lundi 28 février 2011

Auto agression pour une belle simulation

Embouteillage à tous les étages

Après chaque week-end de Ligue 1, retrouvez les leçons et réflexions qui s'imposent à nous avant la prochaine journée. Si la lutte pour le titre est relancée pour les cinq équipes de tête, le maintien concerne également du monde de Caen (14e) à Lens (19e). Jean Tigana est lui aussi dans le flou


LA COURSE AU TITRE RELANCEE


A 13 journées de la fin, bien malin sera celui qui pourra prédire l'identité du futur champion de France. A l'issue de la 25e journée, la course au titre en effet complètement relancée. Si Lille reste leader à la faveur d'une meilleure différence de buts que Rennes, le club nordiste n'a plus aucun matelas d'avance après son match nul face à Lyon (1-1). "C'est un bon résultat pour nous même si on voulait mettre Lyon à sept points. Etre toujours leader, c'est positif", se contente Mickaël Landreau. Le duo de tête est désormais talonné par l'OM, revenu à un point grâce son quatrième succès de rang à Nancy (1-2) et par le PSG, à deux points après s'être imposé devant Toulouse au Parc (2-1). S'il a manqué une belle occasion dans le Nord, Lyon (5e) n'est qu'à quatre longueurs du fauteuil de leader. Dans le sprint final, le Marseille-Lille de la semaine prochaine pourrait encore changer la donne. "Ça se resserre. Il sera temps de faire un point fin mars. Il était important aussi d'être dans la course pour Marseille, on le sera. Si on ramène un point de Marseille, ce sera déjà très positif", espère Landreau. Derrière le quintet de tête, il ne reste que des miettes...


Alerte rouge




ÇA SE RESSERRE AUSSI DERRIERE


Il n'y a pas que la course au titre qui a été relancée ce week-end. Il y a également celle, moins prestigieuse, au maintien. Si Arles-Avignon, sauf miracle, jouera certainement à l'étage inférieur l'an prochain, tout reste ouvert pour les deux autres derniers tickets pour la Ligue 2 : il n'y a que cinq points d'écart entre Lens, dix-neuvième, et Caen, quatorzième. Vu sa forme du moment, voire de ces quatre derniers mois, Auxerre peut s'inquiéter. Après la correction reçue samedi à Bordeaux (0-3), le club bourguignon reste sur une série de 16 rencontres sans victoire, toutes compétitions confondues, ce qui en fait la pire équipe européenne du moment. Ces contre-performances s'en ressentent au classement, puisque l'AJA, dixième fin novembre, est désormais premier non-relégable, en dix-septième position, un petit point devant Monaco. La situation aurait pu être pire pour les Bourguignons, puisqu'ils auraient pu basculer dans la zone rouge si Caen n'avait pas égalisé en fin de match à Louis-II (2-2).


La stat clef : 0.6




LILLE DOUCEMENT MAIS SUREMENT ?


Ce n'est pas une nouveauté : Lille est en difficulté contre les gros. Le leader du Championnat l'a confirmé dimanche, en concédant le nul sur sa pelouse contre l'Olympique lyonnais (1-1). Depuis le début de la saison, la bande à Garcia n'a jamais gagné contre un membre du "Big Five", à savoir Rennes, Marseille, Lyon et le PSG. Elle a concédé trois nuls, contre Rennes (1-1), le Paris-Saint-Germain (0-0) et Lyon, donc, et a perdu ses deux autres chocs, sur le même score (1-3), contre Lyon et Marseille. Les Lillois n'ont pris que 3 points sur 15 possibles lors de ces confrontations, soit une moyenne de 0,6 point par match. Un peu léger pour un potentiel champion de France.


La décla qui parle




TIGANA, HEUREUX MAIS PAS TROP


Décroché sa plus large victoire de la saison, 3-0 contre Auxerre, il y a de quoi pousser un gros ouf de soulagement lorsque l'on est un entraîneur sur la sellette. Pas Jean Tigana. "Je ne suis pas plus soulagé que cela. On a répondu présent et c'est le plus important parce que maintenant, nous regardons derrière", a-t-il simplement commenté. Car, malgré la victoire, son avenir en Gironde reste flou. "Si je veux continuer ? C'est une bonne question, on verra lundi", a-t-il laissé entendre. Son président a eu beau vouloir éteindre l'incendie ("Des fois on aime bien être mystérieux. C'est sa personnalité et peut-être pour vous tenir en haleine"), tous les signaux semblent aller dans le même sens. Tigana pourrait annoncer sa démission mais son président aimerait le retenir. "Il a débuté la saison et, à mon avis, il faut qu'il la finisse", a ainsi plaidé Jean-Louis Triaud.


L'équipe-type




CAPOUE ET DIARRA, C'EST DU SOLIDE


Certes, Toulouse a perdu contre le PSG dimanche (1-2). Mais sans un Etienne Capoue en tenue de combat, le score aurait été bien plus lourd, tant les quatre de derrière (Gunino, Congré, Fofana et M'Bengué) ont sombré. Placé seul devant la défense, le milieu a passé son temps à colmater les brèches et à repousser les assauts parisiens. Autre sentinelle, décisive cette fois, Alou Diarra (Bordelais), qui a donné l'exemple contre Auxerre en ouvrant le score de la tête (13e). André Ayew (Marseille) et Kafoumba Coulibaly (Nice) ont également permis à leur équipe de remporter trois points précieux dans leur lutte pour le titre et le maintien. Mickaël Landreau a également sorti le grand jeu contre Lyon, comme Adil Rami, pour permettre à Lille de rester leader, à la différence de but, devant le Rennes de Boukari, sans pitié samedi contre son ancien club, Lens.


http://fr.sports.yahoo.com/28022011/70/ligue-1-embouteillage-a-tous-les-etages.html
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PSG / Toulouse FC 27.02.2011 : 2-1

Lyon entretient sa flamme

Lyon avait tout à perdre de son déplacement à Lille. Finalement, avec un match nul (1-1), l'Olympique Lyonnais est toujours en vie et en adéquation avec son objectif : reconquérir le titre. Mais, pour cela, l'OL va impérativement devoir accélérer le rythme
"On ne se laisse pas décrocher, on savait que c'était un match qui pouvait être périlleux pour nous." Claude Puel – le seul Lyonnais à avoir répondu aux médias dimanche – avait raison d'afficher son soulagement. Car l'Olympique Lyonnais n'avait pas franchement le droit à l'erreur à Lille : une défaite l'aurait probablement écarté définitivement de la course au titre. Mais Lyon est encore en vie, notamment grâce à un coup de canon de Kim Källström. Les Gones auraient même pu revenir à un point de Lille et deux longueurs de Rennes si Mickaël Landreau n'avait pas été autant inspiré face à son ami Jérémy Toulalan puis devant Jimmy Briand et Yoann Gourcuff. D'où les regrets, légitimes, de Claude Puel : "On est quand même un petit peu déçus parce que les plus grosses occasions, c'est quand même nous qui les avons eues."


L'OL invaincu face aux gros


Le nul rapporté du Nord par les Lyonnais confirme en tout cas la statistique d'avant-match : face aux gros, Lyon ne perd pas. Sauf que l'invincibilité ne fait pas beaucoup avancer quand elle est en grande majorité la conséquence de résultats nuls : à Rennes (1-1), contre Paris (2-2), à Marseille (1-1) et donc hier à Lille (1-1). L'OL n'a en fait remporté qu'une seule de ses rencontres au sommet, lors de phase aller devant le LOSC (3-1), un soir où la réussite avait accompagné le destin des Gones. D'ici la fin du Championnat, Lyon va aller défier Paris (le 16 avril) mais aussi recevoir Rennes (le 19 mars) puis Marseille (le 7 mai) au stade de Gerland. Si les hommes de Puel veulent être champions, il leur faudra certainement non seulement poursuivre l'invincibilité face aux équipes du top 5 mais également gagner deux de ces trois affiches. Car à force de rester bien placé au pied du podium, Lyon pourrait se retrouver à trop longue distance à l'heure de l'emballage final.


"Les nerfs, on les a..."


Claude Puel, lui, est optimiste quant à la capacité de ses joueurs à se sublimer lors de la dernière ligne droite : "Les nerfs, on les a. On est habitués à ce genre de rencontre et aux fins de championnat (…). C'est un championnat qui va se jouer au finish, je ne vois pas l'une des cinq équipes de tête lâcher." À Lyon, on compte sur la prochaine journée pour réaliser la bonne opération : pendant que l'OL accueillera la lanterne rouge Arles-Avignon, Marseille et Lille s'affronteront au Vélodrome alors que Paris et Rennes devront se coltiner des déplacements périlleux, respectivement à Auxerre et Montpellier.


Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28022011/70/ligue-1-lyon-entretient-sa-flamme.html
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La Juve accélère pour Michel Bastos

« Nous vendrons probablement deux ou trois joueurs à la fin de la saison. Au lieu de 25 joueurs, nous aurions un groupe de 22-23 joueurs. Nous diminuerons l’an prochain notre masse salariale de dix millions d’euros (de 100 millions à 90 millions), alors qu’elle était stable cette année. L’arrivée de Yoann Gourcuff et le manque à gagner de 6,8 millions d’euros à cause de la suppression du droit à l’image collectif nous y obligent ». Jean-Michel Aulas n’a pas fait de mystère la semaine dernière quant à la tactique à adopter par l’Olympique Lyonnais lors du prochain mercato estival.


