mardi 31 mai 2011

C’est fait : le PSG vendu à des Qatariens !

Sébastien Bazin, patron de Colony Capital Europe, va organiser une conférence de presse cet après-midi pour officialiser l’entrée dans le capital du d’investisseurs qatariens. Ces derniers devraient prendre environ 70 % des actions du club.
Depuis un mois, les discussions entre Colony Capital et le fonds souverain du Qatar (QIA) se sont accélérées.
Sébastien Bazin devrait préciser les termes de l’accord. On évoque un prix de vente entre 30 et 40 M€.

Pour les Qatariens, posséder le PSG représente un investissement de prestige, le sport étant pour eux un vecteur de promotion unique. Après avoir obtenu l’organisation de la Coupe du monde 2022, le Qatar cherche à accentuer sa crédibilité dans le monde du football.
Le QIA est déjà bien implanté en France. Il possède des hôtels de luxe (Majestic, Royal Monceau) et apparaît dans le capital de plusieurs grandes sociétés (Lagardère, Suez Environnement, Cegelec). En outre, le cheikh Hamad bin Khalifa Al-Thani, émir du Qatar, et sont très liés.
L’arrivée des nouveaux propriétaires ne devrait pas, dans un premier temps, entraîner de bouleversement dans l’organigramme du club. Robin Leproux restera président et Antoine Kombouaré entraîneur. Le plan sécurité, soutenu par le Ministère de l’Intérieur, ne sera pas remis en cause.
En revanche, ce changement de propriétaire va rapidement donner plus de moyens aux dirigeants pour accélérer le recrutement. C’est d’ailleurs ce qu’ils attendent impatiemment pour relancer des joueurs comme Alou Diarra ou . Cela ne devrait pas changer la donne pour Kevin Gameiro qui souhaite absolument disputer la Ligue des champions
http://www.leparisien.fr/psg-foot-paris-saint-germain/c-est-fait-le-psg-vendu-a-des-qatariens-31-05-2011-1474876.php
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Lille, c'est déjà demain

La saison à peine terminée, Lille doit déjà se tourner vers le prochain exercice avec comme priorité de conserver un effectif capable d’installer le club au sommet. Benoît Pedretti et Marko Basa devraient remplacer Rami et Cabaye. Mais le LOSC doit encore gérer les cas Hazard, Gervinho ou Rozehnal.
Après avoir tout raflé (ou presque), Lille doit déjà se tourner vers la saison prochaine. "On change de catégorie. On veut faire partie des gros du championnat de France puis atteindre le niveau européen", prévient Michel Seydoux. Rudi Garcia a déjà dressé les grandes lignes de la feuille de route du LOSC. "J'aime toujours mieux faire la saison d'après, même si là, ça va être compliqué. La vraie nouveauté, c'est qu'on joue la Ligue des champions. Tout en sachant que notre pain quotidien reste le championnat", a annoncé l’entraîneur qui s’est empressé de préciser que l’ambition lilloise "dépendra de l'effectif". Pour l’heure, Adil Rami (Valence) et Yohan Cabaye (Newcastle) sont déjà assurés de partir. "Le départ d'Adil (Rami) était acté depuis décembre. Yohan (Cabaye), c'était le seul qui pouvait décider de partir ou de rester. Je respecte sa décision, mais je la regrette, a expliqué Garcia. Pour le reste, rien n'est décidé. Pour l'instant, ça discute". Mais le club fera tout pour éviter de subir une saignée.
Auréolé de son doublé Coupe de France-Championnat, Lille sait que ses meilleurs éléments vont être convoités cet été. A commencer par sa pépite Eden Hazard. Lundi, Michel Seydoux a fermé le dossier à double tour. "Je pense qu'Eden est intransférable. On n'a jamais eu l'intention de le transférer", a affirmé le président lillois qui restera ferme quelle que soit la somme proposée : "Je ne souhaite pas donner de chiffre. Si Zinédine Zidane (intéressé par la venue du Belge au Real) peut me rappeler dans deux ou trois ans on verra, mais pour l'instant qu'il reste loin du LOSC". Le meilleur buteur de L1, Moussa Sow (25 buts), devrait lui aussi rester. "Mon souhait est de garder mes meilleurs joueurs. Gervinho et Rozehnal en font partie", a également fait savoir Garcia. Or, Rozehnal était prêté par Hambourg qui aimerait le récupérer. Reste le cas Gervinho que les Nordistes espèrent encore "convaincre de rester" malgré ses rêves d’Angleterre (Manchester City, Tottenham, Liverpool). Everton a proposé 11 millions d'euros. "On a un projet. On espère que ce projet sera suffisamment attractif pour le (Gervinho) conserver. Eden est dans le projet. Il est intégré au projet", a malgré tout répété M. Seydoux.
Pedretti et Basa en approche
Pour remplacer les deux départs officialisés, un défenseur et un milieu de terrain (avec lesquels "les négociations sont bien avancées" dixit M. Seydoux) devraient rapidement être annoncés. "Il ne faut pas s'inquiéter. On travaille depuis des mois. Lille est un club attractif", a fait valoir le président. Et le premier est déjà connu. "Mon choix, c'est de venir à Lille", a annoncé Benoît Pedretti dans La Voix du Nord, mardi. L'Auxerrois, auquel il reste un an de contrat, était "en contact avec les dirigeants (lillois) depuis un peu plus d'un an" et devrait finalement faire le saut vers "un très bon club, avec des challenges supers intéressants". Marko Basa, lui aussi, avait été contacté l’été dernier pour remplacer Rami. L’affaire devrait donc se conclure un an plus tard. Le LOSC aurait déjà transmis une offre de 1,5 millions d’euros au Lokomotiv Moscou pour le défenseur qui a déjà connu Rudi Garcia au Mans.
Pour le reste du recrutement, tout dépendra des "autres départs" a admis l'entraîneur. Pierre-Alain Frau, Ludovic Obraniak ou Stéphane Dumont pourraient être candidats. Et s'il a souhaité conserver tous ses joueurs, Rudi Garcia a aussi affirmé la nécessité d'avoir un groupe de même niveau qualitativement et "étoffé quantitativement d'un ou deux joueurs". Dimitri Payet (St Etienne), Pablo Piatti (Almeria) et Mahmoud Shikabala (Zamalek) sont en lice pour remplacer Gervinho tandis que le gardien Vincent Enyema (Hapoël Tel-Aviv) pourrait venir jouer les doublures de Mickaël Landreau. Le jeune attaquant du FC Nantes Ronny Rodelin (20 ans) devrait quant à lui s’engager pour les quatre prochaines saisons. En défense, les noms de Raphaël Varane (Lens), Bruno Ecuele-Manga (Lorient) et Mapou Yanga-Mbiwa (Montpellier) ont également circulé.
La C1, déjà un objectif
L’avenir constitue également un enjeu financier pour le LOSC. Selon M. Seydoux, Lille a disposé cette saison du 5e budget de la L1 avec 65 millions d’euros. Il s'annonçait déficitaire en raison notamment des problèmes de stade et des prolongations de contrats accordés à plusieurs joueurs dont Hazard. "C'était prévu et nous sommes en période d'investissement", a tempéré le président. Le club, dont le budget va encore progresser de 10 à 15% la saison prochaine, doit donc entrer dans son Grand Stade en 2012-2013 avec une C1 à jouer. Avant cela, un an avant de prendre possession de sa nouvelle enceinte, Lille espère disputer la C1 (sa quatrième en dix ans) sur sa pelouse actuelle du Stadium Nord, même si cela lui fait perdre de l'argent. "C'est le choix du coeur", a expliqué le président Seydoux qui n'entend pas "faire de la figuration". Il a présenté une demande d'homologation à l'UEFA. Verdict autour du 15 juin. Si la demande est rejetée, le LOSC ne se délocaliserait pas au Stade de France, comme la dernière fois, mais à Valenciennes qui inaugurera, lui, sa nouvelle enceinte de 25.000 places en juillet.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/31052011/70/ligue-1-lille-c-est-deja-demain.html
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lundi 30 mai 2011

