mercredi 30 juin 2010

Mercato : l’OM prépare-t-il en coulisse un nouveau coup à la Azpilicueta ?

Avec le recrutement de Cesar Azpilicueta, l'OM entre dans une nouvelle ère. Pour la première fois depuis bien longtemps, le club phocéen a misé gros sur un grand espoir du football européen et est parti piocher chez le champion d'Europe en titre, rien que cela. Après trois ans d'observations, la nouvelle technique de recrutement de l'OM porte enfin ses fruits. Après « Azpi », peut-on s'attendre à d'autres recrues de ce type ? José Anigo donne quelques éléments de réponse.
L’OM a frappé un grand coup sur le marché des transferts en s’offrant Cesar Azpilicueta au nez et à la barbe du Barça, d’Arsenal et du Real Madrid. Un transfert qui ne doit rien au hasard et qui est essentiellement dû à la nouvelle politique de recrutement mise en place depuis trois ans à l’Olympique de Marseille. Si le club phocéen avait déjà pris l’initiative heureuse de miser sur des jeunes joueurs prometteurs évoluant en L2 ou en National (Valbuena et Kaboré en sont les meilleurs exemples), c’est la première fois que Marseille s’offre un grand espoir du football européen.

Interrogé par La Provence lors de la présentation du joueur, José Anigo a expliqué les dessous d’un système bien ficelé et qui fait enfin ses preuves après trois ans de disette. « Notre cellule de recrutement supervise les meilleurs jeunes joueurs en Europe depuis plus de trois ans. On suit les championnats étrangers en général et quand on décèle des éléments de qualité, on poursuit nos investigations. » C’est ce qui s’est passé pour Azpi, suivi depuis trois ans par la cellule de recrutement composée de José Anigo, François Brisson, Franck Passi, et de Jean-Philippe Durand. « Quand s’est posé le cas d’un latéral droit, on s’est immédiatement positionnés. Didier (Deschamps) avait aussi ses renseignements de son côté. Il a ainsi souhaité récupérer Cesar Azpilicueta et c’était une évidence dans la mesure où ce garçon-là a montré, depuis trois ans, beaucoup de qualités en Espagne. Des rapports ont été tour à tour rédigés à son sujet par François Brisson, Franck Passi, Jean-Philippe Durand et moi-même. On l’a tous vu. »

S’il est pour l’instant prématuré d’affirmer que le jeune international espagnol est une bonne affaire, on peut évidemment se poser des questions au sujet des futures recrues de l’OM. Alors que Juliano Beletti, Albin Ebondo, Rod Fanni ou encore Philip Degen étaient annoncés pour succéder à Laurent Bonnart, les dirigeants phocéens ont pris tout le monde par surprise en s’offrant les services d’Azpi. Qui sait, le futur remplaçant de Taye Taiwo ou le buteur tant recherché sont peut-être déjà suivis par José Anigo et son équipe. Une chose est sûre, le mercato olympien n’a pas fini de nous surprendre.

http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/mercato-l-om-prepare-t-il-en-coulisse-un-nouveau-coup-a-la-azpilicueta_51712

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Alou Diarra plaît à City

Après Yoann Gourcuff, c'est au tour d'Alou Diarra de figurer sur les tablettes de Manchester City pour la saison prochaine. Les Girondins de Bordeaux pourraient recevoir prochainement une offre de la part des Citizens, qui viennent ainsi concurrencer l'OM.


Actuellement en vacances après le fiasco de la Coupe du monde en Afrique du Sud, Alou Diarra devrait bientôt se poser de nombreuses questions sur son avenir. Et celui-ci pourrait bien se dérouler loin de la Gironde à partir de cet été. Régulièrement annoncé du côté de l'Olympique de Marseille, l'international français est une véritable cible pour l'entraîneur olympien, Didier Deschamps. Malheureusement pour eux, les Marseillais se heurtent pour le moment au refus de Jean-Louis Triaud. Le président des Girondins de Bordeaux ne souhaite pas voir son joueur renforcer un concurrent direct en Ligue 1. Une nouvelle possibilité s'offre alors au natif de Villepinte avec l'intérêt de Manchester City.

