mercredi 31 octobre 2012

Cristiano Ronaldo au PSG pour 100 millions ?

Aux côtés de l'énorme star Zlatan Ibrahimovic, le PSG pourrait bientôt voir débarquer une star encore plus énorme. Le club de la capitale est prêt à offrir 100 millions d'euros au Real Madrid pour recruter Cristiano Ronaldo en 2013, selon la Gazzetta dello sport de mercredi.
L'agent du joueur, Jorge Mendes, qui gère également les intérêts de l'entraîneur José Mourinho, a organisé une rencontre entre les dirigeants du PSG, qui ont le feu vert du propriétaire, le cheikh qatariote Al-Thani, et Florentino Perez, l'homme fort du Real, en présence de Cristiano Ronaldo, selon le quotidien sportif italien. Le club français serait prêt à satisfaire les exigences salariales de la star portugaise, 18 millions d'euros de salaire annuel, soit plus que ne le lui propose le Real (14 millions), et plus que Zlatan Ibrahimovic (14,5 millions). La venue de José Mourinho est aussi envisagée. Elle viendrait "en dot" du mariage avec CR7, écrit la Gazzetta.
Pour convaincre le Real Madrid, Jorge Mendes disposerait d'un atout de choix : il gère les intérêts du Colombien Radamel Falcao, de l'Atletico Madrid, qui pourrait être le successeur de Cristiano Ronaldo chez les "Merengue", pour un transfert estimé à 70 millions d'euros.
 

mardi 30 octobre 2012

Toulouse et l’ASSE en quête du bonus

SOCHAUX - SAINT-ETIENNE : LE FACTEUR BRANDAO
Privé de Ligue 1 ce week-end pour cause de pelouse impraticable, les supporters de Bonal vont-ils se rattraper avec une double ration en Coupe de la Ligue ? Au tour précédent, Sochaliens et Stéphanois avaient fait durer le plaisir pour décrocher leur qualification. Les premiers s'en étaient sortis face à Evian TG après prolongations (3-2). Les Verts avaient poussé jusqu'aux tirs au but pour se défaire de Lorient (1-1, 3-0 aux t.a.b.), avec un Stéphane Ruffier héroïque. Favoris face à Sochaux, les joueurs de Christophe Galtier pourront compter sur leur gardien de but, une nouvelle fois déterminant ce week-end face à Rennes (2-0).
Ils devront en revanche faire sans leur leader offensif Pierre-Emerick Aubameyang, victime d'une béquille et laissé au repos en prévision du déplacement à Paris ce week-end. Les Stéphanois assurent cependant concentrer toute leur énergie sur la Coupe de la Ligue. Pour ce faire, ils pourront compter sur le facteur Brandao, toujours décisif dans cette compétition. Le Brésilien, unique buteur lors de la dernière finale de l'épreuve, y compte autant de buts que de titularisations (8). Et de neuf contre Sochaux ?
MONACO - TROYES : SORTIR DU QUOTIDIEN
Après Valenciennes (4-2 a.p.), l'AS Monaco trouve sur sa route un nouveau club de Ligue 1 pour mesurer le parcours qui lui reste à accomplir avant d'assouvir les ambitions de son riche propriétaire russe. Relégable en Ligue 1, Troyes (19e) ne représente pas le haut du panier malgré des intentions de jeu séduisantes, mais les Monégasques ont l'occasion en Coupe de la Ligue de s'affranchir de leur quotidien au sein du deuxième échelon. Histoire d'annoncer à la France du football la révolution que l'ASM espère mener, et d'effacer le revers subi en championnat face à Nantes (0-2).
Aux yeux de Jean-Marc Furlan, "cette défaite fait qu'ils seront un peu moins favoris". L'entraîneur troyen espère bien en profiter, il a fait d'une victoire en Coupe le deuxième objectif de la saison après l'obtention du maintien en Ligue 1 : "Il y a plein d’équipes qui sont parvenues à gagner une coupe, de la Ligue ou de France. Pourquoi pas nous ?"
RENNES - ARLES-AVIGNON : LE RETOUR DES BANNIS
Yann Mvila et Chris Mavinga font leur retour sur la pointe des pieds. Ecartés une dizaine de jours après leur virée nocturne avec les Espoirs, les deux joueurs ont réintégré le groupe professionnel lundi, à la veille du huitième de finale de Coupe de la Ligue face à Arles-Avignon. L'occasion pour Frédéric Antonetti d'opérer une réintégration en douceur de ses joueurs, dans une épreuve secondaire pour le Stade Rennais. Mvila pourrait même être titularisé, tandis que son compère reste suspendu après avoir été expulsé lors de son passage avec l'équipe réserve.
Malgré les performances récentes du Stade Rennais dans cette épreuve (les Bretons n'ont plus rallié les quarts de finale depuis l'édition 2007), Frédéric Antonetti se défend de faire passer la Coupe de la Ligue au second plan et en fait même "un objectif très sérieux". Et l'entraîneur rennais de mettre ses joueurs en garde : "Arles est une bonne équipe composée de vieux briscards. Je suis très méfiant".
LILLE-TOULOUSE : L'AFFICHE DU SOIR
Dispensé de seizièmes de finale, le LOSC espérait certainement une entrée en matière moins délicate. En recevant le TFC, les Nordistes se mesurent tout simplement au nouveau deuxième de Ligue 1, premier poursuivant du Paris Saint-Germain à la faveur d'une excellente série en Ligue 1. Porté par un jeu séduisant et des individualités rayonnantes (Capoue et Ben Yedder pour les plus en vue), Toulouse espère bien ne pas en rester là. "La Coupe de la Ligue, c'est le chemin le plus court pour être européen", rappelle Pantxi Sirieix. "On va voir ce que ça donne face au gros", poursuit le milieu de terrain toulousain avec gourmandise.
Relancés par trois matches sans défaite, les Lillois ne disposent pas encore tout à fait des mêmes certitudes. Et l'une de leurs principales difficultés du début de saison réside dans l'enchaînement des rencontres, entre sorties domestiques et européennes. Pour autant, "cette rencontre n'a pas pour but de nous rassurer, mais bien de nous qualifier", prévient Rudi Garcia. "À nous de remporter ce rendez-vous face à Toulouse, quelles que soient les forces en présence", conclut l'entraîneur lillois.

http://www.eurosport.fr/football/coupe-de-la-ligue/2011-2012/coupe-de-la-ligue-le-toulouse-fc-et-l-as-saint-etienne-partent-en-quete-du-bonus_sto3474813/story-lci.shtml

lundi 29 octobre 2012

L'OL hausse le ton

Quelques heures après le report de Marseille-Lyon en raison des rafales de vent attendues, l'OL a lancé les hostilités au sujet de la reprogrammation de la rencontre. Dans un communiqué, le club rhodanien estime dimanche soir que les Marseillais ont leur part de responsabilité. Ils posent donc leurs conditions. "Nous partons du principe que l’OM, averti des conditions climatiques, n’a pas pris toutes les mesures nécessaires pour solidifier ses infrastructures, peut-on notamment lire. Et nous demandons qu’en cas de qualification de notre équipe à Nice mercredi soir en Coupe de la Ligue, le match à Marseille soit rejoué le 28 novembre soit à la date du quart de finale de Coupe de la Ligue qui serait alors reporté."
Si l'OL avance déjà ses pions, c'est parce qu'une autre date a été évoquée. Celle du 19 décembre. "Il n'y a pas beaucoup de possibilités" reconnaissait Elie Baup. Mais cela obligerait les Lyonnais à se rendre au Vélodrome trois jours après un déplacement au Parc des Princes. "Il n’est pas concevable pour l’éthique que l’OL joue les deux déplacements les plus importants de sa saison d’affilée [...] comme cela est pressenti", explique encore le communiqué rhodanien. Une hypothèse également balayée un peu plus tôt du revers de la main par Jean-Michel Aulas. "Je suppose que les gens bien intentionnés vont utiliser cette opportunité pour peut-être ne pas donner une date qui soit équitable. Ce serait complètement aberrant."
Garde : "On a fait l’aller-retour pour rien"
En fin d'après midi, la décision de reporter Marseille-Lyon n'avait pas encore fait de vagues, les deux camps étant pleinement conscients du risque encouru par les rafales de vents attendues sur un Vélodrome en chantier. "Il y avait à l’évidence un problème de sécurité, reconnaissait Rémi Garde dans Le Progrès. Il fallait respecter le principe de précaution, ce qui n’a pas toujours été le cas dans le passé." "Il faut accepter les décisions surtout quand cela relève de la sécurité des supporters, confirmait Elie Baup sur le site du club olympien. Il n'y a pas avoir d'états d'âme à voir. La bonne décision a été prise." "Il aurait été compliqué de jouer avec ce vent", avouait Loïc Rémy.
Bernard Lacombe, conseiller du président de l'OL, allait lui aussi dans le même sens. "Avec le vent, c'était normal de reporter, expliquait le dirigeant à l'AFP. Le stade est en chantier, avec des grues autour du stade mais aussi des morceaux de tôles qui auraient pu voler. C'est une bonne et sage décision. C'était dangereux". Tout juste entendait-on Jean-Michel Aulas regretter sur 20minutes.fr la possibilité d'un huis clos ("S'il y avait un problème dans les tribunes...") et Garde pester contre l'annonce tardive. "Le vent soufflait déjà très fort dès hier. On a fait le voyage aller-retour dans la journée… pour rien." La commission des compétitions pourrait se réunir dès jeudi après les 8e de Coupe de la Ligue pour couper court aux polémiques à venir.

http://www.eurosport.fr/football/ligue-1/2012-2013/report-om-ol-lyon-hausse-le-ton_sto3473608/story-lci.shtml

dimanche 28 octobre 2012

Et si on parlait de Matuidi-dépendance?