Monaco, une "grosse perte"

Après 34 saisons en Ligue 1, Monaco évoluera en Ligue 2 l'an prochain. "Une grosse perte pour le football français", déplore Laurent Banide mais aussi de nombreux anciens du club, de Didier Deschamps à Claude Puel. Sous le choc, l'actuel entraîneur tente pourtant de se tourner vers l'avenir
Après Lens, c'est Monaco qui descend à l'étage inférieur. Une autre figure du championnat de France. En Ligue 1 depuis 34 saisons, le 2000e match de Monaco parmi l'élite aura donc été fatal pour cette place forte du football français, sept fois champion de France. La première fois depuis la création de la Ligue des Champions en 1993 qu'un finaliste de la prestigieuse épreuve (2004) est relégué. Un gâchis qui a ému aux larmes Laurent Banide. "Je pense à tous les gens qui nous ont envoyé leurs messages de sympathie, à tous les supporteurs de Monaco, qui aiment le club depuis de nombreuses années. Je suis très déçu pour eux, pour tous les gens qui aiment le football et l'AS Monaco en particulier, a déploré l'entraîneur, visiblement très affecté. On n'a pas été à la hauteur pour rester en Ligue 1. Il faut qu'on respecte les lois du football. On ne perd pas la saison sur ce match-là, mais depuis quelques temps".
En fait, cette descente est le fruit d'une lente dégringolade et d'une incapacité à mener à bien une gestion sportive et managériale claire depuis le départ de Deschamps fin septembre 2005. "Ce n'est pas l'heure du bilan, a pourtant estimé Banide. Laissez-nous digérer ça. Est-ce que cela vient des cinq derniers mois, de l'année, de plus tôt ? Ce n'est pas à moi de le dire. Tout le monde sera à même de faire le bilan en temps voulu". Le bilan, il faudra également le faire au moment de savoir s'il poursuivra l'aventure en L2. "Ce n'est pas la question que je me pose maintenant, a-t-il répondu dimanche soir, même s'il a reçu des garanties à ce sujet. Ce que je me demande, c'est comment on en est arrivé là. Descendre avec 44 points, c'est ce qui pouvait arriver de pire pour nous. On fait un championnat correct. Maintenant, j'assume tout. Encore une fois, c'est décevant par rapport aux gens qui ont travaillé dans ce club, qui ont formé beaucoup de joueurs, qui ont gagné des titres, qui se sont mis minables pour que l'équipe de France ait des joueurs. On en a formé un tas. On est l'un des piliers des clubs français. Il ne faut pas l'oublier. Ce soir, c'est une grosse perte pour le football français".
Deschamps : "Les loups vont hurler"
Laurent Banide n'est pas le seul à déplorer la relégation de l'ASM. Beaucoup d'anciens du club ont exprimé leur tristesse. "J'ai aussi un petit pincement au coeur pour Monaco. J'ai toujours dit que le club de mon coeur c'était Caen mais le club qui m'a fait découvrir le haut niveau c'est Monaco. Ca m'embête", a réagi Dumas en conférence de presse, à l'issue du nul de son équipe de Caen contre Marseille (2-2), synonyme de maintien pour les Normands. L'entraîneur de Marseille Didier Deschamps s'est également déclaré "très triste". "Je suis content pour le Stade Malherbe, mais très triste de voir un club comme Monaco qui ne sera plus en L1. Je sais ce que ce club m'a apporté. Maintenant, on sait très bien que les loups vont hurler..., les anciens, les patins, les couffins vont hurler. Il y a dû y avoir pas mal d'erreurs, c'est sûr", a-t-il déclaré, sans toutefois souhaiter développer plus avant sa pensée.
Didier Deschamps, qui a débuté sa carrière d'entraîneur sur le Rocher en 2001, a souligné que "Monaco fait partie de l'histoire du foot français et même sur plan international. Ca me fait beaucoup de peine et c'est très dur. Quand on sait l'histoire qu'a ce club, c'est toujours triste. Il n'y a pas si longtemps, j'étais là-bas. Tout comme j'ai été triste de voir Nantes descendre. C'est vraiment dommage pour ces clubs-là". Claude Puel, lui, a vécu une soirée particulière sur le Rocher. En battant Monaco, il a vu Lyon décrocher son billet pour la C1 mais a condamné son ancien club. "J'aurais aimé bien sûr que le résultat soit positif pour les deux équipes, évidemment. Il aurait fallu pour cela que Monaco obtienne un tout autre résultat et compte sur ceux des autres équipes, a-t-il regretté. Cela faisait beaucoup, dans un championnat un peu dingue. Malheureusement Monaco en subit les conséquences. Je suis très triste pour ce club".
Ruffier veut "jouer en Ligue 1"
En revanche, le milieu de Caen Yohan Mollo, prêté par Monaco qu'il devrait retrouver l'an prochain, s'est lui montré moins attristé. "C'est un grand ouf de soulagement", a-t-il préféré souligner, parlant de Caen, dont il a marqué le premier but dimanche. "Pour Monaco, il n'y a pas d'ironie du sort. Je vis ce que je vis avec mon club Caen. Logiquement, je vais retourner à Monaco et même si c'est triste, c'est le football. Rejouer en L2 ? C'est rien, c'est le football", a commenté le joueur qui avait quitté le club en mauvais termes. Qui d'autre jouera en L2 ? Outre onze fins de contrat (Feindouno, Welcome, Diarra, Maazou, Lacombe, Puygrenier, Hansson, Bulot, Gosso, Lolo), Ruffier, Nkoulou, Park, Haruna vont être pistés. Ruffier a annoncé qu'il était "primordial" pour lui de "jouer en Ligue 1". Marc Keller, lui aussi, devrait partir. Le président Etienne Franzi a d'ailleurs annoncé qu'il y aura "des choses à changer". "Si on veut remonter, il va falloir qu'on reparte sur des bases qui étaient les nôtres jusqu'à présent, qui mettaient en avant la formation et le beau jeu, a déjà prévenu Banide. Si on retrouve notre âme, on aura les moyens de redevenir l'un des grands clubs de L1. Mais aujourd'hui, ce n'est pas le moment de penser à ça. C'est le moment d'essayer d'oublier".
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30052011/70/ligue-1-monaco-une-grosse-perte.html
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Le PSG vire Edel

L'entraîneur parisien Antoine Kombouaré a reçu ce lundi matin , gardien numéro deux du , pour lui annoncer que le club ne comptait plus sur lui. En fin de contrat au 30 juin 2011, le joueur arméno-camerounais avait une proposition de prolongation de deux ans entre les mains que les dirigeants parisiens ne lui ont pas confirmée.

Edel, qui a connu des soucis sportifs et personnels cette saison, a été bouleversé par cette annonce.

Il avait reçu jusqu'à très récemment, via Makelele, le capitaine du club retraité depuis dimanche soir, des engagements sur son avenir à Paris. Pour rester au PSG, il avait refusé il y a quelque temps une offre de contrat des Turcs de Kayserispor.

Ligue 1 : Lyon en Ligue des champions, Monaco relégué en L2

La 3e (Lyon) et la 18e place (Monaco) étaient les seuls enjeux de cette dernière journée au niveau du classement des équipes. Lyon a décroché sa qualification pour la Ligue des champions 2011-2012, à la faveur de sa victoire (2-0) à Monaco qui précipite le club de la Principauté en Ligue 2, dimanche à l'issue de la 38e et dernière journée de Ligue 1. Lyon participera pour la 12e fois de rang à la plus prestigieuse compétition européenne. Mais, en terminant 3e de Ligue 1, l'OL devra passer par un tour de barrages en août pour rejoindre la phase de poules.