Sa vente n'est pas nécessaire

Selon Le Parisien, le milieu de terrain bordelais serait dans les petits papiers des Citizens afin de compléter un secteur déjà bien fourni. En effet, Patrick Vieira, Gareth Barry et Nigel de Jong se partagent déjà les tâches défensives au milieu de terrain. Mais le profil de l'ancien lyonnais semble séduire l'entraîneur mancunien, Roberto Mancini, qui souhaite rapidement rattraper son retard sur le Big Four. Une offre pourrait donc arriver prochainement sur le bureau des dirigeants girondins, l'indemnité de transfert de l'ancien Reds étant fixée à 8 millions d'euros. Reste à savoir si la destination anglaise plaît à Diarra qui ne sera certainement pas assuré d'une place de titulaire. Ce qui est sûr, c'est que Jean-Louis Triaud compte sur son joueur pour la saison prochaine et que le club ne cherchera pas à vendre ses meilleurs éléments pour apporter de l'argent frais et se renforcer cet été.
«Notre recrutement ne dépend pas de la vente de certains joueurs. Ce n'est pas la stratégie du club. On est très content d'avoir Alou Diarra et Yoann Gourcuff dans notre effectif. Mais ils ont des clauses dans leur contrat. Pour le moment, je n'ai pas l'ombre d'un contact les concernant», a déclaré le président bordelais il y a quelques jours. Bordeaux aurait, par ailleurs, abandonné la piste menant à Loïc Rémy pour remplacer Marouane Chamakh à la pointe de l'attaque. Son indemnité de départ fixée à 15 millions d'euros est jugée trop élevée pour les finances du club. A l'image du PSG, les Girondins de Bordeaux semblent s'orienter vers un recrutement malin sans avoir trop de dépenses à effectuer cet été pour leur maigre portefeuille. Cependant l'absence de compétition européenne pour le champion de France 2008-2009 pourrait influencer la décision de Diarra et Gourcuff, modifiant ainsi les plans girondins.
http://www.maxifoot.fr/football/article-9927.htm

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Le même cinéma

Les députés n'ont rien appris de neuf en auditionnant Domenech et Escalettes, pourtant placés dans les conditions idéales d'un huis clos. Le sélectionneur attribue le délitement de la sélection française à la "une" de L'Equipe. Le patron de la FFF assume que les institutions sont dépassées.
Le huis clos décidé à la dernière minute pour l'audition de Jean-Pierre Escalettes et Raymond Domenech a été brisé, mercredi matin, par le député de Haute-Savoie Lionel Tardy. Pendant une petite heure, il a publié sur twitter 14 petits messages qui ont permis au reste du monde d'accéder, comme par un trou de serrure, aux propos du futur ex-patron de la FFF et de l'ex-sélectionneur. Victime d'un "carton rouge" aux alentours de 11h10, le parlementaire n'aura pu donner qu'un aperçu de la justification des deux hommes, qui a débuté peu après 10 heures et s'est achevée peu après 11h30.

L'expulsion était visiblement injustifiée. Rien de ce qui a été dit mercredi matin ne remet en cause les vérités partielles à laquelle la France avait eu accès ces derniers jours. "Les parlementaires avaient beaucoup de questions à poser, mais, personnellement je n'ai rien appris" a lâché le patron du groupe UMP Jean-François Copé. "Tout le monde pose des questions et est intéressé, mais on n'a pas appris grand chose, on n'a rien appris de nouveau, a déclaré sur I-Télé le député Renaud Muselier à la sortie de l'audience. La vérité, c'est qu'on n'arrive pas à savoir ce qui s'est passé." Les messages postés par Lionel Tardy le confirment. Raymond Domenech a fait du Domenech : flou et anti-médias, pour expliquer le fiasco de la Coupe du Monde. "Par quoi commencer? Ça marche ou pas : on est sur de l'humain..." Mais aussi : "la une de L'Equipe (sur les insultes d'Anelka à son encontre) a tout déclenché ...". Bernard Debré n'est pas dupe : "Je n'ai pas compris l'agressivité de certains, de Raymond Domenech, envers la presse".

La FFF a encore autorité sur quelque chose !


"Il nous a expliqué, a poursuivi Renaud Muselier, qu'il y avait eu une remarque technique d'un entraîneur, le joueur a répondu quelque chose qui avait justifié qu'il soit remplacé à la mi-temps. Quelqu'un a balancé à la presse. Les joueurs ont alors eu une prise de conscience collective, ont été solidaires entre eux. (Escalettes et Domenech) ne les soutiennent en aucun cas, ils n'ont pas réussi à les raisonner à la raison. Quelque part, ils nous ont dit que c'étaient des enfants gâtés. Une fois que les joueurs ont réalisé la bêtise qu'ils avaient faite, ils se sont remis à l'entraînement". Pour le reste, quelques phrases assez fortes sur ce qu'il a vécu et sur l'étendue de la crise sont attribuées à Jean-Pierre Escalettes : "Dans le bus (où les joueurs faisaient grève) j'ai été confronté à un MUR jamais vu au cours de mes 50 ans dans le foot". Le chantier de la réforme de la gouvernance est légitimé à ses yeux par les événements : "En foot, comme ailleurs, les choses évoluent plus vite que les institutions". Ou encore : "le modèle associatif pur et dur dépassé en terme de gestion". Escalettes aurait aussi assuré ne pas avoir "été aidé par le club France" car seulement "deux amateurs" s'y trouvaient...