On l'a vu partout à Nancy. Quand ça allait mal en première période comme dans les temps forts. Si Ibrahimovic a fini le travail, Blaise Matuidi a déclenché. Un véritable détonateur dans une formation parisienne qui a attendu une demi-heure avant de prendre vie offensivement sur la pelouse de Marcel-Picot. Positionné à gauche de Marco Verratti, rapidement sanctionné d'un carton jaune, l'international français a joué son vrai rôle de piston. C'est lui qui porte le ballon vers la surface de réparation avant l'exploit personnel de Zlatan Ibrahimovic. Et à la 74e minute, il avait déjà cumulé les allers-retours.
A vrai dire, le rôle de premier soutien derrière les trois attaquants incombait plutôt à Javier Pastore. Mais l'Argentin a tardé à se situer sur le terrain. "On a commencé avec un problème à droite parce que Pastore n'a pas l'habitude de jouer au milieu de terrain, a précisé Carlo Ancelotti à l'issue du match. Une fois replacé derrière les attaquants, l'équipe a été mieux en place." Blaise Matuidi avait lui déjà pris les clés du milieu parisien tandis que Verratti allait passer la seconde période sur le banc, ne revenant pas après la pause. Le milieu de 25 ans a pourtant failli sortir sur un contact après 16 minutes. C'était sans compter sur son caractère.
Matuidi inépuisable depuis Ajaccio
L'entrée en matière n'était pas parfaite. Dans la rencontre, Blaise Matuidi a perdu 12 ballons, surtout dans les 45 premières minutes où Paris a beaucoup subi. Pour 10 gagnés. Mais son abattage a décollé en seconde période. Si Grégory Van Der Wiel n'a pas hésité à prendre son couloir, Sylvain Armand est resté plus en retrait. L'ex-Stéphanois a donc oscillé entre un rôle de meneur de jeu et d'ailier. A sa manière. On le sait, techniquement il n'a rien de comparable avec ses collègues argentin ou brésilien. Mais par sa combativité, il réalise des progrès évidents dans l'impact offensif. Ancelotti doit sûrement le pousser à porter le ballon. Et à frapper aussi. Le Toulousain a tenté deux tirs non cadrés mais qu'il n'aurait pas osé en d'autres temps.
En fait, Matuidi donne sans arrêt l'impression d'être le poumon de l'équipe. Certes, il a de l'inspiration avec les conseils d'un certain Claude Makelele sur le banc. Mais ses prises de décision lorsqu'il passe la ligne médiane en font un élément précieux lorsque les attaquants, comme Gameiro à Nancy, sont en-dedans. Cette impression dure depuis août alors qu'il a disputé toutes les rencontres du PSG (Ligue 1 et Ligue des Champions) en intégralité depuis le 19 août 2012. On parle beaucoup de l'Ibra-dépendance. Lorsque Ancelotti décidera de faire souffler son milieu le plus utilisé cette saison, il faudra peut-être y repenser.

http://www.eurosport.fr/football/ligue-1/2012-2013/psg-blaise-matuidi-l-indispensable_sto3472651/story-lci.shtml

vendredi 26 octobre 2012

Anelka : "Si vous ne m'aimez pas, c'est réciproque"

Après la France, l'Angleterre, l'Espagne ou la Turquie, Nicolas Anelka poursuit en ce moment son tour du monde en Chine où il a signé en décembre 2011 un contrat de deux ans avec le Shanghaï Shenhua. "Je suis venu en Chine en éclaireur. J'ai ouvert la voie, comme d'habitude ! Je suis un aventurier", explique-t-il dans un long entretien accordé vendredi au Parisien Magazine. S'il est parti à l'autre bout du monde, malgré des offres venant "de l'Italie, de l'Angleterre, du Brésil, de pays du Golfe", c'est donc pour "découvrir ce continent et cette mentalité". "Et comme je suis fan des films de kung-fu, de Jackie Chan, de Jet Li, de Bruce Lee, c'était pour moi un choix logique", ajoute-t-il...
Mais l'ancien attaquant de Chelsea avoue qu'il s'agissait également d'un "choix financier". Avec un salaire de 230 000 euros par semaine, difficile de faire autrement. "Chacun a ce qu'il mérite, se défend-il encore. Je transpire depuis très longtemps pour gagner cet argent. Mon palmarès est là pour rafraîchir la mémoire de ceux qui auraient oublié..." Pour lui, il n'y a donc rien de choquant. Il a "fait des sacrifices très jeune" qui "porte(nt) (leurs) fruits" aujourd'hui. D'ailleurs, "si tu ne comprends pas les salaires énormes des joueurs, c'est que tu n'as rien compris au business du foot", assène-t-il. Pionnier, il s'attend à voir beaucoup de joueurs suivre son exemple, d'autant que le projet de taxation des salaires à 75% devrait "inciter quelques-uns à quitter le championnat de France". "Pas étonnant que le football se mondialise", estime-t-il.
"Le théorème de Pythagore, ça ne me sert à rien"
Nicolas Anelka règle ses comptes en Chine - Football - Super League chinoise Nicolas Anelka règle au passage quelques comptes. "A tous ceux qui parlent sans me connaître, sachez que si vous ne m'aimez pas, c'est réciproque. Et si vous m'aimez, je n'ai rien fait pour. Je suis moi, juste moi", lâche-t-il d'abord. Puis il s'en prend tout particulièrement aux "anti-footeux". Ceux qui "pensent que lire des kilomètres de bouquins et posséder une culture générale est synonyme d’intelligence". "Mais dès qu’ils traversent la Manche, ils n’arrivent pas à aligner trois mots d’anglais. Moi je parle français, anglais et espagnol. Et j’attaque le Chinois. Je peux comprendre et me faire comprendre dans le monde entier, met-il en avant. Les Fourberies de Scapin, le théorème de Pythagore ou Cinquante nuances de Grey, ça ne me sert à rien dans ma vie".
Mais, même en Chine, sa principale bête noire reste la presse. L'occasion d'évoquer le Mondial 2010 et son incident avec Raymond Domenech pour lequel il avait été exclu de la compétition. "Un homme sans ennemi est un homme sans valeurs", commence-t-il par philosopher. Il explique ensuite que "durant toute (sa) carrière, ce fut un combat constant contre la presse". "D'ailleurs dans un futur proche, j'envisage de décerner et d'organiser la cérémonie du journaliste de plomb qui récompensera le plus bidon d'entre eux, enchaîne-t-il. Il sera élu par les joueurs. Le choix s'annonce délicat tant les candidats sont nombreux..." A Shanghaï, Nicolas Anelka reste Nicolas Anelka.

http://www.eurosport.fr/football/super-league-chinoise/2012/nicolas-anelka-regle-ses-comptes-en-chine_sto3470684/story-lci.shtml

jeudi 25 octobre 2012

Europa League: échappée à l'OL, décollage à l'OM, rebond à Bordeaux?

Lyon, premier de sa poule, veut s'échapper un peu plus jeudi avec la réception d'un Athletic Bilbao affaibli, pour la 3e journée d'Europa League lors de laquelle Marseille peut aussi prendre son envol à Mönchengladbach et Bordeaux rebondir à Funchal.
Avec deux victoires dans le groupe I, les Lyonnais, qui ont également repris en L1 leur marche en avant dimanche après trois journées sans victoire, sont actuellement les mieux placés des représentants français.
En tant normal, les absences de Bastos et Grenier auraient pu se révéler préjudiciables mais en face, le 17e du championnat d'Espagne, défait à Valence ce week-end, sera encore plus affaibli, avec les absences d'Ekiza et Inigo Perez, ainsi que l'incertitude entourant la pépite Muniain, jugé toutefois "disponible". Le finaliste malheureux de la dernière édition, qui hésite toujours entre Aduriz et Llorente devant, attend toujours sa première victoire.
Dans le groupe C, Marseille est en embuscade avec quatre points, devancé au goal-average par Fenerbahçe. Son adversaire, Mönchengladbach a été fessé à Brême ce week-end et n'est pas en grande forme, à la 13e place du championnat. L'OM n'est pas au mieux non plus après avoir perdu dimanche Gignac et la tête du championnat à Troyes (0-1), son 3e match domestique sans victoire.
En C3, les Olympiens présentent cependant un visage enjoué depuis le début et s'ils négocient bien le double affrontement face aux Allemands, ils peuvent ensuite espérer toucher les dividendes fin novembre contre les Turcs, pour l'instant privés de Meireles.
Dans la poule D, les Bordelais n'en sont pas encore là, eux qui ne sont que 3e après une large victoire sur Bruges suivie d'une large défaite à Newcastle.
Roi du nul en France, le 6e de L1, doué d'un certain talent pour contrarier ses opposants en déplacement, se contenterait toutefois sûrement d'un résultat de parité chez les Portugais, 6e aussi dans leur championnat mais derniers en C3 où ils attendent encore d'inscrire leur 1er but.
Après trois matches sans victoire, Bordeaux retrouve Henrique et Trémoulinas en défense, mais le gardien Carrasso et l'attaquant Diabaté rejoignent Ben Khalfallah à l'infirmerie.
Dans les autres groupes, la 3e journée n'a réservé aucun affrontement indigeste entre représentants des gros championnats.
Les amateurs d'exotisme se rabattront donc sur le groupe A et le déplacement d'Eto'o et des Russes d'Anzhi à Liverpool où Shelvey, avec trois buts, livre un duel à distance avec le Napolitain Vargas, en déplacement à Dnipropetrovsk dans la poule F.
Pour le côté anecdotique, il faut se rendre dans la poule B, où le tenant du titre, l'Atletico Madrid, reçoit Coimbra. Le co-leader du championnat espagnol vise une 16e victoire de rang en Europe et aussi un 21e match sans défaite, qui constituerait une nouvelle série record d'invincibilité pour le club.
Enfin, le duel le plus bouillant sera dans la poule J, celle d'une Lazio leader et condamnée dernièrement pour le racisme de ses supporteurs, qui rend visite au Panathinaïkos. Dans le même temps, Tottenham, seulement 3e, essaiera de décrocher sa première victoire à Maribor.
Jeudi 25 octobre:
Groupe A:
(21h05) Liverpool (ENG) - Anzhi Makhachkala (RUS)
Young Boys (SUI) - Udinese (ITA)
Groupe B:
(21h05) Atletico Madrid (ESP) - Coimbra (POR)
Hapoel Tel-Aviv (ISR) - Viktoria Plzen (CZE)
Groupe C:
(21h05) Mönchengladbach (GER) - Marseille (FRA)
AEL Limassol (CYP) - Fenerbahçe (TUR)
Groupe D:
(21h05) Newcastle (ENG) - Club Bruges (BEL)
Maritimo (POR) - Bordeaux (FRA)
Groupe E:
(21h05) Steaua Bucarest (ROM) - Molde (NOR)
VfB Stuttgart (GER) - FC Copenhague (DEN)
Groupe F:
(21h05) PSV Eindhoven (NED) - AIK Solna (SWE)
Dnipropetrovsk (UKR) - Naples (ITA)
Groupe G:
(19h00) Videoton (HUN) - FC Bâle (SUI)
Genk (BEL) - Sporting Portugal (POR)
Groupe H:
(18h00) Rubin Kazan (RUS) - Neftçi PFK (AZE)
(19h00) Inter Milan (ITA) - Partizan Belgrade (SRB)
Groupe I:
(19h00) Sparta Prague (CZE) - Hapoel Kiryat Shmona (ISR)
Lyon (FRA) - Athletic Bilbao (ESP)
Groupe J:
(19h00) Panathinaikos (GRE) - Lazio Rome (ITA)
Maribor (SLO) - Tottenham (ENG)
Groupe K:
(19h00) Rosenborg (NOR) - Metalist Kharkov (UKR)
Rapid Vienne (AUT) - Bayer Leverkusen (GER)
Groupe L:
(19h00) Helsingborgs (SWE) - Hanovre (GER)
Levante (ESP) - FC Twente (NED)