Après avoir échoué ces dernières années à réaliser des profits sur la vente de joueurs, l’OL possède en son sein quelques éléments susceptibles de lui rapporter plus d’une dizaine de millions d’euros. L’un des plus courtisés se nomme Michel Bastos. Ce sont surtout les clubs italiens qui en ont après lui. Les cadors de Serie A l’apprécient et les plus assidus dans les tribunes de Gerland sont les émissaires de la Juventus Turin. En pleine reconstruction la Vieille Dame cherche désespérément un pendant à Krasic sur l’aile gauche. Après avoir régulièrement supervisé le Brésilien, elle aurait intensifié les contacts avec l’entourage du joueur ainsi qu’avec le club rhodanien, rapporte Tuttosport.


Michel Bastos sera-t-il sacrifié par la direction lyonnaise l’été prochain pour rééquilibrer les comptes ? La Juve espère empocher la mise pour moins que les 18 M€ dépensés par l’OL il y a deux saisons. Devenu international brésilien entretemps, Bastos ne devrait pas être vendu en dessous de cette somme. L’OL ne dirait pas non au renflouement de ses caisses grâce à un seul départ habilement négocié…


http://www.footmercato.net/calcio/transferts/la-juve-accelere-pour-michel-bastos_63237
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Roland Romeyer « Il ne s’agit pas de faire les cacous »

Grosse déception et colère du président du Directoire de l’ASSE. Il veut mettre les joueurs devant leurs responsabilités « Qu’ils signent dans un club Med s’ils ne comprennent pas
« Une très très grosse déception ». Roland Romeyer traduit parfaitement le sentiment qui taraude aujourd’hui Saint-Etienne et les supporters de l’ASSE. La défaite face à Nice est inacceptable pour tous, la manière encore plus. On a assisté à un spectacle pitoyable, adjectif le plus usité sur les forums.


« Pendant la première partie de la saison, on aurait été leader si les matches s’étaient terminés à la 70e minute. Aujourd’hui, il faudrait qu’ils ne durent que vingt minutes ». On ne sait pas si le président du Directoire songe à appliquer le même prorata sur les salaires de ses joueurs, mais il a du mal à avaler la pilule : « Depuis trois matches, je n’ai vu que trois fois vingt minutes ». Et plus question pour lui de suivre ceux qui avançaient des excuses après la claque lyonnaise ou au retour du Vélodrome « Tu te dis que l’OL et l’OM sont deux formations de champion’s League mais là, on pensait que Nice était à notre niveau. Et quand on fera le bilan on verra qu’on a laissé six points à cette équipe… »


Qui va oser avancer l’excuse de l’expérience cette fois-ci, quand il ne s’agit que d’intelligence dans le jeu, de volonté. « Je ne comprends pas, on ne peut pas sortir un gars du lot » rumine Roland Romeyer que ses joueurs n’ont pas encore entendu, pas croisé non plus : « Pour la première fois, je ne suis pas allé au vestiaire après la rencontre. Il était inutile que j’explose, que les mots dépassent la pensée. Dimanche, ils étaient convoqués à 10 h 00 par Christophe Galtier que je verrai ce lundi. Nous allons mettre les joueurs devant leurs responsabilités. Le patron, c’est le coach, moi je suis et je ferai ce qu’il y a à faire. »


Le discours sera sans doute musclé. Sa préparation l’est : « Il y a défaite et défaite. On sait qu’il y a tout un tas d’incertitudes dans le football, comme ce premier but venu d’ailleurs, mais après, on doit se révolter, je n’ai rien vu. Je ne peux pas l’accepter, pour tous les supporters qui se déplacent, certains de loin. On n’a pas le droit, on va réagir ».


La colère gronde, les phrases explosent : « Les gars doivent comprendre que quand ils signent à Saint-Etienne, ils revêtent le maillot vert. Cela veut dire quelque chose. S’ils ne le comprennent pas, qu’ils signent ailleurs, dans un club Med. J’en connais quelques-uns sur la côte… »


Le derby est encore dans son esprit qu’il torture « On avait fait des cadeaux à l’OL qui ne nous avait rien montré » et ce ne sont pas les deux buts des Niçois qui peuvent panser la blessure « Pendant le premier quart d’heure, ils ne savaient pas où ils étaient, ils doutaient. Après on leur donne confiance et ils nous mettent minables. Je suis en colère contre le collectif, il y en a marre. »


Derrière cette réaction, il y a un calcul qui fait peur « Les défaites, on s’y habitue. Cela en fait trois de suite. Ca peut aller loin. Strasbourg est descendu alors qu’ils avaient 35 points à treize journées de la fin. Il ne s’agit pas de faire les cacous ».


http://www.leprogres.fr/sports/2011/02/28/roland-romeyer-il-ne-s-a-git-pas-de-faire-les-cacous
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Pour les Lillois, c'est reparti

Même si sa marge de manoeuvre s'est réduit en tête de la L1, même si le LOSC reste sur une série moyenne, notamment contre les gros, Rudi Garcia a revu contre Lyon (1-1) une "équipe capable de produire du jeu". Les Lillois sentent qu'ils ont réenclenché la marche avant
Leur matelas a fondu, leur marge de manœuvre a disparu. Les Lillois occupent encore leur fauteuil de leader du championnat, uniquement grâce à une meilleure différence de but sur Rennes. Et Marseille et le PSG sont revenus sur leurs talons. Mais si leur avance en tête du championnat a été réduite à la portion congrue, une atmosphère de sérénité règne dans les couloirs du Stadium Nord, voire d'optimisme pour la fin de la saison. Le jeu proposé face à Lyon (1-1) dimanche par les Dogues, les a rassurés. "On a retrouvé une équipe capable de produire du jeu, se réjouit Rudi Garcia. Contrairement au match à Montpellier (défaite 1 à 0). Il y a des choses intéressantes."


Pendant la majeure partie de la rencontre, les coéquipiers d'Eden Hazard ont effectivement pris les choses en mains, donné le tempo de la rencontre, et imposé un pressing très haut, comme lors de leur meilleures sorties de la saison. Et si ses protégés n'ont pas su conclure, comme souvent ces derniers temps, l'entraîneur lillois - qui reconnait que Micka (Landreau) "a été décisif en fin de match" - savoure d'avoir revu le visage de son équipe après plusieurs sorties mitigées : "On a retrouvé des statistiques qui ressemblent à ce qu'on a plus l'habitude de faire. On a marqué sur un coup de pied arrêté. On a montré une certaine sérénité."


"Après, en Avant Guingamp"


Un à un en conférence de presse, Mickael Landreau et Adil Rami ont abondé dans le sens de leur entraîneur et chassé les nuages présents dans le ciel nordiste. La mauvaise série du LOSC, qui reste sur une seule victoire en sept matches, toutes compétitions confondues après ce nul face à Lyon (1-1) ? Personne ne s'en inquiète. "On a connu la même période en première partie du championnat, où on rencontre des équipes qui ont énormément de puissance et un bon jeu en contre-attaque, estime Landreau. Je suis rassuré d'avoir pris un point ce soir et d'être leader". "Nous n'avons pas de doutes, pas de pression vis à vis de ça, jure Rami. Pour le moment, on est à notre place". Le défenseur se rattrape après avoir dévoilé peut-être un peu trop le grand dessein du LOSC : "On est bien placé pour nos ambitions, pour être dans les trois premiers".


Avant de se déplacer le week-end prochain à Marseille, Lille a encore une fois démontré ses soucis face aux grosses cylindrées du championnat après voir perdu à Lyon (3-1), devant Marseille (1-3) et obtenu des nuls contre Paris (0-0) et à Rennes (1-1). "Ce qui compte c'est le classement. Et le classement, il parle pour nous", lance Rami avant de reconnaître que son équipe "piétine". De son côté, Garcia avoue bien que son groupe peut "progresser dans les confrontations directes" face aux équipes du Top 5 mais il enchaîne tout de suite : "On a vu de belles choses. On retrouvé des points positifs pour aller de l'avant." Car c'est bien la conclusion de la soirée au Stadium : si Lille tourne toujours au ralenti, les Nordistes estiment bien avoir remis la marche avant. Et attendent la suite avec impatience. "Il nous reste Marseille. C'est un match très important pour nous. Après, on aura passé ce passage compliqué, ce mois de février qui nous fatigue un peu. Et après, en Avant Guingamp..." conclut un Rami taquin.


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http://fr.sports.yahoo.com/28022011/70/ligue-1-pour-les-lillois-c-est-reparti.html
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Les durs se neutralisent

Lille reprend de justesse la tête du Championnat de France après avoir concédé le match nul contre Lyon (1-1). Bien entré dans son match, le LOSC n'est pas parvenu à imposer une emprise durable à Lyon. Après ce duel intense, l'OL reste 5e à quatre points du duo Lille - Rennes et à trois du podium.


