vendredi 30 septembre 2011

Lyon n'est plus "Licha-dépendant"

Malgré l'absence de Lisandro, qui ne sera pas dimanche au Parc des Princes (21h), Lyon a su conserver une dynamique positive qui lui permet de partager la tête de la Ligue 1 avec le PSG. Une nouveauté de plus pour l'OL, qui souffrait beaucoup des absences de l'Argentin sous l'ère Puel.
Lisandro ne jouera pas face au Paris Saint-Germain, dimanche. Voilà qui, il n'y a pas si longtemps, aurait sonné comme une très mauvaise nouvelle. L'OL a toujours eu du mal quand il a été privé de son buteur argentin, sujet aux blessures récurrentes depuis son arrivée sur les bords du Rhône à l'été 2009. Les difficultés rencontrées par les Gones sans leur attaquant faisaient craindre le pire à la fin du mois d'août, quand l'ancien joueur du FC Porto a subi une entorse de la cheville gauche. Mais son absence n'a pas eu d'impact négatif sur les résultats du club rhodanien, une première depuis que Licha porte les couleurs d'un club pour lequel il a inscrit 45 buts en 88 matches.
La blessure de Lisandro est survenue alors que Lyon occupait la deuxième place de la Ligue 1 à un point de Montpellier, que l'OL venait de dominer à Gerland (2-1). Depuis, l'équipe de Rémi Garde a disputé six rencontres toutes compétitions confondues pour un bilan des plus positifs : quatre victoires, un nul et une défaite, la seule de la saison certes, à Caen (1-0). En Normandie, les Rhodaniens ont cependant davantage payé un fait de match, l'expulsion de leur gardien Hugo Lloris et le penalty transformé par Benjamin Nivet dans la foulée, que l'absence de l'international argentin (7 sélections, 1 but). Un revers qui n'a pas empêché Lyon de se porter en tête du championnat, à égalité avec le PSG, et de pointer à la deuxième place de son groupe de Ligue des Champions, juste derrière le Real Madrid.
Gomis incarne l'émancipation
L'absence du joueur de 28 ans n'a pas eu d'impact négatif sur les résultats de Lyon. Ni sur son rendement offensif, même si l'OL est resté muet à Caen et à Amsterdam face à l'Ajax (0-0) en Ligue des Champions. Lors des quatre autres rencontres disputées sans Lisandro, les Gones sont parvenus à chaque fois à inscrire au moins deux buts. Bafétimbi Gomis incarne parfaitement cette émancipation lyonnaise. Lors des deux dernières saisons, l'attaquant rhodanien avait inscrit 70% de ses buts en présence de l'Argentin. Sans lui, Bafé a marqué à cinq reprises lors des six derniers matches de l'OL, soit plus de la moitié de ses buts depuis le début de la saison (8, toutes compétitions confondues). Par rapport à l'ère Puel des deux dernières saisons, le système lyonnais est moins dépendant de l'ancien joueur de Porto, que l'OL aligne une ou deux pointes. Le rendement de Gomis en atteste.
Lyon a changé depuis que Rémi Garde s'est assis sur son banc, et la dynamique de victoire conservée par l'OL sans Lisandro en est une preuve supplémentaire. Le nouveau projet lyonnais pousse les joueurs à se responsabiliser davantage, comme l'entraîneur rhodanien le laissait entendre au moment de la blessure de l'Argentin. "Il faut faire confiance aux joueurs qui, depuis le début, travaillent bien en s’inscrivant dans le projet de l’équipe. Il faut faire avec son absence. On sait que les joueurs réclament souvent du temps de jeu, il y en aura au moins un, sur ce match, qui aura l’occasion de le remplacer. A lui de bien le faire", disait-il avant le match à Dijon (1-2), le premier sans Licha. Jérémy Pied et Clément Grenier, qui l'ont remplacé numériquement, ont su s'adapter au contexte. Et Michel Bastos, transfiguré, n'a pas hésité à prendre le leadership offensif en l'absence de Lisandro.
La faculté de Lyon à pouvoir se passer de l'Argentin est une nouveauté de l'ère Garde, un élément qui autorise encore davantage les Lyonnais aux plus grands espoirs cette saison. Le numéro 9 de l'OL n'en demeure pas moins un joueur clé. Les Gones ont su passer une période de six matches sans encombre sans le meilleur joueur de L1 2009/2010. Ils ne peuvent pas non plus vivre indéfiniment sans leur meilleure individualité. Quand l'ancien joueur de Porto est absent, son ombre plane encore sur Gerland. "J’ai une pensée pour les absents et notamment Lisandro Lopez à qui j’ai dédié le but que j’ai marqué, mais aussi Cris et Yoann Gourcuff, un dans chaque ligne. Nous attendons leur retour", disait Gomis après la victoire sur Marseille. Si performant soit-il, l'homme en forme de l'OL se réjouira donc de retrouver son compère de l'attaque. Et tout un club avec lui, alors que se profile un mois corsé avec le PSG, Lille, le derby face à Saint-Etienne et la double confrontation avec le Real au programme.
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http://fr.sports.yahoo.com/30092011/70/ligue-1-lyon-n-est-plus-licha-dependant.html
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Paris n'a pas existé

Fin de série pour le PSG qui a subi à Bilbao sa première défaite en 11 matches. Réduit à 10 dès la 52e minute après l'expulsion de Sissoko, Paris s'est incliné face aux Basques à San Mames (2-0) en Ligue Europa. Les doublures n'ont pas tenu le choc. Paris est 2e du groupe F à trois points de Bilbao.
Un trou noir de 90 minutes. Paris s'est cherché toute la rencontre face à l'Athletic Bilbao et a subi une défaite plus que logique lors de son deuxième match de phase de poules en Ligue Europa (2-0). Largement remanié en vue du choc face à Lyon dimanche, ce PSG, mené de deux buts dès la pause, ne méritait pas mieux et a concédé sa première défaite depuis le revers inaugural en L1 face à Lorient (0-1). Les habituelles doublures ont déçu à l'image d'un Sissoko fantomatique avant son expulsion (52e minute). Les hommes de Kombouaré conservent la deuxième place de leur groupe, à trois points des Espagnols. Salzbourg, tombeur du Slovan Bratislava (2-0), revient à hauteur du club de la capitale.
Si brillant face à Montpellier samedi (0-3), le PSG a démontré ce jeudi qu'il ne pouvait pas faire tourner son effectif sans que son niveau de jeu s'en ressente et a livré sa prestation la plus indigente de la saison. Erding, Sissoko et Chantôme ne sont pas au niveau des habituels titulaires (Gameiro, Matuidi, Ménez). A leur décharge, Pastore, qui aurait gagné à simplifier son jeu, et Nenê, totalement transparent, n'ont pas été les rampes de lancement habituelles des offensives parisiennes.
Kombouaré, résigné, fait souffler ses cadres
Globalement, Paris a eu tout faux. Dévoré dès l'entame de match en terme d'intention mais aussi d'engagement physique par l'avant-dernier de la Liga. L'Athletic aurait tout de même dû être réduit à dix dès la 29e, son gardien ayant touché le ballon de la main hors de la surface de réparation. Mais, dans la cathédrale de San Mames, les Basques ont fait la loi. Pressing agressif et jeu sur la largeur sont les deux premiers préceptes de Marcelo "el loco" Bielsa à avoir été assimilés par ses nouveaux joueurs, récompensés de deux buts quasi symétriques dès la première période: débordement de Susaeta à droite et volée du gauche de Gabilondo (1-0, 20e), puis débordement de Aurtenetxe à gauche et demi-volée du droit de Susaeta (2-0, 45+1). Le repli défensif douteux de Tiéné a bien aidé les Espagnols sur leur seconde réalisation.
Offensivement, Paris n'a absolument rien montré. Résigné, Antoine Kombouaré a profité de la fin de match pour faire souffler ses cadres Pastore et Nené avant la réception de Lyon dimanche. Emoussé physiquement, maladroit dans les transmissions, le club de la capitale devra montrer un autre visage face au club avec lequel il partage les commandes de la Ligue 1. Et démontrer que ce passage à vide n'est qu'un accident.