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mercredi 24 octobre 2012

Mvila, ça se corse

Yann Mvila et Chris Mavinga pourraient être écartés du groupe professionnel du Stade Rennais "jusqu'au 30 mai", soit la fin de la saison, a déclaré mercredi à la presse l'entraîneur Frédéric Antonetti, "très affecté" par leur virée nocturne en marge d'un match des Espoirs. "Il n'y a pas de date limite, cela peut aller jusqu'au 30 mai, franchement. Je ne l'ai pas encore digéré, il me faut du temps. Celui qui en pâtit le plus, c'est moi. C'est moi qui ai fait confiance aux joueurs", a-t-il affirmé.
Mvila et Mavinga ont été mis à la disposition de la réserve (CFA2) "jusqu'à nouvel ordre" vendredi dernier pour être allés en boîte de nuit à Paris en taxi, sans autorisation et en compagnie de trois autres joueurs de l'équipe de France Espoirs, à trois jours du barrage retour à l'Euro-2013 contre la Norvège, alors que le groupe était réuni au Havre. Les Français avaient été battus 5-3 à Drammen et éliminés.
Antonetti: "Ils n'auront plus ma confiance d'homme"
"On verra en fonction de leur comportement, à moment ou un autre ils vont revenir, ajouté l'entraîneur du club breton. Il me faut le déclic, pour l'instant je ne l'ai pas. Je l'ai sur l'estomac, et bien plus que tout le monde qui commente et qui raconte des choses", a ajouté Antonetti. "Si je me suis senti trahi ? Oui, on peut dire ça, bien sûr. Je suis très affecté, beaucoup plus que je le montre. Ils n'auront plus jamais ma confiance en tant qu'homme. Ad vitam aeternam. Ils peuvent avoir ma confiance (dans une relation) entraîneur/joueur, c'est tout."
La confiance justement. Une notion que risque de perdre Mvila pour un très long moment. Didier Deschamps , le sélectionneur de l'équipe de France estimait aussi qu'un "rapport de confiance avait été trahi". Et concernant les chances de revoir Mvila sélectionné en équipe nationale, le boss des Bleus a été on ne peut plus clair sur notre site mardi : Non, ce n'est pas possible. Vu ce qu'il s'est passé... Il faudra beaucoup de temps. Il y a quand même un sélectionneur à qui on a coupé la tête (ndlr : Erick Mombaerts)". Transfert avorté cet été, problèmes extra-sportifs à répétition, performances en demi-teinte... L'avenir de Yann Mvila continue de s'assombrir.

http://www.eurosport.fr/football/ligue-1/2012-2013/frederic-antonetti-yann-mvila-et-chris-mavinga-pourraient-etre-ecartes-jusqu-au-30-mai_sto3468669/story-lci.shtml

L'OL a besoin de 30 millions d'euros

Lyon sera obligé de vendre trois de ses joueurs, deux cet hiver et un cet été, contre 30 millions d'euros pour équilibrer des comptes encore déficitaires de 28 M EUR en juin 2012, a indiqué mercredi le président de l'OL Jean-Michel Aulas. "Il est prévu de céder trois joueurs, deux au mercato d'hiver et un autre au mercato d'été, pour 30 millions d'euros. Ce qui fera baisser d'autant l'actif joueur et la masse salariale. Pour certains, les négociations sont bien avancées, mais elles n'ont pu se conclure avant la fin du dernier marché", a déclaré le président de l'OL lors de la conférence de présentation du bilan financier du club.
Cet été, l'OL a réussi à se séparer de gros salaires comme Cris, Kim Källström, Aly Cissokho et même le gardien des Bleus Hugo Lloris le dernier jour du mercato, mais il avait aussi échoué à vendre Anthony Réveillère au PSG. "Il fait partie des joueurs qui pourrait quitter le club sauf si nous lui formulons une prolongation. Nous ferons le point en fin de saison avec l'entraîneur, Rémi Garde", a ensuite approfondi Jean-Michel Aulas lors d'une conférence téléphonique évoquant dans le même temps le cas de Yoann Gourcuff. "Il a eu beaucoup de difficultés et de blessures. Bien que nous l'ayons amorti à la moitié de sa valeur dans nos comptes (il lui reste 2,5 ans de contrat, ndlr), on ne peut pas dire que nous ayons traduit totalement cet investissement en termes économiques", a admis "JMA".
Proposition de prolongation pour Lisandro
"Cette année, il est revenu dans des dispositions intéressantes. Il était de nouveau aux portes de l'équipe de France avant de se blesser au genou droit en août. Nous espérons son retour très prochainement. S'il revient au plus haut niveau, qu'il a des sollicitations et qu'il veut absolument partir, il peut faire l'objet d'un transfert", a-t-il encore confié. L'OL a déjà procédé durant le mercato d'été à une "réduction significative" de son actif net joueurs, à -30,5 millions d'euros. "Les évolutions déjà réalisées au niveau de l'effectif professionnel se traduisent par une réduction de la masse salariale et des amortissements joueurs de près de 20 millions d'euros pour l'exercice 2012/2013", relevait mardi le groupe. La balance des transferts d'été est largement excédentaire (+13,2 millions d'euros) avec un montant de cessions s'élevant à 24,2 millions d'euros et des investissements joueurs représentant un montant de 11 millions d'euros.
L'attaquant Bafétimbi Gomis et le milieu brésilien Michel Bastos, qui jouissent d'une certaine cote, pourraient notamment faire partie des postulants au départ après avoir déjà raté le coche en août. En revanche, afin de garder une certaine compétitivité, une proposition de prolongation a été formulée à l'Argentin Lisandro Lopez. "Il veut rester à Lyon. Il me l'a dit et je considère qu'il est indispensable à l'effectif", a souligné le président rhodanien.

http://www.eurosport.fr/football/ligue-1/2012-2013/lyon-oblige-de-vendre-trois-joueurs-pour-equilibrer-son-bilan_sto3468505/story-lci.shtml