Lille est toujours leader, et Lyon en embuscade. Les 17.166 spectateurs du Stadium Nord ont assisté à un vrai choc du haut de tableau de la L1, dimanche. Un beau duel entre deux équipes qui n'ont pas refusé le jeu. Et sur le plan comptable, le LOSC n'est peut-être pas le plus mécontent de ce nul face à l'OL (1-1). Dans un match plaisant sur une pelouse qui n'a pas favorisé le beau jeu et s'est dégradée au fil des minutes, le club lillois a bien sûr dominé les débats dans l'ensemble. Sans réussir à faire la différence au tableau d'affichage. Mais grâce à une meilleure différence de buts sur Rennes (+19 contre +12), les Dogues conservent leur fauteuil en tête du championnat et quatre points d'avance sur les Lyonnais, toujours cinquièmes. C'est une des satisfactions de la soirée pour les Lillois. Et ce n'est pas la seule.


Certes, les Nordistes ont encore une fois été incapables de battre une des équipes du Top 5 de la L1 cette saison avec ce match nul concédé à domicile face à Lyon. Ils ont aussi vu le Stade Rennais, Marseille et le PSG, tous vainqueurs ce week-end, revenir sur leurs talons. Et pourtant, les protégés de Rudi Garcia se sont rassurés. On disait leur jeu en érosion, moins tranchant après leurs revers face à Montpellier (1-0), le premier en L1 depuis le 24 octobre face à Marseille (1-3). Dimanche, ils ont montré qu'ils n'avaient rien perdu de leurs qualités à l'image d'Eden Hazard ou Gervinho, très percutants avant la pause. Bien entrés dans le match, les Lillois ont, dans leur sillage, vite trouvé l'ouverture du score grâce à l'inévitable Moussa Sow suite à un coup-franc du jeune prodige belge (1-0, 9e).




Lyon a su tenir


La dix-septième réalisation du meilleur buteur de la L1 a logiquement récompensé l'excellente entrée en matière de ses coéquipiers, sur une de leurs nombreuses périodes de temps forts. Mais Lyon, qui a relevé la tête en première mi-temps avant de souffrir un peu au retour des vestiaires, a eu le mérite de tenir bon. Et de laisser passer l'orage ou de savoir profiter des moindres occasions pour se montrer dangereux. Sur un deuxième ballon, Kim Kallström a égalisé rapidement (1-1, 26e) et Michael Landreau a encore été obligé de montrer toutes ses qualités notamment en fin de match devant Toulalan (76e), Gourcuff (80e) ou encore Briand (88e).


Si Lille aurait peut-être pu obtenir un penalty en première période (34e) et s'est cassé les dents suer Lloris (Rami 67e), le nul n'est pas illogique. Avant son quart de finale de la Coupe de France contre Lorient, mercredi, puis son déplacement à Marseille dimanche prochain, le LOSC a montré un visage convaincant. Claude Puel pourra se satisfaire de la solidité de son équipe après la sortie de Cris, touché aux ischio-jambiers (28e).


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dimanche 27 février 2011

Lille - Lyon en live ici ce soir

Suivez le choc de la 25° journée Lille - Lyon en direct ici en cliquant sur ces liens

http://fr.sports.yahoo.com/football/ligue-1/2010-2011/lille-lyon-378946.html


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Marseille et Paris sont dans la course

Statut quo en tête de la L1, Marseille et Paris se sont imposés lors de la 25e journée. Auteur d'un doublé, André Ayew a permis à l'OM de signer un succès crucial à Nancy (1-2). Paris a souffert en fin de match mais a fini par dominer Toulouse (2-1). Lille peut reprendre la tête face à Lyon (21h).


NANCY-MARSEILLE 1-2




Buts : Féret (34e) pour Nancy ; Ayew (45e et 87e) pour l'OM


PARIS-TOULOUSE : 2-1




Buts : Armand (28e) et Gunino (csc, 38e) pour Paris ; Tabanou (62e) pour Toulouse


Le grand perdant de cette 25e journée sera à chercher du côté de Lille-Lyon. Rennes, Marseille et Paris n'ont rien lâché dans la course au titre. L'OM et le PSG sont sortis vainqueurs de leur match décalé à Nancy et contre Toulouse (2-1), dimanche, sans forcément briller, mais les deux rivaux de la Ligue 1 ont gardé intactes leurs chances de décrocher le Graal en fin de saison. Ce statu quo en tête est trompeur car Paris et Marseille ne se sont pas épargnés quelques sueurs froides. Paris a souffert en fin de match après avoir dominé la première heure de jeu, Marseille s'en est sorti in extremis après avoir concédé l'ouverture du score. Double buteur, André Ayew a offert trois points cruciaux aux Phocéens dans les derniers instants (86e). Marseille reste sur le podium, à un point de Rennes et une unité devant Paris.


Rien ne fut évident pour Marseille qui, dans la bataille de Marcel-Picot, a perdu sur blessure Rémy (cheville) et Mbia (cuisse). Des contretemps qui ont obligé Didier Deschamps à bricoler. Avec une équipe remaniée dès le coup d’envoi et un Mbia en sentinelle devant la défense, Marseille n'a jamais franchement posé son empreinte sur la rencontre. Les champions de France ont longtemps vacillé, la faute à une défense beaucoup trop fébrile. A l'image d'un Kaboré trop tendre sur l'ouverture du score signé Féret (33e). Les Phocéens ont logiquement recollé au score sur une réalisation opportuniste d'Andre Ayew juste avant la pause. En seconde période, les hommes de Didier Deschamps ont poussé mais de façon trop désordonnée. Hadji a gâché une première balle de match, repoussée sur la ligne par Taiwo (57e) mais c’est Ayew qui a eu le dernier mot (86e).


Au Parc des Princes, la victoire s'est dessinée bien plus tôt, même si la rencontre aurait accouché d'un autre scénario sans la maladresse de Machado sur un penalty raté (16e). La première mi-temps a sens unique a placé le PSG dans des conditions idéales à la pause. Armand, d'un bel enchainement à l'entrée de la surface (27e), et Bodmer, d'une frappe détournée par Gunino (37e), ont donné à la mi-temps une marge de manoeuvre confortable au club de la capitale. Une avance bien maitrisée jusqu'à la réduction du score de Tabanou suite à une mésentente entre Armand et Edel (62e). Dès lors, Toulouse a exercé une pression bien plus menaçante sur le but d'Edel. Sans un retour salvateur de Sakho, Tafer aurait même pu offrir le nul aux Violets (80e). Paris s'en est finalement sorti, comme Marseille. Lille et Lyon savent ce qu'il leur reste à faire.


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Nancy Marseille et PSG Toulouse en live ici

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Djibril Cissé porte plainte contre le président de l'Olympiakos

Après les incidents de l'après-match du derby athénien...
L’agression et les cris de singes de la semaine dernière l’ont convaincu de quitter la Grèce enfin de saison. Djibril Cissé ne se sent plus en sécurité au Panathinaïkos, depuis les incidents de la fin du match contre Olympiakos. L’attaquant français a donc porté plainte auprès de l’UEFA, contre le club d’Athènes et son président Vangelis Marinakis, pour diffamations, injures et menaces.


Critiqué pour ses tenues vestimentaires, agressé physiquement et visé par des cris de singes en Grèce, l’ancien buteur de l’OM avait échangé des mots avec Marinakis, également président de la Ligue, à l’issue du derby athénien. «J'étais très déçu après le match et j'ai dit que dans ces conditions je partirais. Rien n'a changé dans ce que j'ai dit sur mon intention de rester ou de partir», a confirmé le joueur après son entraînement, vendredi.


http://www.20minutes.fr/article/677323/sports-djibril-cisse-porte-plainte-contre-president-olympiakos
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Ganso laisse la porte ouverte à l’OL !

Milieu de terrain pour le moins talentueux, Paulo Henrique dit Ganso fait partie des grands espoirs du football brésilien. Au même titre que Neymar, le maître à jouer de Santos fait un malheur au pays de la Samba. Meneur de jeu à l’ancienne, l’international auriverde n’en finit plus de faire chavirer de bonheur le public brésilien. Et forcément, un tel statut attise de facto les convoitises. Bon nombre de clubs européens se sont positionnés sur le cas du natif d’Ananindeua et parmi ces prétendants, il y a l’Olympique Lyonnais.


En effet, l’été dernier, les Gones avaient fait des pieds et des mains pour tenter d’obtenir la signature du prodige tout juste âgé de 21 ans. Oui mais voilà, l’offre à hauteur de 20 M€ émise par les septuples champions de France n’a pas su convaincre la direction de Santos, fermement décidée à conserver son poulain. Et si l’OL s’est renforcé dans ce secteur de jeu en enrôlant Yoann Gourcuff, Ganso peut-il un jour poser ses valises entre Rhône et Saône. Si l’hypothèse paraît à priori farfelue, toujours est-il que le milieu de terrain brésilien ne ferme pas la porte à la formation de la capitale des Gaules, bien au contraire.


