ballon", rappelait dimanche Alex Dupont. Pour Varane, "il faut donc s’attendre à des conditions de jeu similaires. Sur un tel terrain, personne n’aura le droit à l’erreur quant aux appuis". Si un délégué a confirmé lundi après-midi le maintien de la rencontre, les conditions restent précaires. Selon l'entraîneur brestois, "le règlement nous impose de rejouer avant la trêve". "Si on y va et qu'on ne joue pas, ça va ronfler. On aurait pu trouver une autre date. Je suis curieux de voir le terrain", a déjà annoncé Wallemme... Malgré tout, les Lensois sont sans doute pressés de jouer. En 2007-2008, ils avaient accumulé quatre matches en retard. Et ils avaient fini par descendre...
LES EQUIPES PROBABLES :
Brest : Elana - Baysse, Brou Apanga, Kantari, Daf - Licka, Ewolo - Poyet, Grougi, Soumah - Roux
Lens : Runje - Aurier, Yahia, Varanne, Bédimo - Hermach, Kovacevic - Démont, Roudet, Boukari - Eduardo
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30112010/70/ligue-1-on-remet-ca.html
L’OL passe la première pour Ryad Boudebouz
« Tous les jeunes joueurs rêvent de jouer pour un grand club. Mais il ne faut pas aller plus vite que la musique. Je dois d’abord progresser ici à Sochaux ». Auteur d’un beau début de saison sous les couleurs du FC Sochaux (2 buts et 1 passe décisive en 15 apparitions en L1), Ryad Boudebouz (20 ans) suit parfaitement la trajectoire qu’il s’est fixé. D’ailleurs, lors des prochains mercatos, l’international algérien pourrait rapidement être exaucé en rejoignant le grand club de ses rêves.
Le quotidien algérien Le Buteur révèle en effet que l’Olympique Lyonnais se serait mis activement sur les traces du Fennec. La publication sportive avance même que les dirigeants rhodaniens auraient déjà contacté leurs homologues sochaliens pour étudier la faisabilité de l’opération. Une information pas vraiment étonnante quand on sait que la tactique de l’OL en matière de transfert ces dernières saisons consiste à recruter les meilleurs joueurs de Ligue 1.
Certainement déçus par les prestations de Miralem Pjanic, les pensionnaires du Stade de Gerland doivent par ailleurs anticiper plusieurs départs à venir (Jean II Makoun, Michel Bastos ou encore Kim Källström). La venue de Ryad Boudebouz en fin de saison prendrait alors tout son sens. L’Algérien deviendrait ainsi le nouveau dépositaire du jeu lyonnais. Reste désormais à savoir quel montant Sochaux va demander pour sa pépite.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/l-ol-passe-la-premiere-pour-ryad-boudebouz_58892
Le quotidien algérien Le Buteur révèle en effet que l’Olympique Lyonnais se serait mis activement sur les traces du Fennec. La publication sportive avance même que les dirigeants rhodaniens auraient déjà contacté leurs homologues sochaliens pour étudier la faisabilité de l’opération. Une information pas vraiment étonnante quand on sait que la tactique de l’OL en matière de transfert ces dernières saisons consiste à recruter les meilleurs joueurs de Ligue 1.
Certainement déçus par les prestations de Miralem Pjanic, les pensionnaires du Stade de Gerland doivent par ailleurs anticiper plusieurs départs à venir (Jean II Makoun, Michel Bastos ou encore Kim Källström). La venue de Ryad Boudebouz en fin de saison prendrait alors tout son sens. L’Algérien deviendrait ainsi le nouveau dépositaire du jeu lyonnais. Reste désormais à savoir quel montant Sochaux va demander pour sa pépite.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/l-ol-passe-la-premiere-pour-ryad-boudebouz_58892
Aulas-Schalke : de lourdes insinuations
Jean-Michel Aulas soupçonne les joueurs de Schalke 04 de s'être dopés, une semaine après la défaite de Lyon face au club allemand (3-0) en Ligue des Champions. S'il n'emploie jamais le mot "dopage", le président lyonnais l'insinue assez clairement
Jean-Michel Aulas n'a toujours pas digéré la défaite de Lyon à Schalke (3-0) la semaine passée en Ligue des Champions. Mais le président lyonnais ne s'en prend plus à ses joueurs. Ce sont ceux du club allemand qu'il vise. Sur OL TV, dimanche soir, dans une déclaration un peu passée inaperçu jusqu'ici, JMA a insinué que les joueurs de Schalke pouvaient avoir eu à des moyens extraordinaire pour s'assurer une condition physique exceptionnelle. Le terme "dopage" n'est jamais prononcé mais c'est bien de cela qu'il s'agit. Il n'y a pas d'autre interprétation possible, et son propos vise aussi indirectement le Bayern Munich.
"Les joueurs n'étaient pas comme au match aller, ils couraient beaucoup plus vite et beaucoup plus longtemps. Je ne sais pas quelle préparation ils avaient suivi, mais leur dimension physique était impressionnante. Nous avons été tellement battus physiquement que c'était un peu trop gros...", a lancé Aulas dans une déclaration pleine de sous-entendus avant de conclure : "On voit que les joueurs ne sont pas toujours à armes égales." Jean-Michel Aulas a développé sa pensée spontanément, sans que la moindre question sur ce match soit posée. Les responsables de la communication du club n'étaient pas joignables mardi midi pour nourrir un éclairage supplémentaire sur ces déclarations qui sont en train de franchir le Rhin à toute vitesse...
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30112010/70/ligue-des-champions-aulas-schalke-de-lourdes-insinuations.html
Jean-Michel Aulas n'a toujours pas digéré la défaite de Lyon à Schalke (3-0) la semaine passée en Ligue des Champions. Mais le président lyonnais ne s'en prend plus à ses joueurs. Ce sont ceux du club allemand qu'il vise. Sur OL TV, dimanche soir, dans une déclaration un peu passée inaperçu jusqu'ici, JMA a insinué que les joueurs de Schalke pouvaient avoir eu à des moyens extraordinaire pour s'assurer une condition physique exceptionnelle. Le terme "dopage" n'est jamais prononcé mais c'est bien de cela qu'il s'agit. Il n'y a pas d'autre interprétation possible, et son propos vise aussi indirectement le Bayern Munich.
"Les joueurs n'étaient pas comme au match aller, ils couraient beaucoup plus vite et beaucoup plus longtemps. Je ne sais pas quelle préparation ils avaient suivi, mais leur dimension physique était impressionnante. Nous avons été tellement battus physiquement que c'était un peu trop gros...", a lancé Aulas dans une déclaration pleine de sous-entendus avant de conclure : "On voit que les joueurs ne sont pas toujours à armes égales." Jean-Michel Aulas a développé sa pensée spontanément, sans que la moindre question sur ce match soit posée. Les responsables de la communication du club n'étaient pas joignables mardi midi pour nourrir un éclairage supplémentaire sur ces déclarations qui sont en train de franchir le Rhin à toute vitesse...
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30112010/70/ligue-des-champions-aulas-schalke-de-lourdes-insinuations.html
Messi, génie bien entouré
Avec sa démonstration, lundi face au Real (5-0), le Barça a repris la main après un début de saison resté dans l'ombre de son rival. Une telle démonstration collective, le Camp Nou n'en avait pas vu depuis le printemps dernier et un succès contre Arsenal en quart de finale retour de Ligue des champions (4-1). Pour un club qui aligne les victoires comme les autres encaissent les buts, c'était presque étonnant. Dans le sillage d'un Lionel Messi véritable moteur à lui tout seul (25 buts en 16 matches toutes compétitions confondues), les Catalans attendaient simplement le bon moment pour donner le leçon.
Face au Real, ce n'est pas seulement l'Argentin qui avait les clés. En avril dernier, l'Argentin avait tiré la couverture à lui avec quatre buts contre les Gunners. Lundi soir, il a été davantage chef d'orchestre de cet ensemble harmonieux plus que soliste. Pas un seul des cinq buts n'a été marqué par le Ballon d'Or. Plus que jamais, c'est la force du collectif mis en place par Guardiola qui a fonctionné à merveille, presque comme jamais. Avec huit joueurs formés au Barça dans son onze de départ au coup d'envoi, le coach azulgrana n'avait rien changé à sa stratégie. Il a eu raison.
Deux passes décisives quand même
C'est d'abord Iniesta et Xavi qui se sont mis en évidence. Le premier à la passe, le second à la conclusion. A l'issue d'une entame de match parfaite, le buteur de Johannesburg a offert sur un caviar l'ouverture du score à son fidèle équipier (10e). En première période, Messi s'est fait plutôt discret. Il n'était pas impliqué non plus sur le deuxième but, marqué par Pedro sur un gros travail de David Villa (18e). Pour une fois, le récital, il l'a regardé de loin.
Car sur les troisième et quatrième buts en revanche, après la pause, Léo a retrouvé la lumière. Double passeur décisif pour David Villa (55e et 58e), il a quand même laissé son empreinte sur une rencontre qui restera dans les annales de la Liga et du football mondial. Barcelone est au top même si Messi ne s'occupe pas de tout. Autour de lui, ses copains Pedro (et sa percussion), Iniesta (et sa vista), Xavi (et son sens du jeu), ainsi que David Villa (et son réalisme) brillent des mêmes feux. Le génie, c'est aussi (surtout ?) de savoir à ce point s'insérer dans une équipe.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30112010/70/liga-messi-genie-bien-entoure.html
Face au Real, ce n'est pas seulement l'Argentin qui avait les clés. En avril dernier, l'Argentin avait tiré la couverture à lui avec quatre buts contre les Gunners. Lundi soir, il a été davantage chef d'orchestre de cet ensemble harmonieux plus que soliste. Pas un seul des cinq buts n'a été marqué par le Ballon d'Or. Plus que jamais, c'est la force du collectif mis en place par Guardiola qui a fonctionné à merveille, presque comme jamais. Avec huit joueurs formés au Barça dans son onze de départ au coup d'envoi, le coach azulgrana n'avait rien changé à sa stratégie. Il a eu raison.
Deux passes décisives quand même
C'est d'abord Iniesta et Xavi qui se sont mis en évidence. Le premier à la passe, le second à la conclusion. A l'issue d'une entame de match parfaite, le buteur de Johannesburg a offert sur un caviar l'ouverture du score à son fidèle équipier (10e). En première période, Messi s'est fait plutôt discret. Il n'était pas impliqué non plus sur le deuxième but, marqué par Pedro sur un gros travail de David Villa (18e). Pour une fois, le récital, il l'a regardé de loin.
Car sur les troisième et quatrième buts en revanche, après la pause, Léo a retrouvé la lumière. Double passeur décisif pour David Villa (55e et 58e), il a quand même laissé son empreinte sur une rencontre qui restera dans les annales de la Liga et du football mondial. Barcelone est au top même si Messi ne s'occupe pas de tout. Autour de lui, ses copains Pedro (et sa percussion), Iniesta (et sa vista), Xavi (et son sens du jeu), ainsi que David Villa (et son réalisme) brillent des mêmes feux. Le génie, c'est aussi (surtout ?) de savoir à ce point s'insérer dans une équipe.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30112010/70/liga-messi-genie-bien-entoure.html
Mou : "Facile à digérer"
Après la victoire du Barça contre le Real (5-0) Mourinho a parlé d'une "défaite facile à digérer" puisque son équipe n'a rien à regretter. "C'est une défaite facile à digérer parce qu'il n'y avait aucune chance de gagner, c'est pire quand vous avez la chance de gagner."
"Nous avons très mal joué, a-t-il aussi lâché dans une conférence de presse assez brève. Nous n'avons déjà plus rien à faire du match d'aujourd'hui. Il est terminé. Nous sonnes à deux points du leader. Pas à vingt. Il faut continuer." Aucun joueur du Real Madrid n'a été autorisé - ou n'a daigné - s'exprimer aux micros des journalistes après la raclée reçue à Barcelone, excetion de faite de Xabi Alonso, sonné (voir plus bas). C'est le directeur général du Real, Jorge Valdano, qui a principalement déminé le terrain en expliquant notamment que le 5-0 ne reflétait pas l'écart entre les deux équipes.
"Le Barça a été au-dessus, tout le long du match, après avoir marqué sur sa première occasion, a-t-il expliqué. Il a été difficile de s'y opposer. Bon, nous avons seulement perdu trois points. Il s'agit maintenant de récupérer. Nous avons de grands joueurs et un grand entraîneur, il n'y a rien de définitif. Ce qui est vrai, c'est que nous ne nous attendions pas à une différence si grande et nous sommes très déçus. Mais cela ne veut pas dire que ce que nous avons fait jusqu'à présent n'a servi à rien. Nous avons une équipe très jeune et nous allons gagner en maturité après ça."
"La Liga n'est pas finie"'
"Le Barça était très très inspiré ("inspiradísimo") et nous n'avons pas joué avec l'intensité requise par un match de ce niveau, mais cela n'aurait été qu'un seul des ingrédients nécessaires". Jorge Valdano a protégé Mourinho lorsqu'il a été interrogé sur son entraîneur et n'a pas souhaité commenter les gestes qui ont coûté son expulsion à Sergio Ramos. Il en est inlassablement revenu à la performance collective du jour et ses insuffisances. "Après le troisième but, nous n'avions plus d'espoir et l'équipe a perdu sa sûreté. Mais ce n'est pas la vraie différence entre les deux. Peu de points nous séparent en Liga, c'était impeccable jusqu'ici. Il faut applaudir l'adversaire et espérer que nous ferons le spectacle au match retour. (...) C'est là qu'on voit l'épaisseur réelle des joueurs. C'est pour ça que je dis que le Real doit être une équipe d'hommes."
Le seul joueur à avoir lâché quelques mots fut Xabi Alonso, pour dire que le comportement de Ramos fait partie de "ce qui peut arriver dans les moments chauds" et lancer quelques banalités. "Nous ne nous attendions pas à ce type de match mais il reste beaucoup de journées, la Liga n'est pas finie. Deux buts si rapprochés, cela a été compliqué, on n'a pas bien fait les choses. J'espère que nous allons apprendre des erreurs que nous avons commises."
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29112010/70/liga-mou-facile-a-digerer.html
"Nous avons très mal joué, a-t-il aussi lâché dans une conférence de presse assez brève. Nous n'avons déjà plus rien à faire du match d'aujourd'hui. Il est terminé. Nous sonnes à deux points du leader. Pas à vingt. Il faut continuer." Aucun joueur du Real Madrid n'a été autorisé - ou n'a daigné - s'exprimer aux micros des journalistes après la raclée reçue à Barcelone, excetion de faite de Xabi Alonso, sonné (voir plus bas). C'est le directeur général du Real, Jorge Valdano, qui a principalement déminé le terrain en expliquant notamment que le 5-0 ne reflétait pas l'écart entre les deux équipes.
"Le Barça a été au-dessus, tout le long du match, après avoir marqué sur sa première occasion, a-t-il expliqué. Il a été difficile de s'y opposer. Bon, nous avons seulement perdu trois points. Il s'agit maintenant de récupérer. Nous avons de grands joueurs et un grand entraîneur, il n'y a rien de définitif. Ce qui est vrai, c'est que nous ne nous attendions pas à une différence si grande et nous sommes très déçus. Mais cela ne veut pas dire que ce que nous avons fait jusqu'à présent n'a servi à rien. Nous avons une équipe très jeune et nous allons gagner en maturité après ça."