L'audition d'Escalettes et Domenech devait, au départ, être publique, comme l'avait été celle de la ministre de la Santé Roselyne Bachelot lundi. Elle avait dit avoir vu des "joueurs insupportables et un sélectionneur aux abonnés absents." Elle avait ajouté : "Les responsables sont clairement en un: les joueurs; en deux: le sélectionneur; en trois: les instances". La direction de la FFF, présentée comme dépassée et impuissante, a quand même encore autorité sur quelque chose qui compte : une commission parlementaire... C'est à sa demande que les médias ont été écartés de cette audition, contre tous les usages.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30062010/70/coupe-du-monde-2010-le-meme-cinema.html

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Audition de Domenech par les députés : «Mais de quoi ils se mêlent ?»

Une semaine après le retour des Bleus mettant un terme à leur débâcle à la Coupe du monde de football en Afrique du sud et alors que Raymond Domenech et Jean-Pierre Escalettes sont auditionnés ce mercredi matin par la commission des Affaires culturelle de l'Assemblée nationale, Bernard Tapie a livré son analyse du fiasco de l'équipe de France.

« Ils ont pété les plombs tous complètement, de quoi ils se mêlent ? Non mais l’Assemblée nationale qui fait une commission d’enquête : on est tombé sur la tête… Ils méritaient plus un coup de pied dans le cul qu'une convocation à l'Assemblée nationale. Que les politiques s’occupent du chômage, du pouvoir d’achat, de la difficulté que la crise a créée… qu’ils foutent la paix aux footballeurs ».

Interrogé sur France Info, l'homme d'affaires et comédien a donné son sentiment sur le remplacement de Jean-Pierre Escalettes, démissionnaire. Qui serait-le meilleur patron du foot français ? Selon l'ancien dirigeant de l'OM : un personnage «incontestable et incontesté»... « Je n’en vois franchement qu’un c’est Guy Roux ! … Il a une habitude totale de travailler avec les médias, ils les respectent, eux l’apprécient, il connaît Blanc par cœur… C’est le type idéal.». Il faut : «Balayer les arguments, monter au créneau, faut arriver à le convaincre et faire partie de ceux qui le poussent à accepter».
http://www.leparisien.fr/coupe-du-monde-2010-football/audition-de-domenech-par-les-deputes-mais-de-quoi-ils-se-melent-30-06-2010-983732.php

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Le PSG refuse une première offre concrète pour Mevlut Erding !

Avec 15 réalisations en 31 apparitions en Ligue 1, Mevlut Erding (23 ans) a réalisé sa meilleure saison depuis ses débuts en Ligue 1. Une performance qui coïncide avec son premier exercice au Paris SG. L’international turc (12 capes, 1 but) a ainsi prouvé que, malgré les aléas liés à la vie d’un grand club, il était prêt à résister à la pression. Forcément, ces qualités morales alliées à ses talents de finisseur font de lui une cible privilégiée sur le marché des transferts. Il y a quelques mois de cela, nous vous relations l’intérêt de Manchester City, de Tottenham, d’Everton et du Werder Brême.

Toutefois, si ces clubs apprécient réellement le profil du natif de Saint-Claude, aucun d’entre eux n’a formulé d’offre concrète auprès des dirigeants parisiens. Un attentisme dont a vraisemblablement profité Newcastle United. Tout juste promus en Premier League, les Magpies cherchent des renforts offensifs. Séduits par l’ancien Sochalien, les pensionnaires de Saint James’ Park seraient concrètement passés à l’action. À en croire L’Équipe, ils auraient offert 6 M€. Une somme qui est loin d’avoir convaincu le club de la capitale. Pour rappel, les Franciliens l’avaient recruté l’été dernier pour 8 M€.