Au micro de Téléfoot, Ganso se dit très clairement intéressé par une arrivée à Lyon : « C’est un rêve pour moi de jouer en Europe et j’espère le réaliser très rapidement. Signer là-bas (à Lyon, Ndlr) aurait été un tremplin dans ma carrière. Lyon est une grande équipe, un grand d’Europe. Malheureusement, les négociations n’ont pas abouti mais qui sait, peut-être qu’un jour je jouerai à Lyon. Quand tu es gamin, tu as toujours des clubs préférés mais quand tu grandis tu apprends à connaitre les autres équipes. Et tu en as des maux de tête (rires) ». Nul doute qu’en voyant une telle déclaration, Jean-Michel Aulas va lui aussi avoir des maux de tête. De là à faire chauffer la carte bleue cet été, il n’y a qu’un pas.
http://www.footmercato.net/bresil/ganso-laisse-la-porte-ouverte-a-l-ol_63185
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Duels au sommet

Landreau, Rami, Hazard ou Sow pour Lille face à Lloris, Cris, Gourcuff et Gomis : les duels au sommet seront très nombreux et pourraient faire basculer la rencontre phare de la 25e journée entre le LOSC et Lyon, ce soir (21h00) au Stadium à Villeneuve d'Ascq. Gros plan


LANDREAU-LLORIS, LA BASE


Sur le banc jeudi à Eindhoven (3-1), Landreau va disputer son 502e match de L1. Son absence au Philips Stadion face au PSV a encore mis en exergue son importance pour la sérénité de la défense nordiste. A plusieurs reprises, il a maintenu l'équipe nordiste à flot. Lloris a lui été déterminant dans la victoire lyonnaise à Saint-Etienne (1-4). Absent face à Nancy (4-0), il n'a pas eu trop à s'employer face au Real (1-1) mardi en Ligue des champions. Sur l'ensemble de la saison, le gardien de l'équipe de France a sauvé, par ses parades, quelques situations compromises et permis à Lyon de remonter au classement après un début de saison raté.


RAMI-CRIS, LE MUR


Comme souvent, Adil Rami a été solide à Eindhoven. Son travail défensif est d'ailleurs salué depuis plusieurs semaines, notamment par Laurent Blanc qui en a fait l'un de ses titulaires. Il ne lui manque par rapport à la saison dernière qu'une pointe d'efficacité quand il attaque et parfois un peu plus de justesse dans les relances. Cris a été l'un des meilleurs Lyonnais, mardi face au Real Madrid. Très présent, il s'est comporté comme un vrai chef de défense. Il a failli sauver sur sa ligne le tir de Karim Benzema amenant l'ouverture du score pour le Real. Le Brésilien peut aussi être efficace: il a contribué par une déviation de la tête à l'égalisation de Bafétimbi Gomis.


HAZARD-GOURCUFF, L'IMAGINATION


Tous les regards sont braqués sur le petit joyau belge. Les plus grands clubs ont des yeux de Chimène pour les fulgurances de ce joueur qui pourrait, cependant, signer dans les prochains jours une prolongation d'un an avec le LOSC, jusqu'en 2015. Laissé au repos à Eindhoven, Hazard avait peiné à Montpellier après des semaines d'un rendement très haut de gamme, avec au bilan 6 passes et 3 buts. Le milieu offensif de Lyon se cherche encore. Il n'a pas assez de présence pour peser sur l'animation offensive notamment et être un véritable meneur de jeu. Il n'apporte le danger que sur les phases arrêtées, corners et coups francs et cela semble bien insuffisant par rapport aux attentes. Cependant, après être tombé assez bas, il semble qu'il retrouve son niveau. Ce sommet pourrait lui permettre de décoller.


SOW-GOMIS, LA FINITION


Le meilleur buteur de la L1 (16 buts) connaît un début d'année moins prolifique. Depuis la reprise, le buteur des Dogues n'a marqué que deux fois. Son dernier but en date remonte à Auxerre où il a réussi une magnifique bicyclette. Mais Lyon ne doit pas se réjouir. Car lorsque Sow est muselé, c'est Gervinho qui mord. L'Ivoirien a marqué 11 buts, dont 4 depuis janvier. Gomis, c'est l'un des hommes en forme de l'OL. Il a égalisé mardi contre le Real Madrid et il avait déjà permis à Lyon de revenir dans la partie lors du derby à Saint-Etienne en remettant les deux équipes à égalité (1-1). Très bon en pivot, il est le meilleur buteur de l'OL en championnat (9 buts).


http://fr.sports.yahoo.com/27022011/70/ligue-1-duels-au-sommet.html
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Tigana, c'est fini ?

Malgré la large victoire face à Auxerre (3-0), Jean Tigana devrait quitter Bordeaux dès lundi, avance Sud Ouest. L'entraîneur, qui se sentirait lâché par ses joueurs, devrait annoncer sa démission. Selon le quotidien, Rolland Courbis devrait alors faire son retour chez les Girondins.


"Il va partir... sur une victoire", annonce Sud Ouest. La large victoire de Bordeaux face à Auxerre (3-0) n'aurait finalement pas sauvé la tête de Jean Tigana. Ou plutôt, elle ne l'aurait pas convaincu de poursuivre l'aventure. Car c'est de son propre chef que l'entraîneur devrait jeter l'éponge. Si le quotidien insiste sur le fait que le conditionnel reste de vigueur, Tigana aurait déjà annoncé sa décision à ses proches, a priori pas au vestiaire. La nouvelle devrait d'ailleurs être confirmée lundi lors d'une conférence de presse de Nicolas de Tavernost, le patron de M6 et propriétaire du club, qui doit venir à la rencontre de l'équipe. Pour Jean-Louis Triaud, cette réunion n'a pas d'autre but que de "discuter avec les joueurs. Est-ce qu'il y a aura d'autres sujets à débattre ? Personnellement je n'en vois aucun". "Pour moi, la question (du départ de Tigana, ndlr) n'est pas d'actualité", assure le président des Girondins.


"Si je veux continuer ? C'est une bonne question"


Pourtant, durant la soirée, Jean Tigana s'est montré bien mystérieux et a affiché de nombreux signes tendant à crédibiliser cette thèse. Pendant le match, il ne s'est ainsi levé que trois fois de son banc... pour annoncer ses changements. Même les buts de Diarra, Modeste et Plasil ne lui ont pas arraché une manifestation de joie. A l'issue du match, il affichait d'ailleurs un visage sombre malgré la victoire. "Je ne suis pas plus soulagé que cela. On a répondu présent et c'est le plus important parce que maintenant, nous regardons derrière", a-t-il simplement commenté avant de se montrer très flou quant à son avenir. "Si je veux continuer ? C'est une bonne question, on verra lundi", a-t-il laissé entendre. Son président a eu beau vouloir éteindre l'incendie ("Des fois on aime bien être mystérieux. C'est sa personnalité et peut-être pour vous tenir en haleine"), tous les signaux semblent aller dans le même sens.


Sauf revirement sous la pression de ses dirigeants, Jean Tigana devrait donc faire ses adieux à Bordeaux, lundi. "Il a débuté la saison et, à mon avis, il faut qu'il la finisse", a pourtant plaidé Jean-Louis Triaud, samedi soir. Mais selon le quotidien, l'entraîneur "aurait compris à Lorient (5-1) que la rupture était définitivement consommée avec les joueurs". Lâché, fatigué et usé, il aurait donc déjà pris sa décision. Et son successeur serait déjà connu. Pour Sud Ouest, il s'agirait de Rolland Courbis qui ferait ainsi son troisième passage chez les Girondins après les périodes 1992-94 et 1996-97. Réponse définitive lundi, au Haillan.


Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/27022011/70/ligue-1-tigana-c-est-fini.html
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Rennes, le coup parfait

Vainqueur à domicile de Lens (2-0) samedi, lors de la 25e journée, Rennes s'est emparé provisoirement de la tête de la Ligue 1. Les Bretons ont un point d'avance sur Lille, qui recevra Lyon dimanche. Saint-Etienne a été surpris à domicile par Nice (0-2) et Montpellier tenu en échec à Sochaux (0-0).


Rennes n'a pas manqué l'occasion qui lui était offerte de mettre ses rivaux dans la course au titre sous pression. Les Rennais ont pris provisoirement la tête du classement en s'imposant sur leur terrain face à Lens (2-0) avec une bonne entame de match concrétisée par un but de Razak Boukari au quart d'heure de jeu. L'équipe de Frédéric Antonetti a gardé la mainmise sur le match avant de se mettre définitivement à l'abri en deuxième période par l'intermédiaire de l'attaquant colombien Victor Hugo Montaño (70e). Malgré l'absence de plusieurs titulaires, le club breton n'a pas flanché et prend un point d'avance sur Lille, désormais deuxième avant de recevoir Lyon dimanche.


Egalement sur le pont dimanche, le PSG, qui reçoit Toulouse, et Marseille, en déplacement à Nancy, auront l'occasion de creuser encore l'écart qui sépare le Top 5 du reste de la Ligue 1. Sixième, Montpellier n'a pas totalement confirmé sa belle victoire sur Lille la semaine passée (1-0), même si son nul à Sochaux (0-0) face à des Doubistes redoutables à domicile reste un bon résultat, au terme d'un match marqué par les expulsions du Sochalien Ideye (17e) et du Montpelliérain Spahic (62e). On ne peut pas en dire autant pour Saint-Etienne. Les Verts, qui auraient pris la sixième place en cas de succès à domicile face à Nice, se sont inclinés face à des Aiglons (0-2) qui restaient pourtant sur une claque face au PSG (0-3). Un match au cours duquel Kafoumba Coulibaly s'est illustré avec une superbe frappe en angle fermé pour l'ouverture du score (55e) avant le break signé Anthony Mounier en fin de match (85e).