"La Liga n'est pas finie"'
"Le Barça était très très inspiré ("inspiradísimo") et nous n'avons pas joué avec l'intensité requise par un match de ce niveau, mais cela n'aurait été qu'un seul des ingrédients nécessaires". Jorge Valdano a protégé Mourinho lorsqu'il a été interrogé sur son entraîneur et n'a pas souhaité commenter les gestes qui ont coûté son expulsion à Sergio Ramos. Il en est inlassablement revenu à la performance collective du jour et ses insuffisances. "Après le troisième but, nous n'avions plus d'espoir et l'équipe a perdu sa sûreté. Mais ce n'est pas la vraie différence entre les deux. Peu de points nous séparent en Liga, c'était impeccable jusqu'ici. Il faut applaudir l'adversaire et espérer que nous ferons le spectacle au match retour. (...) C'est là qu'on voit l'épaisseur réelle des joueurs. C'est pour ça que je dis que le Real doit être une équipe d'hommes."
Le seul joueur à avoir lâché quelques mots fut Xabi Alonso, pour dire que le comportement de Ramos fait partie de "ce qui peut arriver dans les moments chauds" et lancer quelques banalités. "Nous ne nous attendions pas à ce type de match mais il reste beaucoup de journées, la Liga n'est pas finie. Deux buts si rapprochés, cela a été compliqué, on n'a pas bien fait les choses. J'espère que nous allons apprendre des erreurs que nous avons commises."
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29112010/70/liga-mou-facile-a-digerer.html
Le Barça sort sa spéciale
Le FC Barcelone, aussi brillant que possible, n'a laissé aucune chance au Real Madrid dans le Clasico tant attendu (5-0). Les Madrilènes, qui étaient déjà menés 2-0 à la 20e minute, en ont totalement perdu leurs nerfs. Ils abandonnent la première place au Barça, qui prend deux points d'avance.
BARCELONE - REAL MADRID : 5-0
Buts : Xavi (10e, Pedro (18e), Villa (55e, 58e) et Jeffren (90e)
Pour Carles Puyol, ce devait être l'un des "Clasicos" les "plus équilibrés" de l'histoire récente. Au vu de la rencontre, copieusement dominée par un Barça en état de grâce (5-0), un fossé semble encore séparer Barcelone et le Real Madrid, pourtant jusque là invaincu en Liga. Au Nou Camp, les troupes de Pep Guardiola ont rempli leur mission, sans doute au-delà même de leurs espérances : prendre la tête du classement (34 points) et atteindre le moral des Madrilènes. Car, hormis le terrible 6-2 subi en 2008-2009, voilà longtemps que le Real n'avait connu pareille humiliation. Il faut même remonter à 1994 et aux années Cruyff pour voir un écart de cinq buts à l’avantage des Catalans. La victoire de Barcelone est aussi celle d'une philosophie, un football offensif et collectif basé sur la possession de balle et le jeu de passes.
Durant 90 minutes, les Blaugranas se seront attelés à priver Madrid de ballons (67 % de possession). Et la sanction ne tardait pas à tomber. Après seulement quelques minutes, la machine catalane se mettait en route. Xavi profitait d'un bon ballon d'Iniesta et d'un contrôle heureux du talon pour lancer le festival (10e, 1-0). Le Real ne s'en remettrait pas. Preuve que le Barça met le talent individuel de ses joueurs au service de son collectif, Lionel Messi, par ailleurs auteur de gestes de grande classe, laissait la lumière à David Villa. L'attaquant, d'abord à l'origine du but de Pedro en poussant Casillas à la faute (18e, 2-0), s'offrait un doublé en seconde période. Sur deux services de Messi (55e, 58e). Entré en jeu, Jeffren ajoutait à l'humiliation en fin de match (91e).
Une claque pour Mourinho
Pour Guardiola, la jolie série se poursuit : cinq "Clasicos", cinq victoires. Pour José Mourinho, qui devait incarner l'arme anti-Barça après avoir éliminé deux fois le grand rival en Ligue des Champions avec Chelsea (8e de finale 2004-2005) et avec l'Inter (demi-finale 2009-2010), le coup est rude. Jamais une de ses équipes n'avait encaissé plus de trois buts depuis le début de sa carrière. Les Madrilènes, qui en avaient concédé six depuis le début de saison (douze matches), en ont pris cinq en une soirée. C'est dire l'ampleur du désastre. En terres catalanes, le Portugais a perdu la bataille tactique. Ni la titularisation de Benzema, forcée après le forfait d'Higuain, ni l'entrée de Lassana Diarra à la pause, n'ont permis au Real de se montrer dangereux. Exceptées quelques tentatives signées Di Maria (12e), Benzema (14e) ou Cristiano Ronaldo (35e), les Merengue ont livré un non-match. Ils n'ont rien construit (5 tirs contre 15).
Ce Real aura du mal à se remettre d'une telle punition. Quand Barcelone faisait se lever le public du Camp Nou par son jeu léché, les hommes de Mourinho s'illustraient davantage par les erreurs techniques et les fautes d'anti-jeu (7 cartons jaunes). Une belle preuve d'impuissance. Le choc au sommet de la Liga aura tourné à une confrontation entre des génies et des gamins. Voire des sales gosses par moment, à l'image de l'altercation entre Ronaldo et Guardiola (35e) ou les mauvais geste de Ramos (charge sur Messi puis geste du bras vers Puyol), excédé et logiquement expulsé en fin de match (90+3). Comme si le Real Madrid avait oublié qu’après une claque déjà suffisamment humiliante, il n’était pas très adroit de ternir son image.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29112010/70/liga-le-barca-sort-sa-speciale.html
BARCELONE - REAL MADRID : 5-0
Buts : Xavi (10e, Pedro (18e), Villa (55e, 58e) et Jeffren (90e)
Pour Carles Puyol, ce devait être l'un des "Clasicos" les "plus équilibrés" de l'histoire récente. Au vu de la rencontre, copieusement dominée par un Barça en état de grâce (5-0), un fossé semble encore séparer Barcelone et le Real Madrid, pourtant jusque là invaincu en Liga. Au Nou Camp, les troupes de Pep Guardiola ont rempli leur mission, sans doute au-delà même de leurs espérances : prendre la tête du classement (34 points) et atteindre le moral des Madrilènes. Car, hormis le terrible 6-2 subi en 2008-2009, voilà longtemps que le Real n'avait connu pareille humiliation. Il faut même remonter à 1994 et aux années Cruyff pour voir un écart de cinq buts à l’avantage des Catalans. La victoire de Barcelone est aussi celle d'une philosophie, un football offensif et collectif basé sur la possession de balle et le jeu de passes.
Durant 90 minutes, les Blaugranas se seront attelés à priver Madrid de ballons (67 % de possession). Et la sanction ne tardait pas à tomber. Après seulement quelques minutes, la machine catalane se mettait en route. Xavi profitait d'un bon ballon d'Iniesta et d'un contrôle heureux du talon pour lancer le festival (10e, 1-0). Le Real ne s'en remettrait pas. Preuve que le Barça met le talent individuel de ses joueurs au service de son collectif, Lionel Messi, par ailleurs auteur de gestes de grande classe, laissait la lumière à David Villa. L'attaquant, d'abord à l'origine du but de Pedro en poussant Casillas à la faute (18e, 2-0), s'offrait un doublé en seconde période. Sur deux services de Messi (55e, 58e). Entré en jeu, Jeffren ajoutait à l'humiliation en fin de match (91e).
Une claque pour Mourinho
Pour Guardiola, la jolie série se poursuit : cinq "Clasicos", cinq victoires. Pour José Mourinho, qui devait incarner l'arme anti-Barça après avoir éliminé deux fois le grand rival en Ligue des Champions avec Chelsea (8e de finale 2004-2005) et avec l'Inter (demi-finale 2009-2010), le coup est rude. Jamais une de ses équipes n'avait encaissé plus de trois buts depuis le début de sa carrière. Les Madrilènes, qui en avaient concédé six depuis le début de saison (douze matches), en ont pris cinq en une soirée. C'est dire l'ampleur du désastre. En terres catalanes, le Portugais a perdu la bataille tactique. Ni la titularisation de Benzema, forcée après le forfait d'Higuain, ni l'entrée de Lassana Diarra à la pause, n'ont permis au Real de se montrer dangereux. Exceptées quelques tentatives signées Di Maria (12e), Benzema (14e) ou Cristiano Ronaldo (35e), les Merengue ont livré un non-match. Ils n'ont rien construit (5 tirs contre 15).
Ce Real aura du mal à se remettre d'une telle punition. Quand Barcelone faisait se lever le public du Camp Nou par son jeu léché, les hommes de Mourinho s'illustraient davantage par les erreurs techniques et les fautes d'anti-jeu (7 cartons jaunes). Une belle preuve d'impuissance. Le choc au sommet de la Liga aura tourné à une confrontation entre des génies et des gamins. Voire des sales gosses par moment, à l'image de l'altercation entre Ronaldo et Guardiola (35e) ou les mauvais geste de Ramos (charge sur Messi puis geste du bras vers Puyol), excédé et logiquement expulsé en fin de match (90+3). Comme si le Real Madrid avait oublié qu’après une claque déjà suffisamment humiliante, il n’était pas très adroit de ternir son image.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29112010/70/liga-le-barca-sort-sa-speciale.html
OM : la surprenante rumeur Tyrone Mears !
La blessure de César Azpilicueta (21 ans) a bouleversé les plans de l’Olympique de Marseille pour le mercato. Alors que les dirigeants annonçaient un marché plutôt calme, le pépin physique du latéral droit oblige les Phocéens à recruter au plus vite. Et comme souvent lorsqu’il s’agit de rumeurs et de l’OM, la presse européenne a été submergée de pistes plus ou moins plausibles, de Rod Fanni à Marcos Angeleri en passant par Massimo Oddo ou encore Michaël Chrétien.
Dans cette masse de bruits de couloir, la radio anglaise talkSport innove et indique que les Ciel-et-Clanc pourraient sortir de leur manche le joker Tyrone Mears (27 ans). Une information qui prête à sourire lorsque l’on sait que lors de son passage au Vélodrome, le Jamaïcain n’avait, mis à part son but décisif en Coupe de l’UEFA à Amsterdam face à l’Ajax (2-2, a.p.), jamais vraiment été à son avantage (4 apparitions seulement en Ligue 1).
Aujourd’hui titulaire indiscutable à Burnley (7e de Championship), le natif de Stockport remplit pourtant partie des différents critères définis par Didier Deschamps et la direction marseillaise concernant le nouveau latéral droit. Expérimenté, il sait ce que jouer devant un Stade Vélodrome en fusion signifie. Par ailleurs, il ne réclamera pas un statut de cadre au retour d’Azpi. Du coup, cette information, qui sonne comme une rumeur sympathique, pourrait prendre un peu plus d’ampleur dans les semaines à venir. Qui sait ?
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/om-la-surprenante-rumeur-tyrone-mears_58864
Dans cette masse de bruits de couloir, la radio anglaise talkSport innove et indique que les Ciel-et-Clanc pourraient sortir de leur manche le joker Tyrone Mears (27 ans). Une information qui prête à sourire lorsque l’on sait que lors de son passage au Vélodrome, le Jamaïcain n’avait, mis à part son but décisif en Coupe de l’UEFA à Amsterdam face à l’Ajax (2-2, a.p.), jamais vraiment été à son avantage (4 apparitions seulement en Ligue 1).
Aujourd’hui titulaire indiscutable à Burnley (7e de Championship), le natif de Stockport remplit pourtant partie des différents critères définis par Didier Deschamps et la direction marseillaise concernant le nouveau latéral droit. Expérimenté, il sait ce que jouer devant un Stade Vélodrome en fusion signifie. Par ailleurs, il ne réclamera pas un statut de cadre au retour d’Azpi. Du coup, cette information, qui sonne comme une rumeur sympathique, pourrait prendre un peu plus d’ampleur dans les semaines à venir. Qui sait ?
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/om-la-surprenante-rumeur-tyrone-mears_58864
lundi 29 novembre 2010
Le classico espagnol BARCELONE - REAL MADRID en live ici ce soir
Suivez le match BARCELONE - REAL MADRID en direct ici ce soir en cliquant sur ce lien à partir de 21h00
Le Clasico avec Benzema?
Gonzalo Higuain très incertain, Karim Benzema pourrait être titulaire avec le Real Madrid pour affronter Barcelone ce soir (21h00). José Mourinho pourrait également opter pour un milieu à trois récupérateurs avec Lassana Diarra s'il devait se passer de l'attaquant argentin.
Le Real Madrid n'est pas certain de pouvoir compter sur Gonzalo Higuain pour son déplacement à Barcelone ce soir. Selon Marca, l'attaquant argentin est même d'ores et déjà forfait en raison de douleurs musculaires. As n'est pas aussi catégorique. Pour le quotidien espagnol, la présence de l'avant-centre madrilène est très incertaine. Si rien n'est encore officiel, Higuain ne sera de toute façon pas à 100% de ses moyens, et le titulariser représente un risque pour José Mourinho qui va probablement devoir changer son fusil d'épaule.
La première option qui se présente au technicien portugais est de titulariser Karim Benzema. L'attaquant français est la doublure habituelle de l'Argentin, et il s'est montré plutôt convaincant lors de ses entrées en cours de jeu ces derniers temps. Mieux, il a marqué un joli but face à l'Ajax Amsterdam (0-4) à l'occasion de l'une de ses rares titularisations, mardi dernier. L'ancien Lyonnais remplacerait Higuain poste pour poste, à la pointe de l'attaque madrilène. Le reste de l'animation offensive du Real ne bougerait pas. Cristiano Ronaldo débuterait la rencontre côté gauche, Angel Di Maria côté droit et Mesut Özil tiendrait sa place habituelle en soutien de ce trio, dans le 4-2-3-1 aligné le plus fréquemment par la Maison Blanche.
Il existe cependant une deuxième option, déjà évoquée la semaine passée par les médias espagnols alors qu'il n'était pas encore question du forfait de Higuain. Pour ce déplacement au Camp Nou, Mourinho envisagerait la possibilité de modifier le visage de son équipe en alignant un troisième milieu récupérateur aux côtés de Xabi Alonso et Sami Khedira. Si le Portugais retenait cette solution, Lassana Diarra aurait toutes les chances d'être l'heureux élu et de démarrer la rencontre en sentinelle, juste devant la défense et derrière deux relayeurs, Alonso et Khedira. Mesut Özil glisserait alors sur le côté gauche de l'attaque madrilène, Angel Di Maria conserverait son côté droit et Cristiano Ronaldo serait aligné à la pointe de l'attaque dans une stratégie plus défensive.
Les équipes probables
FC Barcelone : Victor Valdès - Dani Alves, Puyol, Piqué, Abidal (ou Maxwell) - Busquets, Xavi, Iniesta - Messi, Villa, Pedro
Real Madrid : Casillas - Sergio Ramos, Pepe, Carvalho, Marcelo - Xabi Alonso, Khedira, Özil (ou L.Diarra) - Di Maria, Benzema (ou Ronaldo), Ronaldo (ou Özil)
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29112010/70/liga-le-clasico-avec-benzema.html
Le Real Madrid n'est pas certain de pouvoir compter sur Gonzalo Higuain pour son déplacement à Barcelone ce soir. Selon Marca, l'attaquant argentin est même d'ores et déjà forfait en raison de douleurs musculaires. As n'est pas aussi catégorique. Pour le quotidien espagnol, la présence de l'avant-centre madrilène est très incertaine. Si rien n'est encore officiel, Higuain ne sera de toute façon pas à 100% de ses moyens, et le titulariser représente un risque pour José Mourinho qui va probablement devoir changer son fusil d'épaule.
