vendredi 30 avril 2010

Suivez le match Auxerre Marseille en live ici

Suivez le match de ce soir en direct sur ce site en cliquant sur le lien


http://www.20minutes.fr/article/401470/Sport-Auxerre-Marseille-A-suivre-en-live-comme-a-la-maison-des-21h.


http://www.lequipe.fr/Football/directs/Live166420.html


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Une victoire et l'OM est à un point du titre

Même si les joueurs refusent de prononcer le mot «finale», ce duel entre l’AJA et l’OM a tout d’un sommet décisif, à quatre journées de la fin. Dans son impressionnante chevauchée de qui pourrait le conduire à son premier titre de champion depuis 1992, Marseille a la possibilité de repousser son dauphin à huit points en cas de victoire à L’Abbé Deschamps.

Au petit jeu de l’esbroufe médiatique, les coachs des deux équipes ont parfaitement géré leur avant match, rejetant la ression sur les épaules de leur adversaire. Le coach marseillais Didier Deschamps affirme que son équipe n'a pas «plus la pression» qu'Auxerre. Voire moins: car «quoi qu'il arrive, on sera devant après le match. C'est une étape, importante pour nous, mais aussi très importante pour eux, quoi qu'ils puissent en dire.»

Si l'OM se contenterait volontiers d'un match nul, les Bourguignons, en déplacement à Lyon la prochaine journée, sont contraints de s’imposer pour croire encore au titre même si Olivier Sorin affirme que «l'OM a plus à perdre». «On jouera sur nos valeurs habituelles», répond le gardien auxerrois. Notamment «une organisation défensive magnifique», selon le capitaine et maître à jouer Benoît Pedretti.
20minutes

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Pedretti : «Si on gagne...»

«Une petite finale.» Benoît Pedretti (photo Presse-Sports) en est conscient : le match de vendredi soir (21 heures), entre l'AJ Auxerre et l'Olympique de Marseille, vaudra cher dans la course au titre. Quand Jean Fernandez, son entraîneur, assure que l'AJA ne peut pas rivaliser avec l'OM, le capitaine bourguignon croit que les Icaunais peuvent encore relancer le suspense. «Si on gagne, tout sera possible, annonce-t-il dans Le Parisien. Les Marseillais auront ensuite un match compliqué contre Rennes, car je connais la pression du Vélodrome. Encore faut-il que l'on remporte nos trois derniers matches.»

«L'argent ne fait pas tout»
Au classement, Auxerre compte cinq points de retard sur le leader olympien. Mais devance les grosses écuries présumées que sont Lyon, Bordeaux ou encore Paris. «Ce qui est rassurant, c'est que l'argent ne fait pas tout, note Pedretti. L'aspect humain aussi.» La force de l'AJA? «L'envie de jouer ensemble. Seuls, on n'est pas grand-chose, mais en équipe, on est forts. Il ne faut pas se prendre pour d'autres. Gardons cette unité et cette simplicité.»
francefootball.fr

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Rama Yade : "Le maillot des Bleus ne peut être porté par un mis en examen"

Rama Yade, a pris position jeudi, à l'antenne de Canal+, sur les affaires de mœurs dans lesquelles seraient impliqués plusieurs joueurs de l'équipe de France. Pour la secrétaire d'Etat aux Sports : "le maillot de l'équipe de France est sacré et ne peut être porté par un mis en examen, si jamais monsieur Ribéry est mis en examen".
Le joueur a été entendu dans une affaire de proxénétisme. Rama Yade a ajouté que Zahia, la jeune femme au centre du scandale, "n'est pas très âgée" et que ce n'était "pas une affaire drôle". Zahia soutient dans une interview à Paris Match que les joueurs concernés ignoraient qu'elle était mineur au moment des fais.

(Lire : Zahia : Je n'avais jamais dit que j'étais mineur)

Rama Yade n'est pas la seule au sein du gouvernement à s'être exprimée sur la question. Roselyne Bachelot est sur la même longueur d'onde : " Je pense qu'un joueur ne peut pas porter le maillot de l'équipe de France s'il est mis en examen mais ce n'est pas le cas pour l'instant. Je n'ai pas de conseil à donner à Raymond Domenech mais je n'intégrerais pas dans l'équipe un joueur mis en examen." Dans un passé récent, des ministres mis en examen ont pu rester dans le gouvernement.
TF1News

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Blanc regardera le classement

Laurent Blanc a reconnu que le classement de son équipe en fin de saison pouvait "avoir une incidence" sur sa décision de rester ou de quitter les Girondins et d'éventuellement prendre en main l'équipe de France. L'entraineur bordelais a aussi affirmé qu'il n'avait pas encore pris de décision.
"Je ne l'ai pas prise ma décision. Comment il faut vous le dire, en chinois, en anglais", a déclaré Blanc, lors du point-presse précédant le match contre Toulouse dimanche. Pour clore la discussion qui l'a passablement agacé, l'ancien défenseur tricolore a toutefois admis: "Le classement de Bordeaux peut avoir une incidence sur ma décision", sans plus de précision. "Je ne suis pas pressé pour prendre une décision. Je suis sous contrat avec les Girondins de Bordeaux jusqu'en 2011", a-t-il rappelé auparavant.

Et de poursuivre. "Quand vous n'avez pas pris de décision, vous ne pouvez pas annoncer que vous avez pris une décision pour faire plaisir aux joueurs, faire plaisir à la presse ou à l'environnement des Girondins". Le technicien bordelais, interrogé sur la possible corrélation qui existe entre les mauvais résultats des Girondins et l'incertitude planant sur son avenir, a reconnu que "cela fait partie des explications". "Mais ce n'est pas l'explication essentielle. Quelle que soit l'annonce que j'aurais faite en février ou en mars, vous pensez que j'aurais eu moins de blessés dans l'effectif", a conclu "Le Président".

AFP / Eurosport

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Un géant d’Amérique du Sud veut se servir à l’ASSE !

Seizième du Tournoi Clausura 2010 après 15 journées... Il y a bien longtemps que River Plate n’avait pas connu pareille déconfiture sportive. En proie à une crise financière terrible, la formation de Buenos Aires traverse une période très sombre. Si quelques historiques comme Matias Almeyda, Ariel Ortega ou Marcelo Gallardo sont venus donner un coup de main pour sortir leur club formateur de sa torpeur, les résultats ne sont pas au rendez-vous. L’objectif d’ici la fin du championnat sera donc le maintien. Une fois ce but atteint, les dirigeants millonarios devront préparer un mercato de choix afin de repartir vers les sommets.

Le président du club Daniel Passarella entend s’associer à différents partenaires commerciaux pour s’offrir de grands noms du football argentin et redorer le blason des pensionnaires du Monumental. Selon l’agence de presse argentine Télam, le staff technique aurait dressé une liste de renforts prestigieux composée de Juan Pablo Angel (New York Red Bull), Andrés D’Alessandro (Internacional Porto Alegre), Mario Bolatti (Fiorentina) et Juan Pablo Carrizo (Lazio). On évoque également le nom de Gonzalo Bergessio (25 ans). Si le buteur est arrivé à l’AS Saint-Étienne il y a tout juste un an contre un chèque autour de 6 M€, ses prestations ne sont pas extraordinaires (5 buts en 26 apparitions en L1). Et un départ dès cet été pourrait donc être d’actualité.

Déjà décevant à Benfica de juillet à décembre 2007 (9 apparitions toutes compétitions confondues et aucun but), Gonzalo Bergessio confirme ses difficultés à exercer ses talents en Europe. Du coup, l’ambitieux projet monté par River Plate pourrait bien le convaincre de quitter le Forez et de retrouver l’air du pays. Si une jolie somme d’argent venait à parvenir sur le bureau de ses dirigeants, l’ASSE ne devrait certainement pas se montrer difficile...
footmercato

Les cinq piliers d'Auxerre

Si Auxerre peut encore disputer le titre à Marseille ce soir, il le doit en grande partie à cinq hommes. D'Olivier Sorin à Ireneusz Jelen en passant par Benoit Pedretti, cette colonne vertébrale a propulsé l'AJA à la deuxième place de Ligue 1. Jean Fernandez livre son avis sur chacun d'entre eux.

. OLIVIER SORIN (gardien)

Arrivé en décembre 2006 en provenance de Nancy où il jouait les doublures, Olivier Sorin a effectué tout au long de la saison des arrêts déterminants. Il a contribué à la stabilité de la défense de l'AJA, la meilleure de L1 (26 buts encaissés) en donnant de multiples indications et en replaçant efficacement ses joueurs. Sur les 31 rencontres qu'il a disputées (sur 34), Sorin n'a pas encaissé de buts à 13 reprises. A 29 ans, le gardien bourguignon, vice-capitaine, réalise la meilleure saison de sa carrière. Besiktas s'intéresse de près à lui.

L'avis de Jean Fernandez: "Il a vraiment pris une dimension supplémentaire. Je pense qu'il est aujourd'hui plus fort qu'à son arrivée. C'est quelqu'un qui aime son métier, ça se voit. Il arrive chaque matin avec l'envie de progresser. C'est un taulier."

. ADAMA COULIBALY (défenseur)

Arrivé en 2008 de Lens, où il jouait depuis neuf ans, c'est la tour de défense de l'équipe icaunaise, efficace dans le jeu aérien et très présent physiquement malgré des débuts difficiles sous les couleurs auxerroises. A 29 ans, il possède une grande expérience et commet surtout très peu de fautes (un avertissement cette saison) qu'il soit associé à Jean-Pascal Mignot, actuellement blessé, ou à Stéphane Grichting. Le président du RCL, Gervais Martel, a d'ailleurs dit récemment qu'il le regrettait énormément.

L'avis de Jean Fernandez: "Lui, c’est un défenseur dans l’âme. Quand Lens est descendu en Ligue 2, j’ai insisté pour qu’on le récupère. Une belle affaire. C’est un joueur méconnu mais un très grand joueur. Au Mali, on le surnomme "Police". Il est performant dans les un contre un, dans les duels aériens. C’est quelqu’un qui parle peu, mais lorsqu’il le fait, tout le monde l’écoute."

. BENOIT PEDRETTI (milieu)

Le capitaine de l'AJA est le baromètre de l'équipe et la rampe de lancement des offensives ou contre-attaques auxerroises. Il reste redoutable sur phases arrêtées comme en témoigne son coup franc inscrit dimanche à Toulouse (3-0). Souvent raillé pour son jeu dur, l'ancien marseillais est un infatigable travailleur. Arrivé en Bourgogne il y a quatre ans, il y a trouvé un club familial, comme à Sochaux, sans doute plus adapté à sa personnalité. Son nom circule à nouveau chez les Bleus mais la concurrence est rude à ce poste (Toulalan, L. Diarra et A. Diarra)

L'avis de Jean Fernandez: "Cela fait quatre ans qu'il est à Auxerre et c'est sa meilleure saison. Il y a peu de garçon avec son profil dans notre championnat. Sur une passe, il est capable de casser une défense, de créer le décalage. Je savais qu’il avait toujours cette qualité. Par rapport au joueur que j’ai connu à Sochaux, je trouve qu’il gère mieux les événements et qu’il a acquis une nouvelle maturité tactique. Il a l'art de rendre ses coéquipiers meilleurs.

. DANIEL NICULAE (Attaquant)

Troisième meilleur passeur de L1 avec un total de neuf (pour quatre buts), le Roumain s'est mué en attaquant de soutien plutôt qu'en avant-centre buteur, un poste pour lequel son efficacité était moindre. Il est l'un des maillons essentiel de l'animation offensive de l'AJ Auxerre. De quoi se faire pardonner sa saison blanche de but l'année dernière.



L'avis de Jean Fernandez: "Nous l'avions pris pour être buteur, plus que passeur mais au fil des matches, il fournit un gros travail défensif. Il a désormais de bons automatismes avec Jelen et ils ont plaisir à jouer ensemble. C'est désormais une pièce essentielle de notre dispositif offensif. Comme quoi, une équipe ne se fait pas du jour au lendemain, au fil des jours."