Le Paris SG ne pouvait raisonnablement pas accepter une telle offre. Face à ses difficultés financières, vendre à perte aurait été une hérésie. D’autant que Mevlut Erding sort d’une saison plus que réussie. Toutefois, les Rouge-et-Bleu changeront peut-être leur fusil d’épaule si Newcastle venait à se montrer plus généreux lors de ses prochaines tentatives...
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/le-psg-refuse-une-premiere-offre-concrete-pour-mevlut-erding_51671

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Ronaldo: "Demandez à Queiroz"

Plusieurs joueurs portugais ont laissé entendre qu'il y avait un problème avec Carlos Queiroz dans la foulée de l'élimination face à l'Espagne (1-0) en 8e de finale. Cristiano Ronaldo n'a même pas voulu parler et a invité les journalistes à questionner le sélectionneur. Ambiance, ambiance.
Il y avait bien eu des petits signes. Dès le début de la Coupe du monde, après le premier match face à la Côte d'Ivoire (0-0), des voix s'étaient élevées dans le clan portugais contre Carlos Queiroz et son système de jeu. Une voix en fait, celle de Deco. Le joueur de Chelsea, rappelé à l'ordre, avait présenté ses excuses dès le lendemain. Ce qui ne l'a pas empêché par la suite de cirer le banc pour les trois autres matches, officiellement, en raison d'une blessure à la hanche.

Mais quelques minutes après l'élimination face à l'Espagne (1-0), les langues se sont un peu plus déliées mardi soir. Sauf celle de Cristiano Ronaldo qui, quand on lui a demandé les raisons de cette défaite, a conseillé aux journalistes "de poser la question à Carlos Queiroz". . Même si Ronaldo a tenu à éteindre la polémique ce mercredi matin via un communiqué : "Quand j'ai dit de poser la question à l'entraîneur, c'est juste parce que Carlos Queiroz donnait un conférence de presse. Je n'étais pas en mesure d'expliquer quoi que se soit. Je suis un être humain, je souffre et j'ai le droit de souffrir tout seul." Deco, encore lui, a renchéri, laissant entendre qu'il y avait un souci au sein de la sélection portugaise entre le groupe et le sélectionneur. "Est-ce qu'il y a une bonne ambiance? Oui... entre les joueurs". Il semble que le système ultra-défensif du Professeur ne soit pas du goût de tout le monde

Tiago: "Ronaldo n'a pas été bon"

D'autres joueurs leur ont emboîté le pas. Hugo Almeida, remplacé par Carlos Queiroz car "complètement cuit", a nié. "Non, je n'étais pas cuit, je pouvais encore donner", a expliqué l'attaquant le plus dangereux côté lusitanien mardi soir. Le gardien Eduardo a reconnu "avoir fait du bon boulot... individuellement" et Tiago n'a pas hésité à dire que son capitaine Ronaldo "n'avait pas fait un bon match" avant de lancer aux journalistes. "Il n'avait pas voulu parlé car il était déçu. Vous ne voulez pas créer de polémiques, n'est-ce pas?"

Du côté du sélectionneur, une petite réponse est venue semer le trouble. A la question, Ronaldo était-il un bon capitaine pour cette Coupe du monde, Carlos Queiroz a eu cette réponse ambigüe. "C'est notre leader, notre capitaine, c'est une décision de la fédération et du sélectionneur qui a été prise pour de bonnes raisons". Seul Fabio Coentrao a refusé de s'exprimer. "Je ne veux rien savoir de tout ça". Pourtant, à les entendre, il n'est pas impossible que le grand déballage annoncé du côté de la France, intervienne un peu plus au sud finalement...

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30062010/70/coupe-du-monde-2010-ronaldo-demandez-a-queiroz.html

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Le déballage étouffé dans l'oeuf ?

Domenech et ses hommes auraient négocié dans l'avion du retour en Afrique du Sud un pacte de non-agression médiatique, après le psychodrame de Knysna. C'est ce que défend France Football dans ses colonnes, mardi.
Evra, Henry et Abidal n'ont livré à la France qu'une version tronquée du psychodrame qui a secoué les Bleus en Afrique du Sud. Cette intuition, beaucoup de téléspectateurs l'ont eue vendredi dernier. Ruffier a confirmé trois jours plus tard qu'il n'y avait pas d'unanimité dans les rangs tricolores pour décréter le boycott de l'entraînement. Il a aussi fait comprendre que beaucoup de choses inavouables faites et dites dans le bus, ce fameux 20 juin, ne sortiraient jamais. A en croire France Football, mardi, c'est plus qu'un sentiment personnel. Ce serait le résultat d'un véritable pacte.