mardi 23 octobre 2012

Cinq exemples à suivre pour Lille

Lille a-t-il encore un espoir de rallier les huitièmes de finale de la Ligue des champions ? Après ses deux défaites face au Bate Borisov (1-3) et Valence (2-0), le club nordiste a même du mal à s'imaginer rallier la Ligue Europa. Car le "petit poucet" supposé du groupe, Borisov, caracole en tête du groupe F avec six points. Derrière, le Bayern Munich et Valence, promis aux deux premières places, sont mieux armés que le LOSC et comptent trois points chacun. Ce sera dur. Mais depuis la saison 2003-2004, cinq équipes sont déjà parvenues à se hisser au tour suivant malgré deux revers inauguraux. Et deux d'entre elles étaient françaises.
. WERDER BRÊME (2005-2006)
Sept points, c'est généralement insuffisant pour se qualifier. Pourtant, le Werder Brême s'en est contenté en 2005-2006. La présence dans son groupe de l'ogre barcelonais, qui allait soulever le trophée quelques mois plus tard à Saint-Denis, a permis de niveler par le bas le match à trois que se livraient l'Udinese, le Panathinaïkos et le club allemand. Vaincu à domicile par la formation espagnole lors de la première journée (0-2), le Werder chutait à nouveau sur la pelouse des Grecs deux semaines plus tard (2-1). Il fallu même attendre la quatrième journée pour les voir s'imposer, à domicile contre l'Udinese (4-3), puisque les partenaires de Johan Micoud n'avaient pris qu'un point chez les Italiens (1-1) lors de la 3e journée. Malgré une nouvelle défaite à Barcelone (3-1), les Verts validaient leur ticket pour les huitièmes de finale après une démonstration face au Panathinaïkos (5-1). En huitièmes, ils s'inclinaient au but à l'extérieur face à la Juventus Turin (3-2, 1-2).
. INTER MILAN (2006-2007)
Voilà un bel exemple de démarrage diesel. La campagne 2006-2007 de l'Inter Milan commence donc bien mal pour les Nerazzurri, défaits à Lisbonne par le Sporting (1-0) et dominés chez eux par le Bayern Munich (0-2). Puis la bande à Olivier Dacourt et Patrick Vieira appuie sur l'accélérateur et remportent les trois matches suivants. Contre le Spartak Moscou par deux fois (1-0, 0-1) et contre le Sporting (1-0). Efficacité italienne. Le match nul à Munich (1-1) ne leur permet pas d'accrocher mieux que leur deuxième place déjà assurée. Ils tombent, eux aussi, à cause de la règle du but à l'extérieur contre Valence (2-2, 0-0) en huitièmes de finale.
. OLYMPIQUE LYONNAIS (2007-2008)
Un choc. Le 2 octobre 2007, tout Gerland, et toute la France, étaient sonnés après l'humiliation subie par l'Olympique Lyonnais à domicile face aux Glasgow Rangers. Une défaite aussi lourde qu'inattendue (0-3), qui laissait présager d'une crise à Tola Vologe, deux semaines après un revers sur le même score à Barcelone (3-0). Mais non. Lyon a su se relever en dominant par deux fois Stuttgart (0-2 puis 4-2) avant de décrocher un point fédérateur face au FC Barcelone de Messi, buteur, grâce à un doublé de Juninho (2-2). Mieux encore, les Gones rendaient la monnaie de leur pièce aux Rangers lors du dernier match, décisif pour la qualification. Une victoire en bonne et due forme à Ibrox (0-3), avant une élimination en huitième de finale par le futur vainqueur de l'épreuve, Manchester United (1-1, 0-1).
. PANATHINAÏKOS (2008-2009)
Difficile, en France, de penser immédiatement au Panathinaïkos si l'on vous demande les noms des cinq équipes qui ont réussi à se qualifier après deux défaites. Et pourtant, seule la formation grecque est parvenue à se hisser à la première place de son groupe après un tel démarrage. Cette saison-là, le groupe B était le plus indécis, le "Pana" devançant au final l'Inter Milan de deux points, le Werder Brême de trois et l'Anorthosis Famagouste de quatre. Les Chypriotes auraient pu être la grosse surprise de cette phase de poules, eux qui trônaient en tête du mini-championnat après une victoire 3-1 contre le Panathinaïkos lors de la deuxième journée. Mais le club grec, déjà battu à domicile par l'Inter (0-2) et encore dans le dur après leur match nul contre Brême (2-2), allait ensuite faire sensation en allant dominer chez eux les Italiens (0-1) et corriger à Brême les Allemands (0-3), avant de prendre le meilleur sur l'Anorthosis Famagouste (1-0). Pour eux aussi, l'aventure s'est arrêté en huitièmes de finale, route barrée par Villarreal (1-1, 2-1).
. OLYMPIQUE DE MARSEILLE (2010-2011)
Cette saison-là, Marseille a fait fort. Si les Phocéens n'ont pas réussi à terminer premiers comme le Panathinaïkos, ils ont tout de même réussi la belle performance de s'imposer lors de leurs quatre derniers matches. Surpris à domicile par le Spartak Moscou (0-1) et logiquement dominés par Chelsea à Stamford Bridge (2-0), les camarades d'André-Pierre Gignac ont profité de la faiblesse du MSK Zilina pour se relancer à toute vitesse. L'aller au Vélodrome a certes été laborieux (1-0), mais le festival en Slovaquie (0-7) a été un tournant dans la campagne européenne de l'OM. Sur un nuage, les Ciel et Blanc sont allés étriller le Spartak en Russie (0-3), décrochant ainsi leur qualification, avant de conclure en apothéose à domicile par un succès de prestige face à Chelsea (1-0), grâce à un but de Brandão (81e). L'intenable Mexicain Chicharito ramena ensuite l'OM sur terre en huitièmes de finale, en inscrivant un doublé pour Manchester United à Old Trafford (2-1) après un nul pourtant plein de promesses dans le Sud de la France (0-0).
(*) A noter que Newcastle United et le Bayer Leverkusen avaient également réussi pareil exploit en 2002-2003, mais le format de la compétition était différent.

http://www.eurosport.fr/football/ligue-des-champions/2012-2013/lille-les-cinq-exemples-a-suivre-pour-se-qualifier-malgre-deux-defaites-en-deux-matches_sto3466938/story-lci.shtml

lundi 22 octobre 2012

La détresse de l'Aube

L'Estac n'avait jamais battu l'OM en Ligue 1. C'est chose faite, désormais ! Le club olympien n'avait jamais laissé son fauteuil de leader depuis le début de saison ; là aussi, c'est réparé.
Seule équipe avec Lorient à avoir marqué à tous les matches de L1 cette saison, l'OM interrompt également sa série au terme d'un match terne et branché sur courant alternatif. Et il concède sa deuxième défaite de la saison après le couac majuscule à Valenciennes, laissant au PSG à la sauce qatarie sa première place au classement à la différence de buts.
Un nul aurait pourtant suffi à l'OM pour garder la main en tête du championnat. Mais face au promu et lanterne rouge de la Ligue 1, qui plus est avec un effectif largement remanié à cause d'une hécatombe de blessés et de suspendus, les Olympiens espéraient davantage et souhaitaient éviter à tout prix le "match piège". Raté !
Car si ce ne fut pas une rencontre à sens unique, comme l'écart entre les deux formations pouvait le laisser supposer, cela s'est terminé sur un "matchde peintres". Un terme péjoratif pour les artistes de tous bords, puisqu'ils trouvent toujours le cadre, en toute occasion. À la différence d'hier pour l'escouade marseillaise.
La bande à Nicolas Nkoulou était néanmoins restée dans l'idée de "dimension collective", chère à Élie Baup, et avait montré de bonnes dispositions en déployant du jeu face à une équipe repliée sur elle-même et qui n'exploitait que les contres, elle n'est jamais parvenue à trouver la faille dans un édifice troyen pourtant incertain. Le hic, c'est que les Olympiens ont cruellement manqué de justesse technique dans le dernier geste, anéantissant les mouvements mis en place.

Amalfitano, Valbuena, Rémy, Kaboré, "Dédé" Ayew, mais aussi Morel, auraient pu faire la différence. Pas Gignac, sorti prématurément sur blessure (lire page suivante). Ce moment n'est jamais venu. Bien au contraire. Cela n'efface pas le penalty oublié sur Loïc Rémy. Mais la chance n'a jamais été au rendez-vous, comme en attestent ces deux buts refusés (logiquement) à André Ayew et au maudit Rémy, clairement en manque de confiance, pour hors-jeu.

Étouffé en première période, Troyes a donc repris du poil de la bête en seconde. Les protégés de Jean-Marc Furlan auraient pu doucher les Olympiens plus tôt sur un coup de boule puissant de Nivet (56), que seule la transversale de Mandanda repoussa. Pour son 250e match en L1, il était presque écrit que ce diable de Nivet (même hors-jeu) allait trouver la cible. Et le milieu troyen a attendu les derniers instants pour crucifier l'OM (88) et provoquer le réveil tardif du stade de l'Aube.
Le plus inquiétant est le manque de réalisme des Marseillais. Avant de se déplacer au stade Vélodrome, dimanche, Lyon, lui, a retrouvé le podium (18 points) à la faveur d'un but opportuniste de Gomis en battant Brest (1-0). L'OM, de son côté, a ouvert les vannes. Il faudra revoir la copie à Mönchengladbach avant d'accueillir l'OL pour un Olympico qui promet déjà... Et ranger aux oubliettes la détresse de l'Aube.

http://www.laprovence.com/article/om-a-la-une/la-detresse-de-laube

dimanche 21 octobre 2012

Arsenal : Wenger en veut à ses joueurs

Cela fait quelques années que ça dure. Arsenal ruine trop vite ses minces espoirs de titre en Premier League avec des défaites évitables. Hier, c’est arrivé face à Norwich, relégable qui n’avait pas encore connu la victoire cette saison. Avec les clichés justifiés qui accompagnent les critiques du jeu des Gunners : un manque de talent au poste de gardien et une domination stérile marquée par une inefficacité chronique des attaquants.
Si Arsène Wenger défend souvent ses hommes, il avait cette fois-ci beaucoup de choses à leur reprocher. « Il y a beaucoup trop de joueurs en-dessous de ce qui est demandé en Premier League. On a eu une domination mais vraiment illusoire. Le type de domination qui ne sert à rien. Il faut donner du crédit à Norwich qui a bien défendu durant 90 minutes. Ils en voulaient plus que nous, ils ont gagné et ils l’ont mérité », a-t-il lancé après le match.
Seulement 9e de Premier League, avec déjà dix points de retard sur Chelsea, voilà Arsenal condamné à vivre la même saison que l’année dernière, à courir derrière une place qualificative pour la Ligue des Champions. Pourtant, Wenger croyait beaucoup en cet exercice et affichait une certaine confiance, heureux de la préparation réalisée par ses joueurs. Aujourd’hui, il doit déjà penser à rattraper le retard sur le quatuor de tête. Mais ça, Arsenal maîtrise à la perfection.