Le Paris SG, qui pouvait encore contester la place sur le podium aux hommes de Claude Puel, n'a pas su saisir l'occasion en faisant match nul à Saint-Etienne 1 à 1. Les Parisiens échouent à la 4e place et sont, eux, qualifiés pour l'Europa League, avec Rennes et Sochaux.

Meilleur Buteur : Sow succéde à Niang

De son côté, Monaco quitte l'élite du football pour la première fois depuis 34 ans. Les Monégasques ont cédé sur des buts de Pape Diakhaté et Lisandro Lopez et achèvent leur saison à la 18e place. Ils rejoignent en Ligue 2 Arles-Avignon et Lens. Enfin Evian-Thonon-Gaillard (ETG) sont champion de Ligue 2, Ajaccio et Dijon sont promus en Ligue 1.

Sur un plan individuel, au classement des buteurs, il fallait choisir entre Moussa Sow (Lille) et Kevin Gameiro (Lorient): le Merlu a fait un peu durer le suspense en étant le premier à trouver le chemin des filets face à Auxerre à la 12e minute (22e but) de cette soirée où tous les matches commençaient à la même heure dimanche. Puis Sow a marqué un... triplé augmentant son avance (25 buts au final en L1) et s'appropriant le trophée.

Les autres éléments du tableau d'honneur de la L1 étaient déjà connus et entérinés : Lille, champion, et Marseille, 2e, sont donc directement qualifiés pour la Ligue des champions. Reste à clarifier l'organigramme à l'OM avec un Didier Deschamps qui se pose des questions.
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dimanche 29 mai 2011

Le multiplex de la 38° et dernière jourrnée de ligue 1 en live ici ce soir

Qui joue l'Europe.... qui descend...????? Suivez lee multiplex ce soir ici en direct en cliquant sur ce lien...


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OL : la peur du vide

Pour terminer troisième et sauver sa saison, Lyon devra probablement obtenir un résultat positif à Monaco dimanche soir. Sauf que le bilan de l'Olympique Lyonnais à l'extérieur est exécrable, où Cris et ses partenaires n'ont plus gagné depuis deux mois et demi.
Loin de Gerland, cette saison, le bilan de l'Olympique Lyonnais est loin d'être celui d'une équipe de haut de tableau : sept défaites, six nuls et seulement cinq victoires en Ligue 1. Pire, en déplacement, l'OL possède même, avec vingt-huit buts encaissés, la dix-huitième défense de l'élite! Problème, Lyon va jouer sa saison à l'extérieur ce dimanche lors de cet ultime match à Monaco. "Oui, mais cette rencontre sera différente de toutes les autres disputées à l'extérieur, se convainc Ederson. Cette fois, c'est comme une finale et nous allons donner nos vies sur le terrain pour accrocher cette qualification." Hugo Lloris est sur la même longueur d'onde : "Il faudra sortir de cette partie avec le moins de regrets possibles, nous en avons déjà eus suffisamment durant la saison!"
Puel : "Nous sommes en position de force"
Ces derniers temps, la dynamique est franchement catastrophique à l'extérieur pour les hommes de Claude Puel : un nul à Brest (1-1) précédé de défaites à Auxerre (4-0), Toulouse (2-0), Paris (1-0) et d'un nul épique à Nice (2-2). Sans oublier la claque à Madrid (3-0)! En clair, Lyon ne s'est plus imposé en déplacement depuis son succès à Sochaux le 12 mars! Inquiétant dans la perspective de ce dernier match en Principauté? Claude Puel s'efforce de balayer ces doutes : "On joue d’abord un match important en ayant notre destin en mains. Nous sommes en position de force." "À nous de réaliser ce qu'il faut pour obtenir au moins le match nul, poursuit Jean-Michel Aulas. Si nous sommes costauds sur le terrain, nous décrocherons un treizième podium consécutif, je ne crois pas que beaucoup de clubs en Europe sont capables d'en dire autant." Un positivisme de façade quand l'OL risque, pour la première fois depuis 1999, de ne pas participer à la plus prestigieuse et, surtout, la plus lucrative des Coupes d'Europe? Jean-Michel Aulas espère ne pas avoir à répondre à la question dimanche soir…
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28052011/70/ligue-1-ol-la-peur-du-vide.html
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Viva Barcelona ! Viva Messi !

La finale entre les deux géants du foot promettait d'être splendide. Les 87.695 spectateurs du stade de Wembley de Londres n'ont pas été déçus. Il y a eu du spectacle, il y a eu des rebondissements, il y a eu de l'attaque et de la maîtrise côté catalan. Et c'est celui qui surpasse cette année un peu tout le monde qui l'a emporté. Le FC Barcelone a remporté samedi soir la 4e Ligue des champions de son histoire, en remportant la finale face à Manchester United 3 à 1. Vainqueurs chacun trois fois de la C1 dans leur histoire, les deux clubs disputaient leur 3e finale en cinq ans pour le Barça (vainqueur en 2006 et 2009) et en quatre ans pour Manchester (victorieux en 2008).

Les deux équipes avaient pour cette finale de rêve réuni leurs effectifs de stars sera au grand complet. Eric Abidal, le défenseur du FC Barcelone, opéré en mars d'une tumeur au foie, a ainsi été titularisé d'entrée de jeu. Le Barça pouvait aussi compter sur le géant
Messi, Valdés, Piqué, Iniesta, ou encore Villa, quand Manchester United avait positionné Rooney bien sûr, mais aussi Fabio, Evra, Valencia ou encore Giggs.
Attaque et sueurs froides
Nettement supérieurs lors de ce match, les Barcelonais auront réussi à exploiter les moindres fautes d'inattention et à s'infiltrer dans les moindres intervalles de leurs adversaires. Après de belles occasions manquées, avec un Messi plus en forme que jamais, Barcelone ouvre le score grâce à Pedro Rodriguez, servi par Xavi, à la 27e face à un Manchester qui recule depuis plusieurs minutes déjà. Piqué au vif, Manchester n'a pas dit son dernier mot. Et dès la 34e minute, Wayne Rooney égalise sur une passe de Ryan Giggs. En réalité, Giggs était en position de hors-jeu dans la surface. Mais le but est validé. La mi-temps arrive rapidement sur ce score à suspense de 1-1.

C'est Messi qui vient faire reprendre le dessus à son équipe, à la 54e minute. Hurlements de joie barcelonais dans les gradins : c'est son 12e but en Ligue des champions... A 23 ans, le meilleur joueur du monde porte bien son nom : il vient d'égaler le record de buts inscrits en une saison de Ligue des champions établi par le Néerlandais Ruud van Nistelrooy en 2002-2003 ! Suit une petite pause, un fan étant venu perturber le match en courant déshabillé au milieu du terrain. Une image non montrée à l'écran.

Abidal aux anges

La tension monte d'un cran, avec une faute de Daniel Alves sur Valencia qui lui vaut un carton jaune. Carrick est sanctionné à son tour pour une grosse faute sur Iniesta. Pour ceux qui doutaient encore que le Barça est en forme : nouveau but à la 69e minute. Et pour varier les plaisirs c'est Villa qui marque, sur une belle percée de Messi dans la surface récupérée par Busquets. Quelques minutes plus tard, nouvelle occasion pour Barcelone qui continue d'attaquer ! Sueurs froides chez un Manchester qui devient nerveux et multiplie les fautes. Valencia est finalement sanctionné d'un carton jaune pour une nouvelle faute sur Messi. Suivi d'un carton jaune pour le joueur un Barça cette fois, Victor Valdès. Mais cela ne changera rien à la victoire. Après 3 minutes de temps additionnel, coup de sifflet final et explosion de joie des Catalans.