Le bi-hebdomadaire publie un dossier, qui ne cite pas ses sources, mais qui est assez clair sur le fond: par peur mutuelle des petites phrases malheureuses qu'ils étaient susceptibles de prononcer à micro ouvert, Raymond Domenech et ses cadres auraient négocié, dans l'avion du retour entre George et Le Bourget, un pacte de non agression. Oubliées, les grandes phrases d'Evra sur ces Français qui ont le droit de savoir. Etouffée, les phrases ciselées que le sélectionneur auraient pu asséner contre ses cadres. Les rendez-vous médias avec TF1 et Canal+ étaient dans l'air? Les joueurs ne les annuleraient pas, mais ils les videraient d'une partie de leur substance. D'où ce discours tiède sur un groupe "sain", "uni", qui a juste un peu pété les plombs. Par maladresse...

Délivrant les informations recueillies sur les coulisses de cette campagne désastreuse, France Football affirme par ailleurs que Raymond Domenech a failli faire comme Jean-Louis Valentin : démissionner sur le champ et regagner Paris deux jours avant France - Afrique du Sud, le dernier match du groupe A. C'est Djibril Cissé qui l'aurait retenu d'un geste aussi extrême. Domenech aura seulement décidé de "censurer" Patrice Evra, porte-parole des joueurs, en l'empêchant de présenter ses excuses le lendemain. Les députés pourront peut-être cuisiner l'ex-sélectionneur sur tous ces sujets mardi. Domenech, qui aurait juré d'être discret dans les médias à son retour, a été convoqué pour être auditionné par la commission des Affaires culturelles en même temps que Jean-Pierre Escalettes. Roselyne Bachelot l'a été lundi. Elle a dit qu'elle avait trouvé les joueurs "tout-à-fait under control". Son sourire en coin voulait dire autre chose : ils étaient très en-deça de la vérité.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29062010/70/coupe-du-monde-2010-le-deballage-etouffe-dans-l-oeuf.html


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L'Espagne assume ses rendez-vous

ESPAGNE-PORTUGAL: 1-0


But: Villa (63e)

Dire qu'on s'est ennuyé lors de ce 8e de finale n'est pas si éloigné de la vérité. Pendant une heure en tout cas, celle que l'Espagne a passé à chercher la clé du verrou portugais. Un verrou qui semblait fabriqué par José Mourinho tellement il a mis à rude épreuve les nerfs espagnols. Finalement, il a cédé et la physionomie du match a changé. Le déclencheur? La sortie de Fernando Torres et l'entrée de Fernando Llorente à l'heure de jeu. Une tête à bout portant de l'attaquant de Bilbao et une frappe enroulée au ras du poteau de David Villa plus tard, l'attaquant de Valence trouvait, bien servi par une talonnade de Xavi, le chemin des filets pour la quatrième fois de ce Mondial (63e).

Après ça, tout a été plus simple pour la Roja. Les deux lignes de défenses portugaises ont explosé, elles qui avaient montré une solidité étonnante, à l'image de ce que la Suisse avait pu produire lors de sa victoire sur l'Espagne au premier tour (1-0). Seul le dernier rempart des Lusitaniens, le gardien Eduardo, est encore parvenu à tenir la baraque sur une frappe enroulée de Ramos (70e) ou sur la mine de Villa (77e). Il avait déjà fait des merveilles en première période face au Valencian, dangereux par trois fois dans les dix premières minutes (1e, 4e, 7e) ou aux autres tentatives espagnoles. Malheureusement pour lui, ses partenaires se sont montrés trop frileux, même après l'ouverture du score.

L'Espagne doit réfléchir

Ce n'est pas faute d'avoir eu des opportunités et des plutôt franches, principalement en contre et en première période. Que ce soit sur les têtes de Hugo Almeida (21e, 39e) ou ce coup franc de Cristiano Ronaldo, par ailleurs loin de son meilleur niveau, mal dégagé par Casillas (28e). Le Portugal a préféré pendre le parti de défendre à tout-va et de jouer uniquement sur les montées de Coentrao ou les accélérations de Sabrosa et Ronaldo. Il en a oublié qu'il avait des joueurs techniques, capables de rivaliser sur ce plan avec ses voisins. Sept buts marqués contre la Corée du nord, un seul encaissé et voilà les Nouveaux Navigateurs, comme ils étaient surnommés, en route pour le pays.