Rennes s'est fait rejoindre dans les dernières minutes face à l'Atlético Madrid (1-1) en Ligue Europa. Rennes avait pourtant le match en main. Avec un point pris en deux rencontres, le bilan des Bretons est famélique.

http://fr.sports.yahoo.com/29092011/70/ligue-europa-paris-n-a-pas-existe.html
http://fr.sports.yahoo.com/29092011/70/ligue-europa-rennes-c-est-cruel.html
 Eurosport
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jeudi 29 septembre 2011

Les sélectionnés !

Gardiens:
Cédric Carrasso (Bordeaux), Hugo Lloris (Lyon), Steve Mandanda (Marseille).

Défenseurs :
Eric Abidal (FC Barcelone/ESP), Patrice Evra (Manchester United/ANG), Younès Kaboul (Tottenham/ANG), Laurent Koscielny (Arsenal/ANG), Adil Rami (FC Valence/ESP), Anthony Réveillère(Lyon), Bacary Sagna (Arsenal/ANG).

Milieux :
Yohan Cabaye (Newcastle/ANG), Alou Diarra (Marseille), Yann M'Vila (Rennes), Florent Malouda (Chelsea/ANG), Marvin Martin (Sochaux), Blaise Matuidi (Paris-SG), Samir Nasri (Manchester City/ANG), Mathieu Valbuena (Marseille).

Attaquants :
Karim Benzema(Real Madrid/ANG), Kevin Gameiro (Paris-SG), Bafetimbi Gomis (Lyon), Loïc Rémy (Marseille), Jérémy Ménez (Paris-SG), Franck Ribéry (Bayern Munich/ALL).
http://www.20minutes.fr/article/796600/equipe-france-annonce-liste-laurent-blanc-suivre-live-comme-a-la-maison-des-14h

La qualif' avec Gomis ?

En pleine forme avec Lyon, Bafétimbi Gomis pourrait faire partie de la liste de Laurent Blanc pour les matches de qualifications pour l'Euro 2012 contre l'Albanie (7 octobre) et le Bosnie (11 octobre). Le sélectionneur ne devrait pas multiplier les surprises
Cette fois, on y est. Laurent Blanc donnera jeudi la liste la plus importante depuis ses débuts à la tête de la sélection française au cours de l'été 2010. Au Stade de France, face à l'Albanie (7 octobre) puis la Bosnie (11 octobre), les Bleus, leaders du groupe D avec un point d'avance sur les Bosniens, devront valider leur billet pour l'Euro 2012. L'enjeu est de terminer à la première place de la poule, synonyme de qualification directe pour l'épreuve qui se disputera en Pologne et en Ukraine en juin prochain. Pour l'obtenir à coup sûr, les Bleus doivent prendre quatre points sur deux rencontres qui pourraient aussi être le théâtre du retour de Bafétimbi Gomis en sélection nationale.
Mardi, face au Dinamo Zagreb (2-0), le buteur lyonnais confirmé sa belle santé actuelle en ouvrant la marque, avec la manière, pour inscrire son 8e but en 12 matches officiels avec Lyon. Sur l'état de forme du moment, l'ancien Stéphanois fait clairement partie des meilleurs attaquants français. Blanc l'a probablement remarqué. Le sélectionneur avait déjà évoqué le cas de Gomis lors du précédent rassemblement des Bleus. "Qu'il continue de faire le début de championnat qu'il fait et il ne sera pas loin de l'équipe de France, avait-il-déclaré à propos du Lyonnais. Après, on ne peut pas juger de la forme du moment en trois matches. Sinon, la sélection va changer beaucoup. On n'est pas là pour essayer. Atteignons l'objectif, il y aura après d'autres matches pour récompenser des joueurs qui font une bonne saison".
Des incertitudes en défense
Le meilleur buteur actuel de Ligue 1 (6 buts, à égalité avec l'Auxerrois Alain Traoré) a d'autant plus de chances d'intégrer le groupe que Guillaume Hoarau, l'attaquant du PSG, est forfait en raison d'une blessure à une épaule. Aux côtés de Karim Benzema, touché aux adducteurs avec le Real face à l'Ajax (3-0) mais apparemment sans gravité, Kevin Gameiro (PSG) et Loïc Rémy (Marseille), il est en tout cas pressenti pour être le quatrième attaquant de pointe de la sélection de Blanc et faire ainsi son retour chez les Bleus pour la première fois depuis la victoire contre l'Autriche le 14 octobre 2009. Le profil de Gomis (5 sélections, 2 buts), capable de jouer en appui, joue également en sa faveur par rapport à un Djibril Cissé qui réalise pourtant un bon début de saison avec son nouveau club, la Lazio Rome, avec 4 buts en 6 matches. La porte pourrait se refermer une nouvelle fois juste devant le nez de l'ancien Auxerrois.
En dehors de l'éventuel retour de Bafé, les inconnues de la liste de Blanc concernent le secteur défensif. La défense, d'ores et déjà amputée de Mamadou Sakho (PSG), touché à une cuisse, et probablement de Philippe Mexès, qui a repris la compétition mercredi en jouant 45 minutes avec la réserve du Milan AC après avoir subi une rupture des ligaments croisés du genou gauche en avril dernier. Une incertitude pèse également sur Laurent Koscielny (Arsenal), en délicatesse avec sa cheville. Il y a donc des places à prendre en défense et le jeune Raphaël Varane (18 ans) s'est positionné parmi les postulants en alignant trois titularisations consécutives avec le Real Madrid. L'autre inconnue éventuelle concerne Alou Diarra. Le milieu défensif de Marseille est très loin de son meilleur niveau à l'heure actuelle. Mais Blanc ne prendra peut-être pas le risque de se priver d'un cadre de son groupe pour le rendez-vous le plus important de sa jeune carrière de sélectionneur.
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29092011/70/qualif-euro-2012-la-qualif-avec-gomis.html
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L'OM ne laisse rien passer

Peu convaincant dans le jeu mais terriblement réaliste des deux côtés du terrain, l'Olympique de Marseille s'est largement imposé face au Borussia Dortmund (3-0), mercredi lors de la 2e journée de Ligue des Champions. Avec deux victoires en deux matches, l'OM mène la danse dans le groupe F.
MARSEILLE - DORTMUND : 3-0