L'autre chef-d'oeuvre de la journée est venu de Monaco. Une frappe exceptionnelle de Park Chu-Young de l'angle de la surface qui a donné deux buts d'avance à l'ASM après l'ouverture du score de l'attaquant coréen sur penalty en première période. Les Monégasques pensaient bien tenir une victoire précieuse dans la course au maintien, mais Youssef El Arabi (68e) et Yohan Mollo (72e) ont permis aux Normands de ramener un bon match nul de la Principauté (2-2). Monaco reste relégable, à la 18e place, un point derrière Auxerre. A Valenciennes, le Lorientais Kevin Gameiro est resté muet après avoir marqué lors de ses quatre dernières sorties en Ligue 1 et le match s'est soldé sur un score nul et vierge. Arles-Avignon pensait obtenir sa deuxième victoire de la saison après avoir ouvert la marque face à Brest par Kamel Gilhas (37e), mais Larsen Touré (49e) a offert l'égalisation aux Bretons en deuxième période.


Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/26022011/70/ligue-1-rennes-le-coup-parfait.html
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samedi 26 février 2011

Lyon : ça chauffe entre Puel et Aulas

Le printemps sera chaud à Lyon. Alors que Jean-Michel Aulas s’interroge de plus en plus ouvertement sur l’avenir de son entraîneur, Claude Puel lui a répondu directement, hier. Ce nouvel épisode confirme une tendance lourde : il faudra au moins un titre au technicien lyonnais pour garder son poste en fin de saison. Nouvelle pierre lancée dans le jardin de Puel par Aulas dans le magazine « Lyon capitale » paru hier : « Ce n’est pas une certitude qu’il aille au bout de son contrat (NDLR : jusqu’en juin 2012) ».
Et le dirigeant va encore plus loin : « Gagner un titre sans être en adéquation avec les valeurs du club, ça deviendrait problématique. » Après avoir longtemps gardé le silence, Puel se lance dans la mêlée : « Je suis d’accord avec le président, dans la mesure où en fin de saison, je pourrais m’arrêter ou aller voir ailleurs. »


Un jeu souvent décevant


Cette partie d’échecs par médias interposés trouve sa source dans le début de saison catastrophique du club. Depuis la défaite dans le derby face à Saint-Etienne (1-0) à l’aller et la 18e place du club, le président olympien a cessé de soutenir envers et contre tout un manageur qui n’a rien gagné depuis son arrivée en 2008. Le président cite même Alain Perrin, limogé après un doublé, dans sa démonstration concernant la non-reconduction automatique en cas de titre. En filigrane, le patron lyonnais regrette la cassure avec une partie du public et reprend à son compte certains reproches des supporteurs : manque de résultats, jeu souvent décevant.
Quant à la sortie de Claude Puel, elle pourrait signifier sa volonté de reprendre la main. « Ce n’est pas le style de Claude de partir de lui-même, prévient néanmoins son ami et ex-coéquipier Jean-Luc Ettori. Il partira uniquement s’il pense qu’il va dans le mur. »
A 24 heures du choc face au leader lillois, les coulisses agitées de l’OL pourraient avoir de fâcheuses conséquences. « Même si on dit qu’il n’y a pas d’impact, il y en a forcément un », reconnaît le meneur de jeu Gourcuff, qui a connu ce genre d’incertitudes à Bordeaux avec Laurent Blanc. Le conseiller du président Bernard Lacombe, malgré des relations qui ont souvent été délicates avec Puel, aimerait plus de calme : « J’ai été très surpris par les déclarations du président alors qu’il a toujours tendance à protéger l’institution. L’équipe ne sera certainement pas déstabilisée, mais l’entraîneur peut l’être, même s’il est costaud. » Hier soir, sur RTL, le boss lyonnais a accusé les médias « d’extrapolation » : « Je n’ai aucun reproche à formuler à Puel, je suis très satisfait de ce qu’il fait actuellement […]. Il n’y a aucune ombre entre Aulas ou le conseil d’administration et Puel. » Un épisode de plus dans une guerre des nerfs qui promet de durer

http://www.leparisien.fr/sports/lyon-ca-chauffe-entre-puel-et-aulas-26-02-2011-1332447.php
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La 25° journée en live...LE MULTIPLEX

Suivez les match de la 25° journée en direct en cliquant sur ce lien....


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Le PSG piste Kevin Gameiro, Dimitri Payet, Alou Diarra et Marvin Martin pour la saison prochaine

Les dirigeants parisiens s'activent déjà pour renforcer leur équipe...
C’est bien connu, tout bon recrutement se prépare en amont. Dans son édition de samedi, Le Parisien révèle quelques dossiers sur lesquels travaille la cellule de recrutement du PSG pour la saison prochaine. Le club aurait ciblé six postes à pourvoir (un gardien, un défenseur central, deux milieux récupérateurs, un milieu offensif droit et un attaquant).


Déjà contacté en janvier, le stéphanois Dimitri Payet reste un des dossiers prioritaires avec celui du défenseur de Valenciennes, Milan Bisevac qui rêve du PSG depuis un an et demi. Le Bordelais Alou Diarra pourrait être intéressé par le challenge parisien si jamais le club accrochait une place en Ligue des champions. Natif de Paris, le Sochalien Marvin Martin (meilleur passeur de Ligue 1) est aussi évoqué.


En attaque, Kevin Gameiro es l’une des pistes étudiées. Le Lorientais n’a jamais caché son faible pour Paris même s’il penche plutôt pour un départ à l’étranger (Valence). Natif de Paris, le Sochalien Marvin Martin (meilleur passeur de Ligue 1) est l’un des noms qui circulent.


Bref, pour une équipe absente de la Ligue des champions depuis la saison 2004/2005, le PSG garde toujours une certain pouvoir d’attirance.


http://www.20minutes.fr/article/677073/sports-le-psg-piste-kevin-gameiro-dimitri-payet-alou-diarra-marvin-martin-saison-prochaine
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25° journée de ligue 1 : les match

Samedi 26 février - 25e Journée
26 fév, 19:00 Arles-Avignon - Brest Parc des Sports, Avignon
26 fév, 19:00 Monaco - Caen Stade Louis II, Monaco
26 fév, 19:00 Rennes - Lens Stade de la Route de Lorient, Rennes
26 fév, 19:00 Saint-Etienne - Nice Stade Geoffroy-Guichard, Saint-Étienne
26 fév, 19:00 Sochaux - Montpellier Stade Bonal, Montbéliard
26 fév, 19:00 Valenciennes - Lorient Stade Nungesser, Valenciennes
26 fév, 21:00 Bordeaux - Auxerre Stade Chaban-Delmas, Bordeaux
Dimanche 27 février - 25e Journée
27 fév, 17:00 Nancy - Marseille Stade Marcel Picot, Nancy
27 fév, 17:00 Paris SG - Toulouse Parc des Princes, Paris
27 fév, 21:00 Lille - Lyon Stadium Lille Métropole, Villeneuve-d'Ascq
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Gameiro, juste à temps

Souffrant cette semaine, Kevin Gameiro sera bien là pour affronter Valenciennes avec Lorient samedi (19h00). Jonh Utaka pourrait faire ses débuts avec Montpellier face à Sochaux. Marc Planus est de retour dans le groupe de Bordeaux face à Auxerre, qui retrouve des forces vives (21h00).


Saint-Etienne - Nice : Alonso plutôt que Battles ?


Absent du groupe stéphanois depuis deux matches, Alejandro Alonso devrait débuter la rencontre face à Nice. L'Argentin pourrait prendre la place de Laurent Battles au coeur de l'entrejeu des Verts. Victime d'une contracture au mollet droit, Grégory Paisley est forfait côté niçois. Il sera suppléé par Coulibaly sur le côté droit de la défense azuréenne.


Les équipes probables :
Saint-Etienne : Janot - Ebondo, Marchal, Monsoreau, Bocanegra - Perrin, Matuidi, Alonso - Payet, Rivière, Sako.




Nice : Ospina - Coulibaly, Civelli, Pejcinovic, Clerc - Digard - Bellion, Faé, Sablé, Mounier - Mouloungi.


Sochaux-Montpellier : Première pour Utaka ?


Recruté en janvier mais blessé à une cuisse depuis, John Utaka pourrait fêter sa première titularisation sous les couleurs de Montpellier en Ligue 1. L'ancien Rennais est en concurrence avec Souleymane Camara pour épauler Olivier Giroud en attaque. A Sochaux, le chantier concerne le milieu de terrain. Le si précieux Kevin Anin est suspendu, son supposé suppléant, Carlao, victime d'une entorse à la cheville, est très incertain. Francis Gillot pourrait donc titulariser le jeune Nogueira.


Les équipes probables:
Sochaux : Richert - Sauget, Perquis, Faty, Dramé - Boudebouz, Martin, Carlao ou Nogueira, Maurice-Belay -Ideye, Maïga.




Montpellier : Jourdren - Bocaly, Yanga-Mbiwa, Spahic, Jeunechamp - Marveaux, Pitau, Estrada - Camara ou Utaka, Giroud, Belhanda.