La première option qui se présente au technicien portugais est de titulariser Karim Benzema. L'attaquant français est la doublure habituelle de l'Argentin, et il s'est montré plutôt convaincant lors de ses entrées en cours de jeu ces derniers temps. Mieux, il a marqué un joli but face à l'Ajax Amsterdam (0-4) à l'occasion de l'une de ses rares titularisations, mardi dernier. L'ancien Lyonnais remplacerait Higuain poste pour poste, à la pointe de l'attaque madrilène. Le reste de l'animation offensive du Real ne bougerait pas. Cristiano Ronaldo débuterait la rencontre côté gauche, Angel Di Maria côté droit et Mesut Özil tiendrait sa place habituelle en soutien de ce trio, dans le 4-2-3-1 aligné le plus fréquemment par la Maison Blanche.
Il existe cependant une deuxième option, déjà évoquée la semaine passée par les médias espagnols alors qu'il n'était pas encore question du forfait de Higuain. Pour ce déplacement au Camp Nou, Mourinho envisagerait la possibilité de modifier le visage de son équipe en alignant un troisième milieu récupérateur aux côtés de Xabi Alonso et Sami Khedira. Si le Portugais retenait cette solution, Lassana Diarra aurait toutes les chances d'être l'heureux élu et de démarrer la rencontre en sentinelle, juste devant la défense et derrière deux relayeurs, Alonso et Khedira. Mesut Özil glisserait alors sur le côté gauche de l'attaque madrilène, Angel Di Maria conserverait son côté droit et Cristiano Ronaldo serait aligné à la pointe de l'attaque dans une stratégie plus défensive.
Les équipes probables
FC Barcelone : Victor Valdès - Dani Alves, Puyol, Piqué, Abidal (ou Maxwell) - Busquets, Xavi, Iniesta - Messi, Villa, Pedro
Real Madrid : Casillas - Sergio Ramos, Pepe, Carvalho, Marcelo - Xabi Alonso, Khedira, Özil (ou L.Diarra) - Di Maria, Benzema (ou Ronaldo), Ronaldo (ou Özil)
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29112010/70/liga-le-clasico-avec-benzema.html
Mercato OM : Deschamps lâche des indices sur le remplaçant d’Azpi
Out pour le reste de la saison après sa rupture des ligaments croisés du genou gauche face à Montpellier, Cesar Azpilicueta va beaucoup manquer à l’Olympique de Marseille. Le recrutement d’un latéral droit est devenu une priorité pour un club qui avait juré qu’il ne procéderait à aucun recrutement hivernal. Bien évidemment depuis samedi soir, le club phocéen a reçu « beaucoup de propositions dont certaines étonnantes » comme l’explique Didier Deschamps sur le site officiel de l’OM.
Pour l’entraîneur marseillais, il est important de ne pas se précipiter. Pour autant, il sait déjà ce qu’il veut et dresse un premier portrait-robot de la recrue idéale. « On a besoin d’un arrière droit avec une certaine expérience et des qualités, car ce n’est pas facile à Marseille, l’important c’est la qualité et pas de prendre quelqu’un pour prendre quelqu’un. J’ai confiance en Charles, il l’a déjà fait et il est bien rentré lors du dernier match, mais il n’est pas spécialiste du poste et je peux aussi avoir besoin de lui au milieu. » Kaboré ne sera donc pas l’heureux élu et le profil du joueur souhaité par Deschamps met un terme à la rumeur Corchia, trop tendre pour la pression du Vélodrome.
En coulisse, la direction phocéenne s’active donc, mais n’a pas encore défini si la recrue devait arriver avant le mercato hivernal (un joker défensif qui ne pourrait être recruté qu’en France) ou à partir du 1er janvier. « On réfléchit, on discute. Si on attend le mercato en janvier, il peut y avoir un risque, car il y a six matches importants à jouer et on ne sait pas ce qu’il peut se passer. On est sur le court terme, c’est-à-dire la fin de saison car Azpi reviendra. Il peut y avoir un risque, car il y a six matches importants à jouer et on ne sait pas ce qu’il peut se passer. Et il y a aussi l’aspect économique qui peut éliminer certaines pistes. »
Un prêt pourrait être privilégié par l’OM, indique par ailleurs Deschamps. Si de nombreux noms circulent (Fanni, Oddo, Chalmé, Faubert, Angeleri), le remplaçant de l’espoir espagnol pourrait bien en surprendre plus d’un et aucune piste ne semble pour l’instant sérieuse, du fait de l’hésitation de la direction olympienne au sujet de la stratégie à adopter. Les prochains jours devraient permettre d’y voir plus clair.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/mercato-om-deschamps-lache-des-indices-sur-le-remplacant-d-azpi_58858
Pour l’entraîneur marseillais, il est important de ne pas se précipiter. Pour autant, il sait déjà ce qu’il veut et dresse un premier portrait-robot de la recrue idéale. « On a besoin d’un arrière droit avec une certaine expérience et des qualités, car ce n’est pas facile à Marseille, l’important c’est la qualité et pas de prendre quelqu’un pour prendre quelqu’un. J’ai confiance en Charles, il l’a déjà fait et il est bien rentré lors du dernier match, mais il n’est pas spécialiste du poste et je peux aussi avoir besoin de lui au milieu. » Kaboré ne sera donc pas l’heureux élu et le profil du joueur souhaité par Deschamps met un terme à la rumeur Corchia, trop tendre pour la pression du Vélodrome.
En coulisse, la direction phocéenne s’active donc, mais n’a pas encore défini si la recrue devait arriver avant le mercato hivernal (un joker défensif qui ne pourrait être recruté qu’en France) ou à partir du 1er janvier. « On réfléchit, on discute. Si on attend le mercato en janvier, il peut y avoir un risque, car il y a six matches importants à jouer et on ne sait pas ce qu’il peut se passer. On est sur le court terme, c’est-à-dire la fin de saison car Azpi reviendra. Il peut y avoir un risque, car il y a six matches importants à jouer et on ne sait pas ce qu’il peut se passer. Et il y a aussi l’aspect économique qui peut éliminer certaines pistes. »
Un prêt pourrait être privilégié par l’OM, indique par ailleurs Deschamps. Si de nombreux noms circulent (Fanni, Oddo, Chalmé, Faubert, Angeleri), le remplaçant de l’espoir espagnol pourrait bien en surprendre plus d’un et aucune piste ne semble pour l’instant sérieuse, du fait de l’hésitation de la direction olympienne au sujet de la stratégie à adopter. Les prochains jours devraient permettre d’y voir plus clair.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/mercato-om-deschamps-lache-des-indices-sur-le-remplacant-d-azpi_58858
Barça – Real : Ronaldo, Messi et la piste aux étoiles
Ne cherchez pas non plus de billet, les 98 800 sièges du plus grand stade d'Europe sont loués depuis longtemps. Un tapis de stars sera déroulé sur la pelouse du Camp Nou ce lundi soir (21h), pour le choc au sommet de la 13e journée de Liga, entre le FC Barcelone et le Real Madrid.
Les deux équipes disposent en effet dans leur effectif de 9 des 23 prétendants au Ballon d'Or 2010. Dani Alves, Andrés Iniesta, Lionel Messi, Xavi Hernandez, David Villa et Carles Puyol côté Barça, Iker Casillas, Cristiano Ronaldo et Xabi Alonso côté Real. Parmi eux, les deux derniers lauréats, Ronaldo et Messi.
Ronaldo et Messi sur un nuage
Ces deux là occupent, et de loin, la tête du classement des buteurs de la Liga. Le Portugais a déjà marqué 14 buts en 12 matchs, l'Argentin suit de près avec 13 buts en 10 matchs. Plus précisément, Ronaldo a marqué 13 buts lors des 7 derniers matchs, Messi a marqué 10 buts lors des 5 derniers matchs ! Des statistiques totalement surdimensionnées.
Deux chiffres étonnants viennent contrebalancer la donne. Ronaldo n'a jamais marqué contre le Barça en quatre confrontations, tandis que Messi n'a jamais marqué face à un club entraîné par Mourinho ! L'Argentin a en revanche déjà marqué à sept reprises face au Real…
Une attention toute particulière sera forcément portée sur ces deux joueurs d'exception, mais il serait inopportun de réduire le match à ce duel à distance. Car à leurs côtés, se présenteront uniquement des internationaux ainsi que de nombreux champions du monde. Alors que les deux équipes ont rarement été aussi proches l'une de l'autre, tout ce petit beau monde s'affrontera pour le fauteuil de leader de la Liga !
http://www.maxifoot.fr/football/article-11124.htm
Les deux équipes disposent en effet dans leur effectif de 9 des 23 prétendants au Ballon d'Or 2010. Dani Alves, Andrés Iniesta, Lionel Messi, Xavi Hernandez, David Villa et Carles Puyol côté Barça, Iker Casillas, Cristiano Ronaldo et Xabi Alonso côté Real. Parmi eux, les deux derniers lauréats, Ronaldo et Messi.
Ronaldo et Messi sur un nuage
Ces deux là occupent, et de loin, la tête du classement des buteurs de la Liga. Le Portugais a déjà marqué 14 buts en 12 matchs, l'Argentin suit de près avec 13 buts en 10 matchs. Plus précisément, Ronaldo a marqué 13 buts lors des 7 derniers matchs, Messi a marqué 10 buts lors des 5 derniers matchs ! Des statistiques totalement surdimensionnées.
Deux chiffres étonnants viennent contrebalancer la donne. Ronaldo n'a jamais marqué contre le Barça en quatre confrontations, tandis que Messi n'a jamais marqué face à un club entraîné par Mourinho ! L'Argentin a en revanche déjà marqué à sept reprises face au Real…
Une attention toute particulière sera forcément portée sur ces deux joueurs d'exception, mais il serait inopportun de réduire le match à ce duel à distance. Car à leurs côtés, se présenteront uniquement des internationaux ainsi que de nombreux champions du monde. Alors que les deux équipes ont rarement été aussi proches l'une de l'autre, tout ce petit beau monde s'affrontera pour le fauteuil de leader de la Liga !
http://www.maxifoot.fr/football/article-11124.htm
Lyon: Jean-Michel Aulas se paye Edel et venge Lloris
Pas touche à mon gardien. Jean-Michel Aulas n’a pas aimé du tout qu’Antoine Kombouaré ose émettre une critique – même mesurée – sur le niveau actuel de son gardien, Hugo Lloris. Jamais avare d’une petite vacherie d’après-match, le président lyonnais n’a donc pas manqué de répondre à l’entraîneur parisien après le match nul entre les deux équipes dimanche à Gerland (2-2). «Antoine Kombouaré avait jugé utile de critiquer Hugo. Mais finalement c’est son gardien qui nous enlève une bonne épine du pied, je le remercie.» Mal placé sur le premier but lyonnais, Apoula Edel a offert malgré lui une passe décisive à Bafé Gomis sur le second.
http://www.20minutes.fr/article/630559/sports-lyon-jean-michel-aulas-paye-edel-venge-lloris
http://www.20minutes.fr/article/630559/sports-lyon-jean-michel-aulas-paye-edel-venge-lloris
Marseille, la voie royale ?
Après chaque week-end de Ligue 1, retrouvez les leçons et réflexions qui s'imposent à nous. Lors de la 15e journée, Marseille s'est emparé de la première place. Le champion en titre pourrait la garder un moment, surtout si ses poursuivants, Lille et le PSG, ne corrigent pas des défauts qui deviennent
Ça peut durer...
MARSEILLE ENVOIE UN MESSAGE
La Ligue 1 a-t-elle trouvé sa locomotive ? Rien n'est moins sûr tant le championnat reste serré et les changements de leaders fréquents. Mais la prise de pouvoir de Marseille n'est peut-être pas anodine à l'issue de cette 15e journée. En une semaine, les Olympiens ont acquis un beau capital confiance grâce à deux larges succès à Moscou (0-3), synonyme de qualification pour la Ligue des Champions, et contre Montpellier (4-0). Cet OM qui suscitait tant d'interrogations s'est replacé sur une voie royale, à défaut d'avoir levé toutes les questions qui subsistent sur sa qualité de jeu. Mercredi, les hommes de Didier Deschamps reçoivent Rennes au Vélodrome. Un quatrième succès de rang (toutes compétitions confondues) donnerait trois longueurs d'avance au club phocéen sur son premier poursuivant, Lille. Le champion de France en titre pourra alors penser à bien négocier sa dernière ligne droite avant la trêve, avec trois déplacements (Nice, Auxerre, Brest) et la réception de Lyon. Un parcours semé d'embuches. Mais si l'OM le traverse sans encombre, il aura envoyé un message très fort à la concurrence.
Ça dure...
LILLE ET PARIS CONFIRMENT...
Dans le sillage de Marseille, Lille et le Paris Saint-Germain complètent le podium de la Ligue 1 après avoir chacun ramené un bon point en déplacement, respectivement à Bordeaux (1-1) et Lyon (2-2). Pourtant, l'heure était plutôt à la frustration dans deux camps. Le Losc avait ouvert la marque en Gironde avant de subir le retour de Bordelais plus combatifs. Le PSG, lui, a vu la première place du classement filer sous son nez en toute fin de match sur une bourde monumentale d'Edel, alors qu'il menait au score (1-2) et qu'il était en supériorité numérique. Plus que des enseignements, il y a ici des confirmations : Lille a toujours autant de mal face aux grosses équipes du championnat, et Paris prend toujours un drôle de plaisir à ne pas saisir ses occasions de s'installer au sommet. Des défauts récurrents qui expliquent en grande partie pourquoi ces deux équipes sont devancés par Marseille, moins flamboyant mais plus efficace.
La stat-clef
CAEN, CINQ SUR CINQ...
Caen a rarement été aussi mal en point. Le club normand a sombré à domicile face à Sochaux (0-3) dimanche, concédant ainsi sa cinquième défaite consécutive en championnat. Les Caennais n'avait plus connu une telle série négative depuis leur entame de saison catastrophique en 1994-1995. Et Franck Dumas, visiblement à cours de solution, a fustigé ses joueurs après le match. "Peut-être que le football a changé depuis que j'ai arrêté mais, à mon époque, on avait à faire à des mecs. J'ai connu des moments difficiles dans certains clubs, mais on avait une chose qui nous a souvent sauvés, c'est le courage et la volonté." Un discours et une série qui contrastent avec le début de saison étincelant du promu, qui avait démarré l'exercice par un succès chez le champion, Marseille, et une victoire à domicile face à son dauphin, Lyon. Aujourd'hui, Caen est relégable et ne répond plus.