Buts : A.Ayew (20e, 69e s.p.) et Rémy (62e)
L'Olympique de Marseille mène une double vie cette saison. Laborieuse et tortueuse en Ligue 1. Laborieuse mais radieuse en Ligue des Champions. Mercredi face au Borussia Dortmund, le vice-champion de France s'est imposé 3-0. Deux semaines après avoir gagné sur la pelouse de l'Olympiakos (0-1), les Phocéens ont remis ça face au champion d'Allemagne sur un score plutôt flatteur. Avec deux victoires en autant sorties (soit une de plus qu'en L1) et six points au compteur, l'OM est bien parti. Mais les huitièmes de finale ne sont pas encore là. La dernière fois que les Olympiens avaient aussi bien débuté une campagne continentale (2007/2008), ils n'avaient pas été invités au banquet du Top 16.
Mercredi, on ne peut pas dire que les hommes de Didier Deschamps aient réalisé un grand match. L'Olympique de Marseille n'a pas contrôlé le ballon ni les débats. Au Vélodrome, c'est le champion d'Allemagne, à peine mieux parti en Bundesliga que l'OM en Ligue 1, qui a fait le jeu. Sans jamais trouver la faille. On y verra la patte de Steve Mandanda, auteur de quelques arrêts bien sentis et au moins autant inspiré que samedi à Valenciennes. On y verra également un peu de réussite. Comme sur cette reprise à bout portant de Götze qui a trouvé le montant avant de terminer sa course, comme par magie, dans les bras du portier olympien (49e). Ou cette tête de Lucas Barrios qui est allée mourir sur la barre (86e).
Ayew régale
De l'autre côté, Rémy et ses copains n'ont pas connu les mêmes problèmes que les attaquants du Borussia. Une minute après la première parade de Mandanda sur une occasion de Götze (19e), Lucho, Rémy et Ayew sont allés au bout de leur initiative et le Ghanéen, d'une frappe croisée du gauche, a ouvert le score (1-0, 20e). Son premier but en Ligue des Champions. Le deuxième a suivi au coeur de la seconde période. Sur penalty cette fois (3-0, 69e). Entre-temps, Loïc Rémy avait profité des approximations allemandes et d'une grossière erreur d'Hummels pour mettre Weidenfeller au supplice (2-0, 62e). Au coeur d'un début de saison difficile, l'Olympique de Marseille, qui a terminé à dix après l'expulsion de Jordan Ayew (90+2), continue son petit bonhomme de chemin européen. Malheureux en L1, heureux en C1, Didier Deschamps a peut-être trouvé le remède aux maux marseillais : "Pour le championnat, je vais peut-être leur mettre la musique de la Ligue des Champions dans les vestiaires", a-t-il confié sur Canal Plus. Ça se tente.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28092011/70/ligue-des-champions-l-om-ne-laisse-rien-passer.html
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mercredi 28 septembre 2011

Marseille - Borussia Dortmund en live ici ce soir

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Lucho : plus bas, plus fort ?

Repositionné en milieu défensif, Lucho Gonzalez semble de nouveau peser sur le jeu marseillais. Didier Deschamps pourrait une nouvelle fois faire évoluer son meneur de jeu dans une position plus reculée devant le Borussia Dortmund, mercredi. Il y a du pour, il y a du contre
POUR : il y a déjà joué
Les mauvais résultats de l’OM ont poussé Didier Deschamps à modifier son schéma tactique. Fini le 4-3-3 classique. Place au 4-2-3-1 évolutif. Dans cette nouvelle configuration, Lucho Gonzalez évolue plus bas. Placé juste devant la défense, l’Argentin influe davantage sur le jeu. Il est devenu le premier relanceur de l’équipe. "Techniquement, Lucho est capable de bien ressortir le ballon, analyse Deschamps. Son volume de jeu et sa justesse technique profitent à toute l’équipe." L’Argentin aime partir de loin. Et profiter d’un peu d’espace autour de lui pour trouver des partenaires démarqués. "Il évolue face au jeu, note Guy Stéphan. Et quand il a de l’espace devant lui, il est très intéressant". Lucho évoluait d’ailleurs dans un poste très similaire à Porto. "Ce n’est pas nouveau pour lui, confirme DD. Il a déjà joué à ce poste, notamment la saison dernière."
Dans ce rôle de sentinelle, Lucho effectue beaucoup d’efforts. Il court énormément et doit se replacer sans cesse. Un travail de marathonien qui ne lui fait pas peur. "Pour occuper ce poste, il faut être présent dans la relance mais aussi la récupération, analyse le coach marseillais. Lucho possède ces qualités. Il a un gros volume de jeu." L’ancien joueur de Porto est l’un des joueurs qui se déplace le plus sur le terrain. "Il est généreux dans l’effort, fait encore remarquer Deschamps. Il doit trouver le juste équilibre entre défendre et participer au jeu." Le coach marseillais cherche la bonne formule pour Lucho…
CONTRE : il n'est pas un récupérateur
Lucho n’a pas le profil d’un milieu de terrain défensif moderne. S’il court énormément sur un terrain, son abattage n’est pas suffisant pour occuper ce poste. Et son impact physique est trop limité. Sans un joueur plus "athlétique" à ses côtés, le frêle argentin ne peut pas être efficace. Intrinsèquement, Didier Deschamps préfère d’ailleurs le voir évoluer plus haut. "Il est un peu loin de la zone de vérité", déplore-t-il. Mais le coach de l’OM n’a pas beaucoup de choix. La méforme d’Alou Diarra et la blessure de Benoît Cheyrou l’obligent à revoir ses plans. Et à placer Lucho dans une position plus défensive.
Sans Lucho aux commandes, le milieu de terrain marseillais s’organise autour de Morgan Amalfitano. L’ex-joueur de Lorient ne possède pas la même qualité de passe que l’Argentin. L’apport de Mathieu Valbuena et d’André Ayew est alors primordial. L’OM ne s’appuie pas sur un seul meneur de jeu, mais plutôt sur un trio placé derrière Loïc Rémy. Ce nouveau schéma tactique montre ses limites. Face à Valenciennes, le jeu a cruellement manqué d’animation. Et Lucho n’a pas frappé une seule fois au but…
SYNTHESE : encore un effort...
Depuis trois matches, Lucho évolue dans un rôle très défensif. Son apport sur le jeu est sensible dans la relance. Mais l’animation offensive se retrouve orpheline de ses passes en profondeur. Didier Deschamps essaie de trouver le bon compromis. Pas facile. Car l’Argentin n’est plus un joueur aussi "protégé" que lors des deux dernières saisons. Durant l’intersaison, DD a ainsi validé le départ de son meneur de jeu. Et il a construit l’après Lucho. Seulement, le joueur le plus cher de l’histoire de l’OM n’a pas trouvé preneur. Il est resté à Marseille. L’entraîneur olympien a dû composer. Peu à son avantage dans son poste de milieu relayeur, Lucho se voit donner la possibilité de briller dans un nouveau rôle. Il a montré des aptitudes mais doit encore beaucoup progresser pour devenir le nouveau Pirlo de l’OM…
 Eurosport
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Lyon est dans les temps