Avant de soulever "la coupe aux grandes oreilles", les Barcelonais font voler en l'air leur entraîneur Pep Guardiola qui en est à son 10e trophée en trois saisons et découpe, comme le veut la tradition, les filets du but. C'est ensuite l'arrière gauche français Eric Abidal, opéré d'une tumeur au foie le 17 mars, qui avait enfilé le brassard de capitaine à la demande de ses coéquipiers, qui a donc soulevé le premier le trophée de la Ligue des champions.
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samedi 28 mai 2011

Finale de la Ligue des champions: Barcelone - Manchester United à suivre en live ici ce soir

Suivez la finale de la ligue des champions Barcelone - Manchester United en direct en cliquant sur ces liens


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Finale de la Ligue des champions: Barcelone-Manchester United, pour l'histoire

Une affiche royale à Wembley...
Y avait-il plus belle affiche? Le FC Barcelone et Manchester United, abonnés aux finales de Ligue des champions ces dernières années, se disputent un peu plus qu'une suprématie ponctuelle en Europe samedi à Wemble: il s'agit d'écrire une page d'histoire.
Ce sont actuellement les deux clubs hégémoniques des deux plus grands championnats du football continental. Vainqueurs chacun trois fois de la C1 dans leur histoire, ils disputent leur 3e finale en cinq ans pour le Barça (vainqueur en 2006 et 2009) et en quatre ans pour MU (en 2008).
Des stars en pagaille
Côté joueurs, un plateau de stars: Barcelone compte huit champions du monde espagnols et le podium du Ballon d'Or 2010 (Messi, Iniesta, Xavi); Manchester s'appuie sur des légendes vivantes (Van der Sar, Giggs) et naissantes (Rooney, Hernandez).
Côté entraîneurs, le Catalan Pep Guardiola bouclerait trois ans roboratifs frôlant la perfection en cas de succès. S'il l'emportait samedi, son homologue Alex Ferguson (titré en 1999 et 2008) rejoindrait le légendaire Bob Paisley, unique entraîneur à avoir remporté trois fois la compétition reine (avec Liverpool en 1977, 1978 et 1981).
L'équation de Ferguson
Ferguson a l'embarras du choix, dans le secteur offensif surtout, avec Rooney, Hernandez, Berbatov, Nani, Park, Valencia... Seuls six Diables Rouges sont des titulaires indiscutables: Van der Sar, Ferdinand, Vidic, Evra, Carrick et Rooney. Ferguson devrait bâtir son onze autour de cette colonne vertébrale...
La principale question se situe au milieu: il s'agit de miser sur le physique comme l'a fait le Real Madrid lors de la récente séquence des quatre clasicos, et/ou de bloquer la relation entre le duo Iniesta-Xavi et Messi, comme l'Inter Milan de Jose Mourinho l'avait réussi en demi-finale aller la saison dernière (victoire 3-1).
Equipte type pour le Barça
Fletcher est le joueur idoine pour ce genre de tâches, mais le milieu écossais n'a repris la compétition que dimanche, pour le dernier match de championnat (4-2 contre Blackpool), après deux mois d'indisponibilité en raison d'un virus, et devrait être remplaçant. Carrick avait été dépassé par Messi en 2009; en phase défensive, Rooney pourrait du coup venir lui prêter main-forte pour entraver les chevauchées de l'Argentin.
En face, Guardiola n'a pas ces états d'âme. Il a une équipe-type, et la seule incertitude concerne le poste d'arrière gauche, Puyol ayant cependant une longueur d'avance sur Abidal, tandis que Mascherano poursuivrait son intérim dans l'axe aux côtés de Piqué.
Les acteurs sont prêts, le décor est planté, à Londres. Manchester jouera-t-il à domicile ? En Angleterre, "il y a beaucoup de tribalisme, juge Ferguson. Nous n'aurons pas un soutien unanime". Guardiola se sentira peut-être davantage chez lui: c'est à Wembley qu'il avait contribué, en tant que joueur, à décrocher la première C1 du Barça (1-0 a.p. contre la Sampdoria Gênes).
http://www.20minutes.fr/article/731996/finale-ligue-champions-barcelone-manchester-united-histoire
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La température monte....

L'histoire les contemple

Ce soir à Wembley (20h45), le FC Barcelone et Manchester United, les deux meilleures équipes de ces dernières années, s’affrontent en finale de la Ligue des Champions. De cette rencontre, on attend de connaitre le nom du champion d’Europe 2011 mais également un feu d’artifice footballistique.
L'AFFICHE :
FC Barcelone - Manchester United, c'est la finale rêvée. Le match entre les deux meilleures équipes de ces cinq dernières années. Sir Alex Ferguson, qui n'est jamais avare en matière de superlatifs, va même plus loin : "C'est peut-être la meilleure finale de la décennie, entre deux grandes équipes qui ont une grande histoire. Tout peut arriver. Des buts, des émotions..." Barcelone, qui a disputé trois des six dernières finales, et Manchester, trois fois présent à ce stade de la compétition depuis 2008, n'ont pas grand chose à se cacher. Car Barça - MU, c'est aussi la revanche de la finale 2009 remportée par les Catalans (2-0). Les souvenirs sont vivaces : les acteurs qui fouleront la pelouse de Wembley samedi sont en grande partie ceux qui avaient bataillé à Rome. Au coup d'envoi, on devrait retrouver quinze des vingt-deux titulaires de 2009.
Eto'o, Henry, d'un côté, Ronaldo, Tevez, de l'autre, ont déserté la place entre les deux finales. Mais Barcelone et Manchester United n'ont pas perdu au change. Catalans comme Anglais n'ont jamais paru aussi sûrs de leur force et maîtres de leur sujet. Cette saison, les deux clubs ont remporté leur championnat national sans trembler et avancé sur l'échiquier européen avec assurance. Ajoutez à cela que samedi, ce sont deux équipes fraiches et reposées qui partiront à la conquête d'une quatrième Ligue des Champions.
LES PRECEDENTS :
Barcelone et Manchester United ne sont pas des inconnus l'un pour l'autre. Les deux clubs se sont affrontés à dix reprises dans l'histoire des coupes d'Europe (3 victoires de chaque côté et 4 nuls). Deux fois, Espagnols et Anglais ont croisé le fer en finale. Ce fut le cas en 2009. Le Barça s'était imposé 2-0 et avait décroché sa troisième Ligue des Champions. Dix-huit ans plus tôt, alors que les clubs anglais faisaient leur retour en coupe d'Europe (après le drame du Heysel), Manchester avait réussi le tour de force de remporter la Coupe des Coupes face aux Catalans (2-1). A noter que les rencontres entre les deux clubs ont toujours été prolifiques (3,1 buts par confrontation).
CE QU'ILS EN DISENT :
Pep Guardiola (Barcelone) : "Si on joue comme en 2009, on ne gagnera pas. J'ai revu le match: dans l'impact défensif et l'intensité, ils ont été meilleurs. Il faut qu'on joue plus vite qu'alors. Certes on avait gagné 2-0 et je n'échangerais pas les places, mais c'est la vérité".
Carles Puyol (Barcelone) : "Manchester United a beaucoup progressé offensivement par rapport au match de Rome. On s'attend à voir une équipe qui attaquera plus."
Alex Ferguson (Manchester United) : "Nous avons d'autres qualités cette saison. On a trouvé un jeu compétitif en Coupe d'Europe. La clef, à ce niveau, est souvent l'expérience. Mais il n'y a pas de changement fondamental. Les deux équipes ont leur façon de jouer. La clef de cette équipe, c'est l'unité. (...) Ce n'est pas une revanche."
LES STATS :
27 / 4 : Cette saison, Barcelone est l'attaque la plus prolifique de la Ligue des Champions avec 27 réalisations. Manchester United est la défense la plus imperméable. Van der Sar n'est allé chercher le ballon que 4 fois dans ses filets.
90,9% : Barcelone a complété 90,9% de ses passes cette saison en Ligue des Champions. Personne n'a fait mieux. Xavi and Sergio Busquets sont les deux seuls joueurs à avoir réussi plus de 1000 passes (1 103 et 1 035).
11 : Lionel Messi a déjà marqué 11 buts cette saison en Ligue des Champions. S'il termine meilleur buteur de la compétition, il deviendra le premier joueur à être sacré roi des buteurs trois années consécutives.
5 : Manchester United s'est produit neuf fois sur la pelouse du nouveau Wembley. Cinq fois, les rencontres disputées par les Mancuniens ont terminé... aux tirs au but (3 séances ont été remportées par les Red Devils).
LE DUEL : Carrick - Giggs contre Xavi - Busquets - Iniesta
Sur le papier, le duel est déséquilibré. A deux contre trois, Michael Carrick et Ryan Giggs auront fort à faire face aux Xavi, Busquets et Iniesta. S'ils bénéficieront des coups de main de Park et de Valencia, chargés de fermer les couloirs, les deux récupérateurs de MU n'auront pas une minute à eux. Obligée d'harceler les Barcelonais et couper la relation entre le milieu et l’attaque catalane, la doublette Giggs-Carrick, improbable sur le papier, efficace sur le pré, devra également faire office de rampe de lancement. S’ils remplissent leur mission, MU ne sera pas loin du compte. Sinon…
LES EQUIPES PROBABLES :
Sauf énorme surprise, il n'y en aura pas dans la composition de Pep Guardiola. Sûr de la force de son collectif et nullement habitué à s'adapter à ses adversaires, le Catalan va aligner son redoutable 4-3-3 sur la pelouse de Wembley. La seule incertitude concerne Eric Abidal. L'arrière latéral gauche de l'équipe, qui revient après son opération d'une tumeur au foie, est en balance avec Carles Puyol pour occuper le couloir gauche. Si le Français - qui avait manqué la finale de 2009 en raison d'une suspension - était aligné, Puyol repasserait dans l'axe et Javier Mascherano glisserait sur le banc. De l'autre côté, Manchester United devrait se présenter sous un visage déjà connu, en 4-4-2 (ou 4-4-1-1 avec Rooney derrière Chicharito) avec Fabio sur le côté droit de la défense et un milieu à quatre dont les ailes seront occupées par Valencia et Park.
Barcelone : Valdes - Alves, Puyol (ou Mascherano), Piqué, Abidal (ou Puyol) - Xavi, Busquets, Iniesta - Pedro, Messi, Villa.
Manchester United : Van der Sar - Fabio, Ferdinand, Vidic, Evra - Valencia, Carrick, Giggs, Park - Rooney, Hernandez
http://fr.sports.yahoo.com/27052011/70/ligue-des-champions-l-histoire-les-contemple.html
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vendredi 27 mai 2011