Pour l'Espagne, cette qualification est amplement méritée. C'est elle qui a fait le jeu. Avec 19 tirs pour 10 cadrés et 60% de possession de balle, la Roja a été fidèle à ses habitudes. En revanche, elle devra se poser des questions pour son prochain match car elle risque de se heurter à nouveau à un bloc ultra compact, face au Paraguay, en quart de finale. Pendant une heure ce soir, elle a été incapable d'être dangereuse dans les 30 derniers mètres. Sans solution. Il a fallu du coaching et un éclair de Villa pour débloquer la situation. Il y a un moment où ça ne passera plus...
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29062010/70/coupe-du-monde-2010-l-espagne-assume-ses-rendez-vous.html


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mardi 29 juin 2010

ESPAGNE - PORTUGAL en live ici ce soir

Suivez le choc des voisins ESPAGNE - PORTUGAL en direct sur ce site en cliquant sur ce lien

http://www.20minutes.fr/article/581957/Sport-Coupe-du-monde-Espagne-Portugal-a-suivre-comme-a-la-maison-a-partir-de-20h15.php

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Lua Lua : « J’aimerais jouer au PSG »

Le PSG a besoin de nombreux renforts mais ne dispose pas d'une grosse enveloppe. Les joueurs en fin de contrat sont donc susceptibles d'intéresser la cellule de recrutement. Lua Lua en fait partie.

Un défenseur central, un milieu gauche et un milieu axial, voilà les priorités de recrutement du Paris Saint-Germain lors de ce mercato estival. Toutefois, une vente réussie de Stéphane Sessegnon, aux alentours des 10 M€, pourrait permettre aux dirigeants franciliens de s’activer plus que prévu. Car il s’agit de renforcer quantitativement un effectif qui a paru bien trop court la saison dernière.

Le côté droit s’annonce lui aussi bien démuni, puisque Sessegnon, que Kombouaré voulait installer à droite, et Giuly, plus vraiment désiré par l’entraîneur parisien, risquent de prendre la poudre d’escampette. Mais si les dirigeants parisiens sont à l’écoute, ils auront vent d’une proposition intéressante qui émane de Lomana Lua Lua. Le Congolais, âgé de 29 ans, a choisi de ne pas valider la dernière année de contrat en option qui le liait avec l’Olympiakos et souhaiterait jouer en Ligue 1, plus particulièrement au PSG.

« J’adore la ville de Paris, j’y ai même une maison. J’aimerais bien sûr jouer au PSG », nous a confié Lua-Lua, présent dans la capitale depuis quelques jours. Alain Roche entendra-t-il l’appel du pied du Congolais, capable de jouer aussi bien sur l’aile droite qu’en soutien de l’attaquant ? En fin de contrat et donc libre, l’attaquant passé par Newcastle et Portsmouth serait ravi d’enfiler la nouvelle tunique rouge du PSG.

http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/lua-lua-j-aimerais-jouer-au-psg_51652

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Lyon passe à la vitesse supérieure

Après avoir enrôlé le Rennais Jimmy Briand, l'Olympique Lyonnais pourrait rapidement enregistrer l'arrivée de deux nouveaux joueurs. Si le cas du Bordelais Yoann Gourcuff coince toujours, le Lillois Adil Rami et le Brésilien de Santos, Ganso, pourraient rapidement débarquer dans la capitale des Gaules.
Le Stade Rennais n'est pas la seule formation à se montrer très active sur le marché des transferts. L'Olympique Lyonnais n'est peut-être pas encore près d'annoncer quatre recrues d'un coup comme le club breton, mais l'équipe rhodanienne, après avoir enrôlé l'attaquant Jimmy Briand, se démène pour annoncer rapidement une deuxième recrue. Si on parle beaucoup du Bordelais Yoann Gourcuff actuellement, l'OL travaille également sur d'autres dossiers, celui du Bordelais s'avérant toujours aussi complexe, les dirigeants girondins, qui tiennent à leur joueur, n'ayant pas vraiment envie de faciliter la tâche des Gones. En attendant, le club septuple champion de France pourrait bien annoncer la signature d'un deuxième renfort cet été, dans le secteur défensif cette fois.

Opération dégraissage ensuite ?