. IRENEUSZ JELEN (attaquant)

Cinquième buteur de la L1 avec 13 buts (pour une passe décisive) en 25 matches de L1, dont quatre doublés, il est incontournable dans la réussite de l'AJA qui peine à obtenir des résultats sur une longue période sans lui. La saison dernière, le club icaunais avait connu une baisse de régime terrible durant son absence de trois mois, conséquence d'une blessure à une épaule. Au final, Jelen avait néanmoins inscrit 14 buts en 26 rencontres de L1. C'est aujourd'hui le joueur le plus convoité en Bourgogne.

L'avis de Jean Fernandez: "C'est certain qu'avec "Irek" devant, nous nous sentons plus forts car on sait qu'il est capable de prendre la profondeur et d'aller marquer. Il a une adresse extraordinaire. Il me fait penser à Papin. Il manque un peu de qualité technique, il perd souvent les ballons dans les contrôles et les passes, il n’a pas de course très intelligente mais il va très vite et il est très adroit devant le but.

AFP / Eurosport

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La nouvelle sensation française qui s’abat sur la Premier League

« Je verrai avec mes dirigeants à la fin de la saison. S’il est vrai que Portsmouth est une bonne équipe, qui évolue dans le meilleur championnat du monde, si je pars, ça ne sera peut-être pas pour l’étranger. Je pourrai rester en France, où il y a également de très bons clubs ». Voilà ce que Steven N’Zonzi déclarait à SkySports en avril 2009.

Un an plus tard, le milieu récupérateur est l’une des grandes révélations de la Premier League, à la surprise générale. Formé à Amiens, le natif de Colombes était pourtant loin d’être connu en France. L’an passé, il avait tout de même disputé la bagatelle de 41 rencontres chez les pensionnaires du Stade de la Licorne. Puissant, technique et doué dans le jeu aérien, le milieu de terrain avait même découvert l’équipe de France Espoirs, pour sa première saison chez les professionnels.

Et comme souvent, les clubs de Ligue 1 se sont fait devancer sur ce dossier, laissant le champ libre à une Premier League toujours aussi friande des Frenchies. Malgré l’intérêt de Marseille ou bien encore de Caen, ce sont finalement les Blackburn Rovers qui ont raflé la mise en alignant simplement un peu plus de 500 000€. Et quasiment un an plus tard, force est de constater que le pari est réussi. Enchaînant les prestations de qualité, le joueur a gagné haut la main sa place de titulaire. Il a ainsi disputé 37 rencontres chez les pensionnaires d’Ewood Park, s’offrant d’ailleurs le luxe de trouver le chemin des filets à deux reprises.

Révélation de l’année, le joueur a même eu droit aux louanges de son coach. Interrogé par The Sun, Sam Allardyce s’est montré dithyrambique à l’égard de son protégé : « On ne pouvait pas rêver mieux, il a été solide toute la saison. On le remarque vu sa taille et son jeu de tête, mais il a bien d’autres qualités. Peu de joueurs réussissent à s’imposer dès leur première saison en Premier League, et c’est ce qu’il a fait. Ça va lui permettre de progresser. Il peut être fier de ce qu’il a fait. Jouer en Premier League ne lui a pas fait peur. Il prouve à chaque match qu’il a le niveau pour jouer ici ».

Le longiligne milieu récupérateur (1,90m pour 75kg) a donc séduit toute la Premier League, devenant au passage l’une des grandes attractions du football anglais. Étant aujourd’hui l’une des pièces maîtresses des Blackburn Rovers, l’international Espoirs surprend match après match. Reconnu par ses pairs, le joueur semble désormais voué à un destin en or. Et qui sait, alors que les Bleus se cherchent des milieux de terrain, Steven N’Zonzi pourrait, à tout juste 21 ans, être la surprise de Raymond Domenech à la prochaine Coupe du Monde.
footmercato

Zahia et les Bleus : et si les enquêteurs prenaient leur temps ?

Après la ministre de la Santé Roselyne Bachelot dans l'émission «Mots croisés», sur France 2 lundi, c'est au tour de Rama Yade d'envoyer un message de fermeté dans l'affaire de proxénétisme qui impliquerait des joueurs de l'équipe de France.
«Le maillot de l'équipe de France est sacré et ne peut être porté par un mis en examen si jamais M. Ribéry est mis en examen», a déclaré la secrétaire d'Etat aux Sports jeudi soir, sur Canal+.

Rama Yade a ajouté, concernant Zahia, que la «jeune femme n'est pas très âgée» et que ce n'était «pas une affaire drôle». Franck Ribéry (Bayern Munich) et Karim Benzema (Real Madrid), sont soupçonnés d'avoir eu des relations sexuelles tarifées avec cette jeune femme rencontrée au Zaman Café, un cabaret oriental des Champs-Elysées, alors qu'elle était mineure. Le Lyonnais Sidney Govou a, en outre, été entendu en qualité de témoin par les policiers mais il aurait rencontré Zahia après son 18è anniversaire.

«On ne bouge pas avant la Coupe du monde»

«J'étais le cadeau d'anniversaire de Ribéry», déclare la jeune femme au centre du scandale, dans une interview à Paris Match parue jeudi. Elle assure que les joueurs concernés ignoraient qu'elle était mineure au moment des faits.

Les Bleus vont-ils pour autant se passer de plusieurs têtes d'affiche pour le mondial en Afrique du Sud en juin ? Selon Libération, les enquêteurs pourraient attendre l'été pour agir. «On ne bouge pas avant la Coupe du monde, a assuré un chef d'enquête au quotidien. La fille (ndlr: Zahia) reconnaît qu'elle ne leur a jamais dit qu'elle était mineure. De plus, sur les photographies d'elle à 16 ans, elle paraît bien plus âgée (...). Et comme elle le dit, Benzema n'avait que 18 ans. Il n'y a pas d'urgence. (...) Les conséquences peuvent être trop lourdes».

Cohn- Bendit : «On sait depuis longtemps que les footballeurs vont au bordel»

Ainsi, l'audition comme témoin de Karim Benzema, qui était prévue début-mai, a été reportée à l'après-mondial, selon le journal Libération.

Daniel Cohn-Bendit (Europe Ecologie) a également relativisé l'affaire de proxénétisme touchant des joueurs de l'équipe de France de football, affirmant qu'«on sait depuis longtemps que les footballeurs vont au bordel (sic)». Selon le chef de file d'Europe Ecologie, les joueurs français «ne savaient pas» que Zahia, la jeune femme au coeur du scandale, était mineure. «S'ils ne le savaient pas, ils ne seront pas condamnés», a-t-il assuré.
Le Parisien


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Niang au régime sec

Il est le fer de lance de l'Olympique de Marseille depuis cinq ans déjà. Sans aucun doute le meilleur attaquant ayant porté le maillot floqué de la devise "Droit au But" depuis le départ de Didier Drogba. Mais en ce moment, ça ne rigole pas pour lui. Lui, c'est Mamadou Niang. A deux doigts de décrocher le Graal avec l'OM, l'international sénégalais est à la peine et n'a pas l'apport escompté. Depuis sa blessure en finale de la Coupe de la Ligue (27 mars face à Bordeaux), l'ancien Strasbourgeois n'est que l'ombre de lui-même. Dimanche dernier face à Saint-Etienne (1-0), il a même ajouté une once de malchance à ses malheurs de buteur en berne en touchant du bois sur un coup de tête.

Et si Mamadou Niang, toujours meilleur buteur du Championnat de France, à égalité avec le Lorientais Kevin Gameiro (15 réalisations chacun), se débloquait vendredi à l'Abbé-Deschamps alors que l'OM peut faire un pas décisif vers le titre de champion de France* ? Ce serait le plus beau des cadeaux pour un joueur fidèle au poste depuis une demi-décennie et qui a déjà terminé deuxième du championnat à deux reprises sous le maillot phocéen. Il est temps de mettre fin à cette malédiction : "J'en ai tellement rêvé de ce titre avec l'OM...", affirmait-il jeudi dans les colonnes de L'Equipe.

Pas au top

Son pote et coéquipier Souleymane Diawara n'est pas, mais vraiment pas, inquiet pour Mamadou Niang, même s'il n'a plus marqué depuis le 7 mars dernier (Lorient, 1-1) alors qu'il sortait d'une série plutôt prolifique (6 réalisations en sept rencontres). L'ancien Bordelais ne sent pas Niang dans une mauvaise passe et préfère relativiser : "Il est bien mais il y a des périodes où rien ne sourit. Les cages peuvent être vides et tu tires sur le poteau. On l’a vu dimanche, il a touché le poteau, Janot a fait un arrêt reflexe sur sa ligne, il y a un but refusé… Pour l’instant, cela ne lui sourit pas trop mais j’espère que, contre Auxerre, il va retrouver le chemin du but."

Didier Deschamps est sans doute moins proche de Mamadou Niang que Souleymane Diawara. Mais lui non plus ne s'alarme pas. D'autant que son capitaine n'est pas qu'un buteur. En témoignent son abattage et ses passes décisives, au nombre de cinq depuis le début de la saison. "Les plus grands ont connu ça aussi. Indépendamment, il est capable de faire d'autres choses qui sont importantes pour l'équipe. Il a fait marquer ses partenaires. Il ne doit pas être obnubilé par le but." Justement, comment vit-il cette période de disette ? "Il fait avec, comme un attaquant qui ne marque pas." Que Niang et Deschamps se rassurent, plus une série dure, plus elle se rapproche de son terme.

* En cas de victoire, les Marseillais compteraient huit points d'avance sur l'AJA, à trois journées de la fin.

Eurosport

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Liverpool cherche un acheteur

La nouvelle était dans l'air depuis plusieurs semaines ; elle a été officialisée ce vendredi, via un communiqué publié sur le site officiel du club : le Liverpool FC est à vendre. Les propriétaires des Reds, les hommes d'affaires américains Tom Hicks et George Gillett Jr, ont confirmé leur volonté de se séparer du club, qu'ils avaient acquis en 2007. La banque Barclays a été chargée d'en fixer le prix. Martin Broughton, actuel président de la compagnie aérienne British Airways, a été appelé pour superviser le processus de cession. Pour Liverpool, actuel 6ème de Premier League, la saison en cours aura décidément été celle de tous les bouleversements : éjectée du «Big Four» alors qu'elle était vice-championne en titre, la formation des bords de la Mersey va maintenant changer de mains.

270 millions d'euros de dettes

Si les actuels propriétaires évoquent «l'intérêt» prononcé de plusieurs repreneurs potentiels, le futur acquéreur devra avoir les reins solides. Le club se trouve en proie à de graves difficultés financières. Son endettement se monte à près de 270 millions d'euros (237 millions de livres selon la presse anglaise). Et la manne de la Ligue des Champions a de grandes chances de faire défaut la saison prochaine.
La nouvelle sera certainement accueillie avec soulagement par les nombreux supporters des Reds. . Ces derniers n'avaient de cesse de reprocher à leurs dirigeants américains, outre l'accroissement de la dette du club, un manque de résultats criant depuis 2005 et la victoire en Ligue des Champions. Quant aux deux associés, propriétaires de clubs de hockey ou de baseball en Amérique du Nord, ils espèrent bien réaliser une plus value. En 2007, ils avaient dû débourser 217 millions de livres (245 millions d'euros) pour s'offrir le club. L'enclenchement du processus de mise en vente ajoute en tous cas un peu plus d'incertitude au-dessus de la tête de l'entraîneur Rafael Benitez et de son «Spanish Liverpool» . Sous contrat jusqu'en 2014 avec les Reds, le technicien espagnol, objet de diverses rumeurs de départ, sera-t-il maintenu par ses futurs propriétaires
maxifoot

jeudi 29 avril 2010

Le top 10 des plus grosses fortunes dépensées en un seul mercato

L’été dernier le Real Madrid a frappé un grand coup sur le marché des transferts. En recrutant deux des trois derniers Ballon d’Or (Cristiano Ronaldo, Kaka), Karim Benzema, Xabi Alonso, Raul Albiol, Alvaro Arbeloa ainsi qu’Alvaro Negrdo, la Casa Blanca a dû débourser pas moins de 250 M€ pour sa deuxième génération de Galactiques.