L1: Heinze quitte Marseille

Cela faisait quelques semaines déjà que ne semblait plus en phase avec les dirigeants marseillais. Vendredi en conférence de presse, l'Argentin a confirmé son départ de l', à un an de la fin de son contrat. « Je pense de manière complètement différente des patrons du club. Ce n'est pas une question d'argent, qui ne fait pas tout dans la vie. C'est une question de projet », a t-il déclaré.

Le défenseur, âgé de 33 ans, était arrivé à Marseille à l'été 2009 en provenance du
. Ses relations avec Jean-Claude Dassier, le président phocéen, s'étaient rafraîchies ces derniers temps. « J'ai senti que je faisais une faveur au club en partant. Lui (le président du club Jean-Claude Dassier, Ndlr) parle tout le temps d'argent, alors que je ne suis pas venu ici pour l'argent - j'en gagnais beaucoup plus au Real Madrid - mais pour gagner des titres », a lancé l'ancien Parisien, qui affirme également ressentir de la « tristesse ».

"Gaby" Heinze, plus gros salaire de l'effectif marseillais, avec plus de 400 000 euros bruts par mois, assure par ailleurs n'avoir « aucun contact » pour la suite. L'Argentin a également recommandé de « donner les clés du club à Didier Deschamps, qui est le patron du bateau ».
http://www.leparisien.fr/sports/l1-heinze-quitte-marseille-27-05-2011-1469679.php

Le président du RC Strasbourg propose de l'argent pour battre son rival

L'enjeu sportif d'une montée en Ligue 2 a-t-il fait perdre la raison au président du RC Strasbourg (National)? La volonté affichée de Jafar Hilali de proposer de l'argent (NDLR : 250 000 euros) à l'adversaire de son plus sérieux rival pour la montée n'a pas du tout plu à la Fédération française de football (FFF).
Intitulé «Prime exceptionnellement si Rouen bat Guingamp», le communiqué propose comme cela se «pratique dans un championnat étranger», en l'occurrence l'Espagne, son club «envisage de verser aux joueurs de Rouen une prime exceptionnelle globale de 200 000 euros s'ils parviennent à battre Guinguamp». Le responsable prend quand même soin d'indiquer qu'il soumet cette proposition à l'acceptation des instances fédérales de la FFF.

La commission éthique saisie

L'avis de la FFF n'a pas tardé face à cette proposition iconoclaste. «La FFF a notifié au président du RC Strasbourg l’interdiction formelle de promouvoir des initiatives contraires aux règlements ainsi qu’à l’esprit du jeu, susceptibles de nuire gravement à l’équité des compétitions organisées par la Fédération ainsi qu’aux valeurs défendues par celle-ci.» Avant de passer aux injonctions : «La Fédération exige du RC Strasbourg que soit immédiatement retiré du site le communiqué de son Président et que ce dernier s’engage publiquement à abandonner son initiative», exige la FFF tout en annonçant la saisine du Conseil National de l’Ethique «pour examiner les suites disciplinaires pouvant être engagées».

Enfin, la FFF indique qu’elle prendra toutes les dispositions et qu’elle sera particulièrement attentive pour que la rencontre visée se déroule dans les meilleures conditions de sportivité et que soit préservée la régularité de la fin du championnat.
http://www.leparisien.fr/sports/football/le-president-du-rc-strasbourg-propose-de-l-argent-pour-battre-son-rival-27-05-2011-1469588.php

OM, l'incertitude Deschamps


Football: OM, l'incertitude Deschamps par LCM

Les Lyonnaises l'ont fait !

Les filles de l'Olympique Lyonnais ont remporté la Ligue des Champions grâce à leur victoire sur les Allemandes de Potsdam (2-0) jeudi à Londres grâce à des buts de Renard et Dickenmann. C'est la première fois qu'une équipe française est sacrée dans cette compétition chez les dames.
LYON - POTSDAM : 2-0