Monaco-Caen : Mongongu de retour


Absent des terrains depuis le 15 janvier, Cedric Mongongu devrait signer son retour dans le onze monégasque sans doute en lieu et place de Sébastien Puygrenier. Suspendu, Adriano laisse sa place à Lolo sur l'aile droite de la défense monégasque. Seul changement prévu dans le onze normand, Marcq devrait suppléer l'absence de Seube, touché aux ischio-jambiers.


Les équipes probables :
Monaco : Ruffier - Lolo, Nkoulou, Mongongu, Muratori - Diarra, Mangani - Moukandjo, Feindouno, Welcome - Park.




Caen : Thébaux - Inez, Leca, Heurtaux, Tafforeau - Marcq, Yatabaré, Nivet - Mollo, El-Arabi - Traoré.


Rennes-Lens : Kembo fera défaut


Un temps incertain, Jires Kembo, indisponible depuis le 1er février, n'a pas été déclaré apte pour la réception de Lens. Rennes doit toujours se passer des services d'Onyekachi Apam (genou), Sylvain Marveaux (cuisse), Kader Mangane (cuisse) et Yacine Brahimi (cuisse). John Boye et Jean-Armel Kana-Biyik composeront la charnière bretonne. Lens est encore privé d'Adil Hermach (cheville), dont l'absence devrait être compensée par Raphaël Varane au milieu de terrain. Toifilou Maoulida est suspendu.


Les équipes probables :
Rennes: Douchez - Danzé (cap), Kana-Biyik, Boye, Théophile-Catherine - M’Vila, Tettey, Lemoine - Leroy, Montano, Boukari




Lens: Runje - Démont, Yahia, Queudrue, Bédimo - Varane, Kovacevic - Akalé, Roudet, Eduardo - Jemaa


Valenciennes-Lorient : Gameiro est bien là


Souffrant depuis le milieu de la semaine, Kevin Gameiro fait bien partie du groupe lorientais, à l'inverse d'Arnaud le Lan (cuisse), Bruno Ecuélé-Manga (cuisse), Lamine Koné (cuisse) et Franco Sosa (suspendu). Alaixys Romao va poursuivre son intérim en défense. Jérémy Morel est opérationnel après avoir purgé son match de suspension. Tout comme le Valenciennois Carlos Sanchez, de retour au sein d'un groupe privé de Gaëtan Bong (adducteurs), Foued Kadir (ischio-jambiers), Guillaume Loriot (reprise) et Jonathan Lacourt (reprise).


Les équipes probables
Valenciennes: Penneteau - Mater, Bisevac, Angoua, Ducourtioux - Gomis, Sanchez - Dossevi, Nam, Danic - Pujol




Lorient: Audard (cap) - Baca, Bourillon, Romao, Morel - Monnet-Paquet, Amalfitano, Mvuemba, Diarra - Gameiro, Kitambala


Arles-Avignon - Brest : Brou Apanga remplace Kantari


Faruk Hadzibegic va reconduire le onze qui a ramené un point d'Auxerre (1-1) le week-end dernier. L'entraineur d'Arles-Avignon enregistre le retour d'Aït Ben Idir, qui devrait donc débuter sur le banc. A Brest, Omar Daf tiendra bien son poste d'arrière droit malgré un problème au genou cette semaine. En l'absence d'Ahmed Kantari (ménisque), Moïse Brou Apanga évoluera aux côtés de Paul Baysse en charnière centrale.


Les équipes probables:
Arles-Avignon: Planté - Laurenti, Baldé, Pavon, Lorenzi, Germany - Mériem, Soro, Rocchi - Diawara, Ghilas




Brest: Elana - Daf, Baysse, Brou Apanga, Ferradj - Ngoyi (ou Licka), Ewolo (cap) - Poyet, Grougi, Lesoimier - Ayité


Bordeaux-Auxerre : Planus de retour


Jean Tigana doit composer avec les suspensions de Cédric Carrasso et Benoît Trémoulinas en défense. Ulrich Ramé sera titulaire dans le but, tandis que Florian Marange évoluera au poste d'arrière gauche. Si Marc Planus (genou) fait son grand retour dans le groupe, il ne devrait cependant pas être titulaire. Auxerre enregistre des retours importants. Delvin Ndinga (déchirure musculaire) va retrouver sa place dans l'entrejeu aux côtés de Benoît Pédretti, ce qui va permettre le recul de Dariusz Dudka en défense centrale. Denis Oliech a purgé son match de suspension et sera aligné sur le flanc droit de l'attaque. Son retour tombe bien, puisque Julien Quercia (cuisse) est forfait. Alain Traoré (lésion musculaire) est lui aussi opérationnel et évoluera en soutien de l'attaquant polonais Irenusz Jelen.


Les équipes probables
Bordeaux: Ramé - Chalmé, Ciani, L. Sané (ou Planus), Marange - Fernando, Diarra - Plasil, Jussiê, Ben Khalfallah - Modeste




Auxerre: Sorin - Hengbart, Coulibaly, Dudka, Berthod - Pedretti (cap), Ndinga - Oliech, Traoré, Birsa- Jelen


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http://fr.sports.yahoo.com/25022011/70/ligue-1-gameiro-juste-a-temps.html
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Deux monuments en péril

Monaco, Auxerre : deux historiques de la L1 présents dans l'élite depuis plus de trente ans. Pourtant cette saison, les deux clubs nagent en eaux troubles. Les raisons de s'inquiéter s'accumulent et chaque week-end s'annonce de plus en plus crucial. Ce soir, l'ASM reçoit Caen, Auxerre va à Bordeaux


Seul le PSG fait mieux. A eux deux, Auxerre et Monaco cumulent 63 saisons d'affilée en Ligue 1, 33 pour l'ASM, 30 pour l'AJA (et 36 pour Paris). Des séries qui pourraient prendre fin le 29 mai prochain. Depuis le début de saison, Monégasques et Auxerrois jouent avec le feu. Faut-il croire à leur survie parmi l'élite ? Faut-il s'inquiéter de leur situation périlleuse ?


AUXERRE, 16E, 26 POINTS (en déplacement à Auxerre)


Ce qui fait craindre le pire : 14 novembre 2010, la dernière victoire d'Auxerre (2-1 face à Rennes), une éternité. Soit 11 journées de L1 et 15 matches toutes compétitions confondues. Une période de disette qui a précipité l'AJA dans les profondeurs du classement. Si Auxerre ne bat pas Bordeaux, il égalera sa plus longue série de matches sans victoire en Ligue 1 établie en 1998/99 (12 matches). La Ligue des Champions, qui a sans doute pompé les énergies et gangréné les esprits en début de saison, n’est plus une excuse valable. Le vrai problème des Bourguignons, ce sont les matches nuls qui s’accumulent comme autant de boulets : 50% des matches d’Auxerre se sont terminés sur le score de 1-1 en L1 cette saison. Et comme le nul ne paie pas, l'AJA ne s'en sort pas.


Les raisons d'y croire : Auxerre retrouve petit à petit tous les éléments de sa colonne vertébrale. Dès la qualification pour la Ligue des champions, Jean Fernandez avait alerté, sans grand succès, ses dirigeants sur la nécessité de renforcer un effectif limité mais le club a préféré consacrer les recettes retirées de la participation en C1 au comblement des déficits nés des saisons précédentes. Privé de Jelen (5 mois), Pedretti (2 mois) et Ndinga (3 mois) soit ses trois meilleurs joueurs, Auxerre a plongé. Tous sont revenus tout comme Le Tallec, Mignot, Grichting ou Hengbart, tous sur le flanc à un moment de la saison. "En avril et mai, il restera dix matches à disputer. C'est là que tout se jouera. Le printemps sera primordial. Encore faudra-t-il que nous soyons épargnés par de nouvelles blessures", estime Jean Fernandez.


La décla qui parle : "Aujourd'hui, seul Jelen est capable de marquer des buts. Il est très important pour l'efficacité de notre équipe qui n'est actuellement bonne ni offensivement ni défensivement. Nous prenons des buts à chaque match" (Jean Fernandez).


MONACO, 18E, 24 POINTS (reçoit Caen)


Ce qui fait craindre le pire : Une seule victoire depuis la 12e journée, le parcours de Monaco est un vrai chemin de croix. Troisième plus mauvaise attaque de L1, l'ASM n'a toujours pas trouvé la bonne formule et accumule les 0-0, six depuis le début de saison, un record en L1. Le club de la Principauté est plutôt solide mais inoffensif en attaque. Difficile de trouver une homogénéité au sein d'un onze qui ne cesse de varier et d'un effectif qui fluctue. Les cinq recrues du mercato n'ont pas beaucoup joué en 2010 et pourraient le payer. Or Monaco a un besoin urgent de point car, en mai, c'est face au PSG, à Sochaux, Montpellier et Lyon que la bande à Banide devra arracher sa survie. L'affaire s'annonce corsée.


Les raisons d'y croire : L'effectif de l'ASM est sans aucun doute le plus costaud de tous les prétendants au maintien. Ruffier, Puygrenier, Diarra, Park : la colonne vertébrale de l'ASM ne dépareillerait pas en haut de tableau. La victoire face à Lorient lors de la 23e journée a démontré l'impact que pouvaient avoir les recrues hivernales. La puissance physique de Diarra au milieu et la justesse technique de Feindouno en attaque peuvent sortir Monaco de l'ornière.