Un record absolu qui a eu pour conséquence de dérégler le marché, les prix ayant subi une sensible augmentation. Une inflation à laquelle a également participé Manchester City qui, grâce au richissime Cheikh Mansour, a dépensé près de 160 M€ pour s’attacher les services de joueurs tels que Carlos Tevez, Emmanuel Adebyor, Joleon Lescott ou encore Kolo Touré.

Si les Citizens promettent de remettre ça cet été (Fabregas, Joe Cole, Young, Ronaldinho entre autres), le Times a dressé un bilan des dix formations ayant investi le plus d’argent en un seul mercato. Sans surprise, trois clubs trustent les places d’honneur : le Real Madrid (3 fois), Chelsea (3 fois) et Manchester City (2 fois). Tottenham et la Lazio Rome complètent la liste.

Le classement :

1. Real Madrid : 250 M€ investis en 2009
2. Manchester City : 160 M€ investis en 2009
3. Chelsea : 128 M€ investis en 2003
4. Chelsea : 100 M€ investis en 2004
5. Lazio Rome : 80 M€ investis en 1998
6. Manchester City : 80 M€ investis en 2008
7. Tottenham : 78 M€ investis en 2008
8. Real Madrid : 75 M€ investis en 2001
9. Chelsea : 75 M€ investis en 2008
10. Real Madrid : 74 M€ investis en 2007
Footmercato

OL : « un transfert de Michel à l’Inter n’est pas d’actualité »

Le dossier Bastos ne cesse d’aller de rebondissements en rebondissements. Alors que l’international auriverde ne cesse de clamer haut et fort son envie de rester à l’Olympique Lyonnais, un dirigeant brésilien est à nouveau venu semer le trouble hier. Président de Pelotas, le premier club du Gone, Luiz Aleixo n’a pas hésité à déclarer que le Lyonnais était en route vers l’Inter Milan.

Des propos pas anodins, mais qui révélaient surtout le désir de cet homme de voir un tel transfert se réaliser, ce qui permettrait à son équipe de percevoir une indemnité. Mais face à ces dires, une source proche du dossier nous a clairement indiqué que tous ces bruits étaient infondés.

« Ce que je peux vous dire est que ce dirigeant de club (Pelotas) n’est nullement informé sur rien et n’est au courant de rien, donc ses informations sont sans fondements. Comme il l’a déjà rappelé, Michel est très bien à Lyon. Il veut gagner des titres avec l’OL et confirmer en Coupe du Monde. Ce sont donc deux objectifs très difficiles en plus du changement de club qu’il a effectué en début de saison. Pour résumer, un transfert de Michel à l’Inter n’est pas d’actualité. » Des propos qui ont le mérite d’être clairs et qui devraient refermer une fois pour toutes ce chapitre.
footmercato

Bordeaux : Triaud reprend Gourcuff de volée

« C’est quelqu’un d’important pour moi. C’est lui qui est venu me chercher à Milan, c’est lui qui m’a donné cette confiance. C’est entre autres grâce à lui si l’année dernière, j’ai réussi à faire une saison comme ça. Donc s’il quitte Bordeaux, je pense que son choix aura de l’influence sur les joueurs (…) C’est vrai qu’avec Laurent Blanc ça se passe très bien. S’il est amené à partir dans un grand club européen, et qu’il veut de moi, il pourrait y avoir des facilités parce que je le connais et j’ai déjà travaillé avec lui ». Voilà en substance ce que Yoann Gourcuff avait déclaré au micro de RTL le 5 avril dernier. Le message a de quoi être clair : le meneur des Girondins souhaite faire partie de plans de son entraîneur si ce dernier venait à quitter les champions de France en titre au terme de la saison.

Des déclarations qui n’avaient, jusque-là, pas encore fait réagir le président bordelais, Jean-Louis Triaud, malgré le peu de considération que l’ancien Milanais semble avoir envers son contrat qui le lie à Bordeaux jusqu’en 2013. Une prise de position d’autant plus mal placée que le club au scapulaire avait, en mai dernier, levé l’option d’achat auprès du Milan AC en consentant notamment à de gros efforts sur le plan financier et salarial pour le conserver. Toujours est-il qu’aujourd’hui, dans L’Équipe, le président bordelais s’est fendu d’une déclaration sur le ton de l’ironie qui fera réfléchir la star girondine : « Il a dit ça, Yoann, c’est sympa, ça prouve sa confiance en son entraîneur. Cela étant, si l’entraîneur s’en va en équipe de France, il ne pourra pas être en permanence avec lui... Il ne le verra qu’aux rassemblements. Et s’il s’en va dans un autre club, il faudra encore que le club veuille de lui ».

Une boutade en forme de rappel à l’ordre de la part de celui qui tient à remettre en avant son autorité en matière de transfert. Mais les plus observateurs auront très certainement remarqué que, dans cette déclaration avant tout destinée à son meneur de jeu, Jean-Louis Triaud a, pour la toute première fois, évoqué un possible départ de Laurent Blanc et une éventuelle prise de fonction à la tête de la sélection nationale. Si l’ironie de ses propos lui offrira facilement une porte de sortie en cas de questions sur le sujet, pas sûr qu’ils rassurent les cadres bordelais qui attendent avec impatience que leur entraîneur soit fixé sur son avenir pour penser sérieusement au leur.
footmercato

mercredi 28 avril 2010

OM : « Deschamps compte sur Sabo pour la saison prochaine »

Cedric d’Ulivo, Mohamed Dennoun, André Ayew et Jean Philippe Sabo ont tous connu la même trajectoire. À peine sortis du centre de formation, les dirigeants marseillais les ont tous placés en L2 voire même en National. Cette politique symbolise le peu de confiance qu’accorde le centre de formation marseillais à ses jeunes talents. Ainsi, hormis Mathieu Flamini, Samir Nasri et Cédric Carrasso, ils sont peu nombreux à avoir eu leur chance régulièrement à l’OM ces dernières saisons. Et le retour de prêt s’annonce souvent compliqué et peut engendrer une nouvelle cession voire même un départ définitif de Marseille.

Cette situation, Jean-Philippe Sabo ne veut pas la vivre. Après deux prêts successifs et particulièrement convaincants à Montpellier (34 matches) puis à Ajaccio (30 matches), le latéral gauche veut revenir à Marseille, comme le lui ont promis les dirigeants. Joint par nos soins, l’agent du joueur nous a expliqué que son protégé allait revenir à l’OM pour briguer une place dans le groupe de Didier Deschamps. « En début de saison dernière, Jean Philippe a accepté de rejoindre Ajaccio avec pour objectif de continuer sa progression. Après deux ans en Ligue 2, il veut désormais jouer en L1 et veut le faire dans son club formateur. Didier Deschamps compte sur lui la saison prochaine et souhaite le récupérer. Selon toute vraisemblance, il sera normalement à la reprise de l’entraînement à Marseille la saison prochaine. Après si l’entraîneur ne compte finalement pas sur lui, nous aviserons avec le club afin de trouver la meilleure issue possible. »

Si Sabo nourrit de grandes ambitions avec l’OM la saison prochaine, rien n’indique que Didier Deschamps lui fera confiance. On se souviendra de l’exemple Garry Bocaly. Son statut de meilleur latéral droit de L2 n’a pas suffi à lui offrir un temps de jeu suffisant. Il a rejoint depuis... Montpellier. De plus, la concurrence féroce à son poste de Taye Taiwo ou de Gabriel Heinze risque de ne pas lui faciliter les choses. Âgé de 23 ans et fort de ses belles prestations en L2, Sabo n’aura pas de mal à rebondir. L’été dernier déjà, Montpellier, Valenciennes et Lens et les Young Boys Berne s’étaient penchés sur son cas avant qu’il ne se décide finalement à rallier la Corse.
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Les dirigeants lyonnais travaillent sur le premier dossier chaud du mercato

Si l’inamovible Cris a tenu la baraque derrière quasiment toute la saison, la pléthore de défenseurs centraux de l’Olympique Lyonnais n’a pas tenu son rang. La faute à de trop nombreuses blessures des Boumsong, Bodmer et autres Cleber Anderson. Et ce n’est pas l’arrivée au club de Dejan Lovren cet hiver qui a pu rassurer Claude Puel qui n’a rarement pu aligner la même défense centrale d’un match à l’autre. Si Jérémy Toulalan effectue un brillant intérim aux côtés de l’international brésilien en défense, il ne s’agit en aucune manière d’une solution à long terme. Dès lors, le club rhodanien prépare une révolution en défense. Exit John Mensah (prêté à Sunderland), Cleber Anderson (non conservé et qui va probablement retourner au Brésil) et Mathieu Bodmer (PSG ?), joueur à l’immense talent, mais si souvent blessé.

Si Boumsong, Cris et Lovren devraient rester au club, la direction rhodanienne envisage très sérieusement de s’offrir les talents d’un défenseur de haut niveau pour épauler Cris. Un joueur capable, de par son expérience, de devenir un vrai patron et de préparer ainsi la succession du policier, bientôt âgé de 33 ans. Une liste de cinq noms comprenant, Garay (Real Madrid), Otamendi (Velez Sarsfield), Miranda (São Paulo), Adil Rami (LOSC) et Bruno Alves (Porto) est évoquée ce jour par Le Progrès. Des joueurs prometteurs, mais très chers et qui ne seront pas forcément lâchés facilement par leurs clubs respectifs.

Une liste à prendre avec des pincettes puisque parmi les joueurs annoncés, João Miranda et Nicolas Otamendi nous ont clairement expliqué par l’intermédiaire de leurs représentants qu’ils n’avaient absolument pas entendu parler d’un intérêt lyonnais à leur égard. Revenu en grâce au Real Madrid ces dernières semaines, Ezequiel Garay sera difficile à recruter, de même que Bruno Alves. Le défenseur portugais de 28 ans est estimé à près de 30 M€ par le président du FC Porto et se trouve également sur les tablettes du Barça et de l’Inter Milan. Enfin, le dossier le plus accessible mène finalement à Adil Rami. Régulier depuis plusieurs saisons dans le Nord, le défenseur lillois est aux portes de l’équipe de France. Après l’avoir bloqué la saison passée alors qu’il souhaitait rejoindre l’OM, Rami pourrait se voir accorder un bon de sortie pas ses dirigeants. À un mois et demi du début du mercato estival, les dirigeants lyonnais travaillent déjà d’arrache-pied pour renforcer leur arrière-garde. Un dossier sensible et qui pourrait s’annonce déjà déterminant quant à la saison 2010/11 du club rhodanien.
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MU : un demi-finaliste de la LdC pour sauver le flop berbatov ?

Dimitar Berbatov a beau réaliser sa meilleure saison depuis qu’il est à Manchester United (12 buts en 30 matches de Premier League), l’international bulgare est plus que jamais menacé par un possible transfert cet été. Lié aux Red Devils jusqu’en 2012, l’attaquant mancunien a réitéré son désir de rester à Old Trafford, mais ses appels ne semblent pas avoir trouvé d’écho favorable.

Toujours aussi frustrés de ne pas voir les 37 M€ investis se rentabiliser, les dirigeants du club anglais ne s’opposeront pas à un départ de l’ancien Spur de Tottenham si une belle offre leur parvient. Et selon les médias anglais, cette proposition pourrait ne pas mettre bien longtemps à arriver sur leurs bureaux.

En effet, le Bayern Munich suivrait avec attention l’évolution de ce dossier. Avec un Mario Gomez décevant, un Miroslav Klose sur le départ (Hambourg l’a sollicité l’hiver dernier) et un Ivica Olic courtisé par Manchester City, les Munichois pourraient être obligés de renforcer leur secteur offensif. Bien que la formation bavaroise a fait de leur défense leur priorité du mercato, si jamais un ou plusieurs éléments offensifs venaient à partir, une pointure serait la bienvenue.