La décla qui parle
RUFFIER : "Certains font des efforts et d'autres moins"
Monaco a subi une nouvelle déception à domicile en concédant le match nul face à Nice (1-1). Deux nouveaux points perdus en fin de rencontre pour l'ASM, qui a pourtant joué en supériorité numérique pendant plus d'une heure. De quoi mettre Stéphane Ruffier dans une colère noire. "Il ne faut s'en prendre qu'à nous-mêmes. On n'a jamais dominé notre sujet, on n'a jamais emballé la rencontre et on a ce qu'on mérite", constate le portier monégasque, qui laisse entendre que tout le monde ne tire pas dans le sens sur le Rocher. "On stagne et il va falloir continuer à tout travailler. Parce que la solution, je ne l'ai pas et les autres joueurs ne les ont pas non plus. On doit tous se bouger et pas seulement quelques-uns d'entre nous. Actuellement, certains font des efforts et d'autres moins. Alors on n'avance pas", conclut le portier international.
L'EQUIPE-TYPE
Pierrick Cros a réalisé deux arrêts décisifs lors de la victoire de Sochaux à Caen (0-3), au cours de laquelle Marvin Martin a délivré deux passes décisives. A Lorient, la défense et la meilleure des attaques puisque deux défenseurs, Jérémy Morel et Alaixys Romao, ont inscrit les deux buts du succès face à Rennes (2-0). Daniel Braaten (Toulouse) et Lucho Gonzalez (Marseille) ont été décisifs face à Auxerre (1-2) et Montpellier (4-0), tout comme Nenê (PSG) avec un but et un penalty provoqué contre Lyon (2-2). Sylvain Armand (PSG) a été inspiré en défense au cours du même match, mais il n'a rien pu faire pour empêcher Bafetimbi Gomis (Lyon) d'être récompensé de ses initiatives avec le but égalisateur. Très actif, Grégory Pujol (Valenciennes) a également inscrit un joli but contre Arles-Avignon (3-0).
http://fr.sports.yahoo.com/29112010/70/ligue-1-marseille-la-voie-royale.html
Paris avait fait le plus dur...
Au terme d'un match palpitant, Lyon et le PSG ont partagé les points (2-2), lors de la 15e journée. Les Parisiens avaient pourtant pris les devants à la 82e minute mais Edel a involontairement remis les Rhodaniens dans le coup. Paris (3e) laisse donc les rênes de la L1 à l'OM. Lyon est 7e
LYON - PARIS-SG : 2-2
Buts : Cissokho (53e) et Gomis (87e) pour Lyon, Nenê (63e) et Hoarau (82e s.p.) pour Paris.
Il y a un mois, le premier acte avait suscité l'enthousiasme général. Le second fut tout aussi spectaculaire. Tout aussi rythmé. Mais pour Paris, le dénouement a un goût un peu plus amer. Dimanche, le PSG a ramené un nul de Lyon (2-2), là où il avait empoché son ticket pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue (2-1 a.p.) en octobre. Les hommes d'Antoine Kombouaré pensaient bien quitter la pelouse de Gerland avec le sourire jusqu'aux oreilles. Ils ont regagné les vestiaires avec ce sentiment d'inachevé. Ce regret d'avoir laissé filer un fauteuil de leader qui leur tendait les bras.
Sans une bourde monumentale d'Apoula Edel, Paris serait passé devant Marseille au classement. Mais la relance catastrophique du gardien arméno-camerounais a offert l'égalisation à Bafé Gomis dans les dernières minutes (2-2, 87e). Finalement récompensé, l'attaquant rhodanien a tenté. Beaucoup tenté : dix frappes, dont seulement deux cadrées. Il symbolise à merveille cette rencontre complètement débridée, au cours de laquelle les deux équipes se sont livrées sans arrière-pensée. Les chiffres confirment l'impression visuelle : au total, trente-neuf tirs ont été déclenchés dans ce choc qui a donc pleinement répondu aux attentes !
Cissokho, un but et un rouge
Face à Lens (3-1), Lyon avait fonctionné sur courant alternatif. Pas cette fois. Dimanche soir, l'OL a partiellement gommé cette faiblesse psychologique pointée du doigt par le président Aulas après la débacle face à Schalke (3-0). Maître du ballon (58% de possession), l'équipe de Claude Puel a d'abord eu le mérite de débloquer la rencontre dès le retour des vestiaires, sur un mouvement initié par Lisandro et conclu par Cissokho (1-0, 53e). Elle a surtout su ne pas rendre les armes lorsque ce même Cissokho a été exclu pour une faute sur Nenê et offert un penalty aux Parisiens. Guillaume Hoarau ne s'est pas fait prier pour le transformer (1-2, 82e). L'ancien Havrais avait déjà offert sur un plateau le but égalisateur à Nenê (1-1, 63e).
En une vingtaine de minutes, ce PSG costaud dans sa tête a encore étalé cette force mentale si précieuse depuis sept rencontres. L'OL - désormais septième à deux points du leader marseillais - avait aussi du caractère. Sur la troisième marche du podium, Paris repart de Lyon avec un huitième match consécutif sans défaite. Et une valise de regrets. Un excédent de bagages dont il se serait bien passé.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28112010/70/ligue-1-paris-avait-fait-le-plus-dur.html
LYON - PARIS-SG : 2-2
Buts : Cissokho (53e) et Gomis (87e) pour Lyon, Nenê (63e) et Hoarau (82e s.p.) pour Paris.
Il y a un mois, le premier acte avait suscité l'enthousiasme général. Le second fut tout aussi spectaculaire. Tout aussi rythmé. Mais pour Paris, le dénouement a un goût un peu plus amer. Dimanche, le PSG a ramené un nul de Lyon (2-2), là où il avait empoché son ticket pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue (2-1 a.p.) en octobre. Les hommes d'Antoine Kombouaré pensaient bien quitter la pelouse de Gerland avec le sourire jusqu'aux oreilles. Ils ont regagné les vestiaires avec ce sentiment d'inachevé. Ce regret d'avoir laissé filer un fauteuil de leader qui leur tendait les bras.
Sans une bourde monumentale d'Apoula Edel, Paris serait passé devant Marseille au classement. Mais la relance catastrophique du gardien arméno-camerounais a offert l'égalisation à Bafé Gomis dans les dernières minutes (2-2, 87e). Finalement récompensé, l'attaquant rhodanien a tenté. Beaucoup tenté : dix frappes, dont seulement deux cadrées. Il symbolise à merveille cette rencontre complètement débridée, au cours de laquelle les deux équipes se sont livrées sans arrière-pensée. Les chiffres confirment l'impression visuelle : au total, trente-neuf tirs ont été déclenchés dans ce choc qui a donc pleinement répondu aux attentes !
Cissokho, un but et un rouge
Face à Lens (3-1), Lyon avait fonctionné sur courant alternatif. Pas cette fois. Dimanche soir, l'OL a partiellement gommé cette faiblesse psychologique pointée du doigt par le président Aulas après la débacle face à Schalke (3-0). Maître du ballon (58% de possession), l'équipe de Claude Puel a d'abord eu le mérite de débloquer la rencontre dès le retour des vestiaires, sur un mouvement initié par Lisandro et conclu par Cissokho (1-0, 53e). Elle a surtout su ne pas rendre les armes lorsque ce même Cissokho a été exclu pour une faute sur Nenê et offert un penalty aux Parisiens. Guillaume Hoarau ne s'est pas fait prier pour le transformer (1-2, 82e). L'ancien Havrais avait déjà offert sur un plateau le but égalisateur à Nenê (1-1, 63e).
En une vingtaine de minutes, ce PSG costaud dans sa tête a encore étalé cette force mentale si précieuse depuis sept rencontres. L'OL - désormais septième à deux points du leader marseillais - avait aussi du caractère. Sur la troisième marche du podium, Paris repart de Lyon avec un huitième match consécutif sans défaite. Et une valise de regrets. Un excédent de bagages dont il se serait bien passé.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28112010/70/ligue-1-paris-avait-fait-le-plus-dur.html
dimanche 28 novembre 2010
Vous avez dit capital ?
Le PSG se rend chez un Lyon convalescent ce soir (21 heures), en clôture de la 15e journée de Ligue 1. Avec la perspective de prendre seul les commandes du Championnat. Mais en gardant les pieds sur terre. (Photo Presse-Sports)
Il y a comme un air de Docteur Jekyll et Mister Hyde. Ce Lyon-là a deux facettes. Tantôt éblouissant, comme lors de la seconde période Lens, il y a une semaine (3-1). Tantôt fantomatique, comme mercredi, sur le terrain de Schalke (0-3). «Nous manquons encore de maturité dans la gestion des matches», reconnaissait Claude Puel cette semaine. «Il y a deux visages, confirme Jérémy Toulalan. Pourquoi ? Je ne sais pas... On se pose la question, notamment de savoir si c'est un problème mental. C'est inquiétant. Il faut rectifier le tir.»
Malgré cette irrégularité chronique, l'OL avance sur la scène nationale. Les Gones viennent d'aligner sept matches sans défaite. Et aussi étonnant que cela puisse paraître, ils pourraient même revenir à hauteur du leader marseillais dimanche soir. Elle devra pour cela battre Paris en clôture de la 15e journée de Ligue 1. Il y a un mois, le PSG était de reparti de Gerland avec une qualification pour les quarts de la Coupe de la Ligue dans ses bagages. Cette fois, le club de la capitale peut tout simplement s'installer au sommet du Championnat s'il réédite cette performance haut de gamme. «Si vous gagnez à Lyon, vous aurez une étoffe de champions, aurait lâché Antoine Kombouaré à ses joueurs cette semaine. On verra là-bas si on forme une bonne équipe ou une véritable équipe.» Depuis cet emballant OL-PSG, Paris est invincible. A pris huit points sur douze en Championnat. Accroché le Borussia Dortmund (0-0), qui survole la Bundesliga. Et retrouvé une son duo Hoarau-Erding, décisif le week-end dernier, face à Caen (2-1).
Coupet : « Les Lyonnais vont être super remontés »
Bref, sur le papier, la sérénité parisienne tranche avec les questions existentielles rhodaniennes. «Les problèmes de l'OL ne me concernent pas, affirme Guillaume Hoarau. La seule chose qui m'intéresse, c'est nous. Il faut aller faire une belle performance à Gerland et tenter de reléguer les Lyonnais à quatre points. Mon seul souci, c'est Paris. Pas Lyon.»
A l'image d'Antoine Kombouaré, qui prédit «une réaction d'orgueil» des Lyonnais, Paris se rend à Gerland avec un savant mélange de confiance et de prudence, sans doute décuplée par les absences de Sakho, Chantôme et Erding. «Lyon reste Lyon et, dans les circonstances actuelles, il faut s'attendre à une chaude réception, prévient Grégory Coupet, qui connaît parfaitement le contexte rhodanien. Avec cette défaite face à Schalke, cela va être pire pour nous. Je sais comment ça fonctionne là-bas. Monsieur Aulas a annoncé une remise en cause sévère de ses joueurs. Ce qui est sûr, c'est que dimanche les Lyonnais vont être super remontés. Ils seront chauds bouillants!» - G. Ba.
Les équipes probables
Lyon: Lloris - Réveillère, Diakhaté, Lovren, Kolodziejczak (ou Cissokho) - Pjanic, Toulalan, Källström - Bastos, Gomis, Lisandro.
Paris-SG: Edel - Jallet, Z. Camara, Armand, Tiene - Giuly, Makelele, Bodmer, Nenê - Hoarau, Luyindula
http://www.francefootball.fr/FF/breves2010/20101128_101638_vous-avez-dit-capital.html
Il y a comme un air de Docteur Jekyll et Mister Hyde. Ce Lyon-là a deux facettes. Tantôt éblouissant, comme lors de la seconde période Lens, il y a une semaine (3-1). Tantôt fantomatique, comme mercredi, sur le terrain de Schalke (0-3). «Nous manquons encore de maturité dans la gestion des matches», reconnaissait Claude Puel cette semaine. «Il y a deux visages, confirme Jérémy Toulalan. Pourquoi ? Je ne sais pas... On se pose la question, notamment de savoir si c'est un problème mental. C'est inquiétant. Il faut rectifier le tir.»
Malgré cette irrégularité chronique, l'OL avance sur la scène nationale. Les Gones viennent d'aligner sept matches sans défaite. Et aussi étonnant que cela puisse paraître, ils pourraient même revenir à hauteur du leader marseillais dimanche soir. Elle devra pour cela battre Paris en clôture de la 15e journée de Ligue 1. Il y a un mois, le PSG était de reparti de Gerland avec une qualification pour les quarts de la Coupe de la Ligue dans ses bagages. Cette fois, le club de la capitale peut tout simplement s'installer au sommet du Championnat s'il réédite cette performance haut de gamme. «Si vous gagnez à Lyon, vous aurez une étoffe de champions, aurait lâché Antoine Kombouaré à ses joueurs cette semaine. On verra là-bas si on forme une bonne équipe ou une véritable équipe.» Depuis cet emballant OL-PSG, Paris est invincible. A pris huit points sur douze en Championnat. Accroché le Borussia Dortmund (0-0), qui survole la Bundesliga. Et retrouvé une son duo Hoarau-Erding, décisif le week-end dernier, face à Caen (2-1).
Coupet : « Les Lyonnais vont être super remontés »
Bref, sur le papier, la sérénité parisienne tranche avec les questions existentielles rhodaniennes. «Les problèmes de l'OL ne me concernent pas, affirme Guillaume Hoarau. La seule chose qui m'intéresse, c'est nous. Il faut aller faire une belle performance à Gerland et tenter de reléguer les Lyonnais à quatre points. Mon seul souci, c'est Paris. Pas Lyon.»
A l'image d'Antoine Kombouaré, qui prédit «une réaction d'orgueil» des Lyonnais, Paris se rend à Gerland avec un savant mélange de confiance et de prudence, sans doute décuplée par les absences de Sakho, Chantôme et Erding. «Lyon reste Lyon et, dans les circonstances actuelles, il faut s'attendre à une chaude réception, prévient Grégory Coupet, qui connaît parfaitement le contexte rhodanien. Avec cette défaite face à Schalke, cela va être pire pour nous. Je sais comment ça fonctionne là-bas. Monsieur Aulas a annoncé une remise en cause sévère de ses joueurs. Ce qui est sûr, c'est que dimanche les Lyonnais vont être super remontés. Ils seront chauds bouillants!» - G. Ba.
Les équipes probables
Lyon: Lloris - Réveillère, Diakhaté, Lovren, Kolodziejczak (ou Cissokho) - Pjanic, Toulalan, Källström - Bastos, Gomis, Lisandro.
Paris-SG: Edel - Jallet, Z. Camara, Armand, Tiene - Giuly, Makelele, Bodmer, Nenê - Hoarau, Luyindula
http://www.francefootball.fr/FF/breves2010/20101128_101638_vous-avez-dit-capital.html
Auxerre-Toulouse et Caen-Sochaux en live ici
Auxerre-Toulouse et Caen-Sochaux à suivre en direct ici sur ce site en cliquant sur ce lien
Les mal aimés de la L1
Réputés défensifs, Auxerre (11e) et Toulouse (14e) s'affrontent à 17 heures pour revenir dans la première moitié du classement. Jean Fernandez et Alain Casanova composent avec leur mauvaise réputation. Plus ou moins...