http://www.footmercato.net/premier-league/arsenal-wenger-en-veut-a-ses-joueurs_94040

samedi 20 octobre 2012

Le PSG d'une courte tête

Le PSG met la pression sur l'OM. Avant le déplacement des Marseillais à Troyes dimanche (21h00), les Parisiens ont provisoirement pris la tête de la Ligue 1 au club phocéen en s'imposant au Parc des Princes devant Reims (1-0). Après une première période poussive, le club de la capitale a finit par faire la différence grâce à un but de Kevin Gameiro, titulaire aux côtés de Zlatan Ibrahimovic à la pointe de l'attaque francilienne. L'équipe de Carlo Ancelotti compte le même nombre de points que Marseille (19) mais affiche une meilleure différence de buts (+10 contre +5).
Déjà déterminant pour sa première titularisation avec un doublé face à Sochaux (2-0), Kevin Gameiro a encore su être décisif. Après avoir vu une tentative freinée par Kossi Agassa puis sauvée sur sa ligne par Aissa Mandi (30e), l'ancien Lorientais s'est trouvé à point nommé pour reprendre de la tête à bout portant un centre parfait de Maxwell et tromper le portier rémois (1-0, 66e). Il a ainsi marqué son premier but de la tête pour le PSG, et son troisième en L1 cette saison, en seulement deux titularisations. Surtout, il a permis à son équipe d'assurer l'essentiel en n'abandonnant pas de points au Parc face à un promu.
Sirigu encore décisif
Car Reims avait pris cette rencontre par le bon bout. Profitant des errements défensifs d'une équipe parisienne disposée dans un 4-4-2 inédit, avec Thiago Silva au milieu de terrain, l'équipe d'Hubert Fournier a dominé la première période et aurait pu prendre l'avantage très tôt sans une double intervention de Salvatore Sirigu sur un centre de Christopher Glombard, puis sur une frappe de Diego (5e). Le portier italien a encore sauvé son équipe en détournant un penalty du même Diego, après une main d'un Grégory van der Wiel encore décevant sur le flanc droit de la défense parisienne (39e). Il a aussi pu compter sur un sauvetage de Maxwell sur sa ligne sur une tête de Pape Souaré (45e) et sur sa barre sur un retournée de Julien Toudic (84e).
Echaudé par toutes ses alertes, le PSG a mis beaucoup plus d'intensité à la reprise, sous l'impulsion d'un Blaise Matuidi qui n'en finit plus de se rendre indispensable dans l'entrejeu, tant en club qu'en sélection. L'ancien Stéphanois aurait même pu devenir le héros de la rencontre si sa frappe enveloppée du pied droit n'avait pas trouvé la barre (55e). Il ne l'a as été. Pas plus que Jérémy Ménez, entré à la pause à la place de Nene et qui a vu sa tentative finir sur le poteau après une belle percée dans l'axe (64e) avant de vendanger un caviar de Zlatan Ibrahimovic (86e). Pas plus que Zlatan, en difficulté pour cadrer (28e, 59e, 61e, 88e) ou victime des inspirations d'Agassa (77e, 86e). Non, le héros du PSG face à Reims, c'était bien Kevin Gameiro.

http://www.eurosport.fr/football/ligue-1/2012-2013/psg_sto3464457/story-lci.shtml

vendredi 19 octobre 2012

Virée nocturne des Espoirs: Yann M'Vila et Chris Mavinga suspendus «jusqu'à nouvel ordre» par le Stade Rennais

Le club breton «ne peut plus tolérer» leur «comportement irresponsable»...
Pierre Dréossi avait promis «une explication un peu franche» avec Yann M’Vila et Chris Mavinga. La sanction est tombée ce vendredi matin: les deux joueurs du Stade Rennais sont suspendus «jusqu’à nouvel ordre» après leur virée nocturne précédant leur double confrontation face à la Norvège avec l’équipe de France Espoirs.
La décision a été prise en concertation avec Frédéric de Saint-Sernin, Pierre Dréossi et Frédéric Antonetti, selon un communiqué du club qui précise que celle-ci est «délicate mais indispensable», malgré le match important contre Montpellier qui aura lieu samedi soir.
«Le Stade Rennais ne peut plus tolérer les comportements irresponsables de certains joueurs. C’est un acte fort, partagé par tous les dirigeants du club au-delà des conséquences sportives. C’est une question de morale», est-il encore écrit. Yann M’Vila et Chris Mavinga, qui devront également affronter la commission de discipline de la FFF, ne sont pas mis au repos pour autant puisqu’ils s’entraîneront avec la réserve du club

http://www.20minutes.fr/sport/football/1025804-viree-nocturne-espoirs-yann-vila-chris-mavinga-suspendus-jusqu-nouvel-ordre-stade-rennais

jeudi 18 octobre 2012

Cinq Bleuets, dont M’Vila, éclaboussés par une virée nocturne

Cinq joueurs ont cru bon de poursuivre leur préparation pour se qualifier à l’Euro 2013 espoirs en s’offrant une virée nocturne à Paris. La fédération française de football se serait bien passée de cette nouvelle affaire
Cinq joueurs de l’Equipe de France espoirs, Antoine Griezmann, Mbaye Niang et Wissam Ben Yedder et les Rennais Yann M’Vila et Chris Mavinga, sont au centre d’une nouvelle affaire qui éclabousse l’Equipe de France espoirs. Selon nos confrères de l’Equipe, ils n’ont rien trouvé de mieux que de se payer une virée nocturne samedi à Paris, dans une discothèque des Champs-Elysées, alors que toute l’équipe de France se trouvait au Havre pour préparer le match retour des barrages pour la qualification à l’Euro 2013.
La fin de l’histoire ? L’élimination
À leur retour de Paris au petit matin, les Bleuets noctambules ont réussi à regagner leur chambre en passant inaperçus. Mais rattrapés par des photos publiées sur Facebook, ils n’ont pu échapper à une explication avec le staff.
La fin de l’histoire a été sifflée trois jours plus tard sur un terrain de Norvège. Malgré leur victoire au match aller des barrages, les Bleuets ne se sont pas qualifiés pour l’Euro 2013, s’inclinant en Norvège 5-3. Pour la petite histoire, M’Vila et Mavinga étaient titulaires, Griezmann et Niang étaient entrés en jeu.
Des sanctions au Stade Rennais ?
Au Stade Rennais, employeur de M’Vila et Mavinga, cette nouvelle affaire va faire grincer quelques dents. En août dernier, Pierre Dréossi, le manager général du club, avait fustigé ces comportements extra-sportifs. Il avait même annoncé une tolérance zéro aux écarts. « On n’en tolérera aucun » disait même Pierre Dréossi en fin de saison dernière.
 

mercredi 17 octobre 2012

Espagne-France: un nul en forme d'exploit

Certes, il reste un match retour entre les deux nations, à égalité en tête de la poule, le 26 mars au Stade de France, mais le but d'Olivier Giroud, l'attaquant d'Arsenal, mardi soir face à l'Espagne en match de qualification pour le Mondial 2014 est de nature à changer la donne pour les Bleus.
Cette équipe, qui tente d'écrire une nouvelle histoire sous la direction de Didier Deschamps, tient peut-être là son fameux match référence. L'exploit est en effet immense pour une formation donnée battue d'avance avant ce voyage forcément de tous les dangers à Madrid, chez la référence du football mondial, invaincue en compétition depuis 23 matches.

Les troupes de Deschamps ont défendu comme ils pouvaient et ont fait preuve d'une belle solidarité, surtout en seconde période, renversant une situation des plus compromises après l'ouverture du score de de Sergio Ramos après une faute de main de Hugo Lloris (26). L'erreur du capitaine et gardien français a failli coûter très cher et intervient quatre jours après une prestation quelconque face au Japon (défaite 1-0), vendredi en amical au Stade de France. Les débuts délicats de l'ancien Lyonnais à Tottenham ont-ils entamé sa confiance ? Pas vraiment, le portier N.1 des Bleus ayant ensuite stoppé un penalty de Fabregas (41) avant de sortir notamment une double parade décisive (45).

Naguère victime toute désignée de l'Espagne, la France a enfin mis fin à une série de trois défaites de rang en six ans contre son voisin et peut envisager un avenir autrement plus radieux qu'il y a tout juste 4 jours après le premier revers de l'ère Deschamps contre le Japon.
 

mardi 16 octobre 2012

Coupe du monde 2014: Suivez Espagne-France en live

Didier Deschamps et ses joueurs semblent quasiment seuls au monde. Personne n’y croit. Tout le monde s’accorde à dire que la mission relève de l’impossible. Pourtant, le sélectionneur affirme «ne pas vouloir signer pour un match nul sans savoir qu’il peut se passer». La «Dèche» a sûrement concocté un plan aux petits oignons pour contrecarrer les plans de l’Espagne. Tactiquement, les Bleus devraient donc être au point, histoire de ne pas rentrer à la maison avec une valise. Et puis, les équipes de Deschamps sont connues pour faire preuve d’une grande rigueur et d’une efficacité redoutable. Alors pourquoi ne pas rêver d’un petit exploit face au monstre espagnol?
Dés 20h45

L'Espagne a-t-elle espionné l'entraînement secret des Bleus ?