Facile vainqueur du Dinamo Zagreb (2-0) mardi lors de la 2e journée de Ligue des Champions, Lyon pointe à la deuxième place du groupe D à deux points du Real Madrid, son prochain adversaire dans trois semaines à Santiago-Bernabeu. L'OL peut sereinement aborder son déplacement à Paris dimanche en L1.
Lyon a bien démarré sa campagne européenne. Après avoir pris un point à Amsterdam face à l'Ajax il y a quinze jours (0-0), l'OL a décroché sa première victoire en Ligue des Champions cette saison en venant facilement à bout du Dinamo Zagreb (2-0) à Gerland. L'équipe de Rémi Garde a construit son succès au cours d'une première période parfaitement maîtrisée, Bafétimbi Gomis (23e) et Bakary Koné (42e) se chargeant de concrétiser la domination lyonnaise face à une défense croate aux abonnés absents. Le club rhodanien se place ainsi en deuxième position du groupe D, à deux points du Real Madrid, son prochain adversaire dans trois semaines à Santiago-Bernabeu. L'équipe de José Mourinho a facilement pris le dessus sur l'Ajax (3-0) grâce à des réalisations de Cristiano Ronaldo (25e), Kaka (41e) et Karim Benzema (49e).
Face à son tombeur la saison passée en huitièmes de finale (1-1, 0-3), Lyon aura des arguments à faire valoir. Notamment un buteur en pleine bourre nommé Gomis. Pour aller à jouer à Madrid, Lisandro ne sera évidemment pas de trop, mais l'ancien Stéphanois a confirmé mardi qu'il pouvait compenser l'absence de l'Argentin. Servi par une récupération de Clément Grenier, il a joliment ouvert le score d'un petit ballon piqué à l'entrée de la surface (1-0, 23e), inscrivant son huitième but en 12 matches officiels cette saison. Sur le plan statistique, c'est très fort. Et cela aurait pu être encore mieux si l'avant-centre rhodanien avait fait preuve d'un peu plus de réalisme (3e, 38e). A la veille de l'annonce de la liste de Laurent Blanc pour les deux derniers matches des qualifications de l'Euro 2012 face à l'Albanie (7 octobre) et la Bosnie (11 octobre), Gomis a aussi rappelé qu'il postulait pour un retour chez les Bleus.
Mais la belle santé actuelle de l'OL ne se résume pas à celle de son attaquant. Face à Zagreb, c'est tout un collectif qui a confirmé sa montée en puissance. Le duo Gonalons-Källström s'affirme match après match comme un rouage essentiel de l'équipe de Rémi Garde, par sa faculté à orchestrer le pressing et ressortir des ballons propres. Solide dans l'axe, Lyon l'est également sur les ailes. C'est même dans ce domaine que sa domination sur Zagreb a été la plus criante. A gauche, Aly Cissokho, auteur d'un de ses meilleurs matches depuis longtemps, et Michel Bastos, ont fait du mal à une défense croate en difficulté. Ses lacunes au marquage sur les coups de pied arrêtés, à l'image du but de Bakary Koné, totalement seul aux six mètres, est là pour en attester (2-0, 42e). Lyon a eu le mérite d'en profiter, et d'enchaîner ainsi un deuxième succès consécutif à domicile après celui acquis face à Bordeaux samedi (3-1). De quoi faire le plein de confiance avant d'affronter une opposition plus corsée dans les semaines à venir. Dimanche, l'OL se rendra au Parc des Princes pour le choc au sommet avant d'affronter notamment Lille, Saint-Etienne et donc le Real au cours du mois d'octobre.
Une nouvelle fois, Lille a laissé échapper la victoire sur la pelouse de Trabzonspor (1-1) lors de la 2e journée de la Ligue des Champions. Alors qu'ils menaient au score, les Lillois ont cédé à un quart d'heure de la fin. Les voilà repoussés à la 3e place du groupe B avec seulement deux points.

http://fr.sports.yahoo.com/27092011/70/ligue-des-champions-lyon-est-dans-les-temps.html
http://fr.sports.yahoo.com/27092011/70/ligue-des-champions-incorrigible-lille.html
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mardi 27 septembre 2011

Trabzonspor - Lille et Lyon - Dinamo Zagreb en live

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Lyon, le centième rugissant

Lyon dispute ce soir face au Dinamo Zagreb le centième match de Ligue des Champions de son histoire. Une aventure débutée le 12 septembre 2000 face à Heerenven (3-1). Depuis, l'OL a (presque) tout connu dans cette compétition. Tour d'horizon des moments marquants. Une liste évidemment non exhaustive
LE PREMIER EXPLOIT
Il a lieu dès la première saison, en 2000-2001, dans ce qui était à l'époque une deuxième phase de poules. Le Bayern Munich, futur champion d'Europe, repart de Gerland les valises pleines. 3-0 et un doublé somptueux d'un gamin de 22 ans quasi-inconnu, Sidney Govou. Huit jours plus tard, Lyon manquera d'un rien la qualification pour les quarts de finale en concédant le nul sur la pelouse du Spartak Moscou. Sidney Govou, encore lui, ratera une invraisemblable balle de match à quelques minutes de la fin. Un épisode qui pourrait à lui seul résumer la carrière de Govou, capable de marquer des buts magnifiques et de manquer les plus faciles.
LE PLUS BEAU MATCH
Lyon - Inter Milan, en automne 2002. Une rencontre qui a peut-être moins marqué les esprits que les confrontations face au Real Madrid, au FC Barcelone ou à Manchester United. Et pourtant, Gerland a certainement assisté ce soir-là à l'une des plus belles rencontres de Ligue des Champions de la décennie. Battus à Milan 2-1, les Intéristes débarquent à Gerland assoiffés de revanche, emmenés par duo Vieiri-Crespo. Le match est passionnant, Lyon tire le premier à la vingtième minute après un chef d'œuvre collectif conclu par Sonny Anderson. Dans la foulée, Zanetti force Caçapa à marquer contre son camp. Eric Carrière redonne l'avantage à l'OL juste avant la pause après une action amorcée par le duo Dhorasso-Juninho. En seconde période, l'Inter prend les devants grâce à un doublé opportuniste de Crespo. Sonny Anderson arrachera finalement l'égalisation du pied gauche en fin de partie. Score final : 3 partout.
LA PLUS GROSSE DECEPTION
Il y a match : PSV Eindhoven – OL 2005 (1-1, 4 t.a.b à 3) ou Milan AC – OL 2006 (3-1)? Entre ces deux quarts de finales, nous pencherons vers le premier. Malgré un nul 1 partout à l'aller, l'OL se présente sûr de sa force aux Pays-Bas. La rencontre, d'une intensité incroyable, aurait dû basculer dans la prolongation quand le jeune Brésilien Nilmar est littéralement descendu en pleine surface de réparation par le gardien Gomes. L'arbitre, M. Nielsen, hante certainement encore les nuits de Juninho, littéralement détruit après la séance de tirs au but fatidique. "Juni" le répètera souvent : "Cette année-là, nous avions l'équipe pour être champions d'Europe." Regrets éternels.
LE PLUS BEL EXPLOIT
Oui, ce n'était pas le plus grand Real Madrid. Mais quel plus bel exploit peut-il y avoir que d'éliminer le plus grand club du monde de la plus prestigieuse des compétitions de clubs? En 2010, un but de Miralem Pjanic assomme le stade Santiago Bernabeu. En obtenant le nul 1 partout en Espagne, l'OL, vainqueur à l'aller 1-0, s'offre pour la première fois de son histoire le scalp d'un grand d'Europe dans une confrontation à élimination directe. Cette saison-là, Lyon achèvera l'aventure par deux défaites en demi-finales contre le Bayern Munich (1-0, 0-3). Le plus beau parcours lyonnais à ce jour.
LE PLUS BEAU BUT
Il y a une talonnade de Carew à Bernabeu, il y a le coup franc de Juninho face au FC Barcelone, il y a un enchaînement supersonique de Benzema contre Manchester United, il y a en a plein d'autres mais il y a surtout Sonny Anderson à Milan, contre l'Inter en 2002. Une frappe stratosphérique de vingt mètres du pied gauche en pleine lucarne après une incroyable chevauchée. Mais c'est un but qui ne se raconte pas, c'est un but qu'il faut à tout prix revoir sur internet.
LE PLUS BEL ARRET
Evidemment qu'Hugo Lloris a déjà accompli au bas mot une dizaine de miracles sous les couleurs lyonnaises en Ligue des Champions. Mais l'arrêt le plus mythique à ce jour est sans contestation possible la double parade de Grégory Coupet au majestueux Camp Nou face au FC Barcelone en 2001 : lobé par une passe en retrait de Claudio Caçapa, le gardien s'envole pour dévier, de la tête (!), le ballon sur sa barre transversale. Au rebond, c'est sûr, Rivaldo va marquer. Sauf que Coupet se prend pour Gordon Banks et sort la tête piquée du récent Ballon d'Or d'un arrêt réflexe hallucinant sur sa droite. Inoubliable.
 Eurosport