Pour l’instant, le stade de l’intérêt n’aurait pas été dépassé, mais le Bayern sait que Berbatov connait très bien la Bundesliga puisque ce dernier a joué du côté du Bayer Leverkusen de 2001 à 2006 et qu’il y a brillé (69 buts en 154 rencontres). Mais si MU ne devrait pas être difficile à convaincre, Berbatov sera-t-il intéressé par un retour en Allemagne ? Au cas où la réponse serait négative, le Hollandais Robin Van Persie fait toujours partie des joueurs ciblés.
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mardi 27 avril 2010

L’OM prend son temps dans le dossier Juanfran

Leader avec cinq points d’avance sur son dauphin l’AJ Auxerre, l’Olympique de Marseille est placé sur la voie royale pour remporter le titre de champion de France. Un sacre après lequel le club phocéen court depuis 1993. On comprend mieux pourquoi les hommes de Didier Deschamps et l’entourage du club tout entier souhaitent préparer profiter de chaque instant de ce sprint final qui s’annonce glorieux. Seulement, à trop se gargariser de leur succès, les Olympiens pourraient bien voir de séduisantes recrues leur filer sous le nez. Juanfran (25 ans, 3 buts en 30 rencontres de Liga cette saison) sera peut-être l’une d’entre elles.

Il y a quelques jours, la radio espagnole Cadena Ser annonçait que l’OM était intéressé par le profil du milieu offensif droit d’Osasuna. Seulement, depuis, plus rien... Contacté par nos soins, un membre de l’entourage du joueur formé au Real Madrid a indiqué que, s’il avait eu vent de la rumeur, les Marseillais n’avaient encore rien entrepris de concret dans ce dossier. « Nous avons vu cette information bien sûr. Mais pour l’instant, il n’y a rien de concret. Les discussions n’ont pas été entamées et aucun dirigeant de l’Olympique ne nous a contactés. Osasuna n’a pas encore totalement assuré son maintien en Liga. C’est le seul et unique objectif de Juanfran d’ici la fin de saison. Ensuite, il sera temps de parler d’avenir », a-t-il expliqué.

À quelques encablures de la fin de saison, l’Olympique de Marseille a donc décidé de mettre le mercato estival de côté afin de se concentrer uniquement sur le sprint final en Ligue 1. Si dans le dossier Juanfran en tout cas, le temps ne devrait pas jouer contre l’OM, espérons que cette stratégie d’attente ne refroidira pas certaines autres cibles des Ciel et Blanc en vue du prochain mercato estival.
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Deschamps et Ben Arfa s’inscrivent dans la durée, Benzema et Lloris plaisent à MU...

Zoom : personne ne veut quitter l'OM

Gouverner, c'est prévoir. Aussi le président de l'Olympique de Marseille, Jean-Claude Dassier, planche-t-il déjà sur la composition de son effectif en vue de la saison prochaine. Contrairement à l'été dernier qui avait vu un renouvellement important de l'effectif, le prochain mercato devrait être plus calme. Un attaquant est attendu pour remplacer Fernando Morientes, un milieu et un défenseur au moins devraient arriver. Mais pour l'heure, Dassier s'attache surtout à convaincre ses meilleurs éléments de rester. Cela ne devrait pas être trop dur concernant Didier Deschamps et Hatem Ben Arfa, tous deux décidés à poursuivre l'aventure. «Je suis prévu pour être là et je serai là» , a assuré Deschamps.

Quant à Ben Arfa : «Je serai à l'OM. Je veux rester. Ce n'est pas comme si j'étais dans un petit Championnat. Cela ne me dérangerait pas de poursuivre en France encore quelques années. La L1 n'est pas mal, ce n'est pas la Suisse ! Alors pourquoi partir pour partir ? Je suis bien ici» , a déclaré l'ancien Lyonnais. Par ailleurs, le doute plane sur les deux latéraux, Laurent Bonnart (en fin de bail en juin) et Taye Taiwo (sous contrat jusqu'en 2011). «Je suis convaincu qu'avec Antoine (Veyrat), nous allons trouver une solution. Je pense que Laurent est un garçon qui compte dans une équipe, c'est un type bien, il est précieux, on va faire tout ce qu'il faut pour qu'il reste avec nous. (…) On regarde avec lui (Taiwo) pour prolonger, car il est jeune et talentueux. On aimerait qu'il reste plus longtemps» , a confié Dassier. L'OM s'achemine-t-il vers le mercato le plus calme de son histoire ?

Manchester vise Benzema, Lloris et Silva ?

Le manager de Manchester United, Sir Alex Ferguson, serait résolu à frapper un grand coup sur le marché des transferts. A en croire le quotidien anglais The Sun, le rendement de l'attaquant bulgare Dimitar Berbatov serait dans le collimateur du manager des Red Devils, également soucieux de disposer de solutions plus variées pour son animation offensive. D'où les deux cibles annoncées par le tabloïd : le milieu offensif gauche du FC Valence, David Silva (24 ans, 26 matches de Liga cette saison, 5 buts), et l'attaquant du Real Madrid, Karim Benzema (22 ans, 20 matches de Liga cette saison, 7 buts).

Une proposition de 40 millions d'euros serait en préparation pour l'international espagnol, dont le bail actuel prend fin en juin 2013. Quant à l'ancien Lyonnais, une première offre de 28 millions d'euros pourrait être formulée. Par ailleurs, Ferguson aurait fait du gardien de but de l'Olympique Lyonnais, Hugo Lloris (23 ans, 30 matchs en L1 cette saison), l'une de ses priorités pour succéder à Edwin van der Sar. Une offre de 17 millions d'euros serait en préparation.

Le Barça ne veut pas de Fabregas

Alors que la rumeur annonce depuis des mois un intérêt du Barça pour le milieu d'Arsenal Francesc Fabregas (22 ans, 27 matchs et 15 buts en Premier League cette saison), le président du club londonien Peter Hill-Wood a expliqué s'être entretenu avec les dirigeants catalans, mais ces derniers «nous ont dit qu'ils n'étaient pas intéressés. S'ils sont intéressés dans l'avenir, ils s'adresseront directement à nous. Mais je ne pense pas qu'ils le feront.» Formé au Barça, Fabregas est sous contrat avec Arsenal jusqu'en juin 2014.

Hoarau noie le poisson

Nul ne sait si Guillaume Hoarau (26 ans, 18 matchs et 5 buts en Ligue 1 cette saison) quittera le Paris SG en fin de saison, mais la question revient avec de plus en plus d'insistance. Un temps envoyé à Bordeaux ou vers l'Angleterre, l'attaquant parisien se verrait plutôt franchir les Pyrénées. «On me parle beaucoup de l'Angleterre en raison de mon gabarit, mais l'Espagne, très technique, retiendrait mes faveurs» , a confié Hoarau. Le lendemain, lassé de voir courir des rumeurs à son sujet, Hoarau a coupé court. «Je suis sous contrat et il me reste encore beaucoup à faire dans ce club» . Pour rappel, l'ancien Havrais est sous contrat avec le club de la capitale jusqu'en juin 2013.

Pato mis à prix

L'attaquant du Milan AC, Alexandre Pato (20 ans, 21 matchs et 12 buts en Serie A cette saison), pourrait se retrouver sur le marché cet été. Les dirigeants lombards souhaiteraient se séparer de l'international brésilien pour éponger leurs dettes, selon Il Corriere dello Sport. Mais pas à n'importe quel prix. La mise aux enchères serait en effet de 55 millions d'euros. Son nom a circulé du côté du Real Madrid ces dernières semaines, où son compatriote et ancien Milanais Ricardo Kaká n'est pas encore parvenu à s'imposer.

Les feuilletons : Blanc laisse courir les rumeurs, Kahn vendrait Ribéry pour 60 M€

Que fera l'entraîneur des Girondins de Bordeaux Laurent Blanc à l'issue de la saison ? Interrogé une nouvelle fois sur son avenir suite à la parution d'un article dans le journal L'Equipe jeudi annonçant son arrivée prochaine à la tête de l'équipe de France, l'entraîneur des Girondins n'a pas dérogé à son traditionnel discours. «Si je ne dis rien, c'est que je ne veux pas en parler. Je veux terminer la saison le mieux possible. Quand je vois un article ce matin, c'est vraiment n'importe quoi. Ce ne sont que des effets d'annonce. Ce qu'il y a dans l'article, c'est faux» , a-t-il assuré. Blanc sait-il lui-même où il sera la saison prochaine ? Selon son président Jean-Louis Triaud, «il n'y a pas de soucis, il sera là l'année prochaine. Il est bien à Bordeaux.» Mais pour le milieu Fernando, «le coach n'a jamais laissé rien filtrer sur son avenir. Mais à mon avis, le coach nous quittera à la fin de cette saison.»

Convoité par le Real Madrid, le FC Barcelone ou encore Chelsea, le milieu de terrain offensif du Bayern Munich, Franck Ribéry (27 ans, 15 matchs et 3 buts en Bundesliga cette saison), va annoncer dans les prochaines semaines s'il reste en Bavière ou pas la saison prochaine. Selon l'ancien gardien Oliver Kahn, un transfert ne serait pas dramatique pour le club, à condition de récupérer suffisamment d'indemnité de transfert pour pouvoir recruter derrière. «Il y a toujours un montant maximum. Encaisser 50 à 60 millions ce serait bien pour le club. Ribéry ou 60 millions pour recruter ? Cet argent permettrait de renforcer l'équipe avec 2 ou 3 recrues, un latéral droit, un défenseur central...» , a jugé Kahn dans les colonnes de TZ.

Télégramme Foot Transfert - mis à jour le samedi 17 avril 2010

C'est officiel : En France, le jeune milieu de terrain offensif russe Arkady Galperin (FC Khimki/Russie) est actuellement à l'essai à Marseille … / … Le jeune milieu de terrain défensif Tongo Doumbia (Rennes) a été supervisé par la Juventus Turin … / … L'attaquant Fousseyni Cissé a prolongé de trois ans son contrat au Mans, soit jusqu'en juin 2013 … / …
A l'étranger, le milieu anglais Paul Scholes a prolongé d'une saison avec Manchester United … / … Le milieu de terrain croate prêté à Karlovac par Rijeka, Zvonkoo Pamic, s'est engagé pour les quatre prochaines années en faveur du Bayer Leverkusen … / … Au lendemain de son départ du poste de sélectionneur de la Belgique, le Néerlandais Dick Advocaat a annoncé qu'il allait prendre les rênes de l'équipe nationale russe … / …
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Des nouvelles de... Jocelyn Angloma

Loin du Vieux continent, Jocelyn Angloma voit le jour le 7 août 1965 aux Abymes, en Guadeloupe. Rapidement destiné au football, le jeune défenseur fait ses débuts à l’Étoile de Morne-à-l’Eau, club de son île natale. Il y fait ses gammes jusqu’en 1985, le temps pour lui de se construire en tant que footballeur et en tant qu’homme. Suffisamment mûr pour tenter le grand saut, il quitte la Guadeloupe du haut de ses 20 ans pour rejoindre Rennes.

Changement de continent, mais aussi changement de climat, Jocelyn Angloma ne fait pas dans la dentelle et décide de tourner une page. Il se fait alors rapidement une solide réputation dans l’Hexagone. Devenu l’un des meilleurs arrières latéraux de l’élite, il enchaîne les clubs, passant ensuite à Lille. Dans le Nord, il inscrit la bagatelle de 13 buts en 92 matches. Une belle performance qui lui ouvre les portes du Paris Saint-Germain.

Mais l’aventure dans la capitale tourne court et le Guadeloupéen se rend alors chez l’ennemi juré, l’Olympique de Marseille. Le début de la gloire pour ce joueur. De 1991 à 1994, il connaît alors son heure de gloire. Champion de France et surtout vainqueur de la Ligue des Champions, il se constitue un palmarès que peu de joueurs français peuvent se targuer d’avoir.