L'Espagne craindrait-elle l'équipe de France ? Les Bleus étaient en train de répéter leurs gammes lundi soir au stade Vicente-Calderon de Madrid, avant le match crucial de qualification du Mondial-2014, quand ils ont vu arriver au bord de la pelouse... les joueurs espagnols, qui ont prétexté ne pas avoir d'autre itinéraire pour accéder à leurs vestiaires. Le sélectionneur français Didier Deschamps a alors demandé à ses joueurs de stopper la séance avant de la reprendre une fois que les Espagnols eurent quitté le terrain. Après réclamation auprès du délégué de l'UEFA présent, la France a obtenu quelques minutes supplémentaires pour finir son entraînement.
Celui-ci a pu s'effectuer en présence du défenseur Patrice Evra, qui n'avait pu s'entraîner normalement jusqu'à dimanche en raison de douleurs au dos. Le défenseur Laurent Koscielny, qui avait été touché à un genou la semaine passée avant de disputer normalement le match amical contre le Japon vendredi (0-1), a eu droit à une séance allégée, a-t-on appris de même source. Sa participation à la rencontre décisive de mardi n'inspirait cependant aucune inquiétude. Durant le premier quart d'heure de l'entraînement ouvert à la presse, le Gunner s'est contenté de courir et d'effectuer des étirements avec l'un des préparateurs physiques des Bleus.
"Onze guerriers sur le terrain"
Karim Benzema habite à Madrid depuis plus de trois ans et il sait mieux que quiconque l'accueil bouillant qui sera réservé aux Bleus mardi, au stade Vicente-Calderon. " On verra demain mais je sais que cela va être une ambiance chaude", a expliqué lundi le joueur du Real à l'occasion d'une conférence de presse où faute d'interprète, il a dû assurer, avec le sourire, les traductions en français et en espagnol. "Mais bon, on a l'habitude", a-t-il concédé par la suite, promettant à son tour que la Roja et ses supporters ne seront pas non plus déçus lors de ce choc des éliminatoires de la Coupe du monde 2014. "On sait tous que c'est la meilleure équipe du monde et que cela va être un match très difficile, surtout chez eux. Mais ce n'est pas mission impossible. On est onze footballeurs. On a tout pour rivaliser contre eux. On sera onze guerriers sur le terrain", a promis l'ancien joueur de l'Olympique lyonnais.
Et il y a eu une autre couac lors de la conférence de presse. Il n'y avait pas de traducteur espagnol, ce qui a posé quelques problèmes pour les journalistes ibériques pour comprendre les propos de Didier Deschamps. Situation qui a eu le mérite de faire sourire le sélectionneur des Bleus.
 

lundi 15 octobre 2012

L'Espagne a le choix des armes

C'est un détail qui change tout. A deux jours de son rendez-vous face à l'Espagne à Madrid, la France sait globalement quels joueurs elle aura face à elle. Ce qu'elle ignore encore, c'est la configuration de l'attaque espagnole. Face à la Biélorussie, la Roja a joué dans un système très proche de celui dans lequel elle a évolué durant la majeure partie de l'Euro 2012. Avec Cesc Fabregas aligné en faux numéro 9 à la pointe de l'attaque, la formation de Vicente Del Bosque s'est baladée à Minsk (0-4). Avec un tel résultat, beaucoup d'entraîneurs seraient tentés de conserver la même équipe de départ. Mais le sélectionneur espagnol n'entre pas dans cette catégorie. Et le retour annoncé d'Andrés Iniesta va aussi entraîner un changement dans l'entrejeu.
ATTAQUE : FABREGAS OU UN VRAI NEUF ?
La semaine passée, plusieurs médias de la péninsule avaient annoncé que l'Espagne jouerait sans attaquant de pointe à Minsk, et avec un véritable numéro neuf contre la France. Mais rien n'indique que ce scénario se produira à coup sûr. Sur ses huit dernières sorties, la Roja a évolué dans cette configuration à quatre reprises, ce qui laisse penser que Del Bosque ne privilégie pas forcément l'un des deux systèmes. Même si cette période montre que sa formation semble plus prolifique sans attaquant de pointe, avec onze buts inscrits, contre six quand elle en aligne un.
L'hypothèse de voir l'Espagne dans un système "sans neuf" est par ailleurs renforcée par la dernière confrontation entre les deux équipes à l'Euro 2012. Cesc Fabregas avait été titularisé dans l'axe de l'attaque d'une équipe espagnole qui avait dominé les Bleus (2-0). Le joueur du Barça semble donc tenir la corde pour une place dans le onze de départ face à la France, au détriment d'un Fernando Torres, d'un Roberto Soldado, ou d'un David Villa. Mais il sera impossible d'en avoir la certitude avant l'annonce des compositions officielles.
MILIEU : QUELLE SERA LA VICTIME DU RETOUR D'INIESTA ?
Si la configuration de l'attaque espagnole face aux Bleus reste un mystère, le retour d'Andrés Iniesta dans le onze de Del Bosque ne fait en revanche aucun doute. Le stratège du Barça, qui a repris la compétition il y a dix jours après une blessure, a été préservé lors de la victoire en Biélorussie (0-4), même si son sélectionneur a tenu à le garder dans le rythme en le faisant entrer pour la dernière demi-heure. Iniesta sera donc bien présent face aux Bleus. La question, c'est qui sera la victime du retour du Barcelonais. A priori, ça se joue entre Santi Cazorla et Pedro.
Sortir Pedro de l'équipe espagnole paraît totalement inconcevable. L'attaquant du FC Barcelone est dans une forme éblouissante, comme en témoigne son triplé à Minsk (0-4). Mais Del Bosque aligne généralement Iniesta au poste occupé par son coéquipier du Barça, sur le côté gauche de l'attaque. Le sélectionneur de la Roja pourrait bousculer ses habitudes et faire reculer son milieu offensif d'un cran. Celui-ci prendrait alors la place de Santi Cazorla, pourtant lui aussi auteur d'un très bon début de saison. C'est à l'heure actuelle l'hypothèse la plus probable.
DEFENSE : ALBIOL, SURPRISE DU CHEF ?
Privée des Barcelonais Gerard Piqué et Carles Puyol sur blessure, la défense espagnole a affiché un visage inhabituel en Biélorussie, où Sergio Ramos a été associé à Sergio Busquets. Le duo a donné satisfaction dans un contexte favorable, face à une attaque biélorusse inoffensive. Remplacé en cours de deuxième période par Raul Albiol en raison d'une alerte musculaire, Ramos sera bien opérationnel face à la France. "Sergio a eu un petit quelque chose et nous n'avons pas voulu prendre de risque, même si lui souhaitait continuer à jouer", avait précisé Del Bosque juste après le match.
L'option la plus probable est de voir cette charnière reconduite face à la France. Marca avance cependant l'hypothèse d'une titularisation d'Albiol, questionné à ce sujet en conférence de presse. "Je ne sais pas si je vais jouer. Je me tiens prêt", a déclaré le Madrilène, précisant que Del Bosque n'avait pas évoqué cette possibilité de jouer avec lui. En club, le défenseur du Real n'a plus joué depuis cinq matches. Mais l'idée de le voir associé à Ramos en défense centrale, ce qui permettrait à Busquets de monter d'un cran, commence à faire son chemin de l'autre côté des Pyrénées.

http://www.eurosport.fr/football/world-cup-qualification-uefa/2014/l-espagne-a-le-choix-des-armes-face-aux-bleus_sto3458394/story-lci.shtml

dimanche 14 octobre 2012

samedi 13 octobre 2012

Les Françaises deviennent championnes du monde

L'équipe de France féminine des moins de 17 ans a décroché le titre de champion du monde en battant la Corée du Nord en finale du Mondial-2012 de la catégorie aux tirs au but (1-1, 7-6 t.a.b.), vendredi à Bakou.

Premier titre

C'est le premier tite de champion du monde pour une sélection française féminine de football.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1021932/football-francaises-deviennent-championnes-monde
ILS ONT PERDU

vendredi 12 octobre 2012

France - Japon: Suivez le match amical en live


Le sélectionneur des Bleus fera tourner son équipe contre le Japon pour ne pas mettre en danger ses joueurs avant le match décisif contre l'Espagne...
Les chasubles parlent de temps en temps à Clairefontaine. La couleur gagnante était donc le rouge, mercredi après-midi dans la forêt des Yvelines, où Didier Deschamps avait associé les onze titulaires qui débuteront le match contre le Japon, vendredi soir au Stade de France. Preuve de l’immense intérêt de ce rendez-vous amical, le sélectionneur a lâché sa composition d’équipe à l’avance, chose à laquelle il se prête très rarement.
C’est donc une équipe amputée de Cabaye, Evra et Ribéry, trois titulaires habituels, qui débutera au Stade de France. Concernant le milieu de Newcastle, touché aux abdominaux, il n’est pas question de prendre le moindre risque. Pour les deux autres, Deschamps préfère les laisser au repos en vue du rendez-vous qui occupe réellement les esprits depuis le début du rassemblement: l’Espagne, mardi soir à Vicente-Calderon.
Six changements prévus
En vue de l’affrontement avec les champions du monde, Didier Deschamps compte bien ménager un peu ses troupes. Vendredi, il a confirmé qu’il procéderait à ses six changements. Un petit avantage par rapport à Del Bosque, limité à trois contre la Biélorussie dans le même temps. «J’en ai prévu six, mais entre ce que je prévois et ce qui peut arriver… Certains interviendront à la mi-temps, d’autres au bout d’une heure. Le dernier sur la fin pour ne pas prendre de risque», détaille Deschamps.
Entre les lignes, des joueurs comme Matuidi, Gonalons, Gomis ou Jallet ont peut-être compris qu’ils bénéficieront d’un peu de temps de jeu. L’idée directrice étant de mettre en place contre les Nippons une animation similaire à celle qui sera en place contre l’Espagne, sans y laisser trop de jus. Une charnière solide, un milieu à trois plutôt robuste, et une attaque où Benzema prendra une nouvelle fois place sur un côté. Et pour rassurer tout le monde, le sélectionneur a confirmé qu’il serait attentif aux performances de chacun en vue du match de mardi prochain. Avant tout (match de) gala, on procède à un casting de choix.

http://www.20minutes.fr/sport/football/1020836-football-equipe-france-didier-deschamps-veut-prendre-risque-face-japon

jeudi 11 octobre 2012

Lloris : "Les choses vont rentrer dans l'ordre"