Buts : Renard (27e), Dickenmann (85e)
Aulas en rêvait, elles l’ont fait! Les filles de l’OL ont donné aux Gones la première coupe d’Europe de l'histoire du club en battant logiquement Potsdam (2-0), au terme d'un match maîtrisé de bout en bout. Intouchables en France, les Lyonnaises restaient sur 5 titres de Championnes de France consécutifs, 21 victoires en autant de match de Ligue 1, mais aussi sur le goût amer d'une défaite en finale de la Ligue des Champions (0-0, 7 t.a.b. à 6). C'était il y a un an, face au même club de Potsdam.
Mais jeudi soir, à Craven Cottage, les protégées de Patrice Lair ont montré un tout autre visage. Alors qu'elles avaient été dominées physiquement l'an dernier, les Lyonnaises ont pris la mesure de leur adversaire, aidées par les retours de l'internationale suédoise Lotta Schelin (9 buts dans la compétition), blessée l'an dernier, mais aussi de Sonia Bompastor et Camille Abily, deux anciennes taulières de l'OL et de l'équipe de France, revenues à temps de leurs aventures américaines.
Dépassée par la vitesse de jeu lyonnais, la lourde défense de Potsdam a d'abord pu compter sur sa gardienne (17e, 18e, 20e). Mais sur coup de pied arrêté, et suite a un cafouillage dans la surface allemande, Renard a ouvert le score d'un tacle rageur (26e, 1-0)... après un premier sauvetage de la muraille Sarholz! La supériorité technique des Lyonnaises a fait le reste. Malgré un énorme raté de Mittag devant le but lyonnais (64e), les coéquipières de Laura Georges n'ont jamais tremblé. Un énième centre millimétré de l'OL a fini par être récompensé, pour enterrer Potsdam sur une superbe frappe de Dickenmann (85e, 2-0), entrée en jeu une demi-heure plus tôt.
Abily: "Ma requête, c'est qu'on nous lave nos affaires"
Quand Michel Platini (président de l'UEFA) a remis le trophée à la capitaine lyonnaise Sarah Bompastor, le président de l'Olympique lyonnais jubilait. Jean-Michel Aulas a donc tenu sa promesse: "gagner un jour la Ligue des Champions". Pas de coupe aux grandes oreilles cependant, ni l'argent qui va avec (environ 30 millions d'euros). Mais un titre prestigieux, bienvenu pour un club qui n'a plus rien gagné depuis trois ans (le doublé Championnat-Coupe de France, en 2008). Bienvenu aussi pour le football féminin français, qui faisait pour la première fois de son histoire la Une de L'Equipe du jour.
En reprenant, en 2004, ce qui était le Lyon FC, JMA a donné aux filles de l'OL les moyens de son ambition. 3,5 millions d'euros par an, c'est vingt fois plus que le budget de Saint-Etienne, vainqueur du Challenge de France, mais c'est peut être le seul moyen d'atteindre les sommets du football européen. Et à moindre coût, finalement, comparé au salaire annuel d'un seul gros joueur de l'effectif masculin (aussi autour de 3,5 millions d'euros). Comme pour Lisandro, Gourcuff, ou Cris, les filles ont même eu droit à un avion privé pendant toute leur campagne européenne. Mais la comparaison s'arrête là. "Ma requête, si on gagne la Ligue des Champions, c'est qu'on nous lave nos affaires", souriait Camille Abily, passée par les Etats-Unis où le football féminin est très développé.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/26052011/70/ligue-des-champions-feminine-les-lyonnaises-l-ont-fait.html
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jeudi 26 mai 2011

Marvin Martin appelé pour la première fois chez les Bleus

Trois matches (Biélorussie-France le 3 juin pour le compte des qualifications pour l’Euro 2012, Ukraine-France le 6 juin et Pologne-France le 9 juin 2011 en amicaux) et 26 joueurs. Laurent Blanc n’a pas appelé une trentaine d’éléments comme pressenti et a privilégié la notion de groupe. Car c’est un groupe que le sélectionneur s’attache à bâtir. Comme il l’a lui-même affirmé, il ne recherche pas absolument la nouveauté, et Marvin Martin est le seul novice de la liste. Il doit sa sélection à sa très bonne fin de saison et à l’absence de Yoann Gourcuff, due à sa blessure selon les mots du sélectionneur.
Younès Kaboul revient après avoir été pris lors de la dernière sélection face à l’Angleterre. Charles N’Zogbia fête lui aussi son retour, lui qui avait fait partie des petits nouveaux du premier match de l’ère Blanc en Norvège. À noter également la présence d’Éric Abidal, que Blanc a jugé assez affûté après les 5 apparitions depuis son retour sur les terrains avec le FC Barcelone. Durant la conférence de presse, le sélectionneur a également laissé entendre que Mamadou Sakho serait titulaire aux côtés de Rami pour pallier l’absence de Philippe Mexès.
La sélection :
- Gardiens :
Hugo Lloris (Olympique Lyonnais)
Steve Mandanda (Olympique de Marseille)
Cédric Carrasso (Girondins de Bordeaux)
- Défenseurs :
Patrice Evra (Manchester United)
Bakary Sagna (Arsenal)
Adil Rami (Lille)
Éric Abidal (FC Barcelone)
Mamadou Sakho (PSG)
Anthony Réveillère (Olympique Lyonnais)
Younès Kaboul (Tottenham)
- Milieux :
Alou Diarra (Girondins de Bordeaux)
Yann M’Vila (Stade Rennais)
Florent Malouda (Chelsea)
Blaise Matuidi (Saint-Etienne)
Abou Diaby (Arsenal)
Marvin Martin (FC Sochaux)
Yohan Cabaye (Lille)
Samir Nasri (Arsenal)
- Attaquants :
Karim Benzema (Real Madrid)
Kevin Gameiro (Lorient)
Charles N’Zogbia (Wigan)
Guillaume Hoarau (PSG)
Loïc Rémy (Olympique de Marseille)
Jérémy Menez (AS Rome)
Mathieu Valbuena (Olympique de Marseille)
Franck Ribéry (Bayern Munich)
http://www.footmercato.net/equipe-de-france/edf-eric-abidal-de-retour-premiere-pour-marvin-martin_67331

Abidal ou Mascherano, "le coeur ou la raison"?

A trois jours du rendez-vous de Wembley, retrouvez notre journal quotidien de la finale de la Ligue des Champions. Josep Guardiola, l'entraineur de Barcelone, fera face à un dilemme pour composer sa défense face à Manchester United. Pour Gary Lineker, MU a "deux chances sur dix" contre le Barça.
GUARDIOLA A UN DILEMME
Il n'y aura pas beaucoup de surprise dans le onze du FC Barcelone face à Manchester United samedi. Mais Josep Guardiola doit faire face à un casse-tête en défense. L'entraineur du Barça a deux options : reconduire l'arrière-garde qui a affronté le Real en demi-finale, avec une charnière Piqué-Mascherano et Puyol au poste d'arrière gauche, ou revenir à sa ligne de quatre traditionnelle avec Puyol et Piqué en défense centrale et Abidal à gauche. Le Français a joué 72 minutes face à Malaga (1-3) et peut postuler à une place de titulaire. Les Barcelonais sont partagés. "Une partie des Culés pense qu'Abidal doit être titulaire à Wembley car il le mérite, mais une autre partie considère qu'il est plus rationnel d'aligner Mascherano car il a démontré lors des derniers matches qu'il était une solution fiable en défense centrale", résume El Mundo Deportivo. Le coeur ou la raison, Guardiola a jusqu'à samedi pour trancher.
. BECKHAM CROIT EN MU
David Beckham ne cache pas son admiration pour le FC Barcelone. Mais l'ancien Red Devil, bon connaisseur de la Liga après son passage au Real Madrid, pense que Manchester United a les caractéristiques pour faire tomber le club catalan à Wembley. "En face, ce sera l'une des meilleurs équipes du monde. Mais Manchester est le meilleur club du monde. Si une équipe peut battre ce Barça au talent, c'est bien le Manchester United de Sir Alex Ferguson", déclare Becks sur MUTV. "Je sais la ferveur qui entoure Barcelone, et à quel point cette équipe joue bien. Mais Manchester United, c'est le top. C'est une énorme occasion, j'espère que Man Utd va y arriver", ajoute le milieu anglais.
. VIDIC CONFIANT POUR L'ARBITRAGE
Manchester United n'a pas oublié les polémiques d'arbitrage autour de la demi-finale de Ligue des Champions entre le Real Madrid et le FC Barcelone. Les Madrilènes s'étaient notamment plaints auprès de l'UEFA des simulations des joueurs du Barça, entre autres choses. Nemanja Vidic, le défenseur de MU, a mis ses coéquipiers en garde. "Ils font certaines choses, ils discutent aussi un peu plus qu'ils ne le devraient, mais cela ne nous affecte pas, affirme le Serbe. Nous devrons être toujours attentifs et concentrés. Ils ont évidemment un état d'esprit différent du nôtre, mais cela ne nous posera pas de problème pour gérer ces situations. Et je suis sûr que l'arbitre saura faire face à tout ça également."
L'ANECDOTE : Eto'o, le geste et la parole
Samuel Eto'o manquera au FC Barcelone en finale de la Ligue des Champions. Le buteur camerounais avait guidé le Barça sur la voie du succès en ouvrant la marque face à Manchester United à Rome en 2009 (2-0). Il avait déjà été décisif trois ans plus tôt contre Arsenal au Stade de France. Dès la mi-temps, alors que le club catalan était mené par les Gunners (0-1). "Je me souviens avoir dit à mes coéquipiers qu'on était quelques uns des meilleurs joueurs du monde, et qu'on allait le prouver en deuxième période. Le match a été différent après la pause. Nous avons pris plus de plaisir, et au final c'était une très bonne victoire dans une compétition où le Barça n'avait plus gagné depuis longtemps", a révélé l'attaquant de l'Inter sur le site officiel de l'UEFA. Eto'o avait joint le geste à la parole en égalisant à un quart d'heure de la fin.
LE CHIFFRE : 2/10
C'est, dans le meilleur des cas, les chances que donne Gary Lineker à Manchester United de remporter la Ligue des Champions face au FC Barcelone. "Si c'est le Barça tel qu'on le connait, il gagnera. Il faudrait que Barcelone soit dans un jour sans pour que Manchester ait une chance de gagner", estime Lineker, cité par la BBC. La légende du foot anglais souligne cependant que le contexte est plutôt favorable à MU. "Le fait de jouer en Angleterre leur donnera un soutien majoritaire dans les tribunes. Et c'est sur un match, tout peut arriver", rappelle l'ancien buteur de Tottenham. "Mais sur dix matches entre le deux équipes, je vois Manchester en gagner un ou deux, réussir une paire de matches nuls, et je vois le Barça gagner tous les autres", conclut Lineker
http://fr.sports.yahoo.com/25052011/70/25052011194653.html
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mercredi 25 mai 2011