Un passeport qui lui ouvre ensuite les portes de l’étranger. Il découvre tout d’abord l’Italie. Il passe trois saisons de l’autre côté des Alpes, allant tout d’abord au Torino avant de rejoindre l’Inter Milan. Sa réputation traverse les frontières et Jocelyn finit par atterrir en Espagne, du côté du FC Valence. Il y finit sa carrière au plus haut niveau à presque 37 ans, faisant partie au passage de la fameuse équipe de Valence ayant atteint la finale de la Ligue des Champions 2000, s’inclinant face au Real Madrid.

Loin d’avoir l’intention de raccrocher définitivement les crampons, l’international français (37 sélections) rejoint l’équipe de Guadeloupe. Sous ses nouvelles couleurs, il permet à cette sélection de se qualifier pour la Gold Cup (le championnat des fédérations de la CONCACAF) organisée en 2007. Compétition durant laquelle la Guadeloupe atteint les demi-finales. Il met alors un terme définitif à sa carrière, à 41 ans.

Mais ayant le football en lui, le natif des Abymes n’a pas pu s’empêcher de se reconvertir dans le milieu du ballon rond. Ainsi, il est devenu l’entraîneur du club qui l’a révélé aux yeux de tous, l’Étoile de Morne-à-l’Eau. Difficile de faire mieux pour boucler la boucle. C’est ce qui s’appelle croire en sa bonne étoile.

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lundi 26 avril 2010

Dossier Gervinho : « Si le Bayern fait une offre concrète, il partira »

Cinquième du classement de Ligue 1 à seulement un petit point du podium, Lille espère intégrer un trio de tête qu’il n’a plus fréquenté depuis la saison 2005/2006. Pour cela, les Dogues s’appuient sur un effectif de qualité (Rami, Mavuba, Hazard, Cabaye, Gervinho) qu’ils entendent conserver le plus longtemps possible. Le cas d’Éden Hazard en est d’ailleurs la parfaite illustration.

Pourtant, les prétendants ne manquent pas. Ce matin, nous vous relations d’ailleurs un intérêt du Bayern Munich pour Gervinho. Recruté l’été dernier, l’Ivoirien s’est rapidement imposé dans l’attaque nordiste avec 12 buts inscrits en 27 matches de L1. Un statut qui lui a donc ouvert les portes de certaines grosses écuries européennes.

Un temps annoncé du côté d’Arsenal, Gervinho a-t-il réellement des chances de quitter le LOSC l’été prochain alors que ses dirigeants ont des ambitions de grandeur de plus en plus élevées ? Contacté par nos soins, l’un de ses conseillers nous a confirmé que le club bavarois était bien sur les traces de son protégé.

« Le Bayern le suit depuis un an. Ils l’ont observé à plusieurs reprises dont une fois la semaine dernière. Si le Bayern fait une offre concrète, il partira. Munich est capable de payer ce que Lille peut réclamer. Mais pour le moment il n’y a rien de concret, pas de contacts avec eux. Je pense que tout dépend du cas de Ribéry. » Une réponse plus précise devra donc être faite d’ici quelques jours, Ribéry ayant annoncé la semaine dernière qu’il se prononcerait sur son futur dans une dizaine de jours. À moins que la récente affaire de mœurs ne bouleverse tout.
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Le Real Madrid prêt à arracher la star de City !

Il vient d’être nominé pour être élu meilleur joueur du championnat en Angleterre. Il réalise sans aucun doute sa meilleure saison outre-Manche avec pas moins de 21 réalisations, rien qu’en Premier League. Pour autant, malgré la qualité de ses performances et l’importance que Carlos Tevez a pris au sein de leur équipe, les dirigeants de Manchester City ne semblent pas prêts à revaloriser le contrat de leur star.

Et c’est là que les dirigeants madrilènes pensent avoir senti la bonne affaire affirme le News Of The World. Car, même si son contrat court jusqu’au terme de la saison 2014, les conseillers de l’ancien joueur de United estiment que le joueur n’est pas payé à sa juste valeur. Pour ces derniers, le joueur, qui touche actuellement près de 150 000 € chaque semaine, mériterait un salaire de base équivalent à celui que les dirigeants de City ont accordé à leur ancienne star, Robinho. Le dernier gros flop du football anglais touchait alors la bagatelle de 180 000 € hebdomadaire. Mais pour l’instant, le deuxième club de Manchester ne serait pas disposé à accorder ces émoluments à leur meilleur buteur, de peur de voir les autres membres de l’effectif demander à leur tour une revalorisation de contrat.

Alors que l’Inter Milan serait également au courant de la situation et prêt à se jeter sur le dossier, le joueur sait pertinemment qu’il pourrait dépasser les 225 000 € par semaine en s’expatriant en Espagne, et plus particulièrement au Real Madrid. Les dirigeants de la Maison Blanche, déçus par les performances de l’équipe, notamment à l’échelle européenne, sont prêts à ressortir le chéquier dès cet été pour à nouveau remporter la Ligue des Champions. Et alors que Wayne Rooney, la priorité des priorités de Florentino Perez, n’aurait pas l’intention de quitter United, Tevez apparaît comme la solution idoine pour l’entourage du président madrilène. Pour concrétiser cette piste, il pourrait leur en couter 65 M€. Un prix qui ne devrait pas effrayer plus que ça le club le plus riche du monde.
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Dossier Eduardo : l’OL persiste...

Recruté par Arsenal à prix d’or (24 M€), l’attaquant brésilien Eduardo Da Silva est aujourd’hui très loin de valoir une telle somme. Après une première saison décevante avec les Gunners (4 buts en 17 matches de Premier League), l’ancien pensionnaire du Dinamo Zagreb a ensuite été gravement blessé. Une blessure qui l’a tenu éloigné des terrains durant plus d’un an et qui a mis un sérieux coup de frein à l’essor de sa carrière.

Aujourd’hui remplaçant de luxe à l’Emirates Stadium, Eduardo conserve toutefois une belle cote sur le marché des transferts. Récemment, nous vous faisions part d’ailleurs d’un intérêt de l’Olympique Lyonnais. Toujours soucieux d’estomper leur “Lisandro dépendance”, les Gones ne seraient pas contre le fait d’engager un attaquant à fort potentiel contre une somme qui n’a rien à voir avec l’investissement consenti par la formation londonienne.

Les plans rhodaniens avaient toutefois été sérieusement contrariés par la déclaration de l’intéressé qui ne se voit pas vraiment quitter Londres dans l’immédiat et qui, s’il devait se résoudre à le faire, serait davantage tenté par un challenge au Brésil. Mais selon News Of The World, si Arsène Wenger ne serait pas contre un départ, l’Alsacien sait qu’il ne pourra pas en tirer un bon prix en le laissant filer vers le Brasileirão. Le tabloïd anglais précise donc que le coach d’Arsenal préfèrerait recevoir des offres en provenance du Vieux continent.

Et visiblement, l’OL serait toujours sur le coup, puisqu’une somme avoisinant les 9 M€ est évoquée par le média britannique. Un montant loin des 24 M€ dépensés en 2007 par les Gunners. Lié à Arsenal jusqu’en 2014, Eduardo est donc plus que jamais sur le départ, et sa valeur marchande risque d’intéresser bon nombre d’équipes. Mais si l’offre lyonnaise est intéressante, reste à savoir si l’intéressé sera séduit par un challenge en France

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dimanche 25 avril 2010

Suivez Marseille Saint Etienne en live ici

Suivez le match de ce soir en cliquant sur ce lien


http://fr.sports.yahoo.com/football/ligue-1/2009-2010/marseille-saint-etienne-284441.html


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Auxerre tient sa route

Devant les micros, l'Auxerrois, tout dauphin qu'il soit, la joue profil bas. En témoigne Jean Fernandez, qui claironne régulièrement, avec sa bonhomie caractéristique, ne pas pouvoir jouer le titre face à Marseille cette saison. Sur le terrain, c'est une toute autre histoire. Car les résultats plaident en faveur de cet AJA étonnant de solidité, de réalisme, d'automatismes, allé battre Toulouse dimanche (3-0) pour rester à deux points du leader olympien, et prendre ses distances avec ses poursuivants (+5 sur Lille, +6 sur Montpellier). Un AJA qui compte, jusqu'au bout, sur son métronome du milieu de terrain, Benoît Pedretti, auteur du premier but, un coup franc enroulé du droit (47e) quasi-synonyme de succès final. Car 18 fois cette saison, l'AJA a ouvert le score, pour 16 victoires et deux matches nuls. Qui dit mieux ?

Jelen - Niculae, la bonne paire
Sur cette jolie frappe du meneur de jeu ajaïste, donc, Blondel, masqué par Coulibaly, ne voyait que du feu. La mèche aura toutefois été bien longue à allumer pour les Bourguignons, auteurs d'une entame de match insipide. Le bilan de la première période penchait nettement en faveur des Toulousains (59% de possession de balle), qui se procuraient les occasions les plus tranchantes par Gignac (2e, 22e), souvent bien pris par Coulibaly. Sorin, comme bon nombre de fois cette saison, veillait minutieusement au g(r)ain, et empêchait l'attaquant violet, bien servi par Ebondo au premier poteau, de remettre les siens en selle d'une remarquable manchette sur sa ligne (59e). Mais quand Gignac n'y arrivait pas, Jelen, lui, servi par Niculae (encore un automatisme), démontrait tout son savoir-faire d'une frappe limpide aux 25m qui venait mourir sous la transversale de Blondel (68e), puis d'une reprise en extension du droit (79e). Toulouse, qui ne méritait pas telle correction, a sans doute pêché par précipitation en seconde période. A contrario, Auxerre, qui enregistre sa 3e victoire d'affilée, a fait parler, tranquillement, ses automatismes. Jean Fernandez, à une semaine de recevoir son ancien club et « favori » pour le titre à l'Abbé-Deschamps, a donc de quoi, ce soir, rouler des mécaniques.
l'équipe

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Les matchs de ligue 1 en live ici


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TFC-AJA, défense d'approcher

Les deux meilleures défenses du Championnat, celles de Toulouse et Auxerre, s'affrontent ce dimanche pour le compte de la 34e journée de Ligue 1. (Photo Presse-Sports)


30 buts encaissés contre 26, ça se vaut. Toulouse et Auxerre sont tout simplement les deux meilleures défenses de Ligue 1 et vont se défier dimanche au Stadium (17h). Les objectifs sont simples. Pour Toulouse, plus rien à jouer, ni à perdre. L'Europe est beaucoup trop loin pour espérer l'atteindre en fin de saison. Alors les joueurs du TFC, à l'image de Gignac, devront simplement se mettre en avant en vue de la saison prochaine, du prochain mercato mais surtout du Mondial 2010. Pour Auxerre, c'est tout autre chose. Sur le point de disputer la Ligue des champions l'année prochaine, les Bourguignons sont plus que jamais en course pour le titre. Mais autant un succès les rapprocherait de cet objectif, autant une défaite les en éloignerait si l'OM venait à battre Saint-Etienne en soirée (21h).

Avec deux nuls et une large victoire à domicile, Toulouse finit donc mieux l'année qu'il ne l'avait commencé. La solidité et la cohésion ont fait leur retour dans le groupe, à l'image du nul obtenu à Montpellier dans les arrêts de jeu. Et comme si cela ne suffisait pas, les statistiques contre l'AJA sont largement en faveur des hommes de Casanova (quatre victoires de rang au Stadium). Mais cette année, Auxerre ne joue pas dans la même catégorie. Avec un bon 4-1 contre Lorient, la semaine dernière, l'AJA a planté un peu plus le décor et débarque sur le bord de la Garonne avec quatre points d'avance sur Lyon (3e) et cinq de retard sur l'OM (1er). Auxerre reste également sur 3 victoires et 2 nuls sur ses 5 derniers déplacements. De quoi mettre une belle pression sur les Toulousains
francefootball.fr

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Hold-up de la saison pour Auxerre?

Comment va Auxerre? Plutôt pas mal. L'AJA est en passe de réaliser le hold-up de la saison. Alors que personne ne se méfiait de l'équipe de Jean Fernandez, cette dernière a déjà creusé l'écart (4 points) sur ses poursuivants Lyon (qui ne joue pas ce week-end) et Montpellier. A Toulouse, Gignac, étrangement silencieux depuis son retour à la compétition, sera encore surveillé. Nous suivrons ce match avec intérêt. Car Auxerre peut mettre la pression sur Marseille qui ne jouera qu’à 21 heures.