Il en faudrait plus pour affoler Hugo Lloris. Dans un entretien accordé à L'Equipe, le gardien de l'équipe de France revient sur sa situation actuelle à Tottenham où la concurrence à outrance avec Brad Friedel le fait alterner match sur le banc et titularisation. Bien sûr la situation n'est pas idéale pour lui : "Je n'ai pas signé à Tottenham pour avoir ce rôle-là", regrette-t-il. Mais l'ancien Lyonnais vit la situation avec "beaucoup de recul" et refuse de céder à la panique alors que personne chez les Spurs ne lui a encore garanti une place de titulaire : "l'entraineur fera ses choix", témoigne-t-il. Mais Lloris est serein : "Les choses vont rentrer dans l'ordre".
Ce qui agace le gardien de l'équipe de France, c'est la proportion prise par cette affaire dans les médias. "Je ne peux pas maitriser tout ce qui s'écrit. Ce football-fiction qui s'est mis en place autour de moi me dérange", regrette Lloris. Il s'attache d'ailleurs à tordre le coup aux bruits selon lesquels son arrivée ne répondrait qu'au souhait du président Daniel Lévy et non à celui de son entraineur Andre Villas-Boas. "J'ai discuté avec l'entraineur, il n'y a pas d'ambigüité", continue le portier des Spurs. "Il m'a dit que tout le monde à Tottenham avait souhaité ma venue, et en Angleterre le manager a un certain pouvoir sur ces choses-là."
Lloris assure par ailleurs que "les relations sont bonnes" avec Brad Friedel et Villas Boas et estime qu'il est tout à fait normal d'avoir à "prouver quand on arrive dans un nouvel univers." "Les choses se feront naturellement, je ne vais pas les forcer", martèle Lloris qui a goûté à sa première titularisation en Premier League le week-end dernier face à Aston Villa (2-0). Lloris n'est pas "là pour créer des problèmes mais pour apporter des solutions." Voilà pourquoi il a décidé de ne pas se lamenter et de faire confiance au futur.

http://www.eurosport.fr/football/premier-league/2012-2013/hugo-lloris-a-tottenham-les-choses-vont-rentrer-dans-l-ordre_sto3454297/story-lci.shtml

mercredi 10 octobre 2012

Barça: Eric Abidal sur le chemin du retour

Dans un reportage diffusé par la télévision du club catalan, Abidal apparaît en pleine préparation physique pour retrouver le haut niveau...
Ce n’est pas encore le signe d’un retour imminent mais cela s’en approche. Dans un reportage diffusé par Barça TV, Eric Abidal peaufine sa condition physique en enchaînant les courses et les exercices en altitude du côté du Vall d’Aran avec un kinesithérapeute du club catalan.
Si les médecins du Barça attendent de voir comment Abidal, opéré deux fois d’un cancer du foie, réagit aux efforts qui lui sont demandés avant de se prononcer sur la date de retour de l’arrière-gauche international, ce dernier a déjà pu retoucher le ballon à la Ciutat Esportiva la semaine dernière: «Cela faisait longtemps que j’attendais ce moment et je suis très heureux. Je n’ai pas oublié comment on maniait un ballon, mais il faut que je retrouve un peu les sensations techniques, même si je n’en ai jamais eues beaucoup», a plaisanté l’ancien Lyonnais, à qui la maladie n’a pas fait perdre son sens de l’humour.
http://www.20minutes.fr/sport/football/1019772-barca-eric-abidal-chemin-retour

mardi 9 octobre 2012

Le Real s'est remis à niveau

En inscrivant un doublé sur la pelouse du Camp Nou dimanche soir, Cristiano Ronaldo a établi un nouveau record. L’attaquant star du Real Madrid est le premier à marquer dans six Clasicos consécutifs. Une série entamée en janvier, lors des quarts de finale de la Coupe du Roi?. Cette performance correspond à un rééquilibrage au sommet de la hiérarchie du football espagnol, avec les victoires merengues en Liga la saison dernière et en Supercoupe d'Espagne. Mais le Portugais n'est pas seul responsable de ce retour du Real, désormais capable de regarder son rival droit dans les yeux pour lui tenir tête. C'est par son collectif extraordinaire que le Barça a réussi à constituer l'une des plus belles équipes de l'histoire du football. C'est également collectivement que le Real Madrid est revenu à hauteur des Culés.
Arrivé à Madrid à l'été 2009, Cristiano Ronaldo aussi a subi la dure loi catalane avant de triompher avec son club en Espagne. Même lors d'une première moitié de saison 2010/2011 quasi-parfaite, seulement ternie par l'humiliante Manita, cette terrible déroute sur la pelouse du Camp Nou (5-0) venue rappeler aux Merengue leurs limites du moment. Aujourd'hui, l'heure n'est plus à cette domination écrasante. "Madrid vient au Camp Nou et le Barça doit le vouvoyer", assure Tomas Roncero, rédacteur en chef du quotidien madrilène As. La presse catalane, toujours encline à défendre le Barça, ne peut que reconnaître avoir assisté à "un grand clasico". "Avec de l'intensité, de la pression et un excellent football", précise Mundo Deportivo. Or, pour atteindre ce niveau d'excellence, il faut être deux.
Lionel Messi : "Toujours plus difficile"
Fini le temps de la Manita, ou même du terrible 6-2 infligé à Bernabeu six mois plus tôt. Le Real Madrid est redevenu un rival crédible, et les Catalans en sont les premiers témoins. "Les matches entre le Real et le Barça sont de plus en plus équilibrés, a expliqué Lionel Messi à l'issue du Clasico de dimanche. Ce sont les deux meilleures équipes." Et l'Argentin de reconnaître que chaque équipe aurait pu faire la différence en sa faveur, Barcelone comme Madrid. "Nous aurions aimé gagner mais ce n'est pas facile contre Madrid", conclut-il, évoquant des confrontations "toujours plus difficiles". Son entraîneur Tito Villanova confirme, écartant toute velléité de préserver un match nul plutôt favorable au Barça : "Nous voulions onze points d'avance". Les leaders n'ont simplement pas pu.
Et même si Barcelone a eu des occasions en fin de match, "il y aurait aussi pu y avoir 0-2 en faveur du Real", rappelle le capitaine Xavi, en référence notamment à la frappe sur le poteau de Karim Benzema avant la demi-heure de jeu. Certes, la formation de Tito Vilanova était diminuée, avec une arrière-garde dépeuplée par les absences de Carles Puyol, Gérard Piqué (et Eric Abidal), rapidement rejoints sur le flanc par Daniel Alves. Mais le retour du Real s'appuie sur une tendance plus longue que le seul nul de dimanche. Depuis le début de l'année, six Clasicos ont été disputés et les deux équipes se marquent à la culotte : deux victoires de chaque côté et deux nuls, onze buts partout et jamais un succès par plus d'un but d'écart.
Le Real n'a plus peur
Si les Merengue tiennent tête aux Blaugranas sur le plan des résultats bruts, mais aussi dans la manière. Le nul est favorable au leader de la Liga, qui préserve ses huit points d'avance en tête du championnat espagnol. Pourtant, les analystes espagnols se font beaucoup moins catégoriques sur l'issue de la Liga que lors des semaines précédentes. Avec ce Real, tout est possible, même l'inédit, expliquent-ils en substance. La rencontre de dimanche est venue rappeler à tous à quel niveau Mourinho a mené son équipe. En conférence de presse, l'entraîneur portugais pouvait rappeler avec fierté à quel point le Barça et le Real étaient loin d'être au même niveau à son arrivée il y a deux ans.
"Une chose est certaine, les Madrilènes n'ont plus peur du Barça", analyse notre correspondant en Espagne François David. Dimanche, les joueurs de José Mourinho ont pu imposer leur tactique, abandonnant le ballon à des Barcelonais contenus en dehors de la surface de réparation (seulement deux tirs dans les 16m50 avec 70% de possession) et exposés à des contres meurtriers. Avec Cristiano Ronaldo comme arme fatale, le Real Madrid mise sur un jeu très direct, avec réussite. Fini le recours à la boîte à gifles, avec des Madrilènes maltraitant physiquement (et bien au-delà des limite des règles du jeu) leurs adversaires catalans dans l’espoir d’atténuer l’écrasante supériorité azulgrana. La formation de José Mourinho n'a plus besoin de recourir à de telles extrémités pour tenir la dragée haute à son rival. Elle est véritablement redevenue l’égale du Barça. Les premiers mots du Portugais en conférence de presse étaient lourds de sens : "Je suis content d'être venu ici il y a deux ans, au moment où il y avait une vraie différence de qualité avec le FC Barcelone. J'apprécie que le Barça et nous soyions désormais au même niveau."

http://www.eurosport.fr/football/liga-1/2012-2013/le-real-est-revenu_sto3451897/story-lci.shtml

lundi 8 octobre 2012

Un PSG "un peu mou"

Le PSG est reparti de Marseille avec un bon point (2-2). Sur le fond, c'est tout bon. Sur la forme, le club de la capitale a manqué de mordant.

L'arbre qui cache la forêt. Dans le rôle de l'arbre, Zlatan Ibrahimovic. Dans celui de la forêt, le Paris Saint-Germain. Si le club de la capitale, deuxième du Championnat de France, est reparti des Bouches-du-Rhône avec un point dans sa musette et reste à trois longueurs de l'Olympique de Marseille, il le doit à 99% à l'international suédois, auteur d'un doublé en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. D'accord, on exagère un petit peu. Mais la vérité n'est pas très éloignée tant le PSG a manqué d'énergie, quatre jours après s'être incliné à Porto (1-0) lors de la deuxième journée de la Ligue des champions. Le club de la capitale a passé deux tests cette semaine, à l'extérieur il est vrai. Il n'en a gagné aucun.
A Marseille, le PSG n'a pas semblé dans son assiette d'entrée de jeu. A l'image du match de l'an passé, les joueurs de Carlo Ancelotti se sont montrés en retrait dans l'impact physique et, comme en novembre 2011, ont encaissé le premier but. A l'époque, ils en avaient pris deux de plus sans en rendre un seul. Mais à l'époque, Paris n'avait pas Zlatan. En deux minutes chrono, le Suédois a montré combien il était indispensable. Une reprise "zlatanesque" et un coup franc surpuissant ont fait le reste. Ils ont offert au Paris Saint-Germain un avantage que la physionomie du début de match ne laissait présager. La suite, c'est un deuxième but olympien et une seconde période décevante de la part des deux équipes.
Armand : "On aurait pu mieux faire"
"C'est un point pris à l'extérieur. Mais on s'est senti un peu mou, on a manqué un peu de rythme et d'intensité. On aurait pu mieux faire", a jugé Sylvain Armand après la rencontre. Constat partagé par Blaise Matuidi, qui a eu maille à partir avec Morgan Amalfitano : "On est déçus de ne pas avoir gagné car on avait plutôt la maîtrise du jeu. On a manqué un peu d'intensité. (...) Ils ont été agressifs, mais ils avaient prévenu. On a essayé de répondre par le jeu mais, malheureusement, on n'a pas eu le résultat que l'on espérait."
Ce résultat, le club de la capitale serait peut-être allé le chercher sans un crochet par le Portugal, mercredi. C'est ce qu'ont jugé une partie des acteurs de la partie. Excuse recevable. Mais qui ne justifie en rien le manque d'imagination et de mordant des Parisiens. Javier Pastore n'avait joué que dix minutes à Porto. Cela ne l'a pas empêché de sortir une prestation indigente durant le temps que Carlo Ancelotti lui a laissé sur la pelouse du stade Vélodrome. "En deuxième période, nous aurions pu donner plus de vitesse et d'intensité, mais l'adversaire n'est pas facile. Nous étions un peu fatigués. Il y a eu le match de mercredi et le voyage...", a analysé l'entraîneur du PSG, qui, au-delà du point pris, s'est réjoui d'une chose. Devinez laquelle ? "Ibrahimovic est bien utilisé dans notre jeu, il marque et c'est bon pour nous. Zlatan est un grand joueur, il a de grandes qualités, mais il est aussi très utile à l'équipe." L'arbre donne belle allure à cette forêt.