Comme nous vous l'indiquons depuis plusieurs jours maintenant, l'Olympique Lyonnais et le LOSC discutent pour Adil Rami. A en croire le quotidien Le Parisien, le défenseur central lillois pourrait rapidement rejoindre la capitale des Gaules. Les deux formations seraient en effet en passe de trouver un accord aux alentours des 10 millions d'euros. Après le Rennais Jimmy Briand, Rami pourrait bien être la deuxième recrue estivale de l'OL. A moins que ça ne soit Paulo Henrique Ganso. Car les Gones ont là aussi décidé de passer à la vitesse supérieure dans ce dossier.
Yoann Gourcuff n'est en effet pas le seul milieu de terrain à intéresser le club rhodanien. Là aussi on vous en parle depuis plusieurs semaines, le Brésilien Ganso, jeune joueur âgé de 20 ans, figure également sur les tablettes des Gones. Selon L'Equipe, le milieu de terrain de Santos pourrait être l'une des prochaines recrues estivales de l'OL. Le club présidé par Jean-Michel Aulas devrait en effet rapidement formuler une offre de 20 millions d'euros pour Ganso. Une somme qui pourrait convaincre les dirigeants brésiliens. Si les Gones viennent à boucler ces deux dossiers, il faudra alors rapidement dégraisser ensuite pour s'attaquer de nouveau au cas Gourcuff.
http://www.maxifoot.fr/football/article-9917.htm

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PARAGUAY - JAPON en live ici cet après midi

Suivez le match de 8° de finale PARAGUAY - JAPON en direct sur ce site en cliquant sur ces liens

http://coupe-du-monde-2010.sport.francetv.fr/video-direct?match=paraguay-japon

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Domenech était à deux doigts de partir avant le dernier match

Les déboires de l'équipe de France en Afrique du Sud nous promettent encore bien des révélations. La dernière en date concerne Raymond Domenech et sa véritable réaction à la fronde des joueurs.
Le groupe est resté solidaire ». Cette phrase répétée en boucle par les meneurs de la célèbre grève du 20 juin dernier ne concerne évidemment pas Raymond Domenech. Pourtant, c’est bien lui qui a décidé de lire le communiqué des joueurs expliquant leur geste qui a choqué l’opinion française. Il voulait mettre fin à la mascarade selon ses propres aveux et vite passer à autre chose.

Mais selon France Football, le désormais ex-sélectionneur français aurait carrément pensé à quitter son poste à l’issue de cette journée cauchemardesque ! À l’image d’un Robert Duverne ulcéré dont les images ont fait le tour du monde, le staff de l’équipe de France était abasourdi par la décision des joueurs. Bruno Martini aurait ainsi fondu en larmes à son retour à l’hôtel et Domenech décidait de son côté de quitter l’Afrique du Sud.

Selon le magazine, il se serait alors enfermé dans sa chambre pour boucler ses valises. Au courant des projets du sélectionneur, certains joueurs auraient alors tenté de le faire changer d’avis, en s’excusant pour leur action malheureuse. Ce fut notamment le cas de Djibril Cissé, qui, en faisant amende honorable, aurait finalement convaincu le sélectionneur d’achever son travail et de vivre son dernier match face à l’Afrique du Sud.
http://www.footmercato.net/equipe-de-france/edf-l-incroyable-revelation-au-sujet-de-raymond-domenech_51647

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Honda, technique de pointe

Keisuke Honda est l'arme offensive numéro un du Japon, qui compte sur lui pour venir à bout du Paraguay en huitièmes de finale (mardi, 16h00). Le joueur du CSKA Moscou éclabousse cette Coupe du monde de sa classe et de sa créativité. Le Paraguay est prévenu.
La défense rigoureuse du Paraguay connait sa mission : limiter Keisuke Honda. Le chemin des quarts de finale passe en partie par là pour l'Albirroja. Le numéro 18 des Nippons n'est pas la seule arme de la sélection japonaise. Il détient pourtant une grande partie de la destinée de son équipe en Afrique du Sud. Takeshi Okada, le sélectionneur des Blues Samourais, ne s'en cache pas : "Si nous sommes à 100%, nous aurons nos chances. J'espère également que Honda sera au rendez-vous. J'attends de lui qu'il marque des buts demain".

Okada ne fait pas de mystère sur sa principale force de frappe. Comment pourrait-il faire autrement ? Depuis le coup d'envoi du Mondial, le talent de Keisuke Honda saute aux yeux de toute personne qui tombe sur un match du Japon. La perle nippone métamorphose le jeu des Japonais grâce à sa technique, sa vision du jeu, son sens du but et sa force de frappe sur coup franc. Des qualités rares dans l'Archipel, comme le reconnait Okada, jamais avare en compliment à l'heure d'évoquer son protégé de 24 ans : "Sa puissance physique est inhabituelle pour un joueur japonais. Il est très bon balle au pied, ses tirs du gauche sont précis et puissants, c'est rare de voir tant de talents chez un seul joueur au Japon."