Un peu moins d’enthousiasme pour le derby nordiste entre Lens et Valenciennes, deux clubs qui ne jouent plus rien. Lens, 39 points, n'a pas encore acquis les 40 points qui assurent théoriquement le maintien, mais l'avance des Sang et Or sur le premier relégable (Le Mans, 28 points) les met à l'abri.

20minutes

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Proxénétisme – Aulas : « La justice a mal fonctionné »

Le président de Lyon Jean-Michel Aulas a défendu dimanche sur TF1 son attaquant Sidney Govou, entendu comme témoin dans le cadre d'une enquête sur un réseau de proxénétisme, et a estimé que "la justice avait mal fonctionné."


« Il y a eu maldonne, la justice a mal fonctionné, a lancé Jean-Michel Aulas, le président de l'Olympique Lyonnais. Quand un certain nombre de journaux nationaux titrent le jour d'un match aussi important que le match contre le Bayern (en demi-finale aller de la Ligue des champions, ndlr) sur ces joueurs dont Sidney, que ce qu'on raconte sont simplement des fuites, car en l'occurrence rien n'est retenu contre Sidney Govou. Il a été interrogé en tant que témoin, je pense qu'il y a abus. »

Les avocats de l'OL ont appelé le ministère
Remonté, le boss de l'OL a indiqué avoir fait savoir son mécontentement sur la gestion de cette affaire à la justice. « C'est pour cela que j'ai demandé aux avocats de l'Olympique Lyonnais d'appeler directement le ministère de la Justice, d'appeler le procureur pour dire stop, a-t-il expliqué. Ou il y a quelque chose et dans ce cas on met en examen les gens concernés, ou on ne parle de rien et il ne peut pas y avoir de fuites. »

Le président de l'OL a précisé que Sidney Govou avait eu « le courage » de venir le voir au moment de la révélation de l'affaire et qu'il avait « conscience de sa responsabilité vis-à-vis de sa famille, des siens, de ses collègues et du club ». Un discours qui a « convaincu » Aulas.
Interrogé au sujet de son ancien joueur, Karim Benzema, aujourd'hui au Real Madrid, Aulas a évoqué des « rumeurs, des ragots colportés de façon anormale par les médias ».
france soir

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Abriel : «On ne peut pas s'égarer»

Fabrice Abriel joue moins que lors de la première moitié de saison mais cela ne l'empêche pas de faire taire ses frustrations et de vivre pleinement cette fin de saison. Au contraire, après avoir remporté la Coupe de la Ligue, il s'imagine écrire une nouvelle ligne de son palmarès le 15 mai prochain. «C'était mon objectif dans le football. Je veux être champion car c'est un titre qui récompense le travail de toute une saison. Si on y arrive, cela signifie qu'il n'y a pas de place pour la chance ou le hasard. Une coupe c'est une aventure, un titre de champion, c'est vraiment très gratifiant. C'est la récompense de dix mois de travail, de vie collective. En plus être champion avec Marseille, quand on sait l'impact que ce club a, c'est le summum.»
Il a particulièrement goûté l'euphorie qui a gagné la ville quand l'OM est revenu avec la Coupe de la Ligue ; il a même trouvé ça «un brin démesuré» alors là il imagine... «Le soutien des supporters pour la Coupe de la Ligue c'était déjà beaucoup, mais là ça va être énorme ! C'est d'ailleurs là le danger, tout le monde nous voit déjà champion. On est dans la course mais il ne faut pas céder à l'euphorie et à l'engouement populaire qui entoure cette fin de saison.» Abriel, à presque 30 ans, dans le sillage de Deschamps et des cadres de cette équipe marseillaise, garde la tête froide. «Il faut continuer d'avancer. On ne veut pas envisager une mauvaise série mais si nous nous crispons dans la dernière ligne droite ou si on se prend la tête en cas de mauvais résultat, alors... Il faut continuer notre série pour ne pas avoir ce problème.»

Respecter Saint-Etienne comme leurs précédents adversaires semble une évidence pour l'ancien Lorientais. L'état d'esprit à Marseille est exemplaire. «On ressent la même chose au même moment collectivement. C'est une qualité de vie collective rare et très importante ici. On est tous impliqué dans le projet collectif. Là on ne peut pas s'égarer.» Dans ces conditions, le match contre Auxerre le 30 avril prochain pourrait prendre des allures de finale. Mais ajoute t-il, «le match à Auxerre sera un tournant... à condition de gagner dimanche.»
l'équipe

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Docteur Raymond et Mister Domenech Un homme aux multiples facettes critiqué chez Michel Drucker

Deux semaines après son Canal Football Club face aux Français, Raymond Domenech est l'invité de Michel Drucker dans Vivement Dimanche. L'occasion de revenir sur les multiples facettes du sélectionneur des Bleus, l'un des hommes les plus critiqués du pays.

« C'est un personnage complexe, riche et attachant, probablement beaucoup plus cultivé et ouvert que la plupart des acteurs du milieu du football (...). C'est quelqu'un qui lit, va au cinéma, au théâtre. Depuis Fernand Sastre, je n'avais jamais connu un type aussi cultivé à la Fédé », écrit Eugène Saccomano, fin connaisseur de Raymond Domenech, dans son ouvrage Mes secrets du foot (Plon).

Le sélectionneur des Bleus a fait partie d'une troupe de comédiens. Il a attrapé le virus des planches dans les années 80, à l'époque où il entraînait Mulhouse, puis Lyon. Cet aspect de sa personnalité resurgit à l'occasion, dans ses conférences de presse par exemple. Il a aussi été porté sur l'astrologie, même si ce Verseau reconnaît ne plus s'y intéresser depuis une dizaine d'années. Il s'est enfin formé à la programmation neurolinguistique (PNL), un ensemble de techniques destinées à améliorer la communication entre les individus.

L'ancien défenseur rugueux, qui officia avec sa belle moustache à la Pancho Villa sur les terrains de France de 1970 à 1986, s'est mué en un parfait connaisseur de la mécanique médiatique. Depuis 2001, il partage l'existence de la journaliste Estelle Denis, rencontrée quand il était consultant sur TPS Star.

Féru de poker, ce provocateur-né sait que ses petites phrases vont faire le buzz, et s'en délecte à l'avance : « L'odeur du sang », « Je suis un esclavagiste », « L'ordre alphabétique » pour justifier la sélection de tel joueur plutôt qu'un autre...

Sous ses airs bourrus, le sélectionneur national n'hésite pas à mettre son image au service de certaines causes. Il milite ainsi pour Un pas vers la vie, association fondée par Églantine Éméyé, qui a pour but d'aider les enfants autistes. Il a d'ailleurs tenu à ce que l'animatrice, elle-même maman d'un petit garçon touché par ce mal, soit présente sur le plateau de Vivement Dimanche cet après-midi.

À savoir :
Raymond Domenech quittera son poste au terme de la Coupe du monde, après un mandat de six ans : un record pour un sélectionneur. Il restera comme le premier à avoir réussi à qualifier les Bleus pour la phase finale de trois grands championnats internationaux successifs (2006, 2008, 2010).

Le Figaro
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Caïazzo encense DD et Galtier

Le président du conseil de surveillance des Verts, Bernard Caïazzo a exprimé samedi dans la Provence son admiration pour le coach de l'OM Didier Deschamps. «Comment l'équipe de France a-t-elle pu se passer d'un tel entraîneur ? s'est-il tout d'abord demandé. C'est à croire que chez nous on ne veut pas les meilleurs... C'est comme si l'Argentine jouait sans Messi ou le Portugal sans Cristiano Ronaldo. Quand il arrêtera sa carrière, je suis sûr qu'il aura le plus grand palmarès de l'histoire comme joueur puis entraîneur ! Si l'OM doit regagner la Ligue des champions, ce sera avec lui ! En août, je lui avais dit qu'il serait champion ! Il ne réussit jamais les premiers mois mais dans la durée car c'est un gros travailleur. Il a cette force intérieure qu'il insuffle aux autres. Il rappelle que le foot est d'abord un sport collectif.»


Galtier, «un petit Deschamps»
Pour Caïazzo, l'actuel coach stéphanois Christophe Galtier n'est pas mal non plus. «C'est un petit Deschamps, même s'il n'a pas son expérience et son niveau ! Indiscutablement, il sera l'entraîneur de l'ASSE la saison prochaine. Nous sommes un club sain qui redevient stable.». 17e de Ligue 1, Saint-Etienne se déplace à Marseille, ce dimanche, à 21h00, pour le compte de la 34e journée.
France football

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Maroc les résultats

samedi 24 avril 2010
16h00 HUSA Agadir (6) 1-1 FAR Rabat (8)
18h00 Wydad de Fès (10) 2-2 OCK Khouribga (7)
20h00 KACM Marrakech Menara (4) 0-0 MAS Fès (5)
dimanche 25 avril 2010
16h00 Raja Casablanca (1) - IZK Khemisset (14)
Moghreb Tétouan (9) - WAC Casablanca (2)
KAC Kénitra (11) - OC Safi (15)
18h00 Difaa El Jadida (3) - JSM Laâyoune (13)
mercredi 28 avril 2010
21h00 Fath US Rabat (12) - Association Salé (16)

Algérie les résultats

vendredi 23 avril 2010
19h00 USM Annaba (7) 1-1 MC El Eulma (13)
samedi 24 avril 2010
16h00 NA Hussein Dey (17) 1-1 JSM Béjaia (3)
19h00 MC Alger (1) 1-0 WA Tlemcen (5)
USM El Harrach (4) 5-2 MC Oran (11)
USM Blida (16) 2-1 USM Alger (8)
CABB Arreridj (12) 3-2 MSP Batna (18)
CA Batna (14) 1-0 AS Khroub (15)
vendredi 30 avril 2010
19h00 ASO Chlef (9) - ES Sétif (2)
JS Kabylie (6) - CR Bélouizdad
(10)

Lille gagne en maturité

Grâce à sa victoire au Mans (1-2), la première à l'extérieur depuis deux mois, le LOSC monte sur le podium du classement de Ligue 1. Les Nordistes ont dû sérieusement s'accrocher face à des Manceaux en sursis mais réalisent une très bonne opération et peuvent toujours viser la Ligue des Champions.

LE MANS - LILLE : 1-2


Buts : Maïga (55e) pour Le Mans et De Melo (13e), Cabaye (79e, s.p.) pour Lille

Les Lillois ont su modifier leur tactique avec succès. Irrésistibles à domicile grâce à leur jeu redoutable, ils connaissaient davantage de difficultés à l'extérieur et avaient décidé de se montrer plus solides. En déplacement au Mans, les joueurs de Rudi Garcia ont ainsi davantage misé sur la solidarité et la combativité et cela a fonctionné (1-2). Au terme d'une rencontre enlevée entre deux équipes aux objectifs bien différents, les Nordistes réalisent un joli coup pendant que leurs concurrents Montpellier et Bordeaux laissent filer des points. Les Dogues s'emparent provisoirement de la troisième place du classement, qualificative pour le tour préliminaire de la Ligue des Champions. Les Manceaux, eux, ont tout donné pour encore espérer se maintenir mais ce revers les rapproche un peu plus de la Ligue 2.

Dans un début de match rythmé et plaisant, les Lillois réalisent l'entame qu'ils espéraient. Forts de leur jeu collectif précis et rapide, ils ouvrent le score avant le premier quart d'heure. Obraniak temporise intelligemment pour lancer Emerson sur la gauche de la surface adverse et De Melo, ancien Manceau, reprend victorieusement le petit centre à ras de terre du défenseur brésilien (0-1, 13e). Selon le plan des Lillois, il ne leur reste plus qu'à bien défendre pour protéger leur avantage. Cependant, les visiteurs n'ont pas encore l'habitude d'évoluer devant leur surface et se montrent trop passifs face à la révolte mancelle. Le MUC a en effet repris espoir depuis ses deux dernières victoires et n'entend pas rendre les armes si facilement. Déterminés, les Sarthois se projettent rapidement vers la surface lilloise mais Le Tallec (16e et 33e) et Dossevi (21e et 34e) manquent de précision ou de vitesse pour surprendre le très vigilant Landreau.