On imagine déjà les grincheux, peu tentés par un match de L1 en temps normal, évaluer le potentiel d'Auxerre - Toulouse, programmé dimanche à 17 heures. Question centrale : qui voudra du ballon dans un match pareil ? Auxerre est une équipe de contre. Toulouse aussi, en plus athlétique. Les étiquettes ont la vie dure, et leurs deux entraîneurs apprennent à composer avec. "Moi, je ne me permets jamais de juger les autres alors je n’aime pas trop qu'on fasse pareil avec Toulouse, mais c’est comme ça, nous dit Alain Casanova. Chacun joue avec sa philosophie et ses joueurs". Après un match contre l'AJA, récemment, Frédéric Antonetti avait généralisé une règle : en France, on gagne si on ne propose pas de jeu. "Je ne veux pas savoir, répond "Casa". Fred Antonetti est un excellent ami. Jean Fernandez, que j'apprécie aussi beaucoup, a estimé que c’était mieux pour son équipe. A ses adversaires d’en tenir comte et de ne pas tomber dans le piège, c'est tout."
Casanova : "Les gens peuvent venir voir son entraînements"
Les chiffres ne disent rien de la frilosité présumée de l'AJA et de Toulouse, qui ne sont ni les pires attaques, ni les meilleures défenses de L1. "C’est une image qu'on nous accole par rapport à notre première saison peut-être (NDLR : 2008-2009), réfléchit Casanova au sujet de son équipe. Si on a mis en difficulté Lille ou Marseille, c’est qu’on propose des choses. Je ne place pas une équipe avec un bloc bas en disant : "on va les attendre, jouer sur la récupération et des attaques rapides". Ce n’est pas ma philosophie. Les gens peuvent venir voir mes entraînements. Ma méthode n’est que tactique et qu’à base de ballon. Autant sur la possession que sur la récupération." Fernandez approuve : "Toulouse est une équipe solide, en manque de résultats, mais pas en manque de qualité de jeu. Elle mérite mieux que son classement." Sur sa propre équipe, l'Auxerrois n'a aucun mal à se justifier : "J'ai des défenseurs de qualité mais qui manquent de vitesse. C'est pour ça qu'on maintient un bloc compact assez bas. Avec des joueurs comme Oliech, je peux miser sur le jeu direct. Sur les coups de pied arrêtés, les têtes, aussi. Si demain à Auxerre, je dis que je vais jouer comme Barcelone, j'ai de fortes chances de me planter."
A Toulouse, on ne prétend pas jouer comme Barcelone, mais le projet de jeu évolue par petites touches depuis deux saisons, même si ne fut guère tangible qu'en août, cette année. La persistance d'une organisation frileuse sur le papier, le 4-1-4-1, brouille le message. "C'est une chose de le voir fixe et c’est une autre de l’animer, précise Casanova. Quand il est animé, ce n’est plus un 4-1-4-1. Les gens pensent que je ne change jamais alors que j’ai plusieurs manières de l’animer. On se focalise là-dessus aujourd’hui car nos attaquants sont en difficulté, mais mon animation n’était pas différente de quand Gignac était avec nous. On ne parlait pas du manque de soutien, à l'époque." "Leur problème, c'est de ne pas avoir remplacé Gignac, confirme Fernandez. Il leur manque juste un buteur."
"Enormément de donneurs de leçons"
Pour le coach toulousain, la Ligue 1 possède de façon générale une image déformée par l'influence d'"énormément de donneurs de leçons". "Avec toutes les émissions, le jeu est de plus en plus disséqué, critiqué, mais j’ai l’impression qu’il y a plus d’équipes qui cherchent à jouer que par le passé. (Il regarde le calendrier) Saint-Etienne a fait un début de saison comme jamais, Lille joue, Rennes joue, le PSG joue comme il ne l'a pas fait depuis longtemps, Sochaux joue, Montpellier ? ça joue, Marseille obligatoirement, Caen cherche à jouer. Je peux en citer d'autres : Lorient, Valenciennes..." Auxerre et Toulouse ont une étiquette moins flatteuse, mais ne se ressemblent pas, pourtant. "Leur style est différent, l'organisation aussi, témoigne Fernandez. Ils ont une dimension athlétique que nous n'avons pas. Ils ont des joueurs plus costauds. Auxerre a un peu plus de vitesse. Ils sont meilleurs à l'extérieur qu'à domicile. Même s'ils ont des joueurs de qualité au milieu, ils ont plus de mal à faire le jeu à domicile". Voilà de l'eau pour le moulin des grincheux. Etre meilleur à l'extérieur, c'est le propre des équipes de contre...
EQUIPES PROBABLES :
Auxerre: Sorin - Dudka, Coulibaly, Mignot, Grichting - Chafni, Pedretti, Ndinga, Birsa - A. Traoré - Quercia
Toulouse: Valverde - Gunino, Congré, Fofana, M'Bengué - E. Capoue - Machado, E. Didot, Sissoko, Mansaré - Santander
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28112010/70/ligue-1-les-mal-aimes-de-la-l1.html
On imagine déjà les grincheux, peu tentés par un match de L1 en temps normal, évaluer le potentiel d'Auxerre - Toulouse, programmé dimanche à 17 heures. Question centrale : qui voudra du ballon dans un match pareil ? Auxerre est une équipe de contre. Toulouse aussi, en plus athlétique. Les étiquettes ont la vie dure, et leurs deux entraîneurs apprennent à composer avec. "Moi, je ne me permets jamais de juger les autres alors je n’aime pas trop qu'on fasse pareil avec Toulouse, mais c’est comme ça, nous dit Alain Casanova. Chacun joue avec sa philosophie et ses joueurs". Après un match contre l'AJA, récemment, Frédéric Antonetti avait généralisé une règle : en France, on gagne si on ne propose pas de jeu. "Je ne veux pas savoir, répond "Casa". Fred Antonetti est un excellent ami. Jean Fernandez, que j'apprécie aussi beaucoup, a estimé que c’était mieux pour son équipe. A ses adversaires d’en tenir comte et de ne pas tomber dans le piège, c'est tout."
Casanova : "Les gens peuvent venir voir son entraînements"
Les chiffres ne disent rien de la frilosité présumée de l'AJA et de Toulouse, qui ne sont ni les pires attaques, ni les meilleures défenses de L1. "C’est une image qu'on nous accole par rapport à notre première saison peut-être (NDLR : 2008-2009), réfléchit Casanova au sujet de son équipe. Si on a mis en difficulté Lille ou Marseille, c’est qu’on propose des choses. Je ne place pas une équipe avec un bloc bas en disant : "on va les attendre, jouer sur la récupération et des attaques rapides". Ce n’est pas ma philosophie. Les gens peuvent venir voir mes entraînements. Ma méthode n’est que tactique et qu’à base de ballon. Autant sur la possession que sur la récupération." Fernandez approuve : "Toulouse est une équipe solide, en manque de résultats, mais pas en manque de qualité de jeu. Elle mérite mieux que son classement." Sur sa propre équipe, l'Auxerrois n'a aucun mal à se justifier : "J'ai des défenseurs de qualité mais qui manquent de vitesse. C'est pour ça qu'on maintient un bloc compact assez bas. Avec des joueurs comme Oliech, je peux miser sur le jeu direct. Sur les coups de pied arrêtés, les têtes, aussi. Si demain à Auxerre, je dis que je vais jouer comme Barcelone, j'ai de fortes chances de me planter."
A Toulouse, on ne prétend pas jouer comme Barcelone, mais le projet de jeu évolue par petites touches depuis deux saisons, même si ne fut guère tangible qu'en août, cette année. La persistance d'une organisation frileuse sur le papier, le 4-1-4-1, brouille le message. "C'est une chose de le voir fixe et c’est une autre de l’animer, précise Casanova. Quand il est animé, ce n’est plus un 4-1-4-1. Les gens pensent que je ne change jamais alors que j’ai plusieurs manières de l’animer. On se focalise là-dessus aujourd’hui car nos attaquants sont en difficulté, mais mon animation n’était pas différente de quand Gignac était avec nous. On ne parlait pas du manque de soutien, à l'époque." "Leur problème, c'est de ne pas avoir remplacé Gignac, confirme Fernandez. Il leur manque juste un buteur."
"Enormément de donneurs de leçons"
Pour le coach toulousain, la Ligue 1 possède de façon générale une image déformée par l'influence d'"énormément de donneurs de leçons". "Avec toutes les émissions, le jeu est de plus en plus disséqué, critiqué, mais j’ai l’impression qu’il y a plus d’équipes qui cherchent à jouer que par le passé. (Il regarde le calendrier) Saint-Etienne a fait un début de saison comme jamais, Lille joue, Rennes joue, le PSG joue comme il ne l'a pas fait depuis longtemps, Sochaux joue, Montpellier ? ça joue, Marseille obligatoirement, Caen cherche à jouer. Je peux en citer d'autres : Lorient, Valenciennes..." Auxerre et Toulouse ont une étiquette moins flatteuse, mais ne se ressemblent pas, pourtant. "Leur style est différent, l'organisation aussi, témoigne Fernandez. Ils ont une dimension athlétique que nous n'avons pas. Ils ont des joueurs plus costauds. Auxerre a un peu plus de vitesse. Ils sont meilleurs à l'extérieur qu'à domicile. Même s'ils ont des joueurs de qualité au milieu, ils ont plus de mal à faire le jeu à domicile". Voilà de l'eau pour le moulin des grincheux. Etre meilleur à l'extérieur, c'est le propre des équipes de contre...
EQUIPES PROBABLES :
Auxerre: Sorin - Dudka, Coulibaly, Mignot, Grichting - Chafni, Pedretti, Ndinga, Birsa - A. Traoré - Quercia
Toulouse: Valverde - Gunino, Congré, Fofana, M'Bengué - E. Capoue - Machado, E. Didot, Sissoko, Mansaré - Santander
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28112010/70/ligue-1-les-mal-aimes-de-la-l1.html
Azpi gravement blessé, l’OM va recruter
Critiqué en début de saison, Cesar Azpilicueta avait remonté la pente ces dernières semaines avec des prestations très convaincantes, comme par exemple à Moscou (0-3) mardi dernier en Ligue des Champions. Malheureusement pour lui, sa saison est d'ores et déjà terminée ! Sur la bonne voie, le protégé de Didier Deschamps a été stoppé dans son élan samedi face à Montpellier (4-0), sorti sur civière dès la 15e minute. Verdict : les ligaments croisés antérieurs du genou gauche ont lâché.
D. Deschamps – «quelqu'un de bon qui ne coûte pas cher»
Un coup dur pour Azpi et pour l'OM. «Ca me fait beaucoup de peine pour lui car il revenait bien. C'est un type sympa, totalement intégré dans le groupe et on l'a perdu pour la saison» , a regretté le président Jean-Claude Dassier. Conséquence, les dirigeants marseillais vont se réunir dès ce dimanche pour plancher sur le recrutement d'un nouveau latéral droit. Pas évident à cette période de la saison de trouver un joueur capable d'endosser illico le costume de titulaire, sans coûter une fortune…
Certes, Charles Kaboré peut dépanner au poste. Mais après avoir laissé partir Laurent Bonnart l'été dernier, l'OM ne peut pas se permettre de jouer toute la deuxième moitié de la saison avec un seul latéral droit. «Par rapport à nos échéances, on ne peut pas se permettre de n'avoir que le seul Charles Kaboré» , a immédiatement confirmé Deschamps samedi soir. «On va se pencher sur la question. C'est toujours le même discours, il faut trouver quelqu'un de bon et qui ne coûte pas cher, c'est difficilement compatible. Je vais faire le tour des possibilités» , a-t-il ajouté.
Dassier réunit Deschamps et Anigo ce dimanche
De son côté, Dassier a indiqué vouloir se réunir dès ce dimanche avec Deschamps et le directeur sportif José Anigo pour dresser la liste des possibles. «Peut-être qu'on va pouvoir attendre le mercato, mais on ne peut pas prendre de risques» , a-t-il précisé. Autrement dit, si l'OM trouve la perle rare dans les prochains jours, tout sera fait pour finaliser le contrat au plus vite. Les Marseillais pourraient donc ne pas attendre l'ouverture du marché et engager un joker. Encore faut-il le trouver…
http://www.maxifoot.fr/football/article-11110.htm
D. Deschamps – «quelqu'un de bon qui ne coûte pas cher»
Un coup dur pour Azpi et pour l'OM. «Ca me fait beaucoup de peine pour lui car il revenait bien. C'est un type sympa, totalement intégré dans le groupe et on l'a perdu pour la saison» , a regretté le président Jean-Claude Dassier. Conséquence, les dirigeants marseillais vont se réunir dès ce dimanche pour plancher sur le recrutement d'un nouveau latéral droit. Pas évident à cette période de la saison de trouver un joueur capable d'endosser illico le costume de titulaire, sans coûter une fortune…
Certes, Charles Kaboré peut dépanner au poste. Mais après avoir laissé partir Laurent Bonnart l'été dernier, l'OM ne peut pas se permettre de jouer toute la deuxième moitié de la saison avec un seul latéral droit. «Par rapport à nos échéances, on ne peut pas se permettre de n'avoir que le seul Charles Kaboré» , a immédiatement confirmé Deschamps samedi soir. «On va se pencher sur la question. C'est toujours le même discours, il faut trouver quelqu'un de bon et qui ne coûte pas cher, c'est difficilement compatible. Je vais faire le tour des possibilités» , a-t-il ajouté.
Dassier réunit Deschamps et Anigo ce dimanche
De son côté, Dassier a indiqué vouloir se réunir dès ce dimanche avec Deschamps et le directeur sportif José Anigo pour dresser la liste des possibles. «Peut-être qu'on va pouvoir attendre le mercato, mais on ne peut pas prendre de risques» , a-t-il précisé. Autrement dit, si l'OM trouve la perle rare dans les prochains jours, tout sera fait pour finaliser le contrat au plus vite. Les Marseillais pourraient donc ne pas attendre l'ouverture du marché et engager un joker. Encore faut-il le trouver…
http://www.maxifoot.fr/football/article-11110.htm
José Mourinho dégomme Arsène Wenger
L'entraîneur du Real se défend après les accusations du coach d'Arsenal...
Arsène Wenger a – comme d’habitude – eu son mot à dire sur l’affaire des cartons du Real Madrid. L’entraîneur d’Arsenal a ainsi réclamé des sanctions contre Sergio Ramos et Xabi Alonso, coupables d’avoir volontairement reçu des cartons rouges. Bien mal lui en a pris, puisque José Mourinho, le coach du Real, l’a remis à sa place. «Il devrait expliquer aux supporters d'Arsenal pourquoi il n'a plus remporté le moindre titre depuis 2005, allume le «Mou» dans The Sun. Au lieu de parler du Real, M. Wenger devrait expliquer comment Arsenal a pu perdre 2-0 en Ligue des champions (contre Braga). L'excuse de la jeunesse est trop vieille maintenant. Sagna, Clichy, Walcott, Fabregas, Song, Nasri, Van Persie, Arshavin ne sont pas des gamins. Ce sont tous des supers joueurs.» Alors, c’est qui le patron?
http://www.20minutes.fr/article/629979/sports-jose-mourinho-degomme-arsene-wenger
Arsène Wenger a – comme d’habitude – eu son mot à dire sur l’affaire des cartons du Real Madrid. L’entraîneur d’Arsenal a ainsi réclamé des sanctions contre Sergio Ramos et Xabi Alonso, coupables d’avoir volontairement reçu des cartons rouges. Bien mal lui en a pris, puisque José Mourinho, le coach du Real, l’a remis à sa place. «Il devrait expliquer aux supporters d'Arsenal pourquoi il n'a plus remporté le moindre titre depuis 2005, allume le «Mou» dans The Sun. Au lieu de parler du Real, M. Wenger devrait expliquer comment Arsenal a pu perdre 2-0 en Ligue des champions (contre Braga). L'excuse de la jeunesse est trop vieille maintenant. Sagna, Clichy, Walcott, Fabregas, Song, Nasri, Van Persie, Arshavin ne sont pas des gamins. Ce sont tous des supers joueurs.» Alors, c’est qui le patron?
http://www.20minutes.fr/article/629979/sports-jose-mourinho-degomme-arsene-wenger
L'OM voit le sommet
Large vainqueur face à Montpellier (4-0), Marseille a pris les commandes de la L1 à la différence de buts lors de la 15e journée. L'OM profite des faux-pas de Lille, à Bordeaux (1-1), et Rennes, à Lorient (2-0). Seul le PSG, en déplacement à Lyon dimanche, peut le détrôner. Brest-Lens a été reporté.