La décla qui parle : "Nous avons conscience de la situation du club et on fait tout pour ne pas que le pire arrive. On pense à samedi. Nous n’avons pas le choix, il faut gagner ce match." (Jean-Jacques Gosso).


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vendredi 25 février 2011

Ligue 2 : les résultats de ce soir

 



Nîmes 1 - 2 Clermont
Evian Thonon 0 - 2 Dijon
Istres 1 - 1 Angers
Laval 4 - 0 Boulogne-sur-Mer
Le Mans 1 - 1 Sedan
Metz 0 - 0 Châteauroux
Nantes 1 - 1 Reims
Troyes 2 - 0 Grenoble
 Vannes 0 - 1 Ajaccio

"Je ne répondais pas aux attentes"

Yoann Gourcuff reconnait avoir douté lors de la première partie du championnat. Mais le Lyonnais, qui n'arrivait pas à se libérer, se sent désormais mieux sur le terrain. Ça tombe plutôt bien alors que Lyon se rendra à Lille (dimanche), une équipe que l'international français admire.


YOANN GOURCUFF, ce Lille-Lyon est-il l'un des matches les plus décisifs de la saison ?


Y.G. : C'est évidemment un match très important mais il n'est pas décisif car il y aura encore beaucoup d'autres rencontres ensuite. Si nous parvenions à nous imposer, nous pourrions recoller et relancer le championnat mais on sait que celui-ci est encore très long. Ceci étant, c'est quasiment un match à six points. Il faudra bien le négocier.


En clair, Lyon ne sera pas éliminé de la course au titre en cas de défaite à Lille selon vous ?


Y.G. : Non, je ne pense pas. Je suis bien placé pour le savoir : la saison passée, avec Bordeaux, nous avions une dizaine de points d'avance à la trêve et nous avions explosé ensuite.


Que pensez-vous de cette équipe de Lille ?


Y.G. : C'est la référence du Championnat de France cette saison. On va aller là-bas avec beaucoup de motivation, mais en se préparant à un match difficile. En terme de jeu, Lille est probablement la meilleure équipe de L1 cette saison, celle qui produit le meilleur football. Dimanche, nous connaîtrons certainement des périodes difficiles, il faudra faire le dos rond et rester solide. On sait aussi qu'on aura des possibilités car nous avons de la qualité. J'espère seulement que nous aurons récupéré nerveusement de nos efforts fournis mardi en Ligue des Champions.


L'OL avait gagné le match aller 3-1 avec pas mal de réussite…


Y.G. : Oui, ils avaient rapidement fait deux erreurs et nous avions marqué sur ces deux actions. Ce 3-1 était un peu heureux pour nous car ils avaient vraiment été impressionnants.


Que pensez-vous du niveau actuel de l'Olympique Lyonnais ?


Y.G. : Il y a du mieux mais, comme pour toutes les équipes, cela reste fragile. Nous n'avons pas encore une maîtrise totale du jeu mais nous parvenons désormais à développer des séquences intéressantes avec le ballon. Par rapport à nos qualités individuelles, nous pouvons encore faire mieux collectivement, notamment mieux dicter le rythme d'une partie et avoir davantage la possession du ballon pour faire courir l'adversaire.


D'un point de vue personnel, le passage de l'OL en 4-2-3-1 depuis le derby gagné à Saint-Étienne (4-1) vous avantage-t-il ?


Y.G. : C'est le coach qui a procédé à ce changement après vingt-cinq premières minutes très difficiles à Saint-Étienne. Nous avons trouvé, avec Jérémy (Toulalan) et Kim (Källström), que l'équipe était peut-être plus équilibrée de cette manière. J'aime bien avoir pas mal de liberté, je peux être plus utile et plus difficile à prendre dans ce schéma car je peux davantage bouger. Je m'adapte de toute façon à tous les systèmes mais notre jeu est de cette façon moins stéréotypée. Dans les derniers matches disputés en 4-3-3, "Bafé" (Gomis) était un peu isolé. Personnellement, même si ce n'est pas primordial, marquer ou faire marquer est toujours bon pour la confiance.


Êtes-vous toujours en période d'adaptation à Lyon ?


Y.G. : Physiquement, ça commence à être mieux. Je me sens plus à l'aise, dans mes courses et tout devient dès lors plus facile techniquement. Je n'ai pas trop d'explication car je travaille de la même façon depuis le début de la saison. Je pense que je peux encore développer des automatismes avec mes coéquipiers, nous n'utilisons pas encore tout notre potentiel. Moi qui suis plus un joueur de passes, je peux encore avoir de meilleures relations avec mes coéquipiers. Mais ça va de mieux en mieux, on commence à bien se connaître et c'est intéressant.


Avez-vous beaucoup douté depuis le début de la saison ?


Y.G. : Oui car je sentais bien que je ne répondais pas du tout aux attentes. J'étais déçu mais je n'ai jamais lâché. Ça n'a pas été évident car j'avais bien conscience que je n'étais pas forcément au niveau et que je ne prenais pas forcément du plaisir. J'espère que c'est fini et que je vais bien terminer la saison.


Le flou autour de l'avenir de Claude Puel vous perturbe-t-il ?


Y.G. : Ça fait un petit moment que je ne lis plus trop les journaux (sourires). Donc je ne peux pas trop en parler. Mais forcément, ça a un impact sur l’équipe, c’est obligatoire. Mais il faut se concentrer sur le jeu. On a en ce moment des matches intéressants à jouer, c’est peut-être plus facile dans ces conditions de faire l’impasse sur des choses comme ça.


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Un duo en danger

Tombés la semaine dernière, Le Mans et Evian, qui occupent dans cet ordre la tête de la L2, doivent relancer la machine à domicile contre Sedan et Dijon vendredi s'ils veulent maintenir l'écart avec une équipe de Boulogne qui file grand train avant la 25e journée de L2.


Face au 11e du championnat, la tâche semble plus accessible pour Evian, secouru par une certaine homogénéité dans leur stade qui masque leur récents déboires en déplacement. Les Ardennais, 7e, ont en revanche des arguments à opposer à l'équipe mancelle, leader avec deux points d'avance et qui se repose sur son meilleur buteur Helstad (13 buts) mais n'est pas toujours souveraine à domicile. Attention toutefois à la saute de concentration si les Sarthois ont déjà la tête à leur quart de finale de Coupe de France mercredi à Paris!


A Boulogne (0-1), Le Mans a stoppé une série de cinq victoires consécutives, face à une formation ressuscitée par l'arrivée de Michel Estevan. A Laval, chez le 16e, les Nordistes viseront donc la passe de six. Avec Thil à leurs tête, ils présentent désormais un visage plus qu'intéressant. La preuve, ils ont fait preuve de sang-froid lors de leur quatre derniers matches, tous remportés 1-0. Dernier de la classe, Grenoble peut voir un peu plus l'écart se creuser en cas de défaite à Troyes
http://fr.sports.yahoo.com/24022011/70/ligue-2-un-duo-en-danger.html
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Ligue 2 : 25° journée les match ce week end...on commence ce soir!

Vendredi 25 février - 25e Journée
25 fév, 20:00 Vannes - Ajaccio Stade de la Rabine, Vannes
25 fév, 20:00 Nîmes - Clermont Stade des Costières, Nîmes
25 fév, 20:00 Evian Thonon - Dijon Parc des Sports, Annecy
25 fév, 20:00 Istres - Angers Parsemain, Istres
25 fév, 20:00 Laval - Boulogne-sur-Mer Stade Francis-Le Basser, Laval
25 fév, 20:00 Le Mans - Sedan Stade MMArena
25 fév, 20:00 Metz - Châteauroux Stade Saint-Symphorien, Metz
25 fév, 20:00 Nantes - Reims Stade la Beaujoire, Nantes
25 fév, 20:00 Troyes - Grenoble Stade de l'Aube, Troyes
Lundi 28 février - 25e Journée
28 fév, 20:30 Le Havre - Tours Stade Jules Deschaseaux, Le Havre

Puel - Aulas : 1-1

Vendredi, Claude Puel a répondu à Jean-Michel Aulas et n'exclut pas de quitter l'OL à la fin de la saison. "Je pourrais éventuellement décider de m'arrêter ou d'aller voir ailleurs", a-t-il lancé. Le président de Lyon avait estimé jeudi que son coach n'était pas sûr d'aller au terme de son contrat.


Jeudi, la sortie de Jean-Michel Aulas avait surpris bon nombre d'observateurs. Vendredi, Claude Puel, qui avait eu le temps de la réflexion, s'est montré tranchant à l'heure de lui répondre lors du point presse. "Je suis d'accord avec le président : en fin de saison, je pourrais éventuellement décider de m'arrêter ou d'aller voir ailleurs", a lancé l'ancien entraîneur de Lille. Invité lors de la question suivante à prolonger son raisonnement, Puel a coupé court : "J'ai fait un petit commentaire, je pense qu'il suffira. Ma priorité, c'est le match de Lille, le terrain et mes joueurs." Interrogé sur l'avenir de son entraîneur dans Lyon Capitale, le président lyonnais a avoué jeudi qu'il ne pensait pas prolonger son technicien. Il a surtout glissé qu'un départ de son coach avant la fin de son contrat qui se termine en juin 2012 était une possibilité.