Arbitrage contesté

Largement dominés après leur but, les Lillois décident de relever la tête après la pause et la rencontre gagne encore en intensité et en rythme. La vitesse du jeu nuit pourtant à la précision des passes et il faut attendre une action confuse pour voir évoluer le score. A la lutte avec Béria sur un ballon en profondeur dans l'axe, Maïga touche le pied de son adversaire, le fait trébucher et trompe tranquillement Landreau qui croyait à une faute (1-1). Les Dogues protestent vivement mais la rencontre est complètement relancée. Garcia lance Hazard pendant que Landreau dégoûte toujours Le Tallec. Gervinho, lui, en fait souvent un peu trop face à son ancienne équipe. Grâce à son imprévisible conduite de balle, l'intenable Ivoirien obtient pourtant un penalty pour une charge musclée de Goulon et Cabaye transforme (1-2, 79e). Après l'égalisation mancelle contestée, l'arbitre a certainement tenté de compenser, même s'il n'y a pas matière à scandale dans sa décision.

De nouveau menés, les joueurs d'Arnaud Cormier se ruent à l'attaque mais pèchent toujours autant dans le dernier geste. Entouré de partenaires devant le but lillois, Louvion se heurte à un formidable Landreau qui remporte la balle de match (83e). Les Lillois et leur portier se sont accrochés jusqu'au bout pour obtenir leur premier succès à l'extérieur depuis celui obtenu à Rennes fin février (1-2). Ambitieux et conscients des efforts à fournir, ils peuvent rejoindre leurs bases avec le sourire.

LA DECLA : Rudi Garcia (entraîneur de Lille)

"C’était un match difficile, avec beaucoup d’enjeu de part et d’autre, et il fallait le gagner. C’est chose faite et j’en tire beaucoup de satisfaction. C’était un match très engagé, un match d’hommes, et il a fallu aller au bout de nous-mêmes pour remporter ce précieux succès (...) On savoure cette troisième place. Cependant, il faut continuer à gagner des matchs. Il en reste quatre et c’est donc beaucoup de points qui restent à prendre. Et dans cette optique, la victoire de ce soir a démontré qu’on était capable de ramener des points de l’extérieur, et c’est très important."

Eurosport

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Bordeaux s'enfonce

Battus par Lorient (1-0), les Girondins de Bordeaux concèdent une quatrième défaite en cinq matches. Les hommes de Laurent Blanc se sont montrés particulièrement impuissants en deuxième mi-temps après la sortie de leur leader technique Yoann Gourcuff et l'ouverture du score de Kevin Gameiro

LORIENT - BORDEAUX : 1-0


But : Gameiro (57e)

Les Girondins de Bordeaux n'en finissent plus de s'effondrer. Incapables de s'imposer en Ligue 1 pour la cinquième fois d'affilée (quatre défaites et un nul), les hommes de Laurent Blanc restent cloués au sixième rang, pour l'instant privés de toute qualification européenne. Alors qu'Auxerre balayait les Lorientais il y a une semaine, Bordeaux s'est incliné sur un but de Kevin Gameiro. Privés de leur meneur de jeu Yoann Gourcuff, sorti touché à la cuisse, les Bordelais ont manqué de tout ce qui aurait pu les relancer : rythme, créativité, ressorts psychologiques...

En l'absence des blessés Carasso, Fernando, Planus et des suspendus Ciani, Jussiê et Trémoulinas, Bordeaux a ensuite du faire face à la blessure précoce de Yoann Gourcuff. La justesse technique du meneur de jeu leur a manqué en seconde période. Mais ce qui a disparu chez les hommes de Laurent Blanc depuis bien trop longtemps, c'est la force mentale qui était la leur à la même époque il y a un an. Après l'ouverture du score, les Girondins ont baissé les bras et se sont montrés presque incapables de ramener le danger sur les buts de Lionel Cappone.

Incapables de réagir

Gourcuff fils blessé dès les premières minutes, Chamakh transparent l'essentiel du match, les Girondins semblaient pourtant avoir pris la mesure du FC Lorient lors d'une première période de bonne qualité. Un excellent Lionel Cappone, éventuellement suppléé par sa barre transversale ne leur a pas permis d'ouvrir le score malgré la déferlante qui s'est abattue sur ses buts lors de la première demi-heure de jeu. Le gardien numéro 2 du FC Lorient a parfaitement remplacé Fabien Audard, suspendu.

Pendant que le jeu des attaquants bordelais se diluait au fil du match, la défense a une nouvelle fois cédé, pour la sixième fois consécutive en Ligue 1. Soumise au harcèlement du nouveau co-leader du classement des buteurs Kevin Gameiro (15 buts, ex aequo avec Mamadou Niang), la charnière composée de Ludovic Sané et Henrique n'a pu faire mieux que celles qui l'ont précédée dans l'axe de la défense bordelaise. L'Europe ne s'est pas encore définitivement envolée pour Bordeaux mais les Girondins devront montrer d'autres qualités dès mercredi lors du match en retard qui les opposera à Valenciennes.

LA DECLA : Laurent Blanc (entraîneur de Bordeaux)

"Il y a un échec. Le constat c'est que sur ce match, Bordeaux méritait au moins de prendre un point. Notamment en première période, on manque de chances, il y a les arrêts du gardien... on aurait pu ouvrir le score. Mais rien ne nous sourit en ce moment et à la moindre opportunité, l'adversaire la concrétise en but. On l'a perdu ce match puis on perd encore un joueur, cela fait vraiment beaucoup sur le plan comptable et en terme d'effectif. Yoann, c'est une élongation derrière la cuisse. Ce but nous a vraiment assommés. Il fallait faire du jeu, on aurait pu égaliser sur des à-coups. Mais rien ne nous sourit."

Eurosport

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samedi 24 avril 2010

PSG Rennes en direct avec l'équipe

Suivez le match sur ce lien



http://www.lequipe.fr/Football/directs/Live166417.html

Franck Ribéry conspué à Mönchengladbach

Malgré le soutien et la protection de son club, Franck Ribéry ne peut pas échapper aux critiques depuis son implication dans une affaire de proxénétisme. Après la presse, ce sont les supporters de Mönchengladbach qui s’en sont pris au joueur. Insultes, sifflets, pendant 90 minutes, Ribéry a été particulièrement gâté à chaque fois qu’il touchait le ballon. Au final, le Bayern obtient le nul (1-1) en fin de match. Mais il y a peu de chances que le récit de la rencontre fasse la une des journaux allemands demain.
20minutes

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La ligue 1 en live ici sur ce site

Suivez les matchs de ce soir en direct en cliquant sur ce lien


http://www.20minutes.fr/article/399921/Sport-Edel-peut-se-faire-Coupet-l-herbe-sous-le-pied-Lille-et-Auxerre-se-voient-en-haut-de-l-affiche.php


http://www.lequipe.fr/direct_foot.html


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Transferts : l’OM n’oublie pas A. Diarra, le PSG discute avec Bodmer, Lyon tient sa première recrue…

Zoom : l'OM n'oublie pas Alou Diarra et pense à l'attaque

Stéphane Mbia s'étant résigné à évoluer en défense centrale, ce qui sera très certainement encore le cas la saison prochaine, l'Olympique de Marseille s'est mis en quête d'un milieu de terrain défensif, capable de jouer ce fameux rôle de sentinelle devant la charnière centrale. Si Edouard Cissé donne pour l'instant satisfaction à ce poste, cela n'empêche pas les dirigeants olympiens de creuser à nouveau la piste menant à Alou Diarra, à en croire Foot Transferts. Rappelons que l'été dernier déjà, le milieu de terrain bordelais était la priorité de Didier Deschamps avant que Mbia ne pose ses valises sur la Canebière. Intéressé par la proposition olympienne à l'époque, l'international tricolore pourrait cette fois aller à la rencontre de ses dirigeants afin de bénéficier d'un bon de sortie durant l'intersaison.
En attendant, l'OM compte bien également renforcer son secteur offensif. Selon RMC, le club phocéen aurait fait de l'acquisition d'un nouvel avant-centre l'une de ses priorités de l'été. Le Toulousain André-Pierre Gignac, déjà contacté comme Alou Diarra lors du dernier mercato estival, aurait les faveurs des décideurs marseillais. Mais le montant du transfert réclamé par la direction toulousaine – à savoir 15 millions d'euros – et une concurrence probablement relevée (Lyon, Bordeaux) pourraient compliquer l'opération. Dans ce cas, les pistes menant au Lorientais Kevin Gameiro ou au Niçois Loïc Rémy pourraient être activées.

La déclaration de la semaine : Cissé peut quitter le Panathinaïkos

Malgré une première saison en tout point réussie (titre de champion de Grèce, victoire face à l'AS Roma en Ligue Europa), Djibril Cissé pourrait quitter le Panathinaïkos cet été. Recruté pour 8 millions d'euros à l'Olympique de Marseille durant la dernière intersaison, l'attaquant français peut partir en cas d'offre d'un montant pratiquement deux fois supérieur. «Djibril Cissé n'ira nulle part. Si quelqu'un veut parler sérieusement de transfert, les négociations commenceront à partir de 14 millions d'euros. Un montant normal pour un joueur de 28 ans au sommet de sa forme», a fait savoir la direction du club athénien. Les Blackburn Rovers, qui viennent d'offrir 8 millions d'euros au Pana pour l'international tricolore, vont devoir revoir leur proposition à la hausse.

La bonne affaire de la semaine : Lyon tient sa première recrue

L'Olympique Lyonnais tient-il déjà, avant même l'ouverture du mercato estival, sa première recrue ? A en croire France Football, oui. Le bihebdomadaire affirme en effet que Mouhamadou Dabo, dont le contrat avec l'AS Saint-Etienne expire en juin, se serait d'ores et déjà engagé avec le club rhodanien. Si tel est le cas, les Gones auraient alors réalisé un bien joli coup sur le marché des transferts. Avec le départ programmé de François Clerc, lui aussi en fin de contrat, l'OL bénéficierait alors avec Dabo d'un vrai joker de luxe capable de suppléer aussi bien Anthony Réveillère sur le flanc droit qu'Aly Cissokho sur le côté gauche de la défense. Le tout sans débourser le moindre centime.

Le PSG discute toujours avec Bodmer

Mathieu Bodmer sera-t-il enfin Parisien la saison prochaine ? Voilà maintenant quatre ans que le milieu de terrain lyonnais est annoncé possible partant pour le PSG. Mais cette fois-ci pourrait être la bonne. Souvent blessé, l'ancien Lillois n'entre plus vraiment dans les plans de Claude Puel. Lié jusqu'en juin 2011 au club rhodanien, l'ex-Caennais ne sera pas retenu par la direction lyonnaise en cas d'offre avoisinant les 5 millions d'euros. A ce prix-là, le club de la capitale, qui discute toujours avec l'entourage de Bodmer, pourrait bien (enfin) empocher la mise cet été.

La Juve et Arsenal prêts à un échange de bons procédés

Turin sera-t-elle la destination préférée des joueurs d'Arsenal cet été et Londres celle des Bianconeri ? A en croire divers médias anglais et italiens, la Juve et les Gunners pourraient procéder à un échange de quelques joueurs durant le mercato estival. La Vieille Dame, qui rêve de renouer avec son lustre d'antan après plusieurs saisons ratées, souhaite attirer dans ses rangs le latéral droit français Bacary Sagna et l'attaquant néerlandais Robin Van Persie. Le gardien italien Gianluigi Buffon et le milieu de terrain brésilien Felipe Melo pourraient eux effectuer le chemin inverse, Arsène Wenger rêvant toujours d'un grand gardien international et n'ayant jamais caché avoir un petit faible pour l'ancien Florentin malgré des performances en demi-teinte dans le Piémont. L'axe Londres-Turin sera à surveiller attentivement cet été.