Pour l'OM, c'est décidemment une belle semaine. Quatre jours après décroché à Moscou leur billet pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions, les Phocéens ont détrôné Lille à la différence de buts (+11 contre +8) et se sont installés provisoirement en tête du Championnat. Mercredi, ils peuvent même prolonger le bonheur et profiter de leur match en retard face à Rennes pour creuser un premier véritable écart en haut du tableau. Avant cela, il aura toutefois fallu passer l'obstacle Montpellier, toujours sur le podium (3e). Sans Gignac blessé et Rémy remplaçant, la formation de Didier Deschamps a encore fait preuve d'une grande maîtrise (4-0).
DD s'en est remis pour cela à ses anciens, à l'image de Benoît Cheyrou, Brandao et Lucho Gonzalez. Un visage déjà vu la saison dernière. Le premier était d'abord impliqué sur l'ouverture du score, permettant au Brésilien d'effectuer sa deuxième passe en deux matches pour Lucho (20e), avant de marquer (28e). Lucho se muait lui aussi en passeur pour Valbuena (66e) avant que Rémy ne parachève le score (90e). Seule ombre au tableau : la blessure au genou gauche d'Azpilicueta, victime d'une rupture des ligaments croisés antérieurs et absent six mois. Le coup parfait pour Marseille qui s'installe pour la première fois de la saison dans le fauteuil de leader en attendant le résultat du PSG à Lyon, dimanche.
Lille n'aime pas les gros
A ce rythme-là, il va devenir difficile d'empêcher l'OM de faire main basse sur le championnat. Surtout si ses concurrents marquent le pas. Après trois victoires consécutives, Lille a en effet été ralenti à Bordeaux (1-1). Après Paris (0-0), Lyon (1-3) et Marseille (1-3), le LOSC confirme ses difficultés face aux gros du Championnat. Et le prochaine adversaire de l'OM, Rennes, n'a pas non plus préparé de la meilleure des manières son match en retard - et choc au sommet - programmé au Vélodrome. Après quatre matches sans succès, on croyait pourtant les Bretons remis dans le droit chemin après leur victoire contre Brest (2-1). Mais, pour leur second derby consécutif, ils sont retombés dans leurs travers à Lorient (0-2), victimes de Romao (61e) et Morel (85e). Sans Mangane ni Marveaux, les hommes de Frédéric Antonetti, désormais 5e du classement avec deux points de plus que les Merlus, sont sur la mauvaise pente.
En revanche, Valenciennes s'est offert une bouffée d'oxygène grâce à une large victoire face à Arles-Avignon (3-0). Des buts de Pujol (20e), Sanchez (78e) et Danic (83) permettent aux Nordistes de remonter au 13e rang. Avec six points, les Sudistes restent englués à la dernière place. Monaco ne peut pas en dire autant. Dans le derby azuréen, entre mal-classés, l'ASM n'a pu faire mieux que le partage des points face à Nice (1-1). La rencontre entre Nancy et Saint-Etienne a accouché du même résultat, Vahirua (67e) et Perrin (52e), qui avaient déjà trouvé l'ouverture lors de la journée précédente, ayant récidivé. Brest et Lens, eux, devront patienter. Les chutes de neige ont provoqué l'arrêt de leur confrontation à la pause alors que le score était nul et vierge.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28112010/70/ligue-1-l-om-voit-le-sommet.html
Pour l'OM, c'est décidemment une belle semaine. Quatre jours après décroché à Moscou leur billet pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions, les Phocéens ont détrôné Lille à la différence de buts (+11 contre +8) et se sont installés provisoirement en tête du Championnat. Mercredi, ils peuvent même prolonger le bonheur et profiter de leur match en retard face à Rennes pour creuser un premier véritable écart en haut du tableau. Avant cela, il aura toutefois fallu passer l'obstacle Montpellier, toujours sur le podium (3e). Sans Gignac blessé et Rémy remplaçant, la formation de Didier Deschamps a encore fait preuve d'une grande maîtrise (4-0).
DD s'en est remis pour cela à ses anciens, à l'image de Benoît Cheyrou, Brandao et Lucho Gonzalez. Un visage déjà vu la saison dernière. Le premier était d'abord impliqué sur l'ouverture du score, permettant au Brésilien d'effectuer sa deuxième passe en deux matches pour Lucho (20e), avant de marquer (28e). Lucho se muait lui aussi en passeur pour Valbuena (66e) avant que Rémy ne parachève le score (90e). Seule ombre au tableau : la blessure au genou gauche d'Azpilicueta, victime d'une rupture des ligaments croisés antérieurs et absent six mois. Le coup parfait pour Marseille qui s'installe pour la première fois de la saison dans le fauteuil de leader en attendant le résultat du PSG à Lyon, dimanche.
Lille n'aime pas les gros
A ce rythme-là, il va devenir difficile d'empêcher l'OM de faire main basse sur le championnat. Surtout si ses concurrents marquent le pas. Après trois victoires consécutives, Lille a en effet été ralenti à Bordeaux (1-1). Après Paris (0-0), Lyon (1-3) et Marseille (1-3), le LOSC confirme ses difficultés face aux gros du Championnat. Et le prochaine adversaire de l'OM, Rennes, n'a pas non plus préparé de la meilleure des manières son match en retard - et choc au sommet - programmé au Vélodrome. Après quatre matches sans succès, on croyait pourtant les Bretons remis dans le droit chemin après leur victoire contre Brest (2-1). Mais, pour leur second derby consécutif, ils sont retombés dans leurs travers à Lorient (0-2), victimes de Romao (61e) et Morel (85e). Sans Mangane ni Marveaux, les hommes de Frédéric Antonetti, désormais 5e du classement avec deux points de plus que les Merlus, sont sur la mauvaise pente.
En revanche, Valenciennes s'est offert une bouffée d'oxygène grâce à une large victoire face à Arles-Avignon (3-0). Des buts de Pujol (20e), Sanchez (78e) et Danic (83) permettent aux Nordistes de remonter au 13e rang. Avec six points, les Sudistes restent englués à la dernière place. Monaco ne peut pas en dire autant. Dans le derby azuréen, entre mal-classés, l'ASM n'a pu faire mieux que le partage des points face à Nice (1-1). La rencontre entre Nancy et Saint-Etienne a accouché du même résultat, Vahirua (67e) et Perrin (52e), qui avaient déjà trouvé l'ouverture lors de la journée précédente, ayant récidivé. Brest et Lens, eux, devront patienter. Les chutes de neige ont provoqué l'arrêt de leur confrontation à la pause alors que le score était nul et vierge.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28112010/70/ligue-1-l-om-voit-le-sommet.html
samedi 27 novembre 2010
Landreau : "On m’attend au tournant"
Il n’a plus porté le maillot de l’équipe de France depuis novembre 2007, en amical face au Maroc. Sa onzième et très probablement dernière sélection avec les Bleus. Mais Mickaël Landreau, 31 ans, ne vit pas dans la nostalgie. Le gardien de but, champion de France avec Nantes et vainqueur de la Coupe de la Ligue avec le Paris-Saint-Germain, s’épanouit à Lille. Eden Hazard, niveau de la L1, avenir, équipe de France : « Mika » se confie.
France-Soir Que vous inspire la place de leader de Lille ?
Mickaël Landreau Du positif. Cela prouve qu’on a réussi à obtenir des résultats intéressants. Mais nous prenons cela avec du recul, car il y a encore un match en retard entre Rennes et Marseille. Et si l’un des deux l’emporte, il peut être leader. Cette première place est pour l’instant anecdotique.
F.-S. Etes-vous d’accord avec ceux qui critiquent le niveau actuel de la Ligue 1 ?
M. L. On peut le discuter de plein de manières différentes. Mais le PSG est quasiment qualifié pour le tour suivant de la Ligue Europa, l’OM et Lyon vont en huitièmes de finale de la Ligue des champions, Auxerre a fait un excellent parcours mais est tombé dans le « groupe de la mort ». La Ligue 1 ne se porte pas mal. Après, en termes de moyens et d’effectifs, c’est plus difficile de gagner le samedi et d’être compétitif en Coupe d’Europe, mais je trouve que c’est plutôt un championnat intéressant. Il permet de suivre de belles aventures. Ça fait plaisir de voir Brest et Montpellier en haut du classement. Cela montre qu’à travers le collectif les valeurs des équipes peuvent exister.
F.-S. Lille est la meilleure attaque du Championnat, mais en défense vous avez du mal à garder vos buts inviolés…
M. L. Comme toujours, on cherche le petit point à améliorer. Quand on est autant porté sur l’offensif, c’est normal aussi de se prendre des buts. Mais il faut dire qu’on a pris plusieurs top buts (rire). En plus, notre bilan défensif est un peu biaisé, car on a pris deux fois trois buts face à l’OL et à l’OM. Mais je nous ai tout de même trouvés intéressants collectivement.
F.-S. Que vous inspire Eden Hazard, votre jeune et brillant coéquipier ?
M. L. C’est un joueur exceptionnel. Comme lui, j’ai commencé très tôt et je sais l’attente qui pèse sur ses épaules. Il a le droit d’avoir des moments où il est moins bien. Mais je trouve qu’il est plutôt régulier et pour moi c’est une chance de pouvoir évoluer avec un tel joueur, surtout quand on aime le foot. Il va continuer son bonhomme de chemin.
F.-S. Quel regard portez-vous sur les portiers français ?
M. L. Je ne pense pas qu’on ait encore un gardien dans les trois, quatre meilleurs au monde. En revanche, en termes de qualité et de quantité, on est dans les tout meilleurs.
F.-S. Vous ne placez donc pas Lloris parmi les meilleurs mondiaux ?
M. L. Hugo Lloris a encore une marche à franchir. Par comparaison, je trouve que Steve Mandanda est très performant dans un club où les choses ne sont pas toujours simples. Il est vraiment intéressant. Cech, Julio Cesar, Casillas, eux, sont sur le toit du monde. Lloris a encore une marche à franchir, par exemple aller dans un grand club européen.
« Je suis à la disposition de l’équipe de France »
F.-S. Etes-vous tenté par l’aventure à l’étranger ?
M. L. J’aime bien la France et je m’éclate en Ligue 1. J’ai 31 ans. Mais c’est déjà c’est ma 14e ou 15e saison en Ligue 1. Avec beaucoup d’exigence, j’ai enchaîné 40-50 matches par saison. Mais je m’éclate. Je donne mon maximum. J’ai eu des périodes plus difficiles que d’autres mais, tous les jours, je prends du plaisir. Je ne me projette pas trop. Je me dis juste qu’aujourd’hui j’ai envie de jouer. Je prends du plaisir saison après saison. Si demain ça devait s’arrêter, ça ne me dérangerait pas.
F.-S. Pensez-vous encore à l’équipe de France ?
M. L. Laurent Blanc fera les choix qu’il souhaite mais, tant que je suis en activité, je suis à la disposition de l’équipe de France. Même si je ne suis pas retenu, cela ne m’empêche pas d’être le premier supporteur de l’équipe de France. C’est la vitrine du football français.
F.-S. Vous êtes-vous remis de vos dernières déceptions avec l’équipe de France ?
M. L. Je n’ai pas le choix. On se construit à travers ça. Je m’investis tout d’abord pour mon club, Lille, avec l’envie d’être le meilleur à un poste difficile. C’est vrai qu’il y a des soirs où on est moins heureux et où on se sent un peu seul (rire). La pression et l’exigence sont là depuis mes 17 ans. On m’attend au tournant, je n’ai pas le droit à l’erreur. C’est une motivation pour moi, cela me pousse à travailler et à faire le maximum. Cela demande une hygiène de vie irréprochable, et de donner le meilleur de soi-même. Je sais que l’environnement ne me pardonne pas grand-chose.
http://www.francesoir.fr/equipe-de-france-football-ligue-1-ligue-des-champions/landreau-m-attend-au-tournant.61490
France-Soir Que vous inspire la place de leader de Lille ?
Mickaël Landreau Du positif. Cela prouve qu’on a réussi à obtenir des résultats intéressants. Mais nous prenons cela avec du recul, car il y a encore un match en retard entre Rennes et Marseille. Et si l’un des deux l’emporte, il peut être leader. Cette première place est pour l’instant anecdotique.
F.-S. Etes-vous d’accord avec ceux qui critiquent le niveau actuel de la Ligue 1 ?
M. L. On peut le discuter de plein de manières différentes. Mais le PSG est quasiment qualifié pour le tour suivant de la Ligue Europa, l’OM et Lyon vont en huitièmes de finale de la Ligue des champions, Auxerre a fait un excellent parcours mais est tombé dans le « groupe de la mort ». La Ligue 1 ne se porte pas mal. Après, en termes de moyens et d’effectifs, c’est plus difficile de gagner le samedi et d’être compétitif en Coupe d’Europe, mais je trouve que c’est plutôt un championnat intéressant. Il permet de suivre de belles aventures. Ça fait plaisir de voir Brest et Montpellier en haut du classement. Cela montre qu’à travers le collectif les valeurs des équipes peuvent exister.
F.-S. Lille est la meilleure attaque du Championnat, mais en défense vous avez du mal à garder vos buts inviolés…
M. L. Comme toujours, on cherche le petit point à améliorer. Quand on est autant porté sur l’offensif, c’est normal aussi de se prendre des buts. Mais il faut dire qu’on a pris plusieurs top buts (rire). En plus, notre bilan défensif est un peu biaisé, car on a pris deux fois trois buts face à l’OL et à l’OM. Mais je nous ai tout de même trouvés intéressants collectivement.
F.-S. Que vous inspire Eden Hazard, votre jeune et brillant coéquipier ?
M. L. C’est un joueur exceptionnel. Comme lui, j’ai commencé très tôt et je sais l’attente qui pèse sur ses épaules. Il a le droit d’avoir des moments où il est moins bien. Mais je trouve qu’il est plutôt régulier et pour moi c’est une chance de pouvoir évoluer avec un tel joueur, surtout quand on aime le foot. Il va continuer son bonhomme de chemin.
F.-S. Quel regard portez-vous sur les portiers français ?
M. L. Je ne pense pas qu’on ait encore un gardien dans les trois, quatre meilleurs au monde. En revanche, en termes de qualité et de quantité, on est dans les tout meilleurs.
F.-S. Vous ne placez donc pas Lloris parmi les meilleurs mondiaux ?