Si l'OL redresse la tête depuis le début du mois de février, est revenu dans la course en L1 et s'est offert un nul intéressant face au Real Madrid (1-1), l'ambiance semble donc tendue chez les Gones. Et Aulas semble aller de plus en plus loin dans sa réflexion. Si jusqu'à présent JMA avait protégé son entraîneur qu'il n'excluait pas de conserver même en cas de nouvelle saison blanche, il a ouvert d'autres portes jeudi dans le magazine Lyon Capitale: "Ne pas gagner de titre serait gênant...mais en gagner sans être en adéquation avec les valeurs du club, les valeurs qui me tiennent à coeur, ça deviendrait problématique. Souvenez-vous de l'année ou l’on a réussi le doublé championnat-Coupe de France : on n’a pas gardé l’entraîneur", a-t-il lâché. Puel a apprécié. On peut cependant s'étonner de cette sortie du président lyonnais dans cette période cruciale pour l'OL et à quelques jours d'un choc clef face à Lille, dimanche.


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Bordeaux : Courbis dans les tuyaux pour remplacer Tigana

Moins d'un an après son arrivée sur le banc de Bordeaux, Jean Tigana n'a pas convaincu et ne semble pas pouvoir aider un club plongé dans la crise. Après 24 journées de championnat, le club au scapulaire végète en milieu de tableau et occupe une piètre 12e place. Une grosse déception après le spectacle offert par la formation girondine depuis quelques saisons. L'entraîneur girondin n'est certainement pas le seul responsable, mais son message semble avoir du mal à passer auprès des joueurs.


Si Tigana a obtenu le départ qu'il souhaitait de Michel Pavon, plus proche des joueurs, l'ancien coach de Fulham joue peut-être sa dernière chance contre Auxerre, samedi (21h). L'occasion d'observer si ses joueurs ne l'ont définitivement pas lâché, même si ces derniers ont affirmé le contraire après la défaite (5-1) face à Lorient, sans réellement le soutenir. En conférence de presse, il laissait planer le doute sur son avenir, qui pourrait donc être lié au prochain résultat de ce week-end.




Un contrat d'un an et demi ?


«Il y a déjà eu beaucoup de discussions, mais il y a peut-être des problèmes plus profonds. Samedi, dimanche ou lundi, on fera un état des lieux avec Jean-Louis Triaud, une déclaration en commun» , a-t-il expliqué. En cas de défaite face au club bourguignon, les dirigeants bordelais auraient déjà une piste. Selon Sud Ouest, Rolland Courbis serait son possible successeur. Le quotidien régional affirme d'ailleurs qu'un contrat d'un an et demi lui serait proposé en cas de départ de Tigana.


Interrogé sur le sujet, l'ancien entraîneur de l'OM nie tout contact avec Bordeaux. «Je n'ai jamais été contacté par Bordeaux et je n'oeuvre pas dans le dos d'un collègue, qui plus est de Jean Tigana avec qui je suis en très bons termes. Je ne vais pas commencer une carrière de traître à mon âge» , a indiqué Courbis. Autrement dit, aucune décision ne sera prise tant que Tigana sera encore sur le banc. Mais si la place se libère son avis pourrait bien changer. Une belle occasion pour lui d'effectuer une troisième expérience en Gironde après ses passages de 1992 à 1994 et de 1996 à 1997.


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Lille, un mal pour un bien ?

Sortis de la Ligue Europa en 16es de finale par le PSV Eindohven, les Lillois estiment ne pas être passés si loin de la qualification. Ils vont désormais se concentrer sur la Ligue 1 et la Coupe de France, priorités du club, en espérant que cette élimination n'ait pas de conséquences plus fâcheuses.


Lille l'a bien cherché. A force de faire tourner dans les grandes largeurs son effectif à l'heure de composer son équipe pour disputer la Ligue Europa, Rudi Garcia a fini par voir le couperet tombé. Le LOSC a été éliminé dès les seizièmes de finale de la compétition après s'être incliné sur la pelouse du PSV Eindohven (3-1). L'entraîneur nordiste en est toutefois convaincu: "C'était la bonne équipe pour se qualifier". Elle a pourtant été dépassée par la qualité technique et l'impact physique des Néerlandais, largement supérieurs au leader de la Ligue 1 lors de la seconde manche après avoir ramené un score de parité miraculeux de Villeneuve d'Ascq au match aller (2-2).
Les Dogues estiment eux qu'ils ne sont pas passés si loin d'un bel exploit contre le leader du championnat des Pays-Bas. Pour Rio Mavuba, le tournant a été le carton rouge sévère adressé à Pierre-Alain Frau en plein cœur de la deuxième mi-temps (62e), alors que le score était encore de 1-1. "La qualification se joue sur des détails, a déclaré le capitaine lillois au micro de Canal+ Sport. L'exclusion change tout. Il y a beaucoup de regret car il y avait largement la place de passer jusqu'au carton rouge. C'est une grande déception car on avait envie de passer."


"Jouer la prolongation aurait été suicidaire"


Le constat est le même pour Garcia. "Sur l'ensemble des deux matches, on méritait de se qualifier. Jusqu'au moment où on a été réduit à dix, tout allait plutôt bien pour nous même si le PSV avait égalisé. A dix contre 11, on doit marquer et se découvrir. Ca devient mission impossible et cela s'est vérifié. On a montré sur 80 minutes à l'aller et 70 minutes au retour qu'on pouvait se qualifier. On a loupé la qualification à l'aller." Désormais débarrassés de la Ligue Europa, qui semblait les gêner plus qu'elle ne les excitait, les Dogues vont pouvoir "se concentrer sur le championnat et la coupe de France", comme l'a affirmé Mavuba.


Garcia a d'ailleurs admis que le choc de dimanche contre Lyon obnubilait ses pensées au Philips Stadion. "A un partout, il fallait marquer un but et si on était resté à onze, on avait la possibilité de le faire. Mais à 2-1, jouer la prolongation à dix contre onze aurait été suicidaire, il fallait penser à se préserver pour Lyon." Une déclaration surprenante alors que ses joueurs disputaient une place en huitièmes de finale d'une compétition européenne. Mais, la Ligue 1 est l'obsession des Lillois cette saison, eux qui sont convaincus que c'est l'année où jamais pour réaliser un gros coup. Attention tout de même à ce que cette élimination n'ait pas des conséquences plus profondes sur un groupe dans lequel les remplaçants doivent maintenant s'attendre à n'avoir droit qu'à des miettes de temps de jeu. Cette élimination est-elle un mal pour un bien ? L'avenir le dira.


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Paris, service minimum

Le PSG s'est qualifié pour les 8e de finale de la Ligue Europa malgré un piètre nul à domicile (0-0) face au Bate Borisov. Les Parisiens, auteurs d'un 2-2 en Biélorussie à l'aller, se sont fait des frayeurs pendant 90 minutes. Ils affronteront le Benfica Lisbonne pour une place en quart de finale.


PARIS SG - BATE BORISOV: 0-0


"Ce soir, il faut retenir la qualification." Uniquement la qualification. En quelques mots, Antoine Kombouaré a parfaitement résumé la situation. Au terme d'un match nul sans saveur contre le BATE Borisov (0-0), le Paris SG a obtenu son ticket pour les huitièmes de finale où il affrontera les Portugais du Benfica Lisbonne, un adversaire autrement plus prestigieux et talentueux que les modestes Biélorusses. Pour le reste, le faible public du Parc des Princes présent jeudi soir aura du se contenter de miettes de la part de ses protégés. Rien de plus.


Sans Nenê, Makelele et Giuly laissés au repos, les Parisiens n'ont jamais été en mesure d'emballer une rencontre disputée sur un rythme lénifiant. Face à des Biélorusses aussi timides qu'inoffensifs, la bande à Ceara, promu capitaine pour l'occasion, a géré son match. Ni plus, ni moins. "On a été très solides défensivement, avoue Antoine Kombouaré pour se rassurer. Mais on n'a pas été efficace offensivement." A l'image d'un Jean-Eudes Maurice disponible sur son côté, mais malheureux dans le dernier geste, le club de la capitale n'aura été que trop rarement été en mesure de tromper Gutor.


Et finalement, Paris peut remercier Edel d'avoir évité le fiasco en fin de match. Incapables de faire la différence, les Parisiens ont été proches de la sortie après cette balle de match gâchée Bressan à deux mètres du but (68e). Dans la foulée, Hoarau, entré à la place de Erding en deuxième période, manque l'occasion de plier la rencontre à deux reprises (82e, 85e). L'essentiel est fait. Pour le spectacle il faudra repasser. Une chose est certaine, contre Benfica (Ndlr: aller le 10 mars à Lisbonne et retour le 17 à Paris), une telle prestation ne suffira pas.


LES AFFICHES DES 8E DE FINALE


BENFICA - PARIS SG




DYNAMO KIEV - MANCHESTER CITY




TWENTE - ZENIT ST PETERSBOURG




CSKA MOSCOU - FC PORTO




PSV EINDHOVEN - G. RANGERS




LEVERKUSEN - VILLARREAL




AJAX AMSTERDAM - SPARTAK MOSCOU




LIVERPOOL - BRAGA


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