Télégramme Foot Transfert - mis à jour le samedi 24 avril 2010

C'est officiel : en France, libre en juin, le milieu de terrain de Grenoble Sofiane Feghouli a annoncé sa signature au FC Valence … / … Le jeune défenseur du Paris Saint-Germain Kevin Afougou a été mis à l'essai par Sedan … / … Le jeune attaquant camerounais de Coton Sport, Aboubakar Vincent, va signer à Valenciennes … / …

A l'étranger, le défenseur colombien du Chievo Vérone Mario Yepes évoluera bien au Milan AC la saison prochaine … / … Le Français Alain Giresse est le nouveau sélectionneur du Mali … / …

Leur avis sur la question : en France, Mathieu Valbuena n'a aucune envie de quitter l'OM cet été … / … Le milieu de terrain brésilien Juninho a fait savoir qu'il ne reviendrait pas à Lyon cet été … / … Le milieu de terrain Yohan Cabaye ne serait pas contre rester une saison de plus à Lille … / … Prêté par le Dynamo Kiev, le défenseur sénégalais Pape Diakhaté souhaite rester à Saint-Etienne la saison prochaine … / … En fin de contrat en juin, l'attaquant du Stade Rennais Mickaël Pagis ne sait toujours pas de quoi sera fait son avenir … / … L'attaquant argentin Fernando Cavenaghi songe à quitter Bordeaux cet été … / … L'attaquant de l'OGC Nice Loïc Rémy rêve d'évoluer un jour au Real Madrid ou au FC Barcelone … / …
Maxifoot

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Man. U reprend les devants

Manchester Utd s'impose face à Tottenham (3-1) et prend provisoirement la tête de la Premier League, en attendant le résultat de Chelsea face à Stoke City dimanche. Dans un match très rythmé, les Red Devils ont fini par débloquer la situation, prouvant qu'ils n'étaient pas prêts d'abandonner la course au titre. (Photo Reuters)

Fletcher l'avait dit avant cette 36e journée : «La pression est sur Chelsea, car ils ont été en position de tuer le Championnat et ne l'ont pas fait.» Du coup, pas question pour Manchester Utd de relâcher la pression, même face à une équipe de Tottenham coriace, qui a donné du fil à retordre à d'autres cadors de Premier League. Mais après Arsenal (2-1) et Chelsea (2-1), les Spurs n'ont pas réussi le hat trick face à Manchester United, qui a fini par imposer la loi du plus fort (3-1). Lors d'un match rythmé, engagé mais finalement assez fermé, les deux équipes ont livré un beau spectacle.

L'ascenseur de King
Tottenham a bien tenté de faire douter son adversaire, en mettant d'entrée la pression dans le camp mancunien, mais les Spurs n'ont longtemps tenu le choc offensivement. En revanche la défense a bien résisté. Car malgré une nette domination, les Red Devils se sont heurtés à une arrière-garde londonienne quasi-infranchissable tout au long de la première période. A l'heure de jeu, la possession de balle était de 70% en faveur des Mancuniens sans pour autant trouver la faille. Jusqu'à ce qu'Evra se fasse bousculer dans la surface permettant à Giggs de transformer un penalty (57e, 1-0). La joie fut de courte durée dans les travées d'Old Trafford car Tottenham n'a jamais baissé les bras. Mais là encore, il a fallu un coup de pied arrêté, un corner en l'occurrence, pour permettre à King d'égaliser de la tête, malgré un ascenseur flagrant sur son défenseur (70e, 1-1). L'intensité du match est alors montée d'un cran, avec un gros pressing des Spurs, qui se seraient bien contentés d'un nul, pour conforter leur 4e place, synonyme d'une qualification historique en ligue des Champions.

Nani fait le show
Mais c'était sans compter sur la gniaque et la patte de Nani. Sur une énième offensive mancunienne, Carrick repique au centre, passe à Macheda qui fait un superbe relais pour Nani, dans la course. Le Portugais contrôle et d'une pichenette, lobe le gardien trop avancé (81e, 2-0). Une superbe action qui redonne le sourire au public d'Old Trafford, et notamment à Wayne Rooney, assis en tribune. Et c'est là que Tottenham a commencé à craquer et montrer des signes de fébrilité. Au point que Palacios stoppe Nani dans la surface de façon trop brutale. Et c'est à nouveau Giggs qui se charge de transformer le penalty, en tirant cette fois de l'autre côté (3-1, 86e). Cette victoire, méritée mais longue à se dessiner permet donc à Manchester de reprendre la tête du championnat, en attendant le résultat de Chelsea face à Stoke City, dimanche (18h). Mais une chose est sûre, les Red Devils ne sont pas prêts de lâcher leur couronne. -.
Francefootball

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Metz est résigné par la montée

Le FC Metz, cinquième de Ligue 2 avec quatre longueurs de retard sur le trio de tête, a presque définitivement hypothéqué ses chances de montée parmi l'élite, vendredi soir, après une défaite à domicile 2-1 face à Arles-Avignon, accroché à la troisième place du championnat.

Le choc psychologique du changement d'entraîneur en début de semaine avec le départ d'Yvon Pouliquen et la prise en main de l'équipe par Joël Muller n'a pas eu lieu.

Pire, les Lorrains ont encaissé deux buts en supériorité numérique à 11 contre 10.

"Il faudrait être utopiste pour penser que, lorsqu'on n'arrive pas à gagner des matches pendant sept ou huit rencontres, on puisse d'un coup bouleverser et transformer l'équipe. Ceux qui sont devant nous ont pris une option considérable", analyse Joël Muller.

Son équipe avait ouvert le score par Victor Mendy (17e) après un bon début de match. L'expulsion du provençal Ludovic Liron (25e) dégageait un peu plus l'horizon des Messins, qui encaissaient pourtant deux buts par Deme N'Diaye (45e) et Maurice Dalé (90e).

"Quand on s'est retrouvé à 11 contre 10, au lieu de faire courir l'adversaire, on a déjoué. Tétanisés ? Ca fait quelques semaines qu'on l'est. Mais quand on joue une montée en première division, être tétanisé me paraît surprenant", poursuit le technicien grenat.

WILTORD Y CROIT ENCORE

Le FC Metz n'a plus gagné depuis huit matches en championnat et un succès contre Le Havre (2-0) le 1er mars dernier. Autre statistique terrible pour le candidat déclaré à la montée : trois buts seulement marqués lors des six dernières rencontres.

Les dirigeants, après le changement d'entraîneur, avaient décidé d'ouvrir trois des quatre tribunes du stade Saint-Symphorien pour seulement deux euros l'entrée.

Plus de 21.000 spectateurs ont ainsi assisté à la débâcle avec quelques incidents en fin de rencontre.

"On va essayer de finir avec fierté et orgueil en gagnant quelques matches d'ici la fin de saison. Et il faudra réfléchir sur le futur. On n'est plus dans la course et il y a beaucoup de choses à corriger", déclare le nouvel entraîneur, également directeur sportif.

Le calendrier n'est guère favorable aux Lorrains, qui doivent se déplacer à Ajaccio avant d'affronter Angers, Caen et Vannes. Le groupe pro se veut moins radical que le staff technique et veut conserver un ultime espoir de promotion.

"Ce n'est pas foutu. Il faut quatre victoires. On a grillé tous nos jokers les uns après les autres. On n'en a plus. Il faudra tout gagner, attendre un faux pas des autres et s'appuyer sur notre bonne première demi-heure", soutient l'attaquant Sylvain Wiltord.
Reuters

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Tunisie programme

dimanche 25 avril 2010
14h00 Olympique Béjà (7) - Stade Tunisien (4)
US Monastir (12) - JS Kairouan (8)
ES Zarzis (11) - AS Kasserine (10)
17h00 EGS Gafsa (14) - Etoile du Sahel (3)
CS Hammam-Lif (9) - CS Sfaxien (5)
mercredi 28 avril 2010
19h00 Espérance Tunis (1) - CA Bizerte (6)
jeudi 29 avril 2010
17h00 ES Hammam-Sousse (13) - Club Africain (2)

Maroc programme

samedi 24 avril 2010
16h00 HUSA Agadir (6) - FAR Rabat (8)
18h00 Wydad de Fès (10) - OCK Khouribga (7)
20h00 KACM Marrakech Menara (4) - MAS Fès (5)
dimanche 25 avril 2010
16h00 Raja Casablanca (1) - IZK Khemisset (14)
Moghreb Tétouan (9) - WAC Casablanca (2)
KAC Kénitra (11) - OC Safi (15)
18h00 Difaa El Jadida (3) - JSM Laâyoune (13)
mercredi 28 avril 2010
21h00 Fath US Rabat (12) - Association Salé (16

Algérie programme

vendredi 23 avril 2010
19h00 USM Annaba (7) 1-1 MC El Eulma (13)
samedi 24 avril 2010
16h00 NA Hussein Dey (17) - JSM Béjaia (3)
19h00 MC Alger (1) - WA Tlemcen (5)
USM El Harrach (4) - MC Oran (11)
USM Blida (16) - USM Alger (8)
CABB Arreridj (12) - MSP Batna (18)
CA Batna (14) - AS Khroub (15)
vendredi 30 avril 2010
19h00 ASO Chlef (9) - ES Sétif (2)
JS Kabylie (6) - CR Bélouizdad (10

«Finir meilleur buteur»

Deuxième meilleur buteur de Ligue 1 avec 14 réalisations, Kévin Gameiro espère que Lorient profitera de la réception de Bordeaux pour se faire plaisir en cette fin de saison. Si le FCL a fort peu de chances de décrocher l'Europe, l'ancien Strasbourgeois a des raisons plus personnelles de prendre au sérieux la dernière ligne droite du Championnat. (Photo Presse-Sports)

Kévin Gameiro, comment avez-vous encaissé le contrecoup de la défaite subie à Auxerre (1-4), la semaine passée ?
«C'est une défaite comme une autre. On a joué notre jeu, Auxerre a joué le sien. On nous a attendus et l'addition est devenue lourde au final. Dès qu'on se relâche, on est difficulté et ce match l'a très bien montré. Je pense qu'il faut essayer, dans ces cas-là, de passer vite à autre chose.

Affronter Bordeaux, est-ce justement une bonne occasion de laisser derrière soi cette défaite et de se faire plaisir ?
Un match comme celui-ci est toujours plaisant à jouer, face à une grosse équipe du Championnat, qui joue l'Europe régulièrement. Lorient et Bordeaux sont deux formations qui aiment proposer du jeu et j'espère qu'on fera plaisir au public. On a aussi quelque part une revanche à prendre par rapport à ce qui s'était passé en Coupe de la Ligue (défaite 1-4 émaillée par l'exclusion contestée de Koscielny à la 22e minute, ndlr). On aura donc à coeur de se racheter.

«J'ai mûri»
En cas de succès, pensez-vous qu'une qualification européenne reste jouable ?
Ça n'est pas impossible. Tout peut arriver en football mais ça va être très compliqué. De plus, on jouera beaucoup de grosses équipes donc je n'y crois pas trop.

Sur le plan personnel, vous semblez avoir franchi un palier. Où vous situez vous par rapport à l'an passé ?
Je pense d'abord avoir réussi à avoir plus d'impact dans l'animation mais je crois surtout avoir mûri. Chaque année, vous apprenez et vous emmagasinez de l'expérience donc j'ai senti cette progression. Je me pose beaucoup moins de questions qu'auparavant et puis, tous ces buts, je les dois aussi à une très bonne équipe et à des très bons joueurs qui évoluent autour de moi.

Resterez-vous à Lorient la saison prochaine ?
Si vous parlez d'un départ, je n'y pense même pas. Ce n'est pas un objectif que je me suis fixé Je pense surtout à bien jouer et être utile à l'équipe. Je vais même vous dire quelque chose. Je pense actuellement à marquer un maximum de buts pour finir meilleur buteur. Mon objectif est de finir dans le top 3 de ce classement (il est deuxième, ndlr) mais je ne suis pas loin de la tête alors j'ai une bonne raison de faire la fin de saison à fond.»

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