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Reims peut s'en mordre les doigts

Battus chez leur voisin sedanais lundi (1-0), en clôture de la 9e journée, les Rémois ont raté l'occasion de creuser l'écart en tête de la L2. Les Sangliers en profitent pour grimper sur le podium. Accroché par Troyes (1-1), Le Mans a aligné un cinquième match sans succès et reste lanterne rouge.
L'occasion était belle. Reims l'a manquée. Lundi soir, le leader champenois s'est incliné à Louis-Dugauguez (1-0), dans l'antre de son voisin sedanais. Cette défaite - la deuxième après celle concédée à Laval (3-2) - ne déloge pas l'équipe d'Hubert Fournier de son fauteuil. A l'issue de la 9e journée, elle compte toujours trois longueurs d'avance sur son dauphin clermontois, battu à Nantes dimanche (1-0). Pas sûr que cela la consolera du but casquette de Mickaël Tacalfred. Dès la 3e minute, le défenseur rémois a marqué contre son camp en déviant un centre puissant de Steveen Langil au point de penalty (1-0). Dominateurs d'un derby musclé, les Champenois se sont ensuite efforcés d'effacer cette entame laborieuse. Sans succès. Invaincu depuis cinq rencontres, Sedan en profite pour éjecter Bastia de la troisième marche du podium.
Le Mans est à des années lumières du Top 3. Accrochés par Troyes (1-1), les Sarthois ont aligné un cinquième match sans succès. Les hommes d'Arnaud Cornier avaient pourtant ouvert le score dès le retour des vestiaires, par Idrissa Sylla. Avant de craquer à l'heure de jeu, sur un but de Thiago Xavier. Le Mans a beau posséder le budget le plus confortable de L2, il se traîne toujours en queue de peloton. Avec seulement six points au compteur, sa place de lanterne rouge n'est franchement pas usurpée.
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/26092011/70/ligue-2-reims-peut-s-en-mordre-les-doigts.html
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lundi 26 septembre 2011

Reims, la belle occase

Lundi soir (20h30), le leader champenois se rend chez son voisin sedanais en clôture de la 9e journée de Ligue 2. Un court déplacement qui lui offre l'opportunité de reléguer Clermont à six longueurs.
Un derby n'est jamais un match comme un autre. Celui qui opposera Sedan à Reims lundi soir (20h30), en clôture de la 9e journée de Ligue 2, sera "serré et physique", prédit Cédric Fauré. Il offrira surtout au leader rémois une belle occasion de creuser l'écart sur son dauphin clermontois, battu à Nantes dimanche (1-0). Reims en tête du classement avant de se rendre chez son voisin sedanais ? Voilà une situation à laquelle l'équipe d'Hubert Fournier, taillée pour jouer le maintien, n'était pas préparée en début de saison.
"Jusqu'ici, chaque fois qu'on se rendait à Sedan, nous étions loin derrière au classement, rappelle Fauré dans les colonnes de L'Union. Cette fois, y débarquer en leader, donnera un poids plus important à notre performance. C'est aussi un grand bonheur pour les supporters qui attendaient ça depuis longtemps. Nous nous rendons à Sedan pour réussir une bonne prestation, mais comme je dis souvent, un derby ne se joue pas, un derby se gagne."
Fauré: "On sait voyager"
"Un derby, il faut y mettre du cœur, insiste Olivier Guégan, l'adjoint d'Hubert Fournier. Mais pas seulement. On devra faire preuve de plus de lucidité dans nos choix, apporter plus de justesse technique." Ces derniers temps, Reims en a quelque peu manqué. Le succès étriqué, acquis mardi face à Bastia, n'a pas occulté ses deux dernières sorties à l'extérieur. A Angers (0-0), mais surtout à Laval (3-2), les Champenois avaient montré des signes inquiétants de fébrilité, couplés à un manque d'efficacité offensive que le retour en grâce de Cédric Fauré n'a pas gommé à lui seul.
Le déplacement chez le voisin sedanais leur offre l'opportunité de montrer que Reims "sait aussi voyager". Mais l'attaquant champenois prévient : "Sedan est une très bonne équipe qui a peut-être connu une période difficile, mais qui a repris du poil de la bête." Depuis qu'ils ont enchaîné deux revers face à Clermont (1-2) et au Mans (3-1), mi-août, les Sangliers ne perdent plus. Il y a dix jours, Le Havre avait même pris l'eau à Dugaugez (3-0). La déroute des Normands vaut à elle seule toutes les mises en garde.
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/25092011/70/ligue-2-reims-la-belle-occase.html
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Rennes rate la marche

Accrochés par Saint-Etienne dimanche soir (1-1), les Rennais ont manqué une belle occasion de ravir la première place du classement au Paris Saint-Germain, leader à l'issue de cette 8e journée de Ligue 1. Les Bretons sont cinquièmes. L'ASSE pointe au onzième rang
Quatre jours après avoir plié Sochaux avec la manière (2-6), Rennes n'a pas su enchaîner, dimanche au stade de la Route-de-Lorient. Les Bretons ont partagé les points face à une équipe de Saint-Etienne qui n'était pas sur la bonne pente ces dernières semaines (1-1). Les hommes de Frédéric Antonetti ont raté deux belles occasions : prendre la tête de la Ligue 1 au bénéfice d'une meilleure différence de buts et améliorer leur bilan récent à domicile (une victoire en quatre matches cette saison). Du côté stéphanois, toujours pas de victoire mais un résultat arraché à l'extérieur qui renforce la - fragile - confiance du groupe.
Avant de recevoir l'Atletico Madrid, jeudi en Europa League, Rennes n'a pas eu la même réussite offensive que mercredi dernier du côté de Bonal. Moins à l'aise à domicile face à des équipes plus regroupées, les Bretons ont cependant essayé. A l'image de Féret, qui a trouvé Ruffier sur sa trajectoire (11e), puis manqué le cadre d'un rien (33e). Finalement, au coeur d'une première période vivante, les Rouge et Noir ont trouvé la faille sur une belle combinaison entre Pitroipa et Féret. Le premier nommé a buté sur Stéphane Ruffier. Pas Youssouf Hadji, plus prompt sur le "rebond" (1-0, 40e).
Revenus des vestiaires avec ce petit avantage, les Rennais ne l'ont pas conservé bien longtemps. Une grosse dizaine de minutes. Les Bretons se sont fait surprendre par un ancien de la maison, Fabien Lemoine. Le milieu de terrain, qui faisait son retour à Rennes dimanche soir, a offert l'égalisation à Pierre-Emmanuel Aubameyang (1-1, 56e). Ce but vert a complètement éteint Rennes. Saint-Etienne ne s'est pas fait prier pour conserver ce point. Le deuxième en deux rencontres. Comme face à Toulouse, mercredi, les Stéphanois ont couru derrière le score. Ils ont fini par le rattraper. C'est bon pour le moral.
 Eurosport
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dimanche 25 septembre 2011

Rennes-Saint Etienne en live

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la ligue 1 en live

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Varane a marqué avec le Réal !