M. L. Hugo Lloris a encore une marche à franchir. Par comparaison, je trouve que Steve Mandanda est très performant dans un club où les choses ne sont pas toujours simples. Il est vraiment intéressant. Cech, Julio Cesar, Casillas, eux, sont sur le toit du monde. Lloris a encore une marche à franchir, par exemple aller dans un grand club européen.
« Je suis à la disposition de l’équipe de France »
F.-S. Etes-vous tenté par l’aventure à l’étranger ?
M. L. J’aime bien la France et je m’éclate en Ligue 1. J’ai 31 ans. Mais c’est déjà c’est ma 14e ou 15e saison en Ligue 1. Avec beaucoup d’exigence, j’ai enchaîné 40-50 matches par saison. Mais je m’éclate. Je donne mon maximum. J’ai eu des périodes plus difficiles que d’autres mais, tous les jours, je prends du plaisir. Je ne me projette pas trop. Je me dis juste qu’aujourd’hui j’ai envie de jouer. Je prends du plaisir saison après saison. Si demain ça devait s’arrêter, ça ne me dérangerait pas.
F.-S. Pensez-vous encore à l’équipe de France ?
M. L. Laurent Blanc fera les choix qu’il souhaite mais, tant que je suis en activité, je suis à la disposition de l’équipe de France. Même si je ne suis pas retenu, cela ne m’empêche pas d’être le premier supporteur de l’équipe de France. C’est la vitrine du football français.
F.-S. Vous êtes-vous remis de vos dernières déceptions avec l’équipe de France ?
M. L. Je n’ai pas le choix. On se construit à travers ça. Je m’investis tout d’abord pour mon club, Lille, avec l’envie d’être le meilleur à un poste difficile. C’est vrai qu’il y a des soirs où on est moins heureux et où on se sent un peu seul (rire). La pression et l’exigence sont là depuis mes 17 ans. On m’attend au tournant, je n’ai pas le droit à l’erreur. C’est une motivation pour moi, cela me pousse à travailler et à faire le maximum. Cela demande une hygiène de vie irréprochable, et de donner le meilleur de soi-même. Je sais que l’environnement ne me pardonne pas grand-chose.
http://www.francesoir.fr/equipe-de-france-football-ligue-1-ligue-des-champions/landreau-m-attend-au-tournant.61490
Ligue 1 : tout ce qu'il faut savoir avant la 15e journée
Brest : Brou Apanga et Kantari opérationnels
Ahmed Kantari (ischios-jambiers) et Moïse Brou Apanga (genou) ont repris l'entraînement et devraient être opérationnels pour la venue de Lens samedi. Seront en revanche absents Larsen Touré (ischio-jambiers), Granddi Ngoyi (fracture de la malléole) et vraisemblablement Grégory Lorenzi (lumbago).
Lens : Rotation annoncée
Jean-Guy Wallemme souhaite apporter de la fraîcheur à un groupe apparu physiquement fatigué contre Lyon (1-3) dimanche dernier. Plusieurs changements sont envisagés, notamment le retour de Yohan Démont au poste de latéral droit, et de Grégory Sertic en milieu de terrain. Franck Queudrue, touché au quadriceps contre Nice, est de retour à l'entraînement, mais, en manque de rythme, ne devrait pas figurer dans le groupe à Brest. Samba Sow, absent depuis fin août (cheville), a repris le travail avec ballon cette semaine. Il accélère sa phase de reprise, comme le défenseur Darnel Situ. Tout deux pourraient être disponibles dans une dizaine de jours. Par contre, Issam Jemaa et David Pollet ne devraient pas être de retour avant la trêve.
Lorient : Ecuélé-Manga très incertain
Le défenseur central Bruno Ecuélé-Manga est très incertain pour la réception de Rennes. Il souffre d'une contracture à une cuisse depuis mardi. Le joueur devait passer jeudi soir une IRM afin d'en savoir plus sur la gravité de sa blessure, avant, éventuellement, de faire un dernier essai vendredi. Cette semaine, Arnaud Le Lan a repris l'entraînement mais Jérémy Morel devrait conserver sa place sur le flanc gauche de la défense. Les prévisions météo sont pessimistes pour la rencontre, de la neige est attendue.
Rennes : Sans Marveaux ni Mangane
Sylvain Marveaux, absent jusqu'en janvier en raison d'une lésion musculaire à l'adducteur droit, et Kader Mangane (dos), sont contraints de déclarer forfait pour le déplacement à Lorient samedi. En prévision de ce 2e derby d'affilée après celui contre Brest, Frédéric Antonetti a programmé les trois dernières séances d'entraînement sur un terrain synthétique. Fabien Lemoine, gravement blessé en août et qui a subi l'ablation de son rein droit, a participé à la séance de jeudi, sans opposition.
Marseille : Gignac incertain
L'attaquant André-Pierre Gignac, touché aux ischio-jambiers la veille du match de Ligue des champions contre le Spartak Moscou, est incertain. Il a couru à l'écart du groupe jeudi et une décision devrait être prise vendredi. "Ce n'est pas très méchant", a cependant indiqué Didier Deschamps jeudi. Le défenseur Vitorino Hilton, lui, soigne toujours des adducteurs douloureux et devrait "reprendre la course en début de semaine prochaine", selon Deschamps. Le coach marseillais, qui a profité du décrassage mercredi pour rappeler ses exigences à ses troupes, pourrait reconduire le onze de départ ayant brillamment acquis la qualification en 8e de finale de la C1 mardi à Moscou (0-3), dans un schéma 4-2-3-1 avec Valbuena en milieu axial derrière l'attaquant. "Tout le monde va vouloir participer à ce 8e de finale, cela permet d'avoir encore plus d'exigence envers tout le monde", a-t-il indiqué jeudi, conscient aussi que pour des raisons "économiques", il ne devra pas compter sur un renfort lors du mercato d'hiver.
Montpellier : Pitau et Marveaux dans le groupe
Les milieux de terrain Romain Pitau, remis d'une contracture à la cuisse gauche qui l'a privée du match à Nice (0-1), et Joris Marveaux, victime d'une contusion au nez, postulent à une place de titulaire. Ils sont en concurrence avec Benjamin Stambouli et Younès Belhanda. Efficaces remplaçants à Nice, le milieu chilien Marco Estrada et l'attaquant Olivier Giroud retrouveront une place de titulaire aux dépens de Geoffrey Dernis et Souleymane Camara.
Monaco : Niculae incertain
L'attaquant Daniel Niculae, dont la douleur à la cheville s'est réveillée, est, selon l'entraîneur Guy Lacombe "très incertain". L'autre grosse incertitude concerne la présence de l'attaquant coréen Park Chu-young, qui a disputé dans la nuit de mercredi à jeudi sa dernière rencontre avec son équipe nationale aux Jeux asiatiques. En revanche, Dieumerci Mbokani s'est remis de sa blessure aux adducteurs et sera opérationnel. Lacombe devra par ailleurs se passer des services des blessés de longue date pour ce derby, Vincent Muratori (cuisse) et Cédric Mongongu (claquage aux muscles ischio-jambiers).
Nice : Toujours des incertitudes
Les milieux de terrain Julien Sablé (lésion paroi abdominale), Abdou Traoré (pointe derrière la cuisse droite) et le latéral Drissa Diakité (douleur récurrente à la cheville gauche), en reprise depuis jeudi, passeront un test vendredi. S'il s'avère négatif, l'entraîneur niçois Eric Roy sait qu'il devra encore "inventer" une équipe, au vu des longues indisponibilités des défenseurs Larrys Mabiala (déchirure cuisse) et Nemanja Pejcinovic (inflammation adducteurs), des milieux Didier Digard (cuisse) et David Hellebuyck (genou) et de l'attaquant Habib Bamogo (cuisse). Par ailleurs, l'attaquant malien Mamadou Bagayoko a comme prévu limité à trois séances de travail son essai à Wolverhampton (1re div. anglaise) pour réintégrer le groupe jeudi. "Cela s'est bien passé, les dirigeants anglais veulent me revoir. On rediscutera peut-être au mercato d'hiver", a expliqué Bagayoko, sous contrat jusqu'en juin avec Nice où il a peu joué cette saison (deux apparitions). "Pourquoi pas les Wolves, un autre club français ou tout simplement Nice, je m'y sens bien. Il n'y a pas d'urgence", a encore dit Bagayoko, 31 ans.
Nancy : Toute la semaine à Picot
Le match de samedi face à Valenciennes et celui à venir contre Saint-Etienne ayant lieu à domicile, au stade Marcel-Picot, les Nancéiens se sont entraînés tous les matins de cette semaine sur la pelouse synthétique de leur terrain d'honneur. Cet aménagement a été d'autant plus apprécié que la neige a fait son apparition jeudi au centre d'entraînement de l'ASNL, en forêt de Haye. Ménagé en début de semaine en raison d'une inflammation à un tendon d'Achille, le défenseur Reynald Lemaitre devrait toutefois être opérationnel samedi. Par contre, le latéral droit Michaël Chrétien (claquage aux ischio-jambiers) est toujours forfait.
Saint-Etienne : Laurent Battles suspendu
Le milieu de terrain Christophe Landrin est forfait pour le déplacement à Nancy, en raison d'une entorse à la cheville contractée lors d'une séance d'entraînement. Cette absence, conjuguée à celle de Laurent Battles, suspendu, limitera les possibilités de l'entraîneur stéphanois Christophe Galtier, qui devrait donc aligner Loïc Perrin, Josuha Guilavogui et Blaise Matuidi. Devant la concurrence reste forte, entre Emmanuel Rivière et l'Argentin Gonzalo Bergessio, pour le poste d'avant-centre, mais l'international espoirs semble tenir la corde, tout comme Sylvain Marchal en défense centrale qui pourrait être titularisé aux côtés de Sylvain Monsoreau, au détriment de l'international sénégalais Mustapha Bayal.
Valenciennes : Loriot incertain
Pour la réception d'Arles, Philippe Montanier récupère Gaël Danic, Rudy Mater et Nicolas Isimat-Mirin, tous trois suspendus lors de la dernière journée. La présence de Guillaume Loriot, qui a repris jeudi avec le groupe, est toujours incertaine. Samassa, Wimbée, Bangoura, Kadir, Lacourt, Bong et Aboubakar, revenu du Cameroun, sont toujours en reprise ou convalescents. Rafael, qui s'entraîne normalement, pourrait évoluer avec la réserve.
Arles-Avignon : Ayasse forfait, Laurenti suspendu
Le milieu Thomas Ayasse, souffrant de la voûte plantaire, est forfait, tandis que le défenseur Fabien Laurenti est suspendu, après son exclusion contre Bordeaux. Il pourrait être remplacé par l'Espagnol Alvajo Meija, absent depuis le match contre Lyon le 24 octobre en raison d'une cote fêlée. L'entraîneur bosnien Faruk Hadzibegic, qui a augmenté l'intensité des entraînements après la défaite devant les Girondins (2-4), ne devrait guère modifier son onze de départ, misant sur la stabilité.
Bordeaux : Retour de Diarra
Le milieu international et capitaine Alou Diarra, qui a purgé ses six semaines de suspension, fait son grand retour dans l'entrejeu girondin à l'occasion de la réception du leader lillois. Autre retour, celui du milieu tunisien Fahid Ben Khalfallah, suspendu dimanche à Arles-Avignon. Absent mercredi à l'entraînement, le défenseur latéral Benoît Trémoulinas devrait être présent contre les Dogues. Bordeaux devrait évoluer en 4-2-3-1 avec Fernando confirmé en défense centrale et Anthony Modeste seul en pointe. Au rayon des absences, le défenseur central Marc Planus, parti au centre de rééducation de Capbreton (Landes) à la suite de son arthroscopie, devrait revenir sur les terrains début 2011. L'entraîneur Jean Tigana, qui ne communique pas sur l'état de santé de ses joueurs en raison du secret médical, a indiqué que le latéral Matthieu Chalmé était juste très incertain pour samedi.
Lille : Frau seul absent ?
Rudi Garcia devrait disposer d'un groupe presque au complet pour le déplacement du LOSC à Bordeaux samedi. Florent Balmont, blessé aux ischio-jambiers depuis le début du mois du novembre, devrait faire son retour. Après avoir suivi une préparation individuelle depuis le début de semaine, il a de grandes chances de retrouver le groupe vendredi matin. Les chances semblent en revanche plus minces pour Pierre-Alain Frau, victime d'une entorse de la cheville contre Monaco et qui a juste repris la course. "C'est du 50-50", selon Rudi Garcia
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/sport/20101126.OBS3722/ligue-1-tout-ce-qu-il-faut-savoir-avant-la-15e-journee.html
Ahmed Kantari (ischios-jambiers) et Moïse Brou Apanga (genou) ont repris l'entraînement et devraient être opérationnels pour la venue de Lens samedi. Seront en revanche absents Larsen Touré (ischio-jambiers), Granddi Ngoyi (fracture de la malléole) et vraisemblablement Grégory Lorenzi (lumbago).
Lens : Rotation annoncée
Jean-Guy Wallemme souhaite apporter de la fraîcheur à un groupe apparu physiquement fatigué contre Lyon (1-3) dimanche dernier. Plusieurs changements sont envisagés, notamment le retour de Yohan Démont au poste de latéral droit, et de Grégory Sertic en milieu de terrain. Franck Queudrue, touché au quadriceps contre Nice, est de retour à l'entraînement, mais, en manque de rythme, ne devrait pas figurer dans le groupe à Brest. Samba Sow, absent depuis fin août (cheville), a repris le travail avec ballon cette semaine. Il accélère sa phase de reprise, comme le défenseur Darnel Situ. Tout deux pourraient être disponibles dans une dizaine de jours. Par contre, Issam Jemaa et David Pollet ne devraient pas être de retour avant la trêve.
Lorient : Ecuélé-Manga très incertain
Le défenseur central Bruno Ecuélé-Manga est très incertain pour la réception de Rennes. Il souffre d'une contracture à une cuisse depuis mardi. Le joueur devait passer jeudi soir une IRM afin d'en savoir plus sur la gravité de sa blessure, avant, éventuellement, de faire un dernier essai vendredi. Cette semaine, Arnaud Le Lan a repris l'entraînement mais Jérémy Morel devrait conserver sa place sur le flanc gauche de la défense. Les prévisions météo sont pessimistes pour la rencontre, de la neige est attendue.
Rennes : Sans Marveaux ni Mangane
Sylvain Marveaux, absent jusqu'en janvier en raison d'une lésion musculaire à l'adducteur droit, et Kader Mangane (dos), sont contraints de déclarer forfait pour le déplacement à Lorient samedi. En prévision de ce 2e derby d'affilée après celui contre Brest, Frédéric Antonetti a programmé les trois dernières séances d'entraînement sur un terrain synthétique. Fabien Lemoine, gravement blessé en août et qui a subi l'ablation de son rein droit, a participé à la séance de jeudi, sans opposition.
Marseille : Gignac incertain
L'attaquant André-Pierre Gignac, touché aux ischio-jambiers la veille du match de Ligue des champions contre le Spartak Moscou, est incertain. Il a couru à l'écart du groupe jeudi et une décision devrait être prise vendredi. "Ce n'est pas très méchant", a cependant indiqué Didier Deschamps jeudi. Le défenseur Vitorino Hilton, lui, soigne toujours des adducteurs douloureux et devrait "reprendre la course en début de semaine prochaine", selon Deschamps. Le coach marseillais, qui a profité du décrassage mercredi pour rappeler ses exigences à ses troupes, pourrait reconduire le onze de départ ayant brillamment acquis la qualification en 8e de finale de la C1 mardi à Moscou (0-3), dans un schéma 4-2-3-1 avec Valbuena en milieu axial derrière l'attaquant. "Tout le monde va vouloir participer à ce 8e de finale, cela permet d'avoir encore plus d'exigence envers tout le monde", a-t-il indiqué jeudi, conscient aussi que pour des raisons "économiques", il ne devra pas compter sur un renfort lors du mercato d'hiver.