Benzema, tout pour rejoindre Arsenal

Arsène Wenger ne cache pas son admiration pour Karim Benzema. Le technicien alsacien, qui a toujours reconnu le talent de l'attaquant français, pourrait même passer à l'action prochainement. "Le signer ne me semble pas impossible. C'est un joueur que j'aime. Je trouve qu'il est intelligent dans ses mouvements et ses déplacements. Je crois qu'il est capable de bien combiner avec ses partenaires et de faire des différences aussi bien individuellement que collectivement. Pour moi, c'est un joueur qui fait partie du top niveau mondial" a déclaré le manager d'Arsenal dans les colonnes du Sun. Le quotidien anglais révèle d'ailleurs que Wenger pourrait proposer 40 millions d'euros au Real Madrid pour récupérer l'ancien Lyonnais. Le manager a annoncé il y a quelques jours qu'en raison du fair-play financier qui sera mis en place en Europe très bientôt, cet été pourrait être le dernier à voir s'effectuer de gros transferts. Wenger précisant que lui aussi s'agiterait pendant le mercato estival. Une offre conséquente pour Benzema n'est donc pas à écarter.
Quel avenir pour Benzema au Real ?
Avec la signature acquise de José Callejon et l'ambition du club merengue de s'attacher les services de Sergio Agüero, qui dispose d'une clause libératoire de 45 millions d'euros, l'avenir du buteur français au Real est on ne peut plus flou. Déjà barré par Gonzalo Higuain avant la blessure de celui-ci, le retour en forme de l'Argentin replacerait certainement Karim Benzema sur le banc. Car malgré tous ses efforts, le Français ne parvient pas à satisfaire totalement José Mourinho, qui n'a pas hésité à lui préférer, souvent, Emmanuel Adebayor, prêté en deuxième partie de saison par Manchester City. En cas d'arrivée du Kun Agüero, ou d'un autre attaquant de classe mondiale, Benzema ne préfèrera-t-il pas aller chercher du temps de jeu ailleurs ? Pour beaucoup d'observateurs, la Premier League est un championnat qui lui conviendrait parfaitement. L'idée de rejoindre Arsenal, dans un championnat où il pourrait être particulièrement à son aise, dans une équipe à la mentalité résolument offensive et qui développe un football de qualité, et où l'entraîneur lui fait vraisemblablement plus confiance que Mourinho à Madrid, pourrait bien faire sa place dans l'esprit de l'ancien Lyonnais. D'autant que la saison 2011-2012 mènera à un Euro que Benzema ne veut absolument pas manquer avec l'équipe de France. Et le buteur le sait, pour être sélectionné, il faut être titulaire dans son club.
http://www.lavoixdessports.com/Football-Professionnel/Divers/2011/05/25/article_idalgo219870.shtml
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Entraîneurs : premiers temps de la valse

Jean Fernandez vers Lyon, Paul Le Guen à Bordeaux ou encore Elie Baup vers Nancy ou Auxerre. La saison n'est pas encore terminée mais les journaux de la presse quotidienne ont une idée des changements de tête qui pourraient avoir lieu cet été sur les bancs de L1.
FERNANDEZ PRIORITE DE LYON ?
Jean Fernandez est l'une des têtes d'affiche de ce mercato estival. La situation contractuelle de l'entraîneur d'Auxerre et ses performances avec le club icaunais qu'il a réussi à amener en Ligue des Champions la saison passée le placent dans le viseur de certains clubs. Bordeaux a un oeil sur lui même si le nom de Paul Le Guen revient de plus en plus. Nancy serait aussi intéressé. Et maintenant, Lyon aurait également le technicien icaunais dans son viseur. Selon L'Equipe, Jean-Michel Aulas serait tombé sous le charme de Fernandez. Passé notamment sur le banc de Cannes, Sochaux, Metz ou encore Marseille, Jean Fernandez, qui entraîne depuis 2006 l'AJA, possède une longue expérience en Ligue 1 et s'est déjà frotté à la Ligue des champions.
BORDEAUX, L'OPTION LE GUEN
Bordeaux a longtemps fait de Jean Fernandez sa priorité. Aujourd'hui, c'est Paul Le Guen qui serait en pole. Libre de tout contrat depuis son expérience de sélectionneur du Cameroun lors de la Coupe du monde 2010, l'ancien entraîneur de Rennes, de Lyon ou encore du PSG serait en "tête de liste", selon Sud Ouest. D'après le journal régional, un point cloche toutefois : le Breton veut bien prendre la succession de Jean Tigana mais avec Yves Colleu, son fidèle adjoint alors que les Girondins voudraient conserver l'équipe technique qui a fini cette saison. Le club au scapulaire a aussi un oeil sur Jean-Louis Garcia.
AUXERRE : BAUP PRESSENTI, GARCIA AUSSI
Auxerre espère encore pouvoir retenir Jean Fernandez. Le club icaunais a proposé une prolongation de contrat à son entraîneur. Mais l'AJA, consciente du danger, s'active aussi en coulisses pour lui trouver un successeur. Le nom d'Elie Baup est évoqué. D'après L'Equipe, l'ancien entraîneur des Girondins se serait d'ailleurs rendu à Auxerre la semaine passée. Mais Jean-Louis Garcia, l'entraîneur d'Angers, serait également en bonne position en cas de départ de Fernandez.
NANCY : BAUP EN POLE, L'HYPOTHESE FOURNIER
L'ASNL se retrouve à un tournant. La page Pablo Correa, qui a choisi de quitter le navire, va se tourner. Pour relever le défi, Nancy a plusieurs techniciens sur sa liste. Elie Baup, libre, a été évoqué par la Nouvelle République. Il semble tenir la corde. Mais l'ancien entraîneur de Bordeaux, Saint-Etienne et Toulouse est convoité par d'autres clubs et le club lorrain aurait aussi coché les noms de Jean Fernandez et de... Laurent Fournier, l'entraîneur de Cannes qui est toujours en poste à Strasbourg.
ET MARSEILLE DANS L'ATTENTE
Cette valse pourrait s'accélérer en cas de départ de Didier Deschamps. L'entraîneur de l'OM, qui dispose d'une clause libératoire jusqu'au 15 juin, n'a toujours pas annoncé sa décision. Si des rumeurs l'annoncent du côté de Chelsea, le Corriere dello Sport a titré hier que DD aurait dit oui à l'AS Roma. Une info balayée d'un revers de la main par Jean-Claude Dassier dans la soirée. "J'ai discuté avec Didier pendant trente minutes durant l'entraînement, a détaillé le président de l'OM. On a parlé de choses et d'autres, notamment des joueurs. Mais quand j'ai évoqué l'article du Corriere, il n'était même pas au courant." Et Dassier d'ajouter : "Avec les Italiens, on le sait, c'est souvent du baratin". Il n'empêche le doute plane encore sur l'avenir de l'entraîneur marseillais, qui pourrait intensifier cette belle pagaille en cas de départ.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/25052011/70/ligue-1-entraineurs-premiers-temps-de-la-valse.html
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Ligue des Champions - Ferguson: "Messi ? Il y a toujours une solution..."