Paris, ça devient sérieux

râce à sa victoire sur la pelouse de Montpellier (0-3) lors de la 8e journée, Paris prend la première place de la Ligue 1. Menés encore une fois par un grand Javier Pastore, auteur d'un doublé, les Parisiens, bousculés en début de match, ont livré leur meilleure copie de la saison.
Cette fois, Paris y a mis la manière. Jusqu'ici, le PSG se reposait sur ses talents individuels pour enchainer les bons résultats. A Montpellier, sur la pelouse d'un MHSC très costaud depuis août et invaincu à la Mosson, le PSG a décroché un succès mérité (0-3). Malgré un début de match poussif, la bande à Pastore, auteur d'un doublé ce samedi, a livré sa prestation collective la plus aboutie de la saison. Une large victoire qui permet au club de la capitale de prendre, pour la première fois de la saison, les commandes de la Ligue 1. Un trône qu'il partage avec Lyon et Toulouse mais Paris domine la Ligue 1 à la faveur de a première place au classement du fairplay.
La rencontre face à Montpellier a basculé en quatre minutes. Montpellier est mieux rentré dans la rencontre (62% de possession dans le premier quart d'heure). Sirigu a joué les sauveurs et permis aux siens de rester dans la rencontre face notamment à Utaka puis Giroud (3e). Puis, Paris a eu deux fulgurances. Deux éclairs sur deux pertes de balle montpelliéraine parfaitement exploitées. L'ouverture du score a déjà des airs de classique avec une interception de Matuidi, au volume de jeu impressionnant ce samedi, un débordement puis centre au cordeau de Nene et Gameiro qui a profité de l'attentisme de la charnière héraultaise (40e) pour inscrire son cinquième but de la saison.
Volée somptueuse de Pastore
Quatre minutes plus tard, la volée somptueuse de Pastore à la réception d'une transversale de Tiéné a largement facilité les affaires du club de la capitale en même temps qu'elle a littéralement éteint les intentions de la bande à Loulou Nicollin (2-0, 44e). Ces coups de poignard ont ouvert en grand la voie d'un succès qui a longtemps semblé heureux pour Paris. Mais en seconde période, le PSG a géré. Une tâché facilitée par l'apathie du MHSC. Pastore a sanctionné une erreur d'appréciation de Jourdren pour redresser le ballon et donner plus d'ampleur au score (0-3, 79e).
L'addition est salée pour des Héraultais costauds durant la première période. Le ciseau retourné de Giroud injustement refusé par Laurent Duhamel sur un hors-jeu imaginaire (90e) ne change rien. Paris s'est offert le scalp du leader qui concède sa première défaite de la saison à domicile et s'installe en tête du championnat sans qu'il y ait grand chose à y redire. Plus crucial sans doute, après huit journées, le PSG semble s'être enfin trouvé un collectif.
 Eurosport
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samedi 24 septembre 2011

La 8° journée de ligue 1 en live

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Marseille, c'est parti ?

Soulagé après sa première victoire de la saison, l'OM aimerait enchaîner à Valenciennes (19h00) lors de la 8e journée de Ligue 1. Lyon cherchera contre Bordeaux à oublier sa première défaite de la saison. Lille doit accélérer face à Lorient. A 21h00, le PSG se mesurera à Montpellier, actuel leader.
La 8e journée sera placée sous le sceau des confirmations et des réactions. Confirmation du renouveau pour l'OM, qui vient de signer sa première victoire de la saison en championnat mercredi contre Evian-TG (2-0). Ce succès constituera-t-i un déclic avant de se rendre à Valenciennes (16e)? Didier Deschamps l'espère forcément, d'autant plus que, si l'OM est sorti de la zone rouge, sa situation comptable reste précaire (15e, 6 points). "L'important c'est de confirmer et de faire une série", ambitionne même l'entraîneur. Après ce déplacement dans le Nord, les Marseillais recevront Brest, avant d'aller à Toulouse, puis d'accueillir Ajaccio, de se rendre à Dijon et enfin de recevoir Nice lors de la 13e journée. Mais gare à la rechute, comme ce fut le cas après son succès à l'Olympiakos en Ligue des champions (1-0). "Il faut faire en sorte que ça ne se reproduise pas, mais bien sûr qu'il est possible qu'on rechute. On n'est jamais sûr ni du contenu ni du résultat", a prévenu Deschamps.
Pour Lyon (3e), la donne est différente. Il va falloir montrer que la première défaite de la saison subie à Caen (1-0) est à ranger au rayon des accidents. Mais les Rhodaniens trouveront face à eux une équipe de Bordeaux (13e) qui est apparue sur le bon chemin face à Lille, même si le résultat n'a pas été à la hauteur (1-1). "On se prépare à un match difficile", sait Rémi Garde, qui sera privé d'Hugo Lloris, suspendu. Avant la réception du Dinamo Zabreg en C1, l'OL ne doit pas laisser le doute s'installer alors qu'un mois d'octobre terrible se profile (PSG, Lille, Saint-Etienne, Real Madrid). Lille doit aussi gérer un calendrier chargé. Or, le champion de France reste sur trois matches nuls consécutifs. Rudi Garcia fera-t-il souffler ses cadres ? "Je vais m'attacher à constituer la meilleure équipe possible", assure-t-il. Car, si un match ouvert l'attend, Lorient (7e) présente cette saison la meilleure défense (6 buts encaissés).
Le PSG passe un test
De son côté, le PSG (4e) doit confirmer ses ambitions. Après un début de saison plutôt bon, le club de la capitale passe un vrai test à Montpellier. Invaincu depuis 9 matches toutes compétitions confondues, Paris se rend chez le leader, un terrain qui ne lui réussit pas vraiment (aucune victoire depuis 1999). Meilleure défense (avec les Merlus), le MHSC attend les stars parisiennes de pied ferme à La Mosson. Sur la deuxième marche du podium, Rennes fait également des bons élèves des premières journées. Après son coup d'éclat face à Sochaux (6-2), ils se présenteront en pleine confiance face à Saint-Etienne (12e), qui reste sur une série de 5 rencontres sans victoire en L1. Les Sochaliens (9es), justement, vont-ils se remettre de cette claque ? C'est sur le terrain d'Auxerre (11e) qu'il faudra répondre.
Dans les autres matches, Toulouse (5e) et Nancy (20e) se livrent quasiment un duel des extrêmes. Pour l'ASNL de Jean Fernandez, relégable depuis la 3e journée, il y a urgence. Mais le TFC, engagé dans une série de trois matches sans défaite, voudra reprendre sa marche en avant après le nul concédé face aux Verts (1-1). Après avoir fait chuter Lyon, Caen (8e) saura-t-il remettre ça à Evian (14e) ? Nice (17e), qui n'a gagné qu'un seul match, est également sous la menace de la zone relégation. La réception de Dijon (10e) peut être l'occasion de se donner un peu d'air. Mais le choc du bas de tableau mettra aux prises Brest (18e) et Ajaccio (19e). Le perdant pourrait s'installer un peu plus dans la zone rouge, notamment les Bretons qui n'ont pas encore goût à la victoire. Alors, stop ou encore ?
Eurosport

http://fr.sports.yahoo.com/23092011/70/ligue-1-marseille-c-est-parti.html
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vendredi 23 septembre 2011