http://www.eurosport.fr/football/ligue-1/2012-2013/un-psg-un-peu-mou_sto3450748/story-lci.shtml

dimanche 7 octobre 2012

Marseille - PSG à suivre en live ICI CE SOIR

Le choc de la 8e journée de L1... en cliquant sur ce lien.....
http://www.20minutes.fr/sport/football/1017439-ligue-1-marseille-psg-guerre-mondes
Deux mondes les séparent désormais, mais sur le terrain, l’OM et le PSG luttent toujours dans la même catégorie. Du moins jusqu’à cette 8e journée, où les deux clubs se disputent le trône du championnat lors de ce premier «classique» de la saison. Avec trois points d’avance, l’OM a besoin d’un nul pour conserver la tête mais une défaite offrirait au PSG le leadership qu’il convoite sur la durée, grâce à une meilleure différence de buts. Alors que Christophe Jallet a promis de «donner des gifles» aux Marseillais, l’équipe d’Elie Baup aborde ce choc sans complexe, comme l’a bien résumé Mathieu VAlbuena. «On verra bien qui est le petit», assure celui qui promet d’aller au duel avec Ibrahimovic. Au moins, l’intention est là…
Un match à suivre en live comme-à-la-maison dès 21h. Le premier qui appelle ce match un «clasico» est prié de changer de chaîne pour mater Barça – Real. Merci…

Ligue 1 : les résultats de la 8e journée

Vendredi
Saint-Etienne - Nancy 4-0

Samedi
Montpellier - Evian TG 2-3
Bastia - Troyes 3-2
Lille - Ajaccio 2-0
Reims - Nice 3-1
Sochaux - Rennes 0-2
Toulouse - Valenciennes 2-2

Dimanche
14h00
Brest - Bordeaux
17h00
Lorient - Lyon
20h00
Marseille - Paris SG


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/06/97001-20121006FILWWW00431-ligue1-les-resultats-de-la-8e-journee.php

jeudi 4 octobre 2012

Equipe de France: L'annonce de la liste de Deschamps

Pour affronter le Japon en amical et l'Espagne en éliminatoires de la Coupe du monde 2014...
Gardiens:
Landreau, Lloris, Mandanda

Défenseurs:
Clichy, Debuchy, Evra, Jallet, Koscielny, Rami, Sakho, Yanga-Mbiwa

Milieux:

Cabaye, Capoue, L. Diarra, Gonalons, Matuidi, Moussa Sissoko, Valbuena

Attaquants:
Benzema, Giroud, Gomis, Ménez, Ribéry.
 

mercredi 3 octobre 2012

Ligue des champions: Porto - PSG à suivre en live ce soir...

Le deuxième match de groupe des Parisiens...
Impressionnants il y a deux semaines lors de leur entrée en lice contre le Dynamo Kiev (4-1), les joueurs d’Ancelotti doivent désormais confirmer cette victoire à Porto pour prendre le large dans leur groupe de Ligue des champions. Avec une équipe au grand complet, le PSG a les moyens de s’imposer sur la pelouse du stade du Dragon, où Thiago Silva est de retour, huit ans après avoir timidement porté les couleurs du club portugais. Cette année-là, les deux clubs s’étaient d’ailleurs affrontés dans la compétition en phase de poule. Deux matchs mémorables, notamment grâce au but zlatanesque de Charles-Edouard Coridon. Une aile de pigeon – presque assimilable à un «coup du scorpion» - venue de nulle part qui donne encore des cauchemars à Vitor Baia…
>> Un match à suivre en live comme-à-la-maison dès 20h45. Pour les fans de Montpellier, on switchera de temps en temps sur l’autre rencontre de la soirée contre Schalke04…

Cliquez sur ce lien..... http://www.20minutes.fr/sport/football/1015211-ligue-champions-porto-psg-suivre-live-comme-a-la-maison-des-20h45

mardi 2 octobre 2012

Suivez le matche en live ici A PARTIR DE 20H30/A Valence, Sofiane Feghouli a bien grandi

Le milieu de terrain algérien, formé à Grenoble, s'est imposé à Valence, qui reçoit Lille ce mardi en Ligue des champions...
Un but et une expulsion. Samedi face à Saragosse, Sofiane Feghouli aura été l’un des acteurs principaux de la deuxième victoire en Liga du FC Valence (2-0). Un match à l’image de sa carrière en Espagne, entre ombre et lumière. Même si, après des débuts compliqués à son arrivée au club en 2010, l’international algérien a fini par s’imposer.
«Il est arrivé de manière assez anonyme. C'était un pari du directeur sportif. Mais grâce à son jeu et ses buts, il a gagné le respect des supporters. Les gens sont dingues de Feghouli, ils le considèrent comme un titulaire indiscutable», explique Juan Carlos Villena, journaliste au quotidien Las Provincias.

«Feghouli? C’est un crack»

D’ailleurs, il suffit de tendre l’oreille à l’entrée du centre d’entraînement du club espagnol pour mesurer la cote de popularité du milieu de terrain de 22 ans. «Feghouli? C’est un crack. Il lutte sur tous les ballons, il ne lâche rien», se réjouit Jesus, un fan valencian. Qu’elle semble loin l’arrivée discrète de ce jeune inconnu révélé sous les couleurs de Grenoble. Après deux saisons en Ligue 1, l’ancien international espoirs français a succombé aux sirènes de l’Espagne et de Valence. Même si après six premiers mois passés à cirer le banc, son nouveau club l’envoie faire ses classes à Almeria. Un passage formateur qui l’aura endurci et définitivement libéré la saison dernière.

Suivez le match Lille-Valence en live comme-à-la-maison à partir de 20h30

«C'était un joueur très timide quand il est arrivé ici et en plus il ne jouait pas beaucoup. Mais petit à petit, surtout quand il a commencé à devenir titulaire, on l'a vu participer plus à la vie du groupe, aux dîners avec l'équipe. Mais c'est un garçon tranquille, qui ne sort pas beaucoup», poursuit Villena. Car Feghouli préfère garder son énergie sur le terrain de Mestalla, où il est devenu incontournable. Avec déjà trois buts inscrits en sept matchs cette saison sous le maillot blanc valencian, le jeune espoir a bien grandi. Et Lille pourrait en faire les frais mardi. Pour ses retrouvailles avec un club français, le joueur, né à Levallois, espère bien se rappeler au bon souvenir de la Ligue 1.

http://www.20minutes.fr/article/1014179/valence-sofiane-feghouli-bien-grandi

lundi 1 octobre 2012

Lyon reste en carafe contre Bordeaux

Les Girondins s'imposent 2-0 à Gerland...
Pour l’OL, les années se suivent et se ressemblent. Comme l’an dernier lorsqu’elle avait chuté à Caen, la formation de Rémi Garde a perdu son invincibilité en championnat lors de la 7e journée. Cette fois, c’est Bordeaux qui a endossé le rôle du bourreau (0-2). Les hommes de Francis Gillot n’ont pas été malheureux sur ce coup. Dominés durant l’essentiel de la rencontre, ils doivent leur succès à un but inscrit contre son camp par Dejan Lovren (65e) qui a dévié une frappe de Benoît Trémoulinas et pris à contre-pied Rémy Vercoutre.
Le coffre-fort bordelais
Les Girondins, qui ont réalisé le break en fin de rencontre par Cheikh Diabaté (82e), prolongent ainsi leur incroyable série de matchs sans défaite, eux qui n’ont plus perdu depuis le 8 avril dernier à... Caen (1-0). L’efficacité de leur défense peut les porter encore très loin. Les Lyonnais sont en effet tombés sur un véritable coffre-fort qu’ils ne sont pas parvenus à faire sauter. Beaucoup plus entreprenants que la semaine précédente à Lille (1-1), les partenaires de Lisandro Lopez ont fait le siège des buts adverses durant toute la première période mais ont manqué d’efficacité.
Ils sont aussi tombés sur un Cédric Carrasso des grands soirs qui s’est rappellé au bon souvenir du sélectionneur national. Mais les Bordelais ont démontré en seconde période qu’ils savent faire autre chose que seulement bien défendre puisque Gouffran (29e) et Diabaté (55e) ont contraint Vercoutre à s’employer avant de le faire plier.

http://www.20minutes.fr/article/1013531/ligue-1-lyon-reste-carafe-contre-bordeaux