L'entraîneur de Manchester United Alex Ferguson estime que la "concentration sera la clef" de la finale de la Ligue des champions samedi contre le FC Barcelone, un facteur qui avait selon lui fait pencher la balance lors des dernières confrontations
Q: Que retenez-vous des confrontations précédentes en C1 (MU a remporté les demi-finales en 2008, 0-0 et 1-0, et a perdu la finale en 2009, 2-0) ?
A.F. : "Je pense que les Barcelonais ont davantage de maturité. Remporter une Coupe d'Europe a représenté un grand pas en avant pour eux en tant qu'équipe. Ce qui nous avait vraiment coûté, c'est d'avoir concédé le premier but sur un manque soudain de concentration. Ensuite, ils ont replié Messi qui a joué au milieu dans l'axe et ça nous a rendu la tâche très difficile. La concentration va donc être importante en termes d'attaque et de défense, elle sera la clef. En 2008, nous avions fait preuve d'une concentration exceptionnelle. C'est une question importante pour samedi".
Wembley? Nous n'aurons pas un soutien unanime
Q: Comment contenir Messi ?
A.F: "Nous avons joué trois fois contre Barcelone, avec Messi dans l'équipe. Mais il y a toujours une solution pour chaque bon joueur. Nous espérons en trouver une samedi. Ils ont aussi d'autres bons joueurs, et nous aussi. C'est pourquoi c'est un match aussi excitant. Et je suis sûr que Barcelone est conscient de cela".
Q: Comptez-vous sur le soutien du public de Wembley ?
A.F : "En 1968, je crois que tout le monde dans tout le pays, notamment en Ecosse en raison des liens de Matt (Busby, alors entraîneur de Manchester United, vainqueur de la C1, ndlr), était pour Manchester United, et moi aussi. C'était un exploit fantastique et tout le pays était derrière Manchester United. Quand le Celtic a gagné en 1967, tout le monde le soutenait, même les fans des Rangers. C'est une histoire différente aujourd'hui. Nous sommes dans un pays avec beaucoup de tribalisme. Les supporteurs de Liverpool, les supporteurs de United, les supporteurs du nord, du sud, de l'est, de l'ouest... Il y a beaucoup de tribalisme. Nous n'aurons pas un soutien unanime".
Le technicien n'a pas voulu s'étendre sur le cas de Ryan Giggs, dont une relation extra-conjugale a été mise au grand jour lundi par un parlementaire britannique. "Tous les joueurs sont importants pour nous, chacun d'entre eux", a-t-il éludé .
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/24052011/70/24052011193827.html
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mardi 24 mai 2011

Deschamps, oui à l'AS Rome ?

Selon le Corriere dello Sport, Didier Deschamps aurait donné son accord pour rejoindre l'AS Rome. Un proche confirme l'intérêt de l'entraîneur de l'OM qui dispose d'une clause libératoire jusqu'au 15 juin. Une décision qui serait un énorme coup dur pour les Olympiens
Didier Deschamps a dit oui", titre Le Corriere dello Sport au sujet d'une possible arrivée de l'entraîneur de l'OM à l'AS Rome pour succéder à Vincenzo Montella. L'entraîneur de l'OM aurait eu le directeur sportif Walter Sabatini au téléphone. Il lui a alors répondu qu'il serait prêt à en discuter et qu'un nouveau challenge en Italie ne serait pas lui déplaire. Selon le quotidien, le club romain "doit désormais convaincre Marseille de le laisser partir". A priori, ce ne sera pas chose facile tant Jean-Claude Dassier ne cesse de se montrer optimiste. "Je suis persuadé qu'il va rester avec nous la saison prochaine et on va voir avant la fin de l'année pour une prolongation", a-t-il déjà eu l'occasion d'affirmer. Pour l'heure, Deschamps est sous contrat jusqu'en 2012. Mais il dispose (jusqu'au 15 juin) d'une clause libératoire fixée à 3 millions d'euros.
L'AS Rome a donc encore trois semaines pour trouver un terrain d'entente. De même source, Deschamps doit quant à lui rencontrer Jean-Claude Dassier dimanche à l'issue de la dernière journée de championnat à Caen. Mais, pour Angel Di Livio, son ancien partenaire à la Juventus, l'hypothèse est tout à fait crédible. "Didier a été en contact avec les nouveaux dirigeants giallorossi il y a quelques jours et il serait disponible pour entraîner la Roma la saison prochaine, a-t-il assuré sur Tele Radio Stereo. À l'époque, Didier leur avait exprimé sa volonté de finir tranquillement le Championnat, mais il serait enthousiaste de revenir en Italie, à Rome". Deschamps ne serait toutefois pas le seul entraîneur sur la longue liste du club romain où figurent également les noms de Marcelo Bielsa (ex-sélectionneur du Chili), Carlo Ancelotti (libre), André Villas-Boas (FC Porto), Juan Carlos Garrido (Villarreal) ou même Pep Guardiola (FC Barcelone).
Une clause de 3 millions d'euros
La nouvelle risque de faire l'effet d'une bombe à l'OM où l'on compte sur Didier Deschamps. Mais l'entraîneur, également évoqué du côté de Chelsea, laisse planer le doute sur son avenir. "Je n'ai pas à prendre de décision, ni d'annonce officielle à faire. On verra la feuille de route qui sera établie. L'important c'est que je puisse la connaître, disait-il la semaine dernière. Après les entraîneurs s'adaptent. Les objectifs seront fixés par rapport aux moyens". Or, Jean-Claude Dassier a déjà prévenu que l'OM ne ferait pas de folie cet été. "Il faudra faire quelques ventes avant, a annoncé le président. On a beaucoup investi ces deux dernières saisons et ce n'est pas dans nos possibilités de se lancer dans une nouvelle politique d'acquisitions". Si l'OM veut garder Deschamps, déjà frustré l'été dernier, Margarita Louis-Dreyfus devra sans doute mettre la main à la poche.
Une incertitude qui préoccupe jusqu'aux joueurs. "Tout le monde se pose la question, les joueurs les premiers, a ainsi déclaré Benoît Cheyrou. On attend. C'est de notre futur dont on parle. Savoir si Didier Deschamps reste ou pas, qui sera là s'il part, ce sont forcément des questions que l'on se pose". A entendre le milieu de terrain, plusieurs joueurs pourraient même calquer leur avenir sur celui de leur entraîneur. "Tous les joueurs se préoccupent de savoir qui est leur entraîneur. Si c'est quelqu'un qui vous apprécie ou pas, cela change forcément toutes les données du problème", a-t-il laissé entendre.
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/24052011/70/ligue-1-deschamps-oui-a-l-as-rome.html
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