Les Bleus connaissent le menu

Le calendrier des éliminatoires du Mondial 2014 a été fixé ce vendredi au siège de la FFF. Dans le groupe I, l'équipe de France ouvrira sa campagne en Finlande le 7 septembre 2012. Les Bleus défieront l'ogre espagnol le 16 octobre 2012 et le 26 mars 2013.
Ce vendredi matin, Laurent Blanc, les sélectionneurs et les représentants des nations engagées dans le groupe I des éliminatoires de la Coupe du monde 2014 se sont mis d'accord sur le calendrier de la campagne planétaire à venir. Pour l'équipe de France, le parcours du combattant débutera et se terminera par la Finlande. Les Bleus feront le voyage vers le nord de l'Europe le 7 septembre 2012. Ils recevront les Finlandais lors de la dernière journée, prévue le 15 octobre 2013.
Entre ces deux rencontres, l'équipe de France, qui n'était pas tête de série lors du tirage au sort effectué à Rio de Janeiro en juillet dernier, aura défié les champions du monde espagnols. La première rencontre aura lieu en Espagne le 16 octobre 2012, le retour sera disputé dans l'Hexagone le 26 mars 2013. A noter que Laurent Blanc et la FFF ont évité de jouer au mois de juin 2013.
Le premier du groupe I - composé de l'Espagne, la France, la Biélorussie, la Finlande et la Géorgie - sera automatiquement qualifié pour la Coupe du monde. Restera éventuellement une deuxième place, à condition de faire partie des huit meilleurs 2e des neuf groupes de la zone Europe et de remporter son barrage. Pour aller au Mondial 2010, la France avait dû se plier à ce périlleux exercice. C'était face à l'Irlande et personne n'a oublié.
Le programme
- 7 septembre 2012 : Géorgie-Biélorussie et Finlande-France

- 11 septembre 2012 : France-Biélorussie et Géorgie-Espagne

- 12 octobre 2012 : Biélorussie-Espagne et Finlande-Géorgie

- 16 octobre 2012 : Espagne-France et Biélorussie-Géorgie

- 22 mars 2013 : France-Géorgie et Espagne-Finlande

- 26 mars 2013 : France-Espagne

- 7 juin 2013 : Finlande-Biélorussie

- 11 juin 2013 : Biélorussie-Finlande

- 6 septembre 2013 : Géorgie-France et Finlande-Espagne

- 10 septembre 2013 : Biélorussie-France et Géorgie-Finlande

- 11 octobre 2013 : Espagne-Biélorussie

- 15 octobre 2013 : Espagne-Géorgie et France-Finlande
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/23092011/70/coupe-du-monde-les-bleus-connaissent-le-menu.html
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Anelka-Chelsea, ça sent la fin

Nicolas Anelka et Chelsea, l'histoire ne devrait plus durer. A Londres depuis quatre ans, l'international français a vu sa position se fragiliser avec l'arrivée de sang neuf en attaque. Son coach évoque déjà son départ et Anelka lui-même laisse planer le doute.
Le "Old Chelsea". Voilà ce que représente Nicolas Anelka en ce nouvel exercice. Le vieux Chelsea décrit dans les médias anglais qui s'oppose à la nouvelle vague Blues portée par les Lukaku, Mata et autres Sturridge. Trois hommes, trois nouveaux venus au sein de l'attaque des Blues qui ont franchement fragilisé le statut du Français.
Depuis le début des hostilités en août, Anelka n'a été titularisé qu'à deux reprises pour un petit but. Et la tendance n'invite pas à l'optimisme pour celui qui a débuté les deux dernières sorties de Chelsea, face au Bayer Leverkusen et Manchester United, sur le banc. Pourtant, chaque fois que Villas Boas fait appel à lui, Anelka se montre précieux. A l'image de sa passe décisive dimanche pour Torres, quelques minutes seulement après son entrée en jeu du côté d’Old Trafford. Forcément, devant la concurrence en attaque et le faible temps de jeu dont il dispose, la question de son avenir s'impose d'elle-même alors que le contrat de l'ancien buteur d'Arsenal expire à la fin de la saison.
Son coach, Andre Villas-Boas, a vendu la mèche dimanche : "Nous sommes très heureux de l'avoir dans notre effectif. Et nous allons faire les efforts nécessaires pour lui proposer une prolongation. Mais je crois que la décision finale appartient à Nicolas. Et je ne suis pas sûr qu'il souhaite rester." Le technicien portugais est même allé plus loin. A la question de savoir si Anelka lui avait annoncé son intention de partir, Villas-Boas a répondu par l'affirmative.
Direction les Etats-Unis ou le Qatar ?
Amené à commenter les propos de son coach sur le site officiel des Blues, Nicolas Anelka a mollement nié. "Je suis annoncé un peu partout, mais cela ne veut pas dire que je veuille partir. J'aime Chelsea et j'ai toujours voulu rester, c'est d'ailleurs pour cela que je suis encore là." Après le bel exercice de communication de rigueur, il n'a pas pu s'empêcher de laisser planer le doute. "Je verrai ce qu'il en sera en décembre, et si je suis encore là, je verrai comment ça se passera en juin (...). Tout ne dépend pas que de moi." Armé en attaque pour l'avenir avec Lukaku (18 ans) ou Sturridge (22 ans), Chelsea n'aurait pas un grand intérêt à prolonger Anelka aux conditions actuelles (480 000 euros mensuels).
Lui qui a connu huit clubs en neuf ans (entre 1999 et 2007) a trouvé à Chelsea la stabilité et l'exposition qu'il recherchait en restant fidèle quatre saisons aux Blues (pour 59 buts). Mais son avenir semble définitivement se dessiner ailleurs. Le mercato hivernal devrait donc lui permettre de rebondir loin de Londres. Les pistes les plus sérieuses le mènent du côté du Golfe ou des Etats-Unis pour un exil doré. Les médias britanniques évoquent un éventuel retour au PSG, histoire de boucler la boucle. On n’en est pas encore là mais nul doute qu’entre Anelka et Chelsea, l’histoire touchera bientôt à sa fin.
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jeudi 22 septembre 2011

Rennes a bien changé

La promenade des Rennais à Sochaux (2-6) lors de la 7e journée de Ligue 1 a confirmé la métamorphose offensive des Bretons. Cette saison, l'équipe de Frédéric Antonetti est bien plus entreprenante. Mais l'entraîneur a encore décelé des lacunes dans la finition.
La saison dernière, Rennes avait la réputation d'une équipe très défensive. Frileuse, même. Cette année, la formation bretonne séduit par son panache offensif. La promenade des Rouge et Noir à Sochaux (2-6), mercredi, a accentué l'impression que ce Rennes-là est devenu beaucoup plus joueur, nettement plus entreprenant. La preuve en chiffres : avec 17 buts inscrits en sept journées, l'attaque rennaise est la plus prolifique de Ligue 1. A Bonal, elle a pourtant manqué de réalisme. "Le match aurait pu être plié à la mi-temps, déplore Frédéric Antonetti. Quand on a autant d'occasions, il faut être efficace. A 2-2, j'étais énervé et je l'ai dit aux joueurs à la mi-temps."
Emmenés par un excellent Julien Féret, altruiste, techniquement irréprochable et toujours dans le sens du jeu, les Rennais ont vite donné le tournis aux défenseurs sochaliens. A l'image de Peybernes, qui a connu toutes les difficultés pour contenir les assauts bretons. Youssouf Hadji, très remuant, a élargi les lignes par ses appels incessants. Montano, double buteur, a souvent profité des espaces laissés par son compère offensif. Très facile sur le plan technique, Pitroipa a en revanche souffert face à Corchia. "Performants dans l'utilisation du ballon" selon Antonetti, Rennes a aussi su alterner le jeu court et le jeu long, sous l'impulsion de M'Vila, et de Tettey, qui donne plus d'impact physique à l'entrejeu.
"Un passage pour grandir"
Dominateurs dans tous les compartiments, les Rouge et Noir peuvent nourrir des ambitions élevées cette saison s'ils parviennent à suivre ce rythme. Frédéric Antonetti ne s'en est jamais caché : son équipe a les moyens de jouer les trouble-fêtes. Son banc est suffisamment fourni. Entré en jeu à la 61e minute, à la place de Pitroipa, Kembo Ekoko a apporté sa pierre à l'édifice, en signant le sixième but rennais dans le temps additionnel (90e+5). Yacine Brahimi, qui a suppléé Montano (72e), a prouvé qu'après cinq semaines d'arrêt, il n'a rien perdu de sa finesse technique.
Si le milieu de terrain et l'attaque ont pleinement maîtrisé leur sujet, l'arrière-garde n'a pas donné les mêmes garanties. Sans Kader Mangane, blessé à la cheville, elle a souffert. Les deux buts encaissés sur les deux seules incursions sochaliennes de la première période donneront du grain à moudre pour le perfectionniste qu'est Fréderic Antonetti. Avant la pause, le Corse n'a cessé de replacer ses joueurs. "Le coach nous a secoués à la mi-temps, raconte Victor Hugo Montano, auteur d'un doublé dans le Doubs. Sochaux nous posait des problèmes, mais nous sommes rentrés avec beaucoup d'envie en seconde période." Le coup de gueule a porté ses fruits. Rennes a brillamment effacé son revers à Udine (2-1) et son nul face à Nancy (1-1). Désormais, Antonetti "espère que cette victoire fera office de déclic pour les joueurs". "C'est en tout cas un passage pour grandir", sait-il.
 Eurosport
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A l'envers, à l'endroit