Montpellier : Pitau et Marveaux dans le groupe
Les milieux de terrain Romain Pitau, remis d'une contracture à la cuisse gauche qui l'a privée du match à Nice (0-1), et Joris Marveaux, victime d'une contusion au nez, postulent à une place de titulaire. Ils sont en concurrence avec Benjamin Stambouli et Younès Belhanda. Efficaces remplaçants à Nice, le milieu chilien Marco Estrada et l'attaquant Olivier Giroud retrouveront une place de titulaire aux dépens de Geoffrey Dernis et Souleymane Camara.
Monaco : Niculae incertain
L'attaquant Daniel Niculae, dont la douleur à la cheville s'est réveillée, est, selon l'entraîneur Guy Lacombe "très incertain". L'autre grosse incertitude concerne la présence de l'attaquant coréen Park Chu-young, qui a disputé dans la nuit de mercredi à jeudi sa dernière rencontre avec son équipe nationale aux Jeux asiatiques. En revanche, Dieumerci Mbokani s'est remis de sa blessure aux adducteurs et sera opérationnel. Lacombe devra par ailleurs se passer des services des blessés de longue date pour ce derby, Vincent Muratori (cuisse) et Cédric Mongongu (claquage aux muscles ischio-jambiers).
Nice : Toujours des incertitudes
Les milieux de terrain Julien Sablé (lésion paroi abdominale), Abdou Traoré (pointe derrière la cuisse droite) et le latéral Drissa Diakité (douleur récurrente à la cheville gauche), en reprise depuis jeudi, passeront un test vendredi. S'il s'avère négatif, l'entraîneur niçois Eric Roy sait qu'il devra encore "inventer" une équipe, au vu des longues indisponibilités des défenseurs Larrys Mabiala (déchirure cuisse) et Nemanja Pejcinovic (inflammation adducteurs), des milieux Didier Digard (cuisse) et David Hellebuyck (genou) et de l'attaquant Habib Bamogo (cuisse). Par ailleurs, l'attaquant malien Mamadou Bagayoko a comme prévu limité à trois séances de travail son essai à Wolverhampton (1re div. anglaise) pour réintégrer le groupe jeudi. "Cela s'est bien passé, les dirigeants anglais veulent me revoir. On rediscutera peut-être au mercato d'hiver", a expliqué Bagayoko, sous contrat jusqu'en juin avec Nice où il a peu joué cette saison (deux apparitions). "Pourquoi pas les Wolves, un autre club français ou tout simplement Nice, je m'y sens bien. Il n'y a pas d'urgence", a encore dit Bagayoko, 31 ans.
Nancy : Toute la semaine à Picot
Le match de samedi face à Valenciennes et celui à venir contre Saint-Etienne ayant lieu à domicile, au stade Marcel-Picot, les Nancéiens se sont entraînés tous les matins de cette semaine sur la pelouse synthétique de leur terrain d'honneur. Cet aménagement a été d'autant plus apprécié que la neige a fait son apparition jeudi au centre d'entraînement de l'ASNL, en forêt de Haye. Ménagé en début de semaine en raison d'une inflammation à un tendon d'Achille, le défenseur Reynald Lemaitre devrait toutefois être opérationnel samedi. Par contre, le latéral droit Michaël Chrétien (claquage aux ischio-jambiers) est toujours forfait.
Saint-Etienne : Laurent Battles suspendu
Le milieu de terrain Christophe Landrin est forfait pour le déplacement à Nancy, en raison d'une entorse à la cheville contractée lors d'une séance d'entraînement. Cette absence, conjuguée à celle de Laurent Battles, suspendu, limitera les possibilités de l'entraîneur stéphanois Christophe Galtier, qui devrait donc aligner Loïc Perrin, Josuha Guilavogui et Blaise Matuidi. Devant la concurrence reste forte, entre Emmanuel Rivière et l'Argentin Gonzalo Bergessio, pour le poste d'avant-centre, mais l'international espoirs semble tenir la corde, tout comme Sylvain Marchal en défense centrale qui pourrait être titularisé aux côtés de Sylvain Monsoreau, au détriment de l'international sénégalais Mustapha Bayal.
Valenciennes : Loriot incertain
Pour la réception d'Arles, Philippe Montanier récupère Gaël Danic, Rudy Mater et Nicolas Isimat-Mirin, tous trois suspendus lors de la dernière journée. La présence de Guillaume Loriot, qui a repris jeudi avec le groupe, est toujours incertaine. Samassa, Wimbée, Bangoura, Kadir, Lacourt, Bong et Aboubakar, revenu du Cameroun, sont toujours en reprise ou convalescents. Rafael, qui s'entraîne normalement, pourrait évoluer avec la réserve.
Arles-Avignon : Ayasse forfait, Laurenti suspendu
Le milieu Thomas Ayasse, souffrant de la voûte plantaire, est forfait, tandis que le défenseur Fabien Laurenti est suspendu, après son exclusion contre Bordeaux. Il pourrait être remplacé par l'Espagnol Alvajo Meija, absent depuis le match contre Lyon le 24 octobre en raison d'une cote fêlée. L'entraîneur bosnien Faruk Hadzibegic, qui a augmenté l'intensité des entraînements après la défaite devant les Girondins (2-4), ne devrait guère modifier son onze de départ, misant sur la stabilité.
Bordeaux : Retour de Diarra
Le milieu international et capitaine Alou Diarra, qui a purgé ses six semaines de suspension, fait son grand retour dans l'entrejeu girondin à l'occasion de la réception du leader lillois. Autre retour, celui du milieu tunisien Fahid Ben Khalfallah, suspendu dimanche à Arles-Avignon. Absent mercredi à l'entraînement, le défenseur latéral Benoît Trémoulinas devrait être présent contre les Dogues. Bordeaux devrait évoluer en 4-2-3-1 avec Fernando confirmé en défense centrale et Anthony Modeste seul en pointe. Au rayon des absences, le défenseur central Marc Planus, parti au centre de rééducation de Capbreton (Landes) à la suite de son arthroscopie, devrait revenir sur les terrains début 2011. L'entraîneur Jean Tigana, qui ne communique pas sur l'état de santé de ses joueurs en raison du secret médical, a indiqué que le latéral Matthieu Chalmé était juste très incertain pour samedi.
Lille : Frau seul absent ?
Rudi Garcia devrait disposer d'un groupe presque au complet pour le déplacement du LOSC à Bordeaux samedi. Florent Balmont, blessé aux ischio-jambiers depuis le début du mois du novembre, devrait faire son retour. Après avoir suivi une préparation individuelle depuis le début de semaine, il a de grandes chances de retrouver le groupe vendredi matin. Les chances semblent en revanche plus minces pour Pierre-Alain Frau, victime d'une entorse de la cheville contre Monaco et qui a juste repris la course. "C'est du 50-50", selon Rudi Garcia
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/sport/20101126.OBS3722/ligue-1-tout-ce-qu-il-faut-savoir-avant-la-15e-journee.html
OL : un champion du monde ghanéen pour pallier le départ de Makoun
« Il y a un mercato qui va arriver. S’il y a des opportunités, il faudra que je prenne la bonne décision. Mais c’est sûr que rester malgré ce qui se passe, ça va être très dur. S’il faut encore attendre six mois après le mercato, ça sera très difficile. » Avec ce genre de déclaration, Jean II Makoun ne cache plus son désir de quitter l’Olympique Lyonnais. Une velléité de départ compréhensible étant donné son statut de remplaçant chez les Gones, mais surtout au vu de ses rapports compliqués avec le public de Gerland.
S’il parvient à trouver preneur en janvier, le Camerounais va cependant obliger ses dirigeants à lui chercher un remplaçant. Qualifié pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions, l’OL ne peut se permettre de dégraisser un effectif peu épargné par les coups durs s’il compte être performant sur tous les fronts. Du coup, si l’on en croit Ghanasoccer.net, au cas où Makoun viendrait à partir, les Rhodaniens pourraient passer à l’action afin de recruter le jeune Ghanéen Emmanuel Agyemang Badu (maillot rouge sur la photo).
Âgé de 19 ans, ce milieu de terrain évolue à l’Udinese depuis la saison dernière. Champion du monde des moins de 20 ans avec le Marseillais André Ayew, Badu est actuellement en manque de temps de jeu dans le Frioul (3 apparitions). Avec une valeur marchande estimée à 1 M€, le Black Star ne représenterait pas un risque énorme en terme d’investissement. Mais si l’OL serait intéressé par un transfert sec, l’équipe italienne n’envisagerait qu’un prêt. Une aubaine pour les Espagnols d’Osasuna, également sur le coup, dont les finances ne sont pas au mieux.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/ol-un-champion-du-monde-ghaneen-pour-pallier-le-depart-de-makoun_58735
S’il parvient à trouver preneur en janvier, le Camerounais va cependant obliger ses dirigeants à lui chercher un remplaçant. Qualifié pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions, l’OL ne peut se permettre de dégraisser un effectif peu épargné par les coups durs s’il compte être performant sur tous les fronts. Du coup, si l’on en croit Ghanasoccer.net, au cas où Makoun viendrait à partir, les Rhodaniens pourraient passer à l’action afin de recruter le jeune Ghanéen Emmanuel Agyemang Badu (maillot rouge sur la photo).
Âgé de 19 ans, ce milieu de terrain évolue à l’Udinese depuis la saison dernière. Champion du monde des moins de 20 ans avec le Marseillais André Ayew, Badu est actuellement en manque de temps de jeu dans le Frioul (3 apparitions). Avec une valeur marchande estimée à 1 M€, le Black Star ne représenterait pas un risque énorme en terme d’investissement. Mais si l’OL serait intéressé par un transfert sec, l’équipe italienne n’envisagerait qu’un prêt. Une aubaine pour les Espagnols d’Osasuna, également sur le coup, dont les finances ne sont pas au mieux.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/ol-un-champion-du-monde-ghaneen-pour-pallier-le-depart-de-makoun_58735
Ligue 2 - Evian-Thonon-Gaillard passe la seconde
Vainqueur de Grenoble (2-0) lors de la 16e journée, Evian-Thonon-Gaillard a pris la deuxième place du classement de L2. Tenu en échec à Metz (0-0), Sedan est désormais troisième. Nantes se replace en cinquième position après son succès sur Clermont (2-0). Leader, Tours reçoit Le Mans lundi (20h30).
La Ligue 2 a un nouveau dauphin. En enfonçant Grenoble à la dernière place du classement grâce à sa victoire sur le GF 38 (2-0), Evian-Thonon-Gaillard s'est emparé de la deuxième place du classement. Et réalise une belle opération, puisque le promu est la seule formation du haut du tableau à l'avoir emporté vendredi.
Tours (29 pts) et Le Mans (26 pts), qui s'affrontent lundi en Indre-et-Loire, auront donc également un bon coup à jouer. Les Tourangeaux pourraient en cas de succès prendre quatre points d'avance en tête, mais auront affaire à des Manceaux à l'aise à l'extérieur et qui peuvent devenir leaders s'ils gagnent par deux buts d'écart. Les conditions climatiques ont semble-t-il refroidi les ardeurs des attaquants -11 buts marqués- et tétanisé les équipes de tête en ce vendredi soir. Sedan (27 pts), meilleure attaque de la L2 qui pouvait prendre provisoirement la tête, n'a pas trouvé la faille sur la pelouse de Metz (0-0), embourbé dans la zone de relégation, et se retrouve ainsi dépassé par Evian (28 pts). Les Savoyards ont fait coup double puisqu'ils ont aussi renoué avec la victoire à domicile après plus de trois mois de disette.
Châteauroux et Le Havre (25 pts), qui pouvaient aussi prétendre à cette place de dauphin, ont également raté le coche. La Berrichonne a offert à Dijon sa première victoire à l'extérieure de la saison (3-0), tandis que le club doyen a interrompu malgré lui la série de trois défaites de Troyes (0-0) même s'il a poursuivi la sienne (11 matches sans défaite désormais). Ce surplace des équipes de tête profite à Nantes et Ajaccio. Vainqueur de Clermont (2-0), les Canaris se replacent à une longueur du podium (25 pts) grâce au doublé de Rodelin, les Corses suivant un point derrière grâce à celui de Jean-François Rivière contre Boulogne (2-0). Même s'ils comptent un match en moins, les Nordistes, à huit points du podium, commencent à se faire distancer dans la course à la montée... Dans le bas du classement, Reims a fait match nul contre Nîmes (1-1) comme Vannes face à Angers (0-0) et Istres à Laval (0-0).
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/26112010/70/ligue-2-evian-thonon-gaillard-passe-la-seconde.html
La Ligue 2 a un nouveau dauphin. En enfonçant Grenoble à la dernière place du classement grâce à sa victoire sur le GF 38 (2-0), Evian-Thonon-Gaillard s'est emparé de la deuxième place du classement. Et réalise une belle opération, puisque le promu est la seule formation du haut du tableau à l'avoir emporté vendredi.
Tours (29 pts) et Le Mans (26 pts), qui s'affrontent lundi en Indre-et-Loire, auront donc également un bon coup à jouer. Les Tourangeaux pourraient en cas de succès prendre quatre points d'avance en tête, mais auront affaire à des Manceaux à l'aise à l'extérieur et qui peuvent devenir leaders s'ils gagnent par deux buts d'écart. Les conditions climatiques ont semble-t-il refroidi les ardeurs des attaquants -11 buts marqués- et tétanisé les équipes de tête en ce vendredi soir. Sedan (27 pts), meilleure attaque de la L2 qui pouvait prendre provisoirement la tête, n'a pas trouvé la faille sur la pelouse de Metz (0-0), embourbé dans la zone de relégation, et se retrouve ainsi dépassé par Evian (28 pts). Les Savoyards ont fait coup double puisqu'ils ont aussi renoué avec la victoire à domicile après plus de trois mois de disette.
Châteauroux et Le Havre (25 pts), qui pouvaient aussi prétendre à cette place de dauphin, ont également raté le coche. La Berrichonne a offert à Dijon sa première victoire à l'extérieure de la saison (3-0), tandis que le club doyen a interrompu malgré lui la série de trois défaites de Troyes (0-0) même s'il a poursuivi la sienne (11 matches sans défaite désormais). Ce surplace des équipes de tête profite à Nantes et Ajaccio. Vainqueur de Clermont (2-0), les Canaris se replacent à une longueur du podium (25 pts) grâce au doublé de Rodelin, les Corses suivant un point derrière grâce à celui de Jean-François Rivière contre Boulogne (2-0). Même s'ils comptent un match en moins, les Nordistes, à huit points du podium, commencent à se faire distancer dans la course à la montée... Dans le bas du classement, Reims a fait match nul contre Nîmes (1-1) comme Vannes face à Angers (0-0) et Istres à Laval (0-0).
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/26112010/70/ligue-2-evian-thonon-gaillard-passe-la-seconde.html
Inscription à :
Articles (Atom)