Face à Evian-TG (2-0), l'OM a glané son premier succès en sept journées et sort de la zone rouge. A Caen (1-0), Lyon a perdu son invincibilité et son fauteuil de leader au profit de Montpellier, qui s'est imposé à Ajaccio (1-3). Toulouse, Rennes et Paris rejoignent l'OL à la deuxième place.
Ce n'est certainement pas Byzance, mais pour Marseille, ces trois points valent de l'or. A l'issue de la 7e journée, l'OM n'est plus lanterne rouge de Ligue 1. Face à Evian-TG (2-0), la bande à Didier Deschamps a su résister à la pression ambiante pour empocher un succès, après lequel elle courait depuis le début de saison. L'expulsion de Rippert juste avant la pause lui a, il est vrai, facilité la vie. Mais cette première victoire, acquise grâce à deux têtes de Loïc Rémy sur deux caviars de Mathieu Valbuena, a récompensé la nette emprise marseillaise sur le jeu. Il aurait été plus large avec un zeste de réalisme supplémentaire.
Les Montpelliérains, eux, n'en ont pas manqué. A Ajaccio (1-3), ils ont marqué trois fois en trente-cinq minutes et récupéré le fauteuil du leader qu'ils occupaient il y a deux semaines. Et que trustait Lyon depuis dimanche. La première place de l'OL n'a pas résisté à la malédiction caennaise. L'expulsion de Lloris et le penalty qui s'en est suivi ont précipité la chute rhodanienne en Normandie (1-0). On savait que Caen était une terre d'écueils pour les Lyonnais. Mercredi, ils y ont perdu pour la huitième fois en douze déplacements.
Montpellier reprend les rênes
En concédant leur premier revers de la saison, les hommes de Rémi Garde voient trois équipes revenir à leur hauteur. Paris, Rennes et Toulouse, qui a ramené un point de Saint-Etienne (1-1), comptent également quatorze points. Au Parc, le PSG a eu besoin de deux penaltys pour venir à bout de Nice. Le premier, transformé par Nene, a irrité Kevin Gameiro. L'ancien Lorientais s'est donc chargé de convertir le second, pour ensuite tomber dans les bras de son coéquipier brésilien. Une fois de plus, Paris s'est reposé sur ses individualités pour faire la différence. Mais les faits sont là : Paris n'a plus perdu depuis son revers inaugural face à Lorient (0-1).
A Rennes, le danger vient de partout. En infligeant un carton à Sochaux (2-6), les Bretons ont non seulement effacé la déroute de l'an passé (5-1). Mais ils ont surtout confirmé leur changement d'identité : l'équipe de Frédéric Antonetti est autrement plus joueuse que la saison passée. Résultat, Bonal a eu droit à une avalanche de buts. Pendant ce temps-là, une pluie d'expulsions et de penalties s'est abattue sur la Ligue 1. Mercredi soir, les arbitres avaient la main lourde. Ils ont sorti huit cartons rouges
Eurosport
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mercredi 21 septembre 2011

Le multiplex de la 7e journée à suivre en live

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L'OM a peur du vide

Lanterne rouge de la Ligue 1, Marseille doit rebondir à domicile face à Evian ce mercredi (19h00) lors de la 7e journée. Derrière un trio de tête en déplacement (Lyon à Caen, Montpellier à Ajaccio et Toulouse à Saint-Etienne), le PSG pourrait faire une bonne opération à domicile face à Nice.
L'OM est toujours à la recherche de sa première victoire en championnat cette saison et traverse sa période la plus difficile de l'ère Deschamps avec trois revers consécutifs en Ligue 1, dont le club phocéen occupe la dernière place au classement avec trois points. Au bord du gouffre, Marseille ne vise rien d'autre qu'une victoire, coûte que coûte, à domicile face au promu Evian-Thonon-Gaillard. "L’essentiel, c’est de retrouver le chemin du succès. Peu importe la manière…", a prévenu Steve Mandanda lundi en conférence de presse. Les Marseillais ne seraient plus derniers en cas de victoire, car Nancy (19e avec 3 points) et Valenciennes (18e avec 4 points) s'affrontent dans le même temps à Marcel-Picot.
Marseille est loin (11 points) du haut du tableau, où les trois équipes de tête sont en déplacement. Lyon joue à Caen avec l'ambition de confirmer sa prestation convaincante face à l'OM (2-0) et son statut de leader. Dauphin à un point de l'OL, Montpellier est à l'extérieur pour la deuxième fois d'affilée à Ajaccio, après avoir ramené un point de Brest (2-2). A égalité avec le MHSC, mais devancé à la différence de buts, Toulouse va défier Saint-Etienne en clôture de cette 7e journée (21h00) pour tenter d'aligner un troisième succès consécutif en Ligue 1. A deux longueurs de Montpellier et Toulouse, Rennes, 7e au classement, traverse la France dans la largeur pour affronter Sochaux et tenter d'effacer la déception subie à domicile dimanche face à Nancy (1-1).
Parmi les sept premiers avant cette 7e journée, le PSG (5e) et Lorient (6e) sont les seules équipes à évoluer à domicile, respectivement face à Nice et Auxerre. Elles tenteront de profiter d'éventuels faux pas de leurs rivaux à l'extérieur pour se rapprocher de la tête du classement. Après six victoires consécutives toutes compétitions confondues, Paris n'a pu faire mieux qu'un match nul sur le terrain d'Evian-Thonon-Gaillard dimanche (2-2) et veut renouer avec le succès avant un déplacement délicat à Montpellier samedi. Les Merlus sont un peu dans le même cas de figure. Un succès face à l'AJA leur permettrait éventuellement de faire une bonne opération au classement, mais surtout de se prémunir avant d'aller défier le champion de France, Lille, samedi à Villeneuve-d'Ascq.
http://fr.sports.yahoo.com/20092011/70/ligue-1-l-om-a-peur-du-vide.html
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