Aligné en pointe

Si beaucoup d'amateurs du ballon rond le découvrent en Afrique du Sud, Honda a déjà fait parler de lui en Europe. Arrivé sur le Vieux Continent en 2007 au VVV-Venlo aux Pays-Bas, il a démontré ses qualités en deuxième division néerlandaise (16 buts en 35 matches en 2008-2009) puis en Eredivisie (6 buts en 18 rencontres au début de la saison). Mais c'est au CSKA Moscou qu'il s'est fait un nom il y a quelques mois. Recruté en janvier par le club moscovite, il a marqué lors de la première journée du championnat russe et s'est s'illustré contre le FC Séville en huitièmes de finale de la Ligue des Champions, avec notamment une passe décisive et un coup-franc sublime (1-2). Depuis, sa capacité à faire la différence dans la zone de vérité est une évidence. Notamment pour Takeshi Okada.

Pour mettre un terme au manque d'inspiration du Japon devant le but adverse, le sélectionneur nippon a décidé d'aligner le natif d'Osaka en pointe. Il est habitué à jouer au milieu de terrain ou sur un côté en club. Il ne le regrette pas. Libéré des tâches défensives, Honda y est redoutable. Buteur contre le Cameroun (1-0), il a offert un caviar à Okazaki et a frappé sur coup-franc contre le Danemark (3-1). Et il ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. "Je suis heureux. Mais pas autant que ce que j'imaginais. Nous voulons aller plus loin". Le nouvel Empereur du pays du Soleil-Levant, qui est en train de prendre la relève de Hidetoshi Nakata, rêve d'offrir son pays son premier quart de finale d'un Mondial. Et peut-être plus.

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http://fr.sports.yahoo.com/29062010/70/coupe-du-monde-2010-honda-technique-de-pointe.html

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OM : Deschamps rêve de Luis Fabiano

Si le Brésil n'est pas étincelant depuis le début du Mondial, il reste une formidable machine capable de faire la différence à tout moment. Un réalisme incarné par son buteur en chef Luis Fabiano. Un attaquant que l'Olympique de Marseille aimerait visiblement recruter d'ici la fin du mercato estival...
Coté à 5/1 sur la majorité des sites de paris en ligne, Luis Fabiano fait partie des grands favoris pour le titre de meilleur buteur de la Coupe du monde 2010. Il faut dire qu’avec ses 3 buts en 4 rencontres, l’attaquant du FC Séville a fait très forte impression. Pour les observateurs, cette réussite n’est pas étonnante, ses statistiques depuis ses débuts en Seleção étant impressionnantes (28 réalisations en 42 capes). Un réalisme sur lequel il souhaite s’appuyer pour s’offrir un gros contrat cet été.

Après cinq saisons en Andalousie (62 buts en 128 rencontres de Liga), le natif de Campinas aimerait s’envoler vers d’autres cieux, histoire de vivre une nouvelle expérience au sein d’un poids lourd du football européen. Et visiblement, l’Olympique de Marseille rêve de l’attirer dans ses filets selon L’Équipe. C’est plus précisément Didier Deschamps qui espère convaincre le buteur de signer sur la Canebière. Avec l’ancien Rennais (2000-2002), l’entraîneur phocéen tiendrait la pointure offensive après laquelle il court depuis l’ouverture du marché estival.

L’ambition des Olympiens est à souligner, même si cette affaire n’a que très peu de chances d’aboutir. Le Milan AC se dessine en effet plus sûrement comme le probable futur club de Luis Fabiano. À moins que Manchester United ne vienne se mêler à la lutte. L’OM aura au moins eu le mérite d’essayer. Que les supporters du Vélodrome se rassurent, la piste menant à Alberto Gilardino (27 ans, Fiorentina) serait toujours d’actualité.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/om-deschamps-reve-de-luis-fabiano_51617

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Raymond Domenech devra s'expliquer devant l'Assemblée mercredi

Après Jean-Pierre Escalettes, les députés veulent entendre l'ex-sélectionneur des Bleus...
Raymond Domenech sera auditionné mercredi dès 11h à l'Assemblée nationale à propos du parcours catastrophique de l'équipe de France en Coupe du monde. Il sera entendu en même temps que Jean-Pierre Escalettes, président démissionnaire de la FFF.

Ces auditions doivent revenir sur l'échec de l'équipe de France de football à la Coupe du monde. Des députés UMP ont également demandé une commission d'enquête parlementaire. Cette ingérence politique ne plaît pas à tout le monde. Le président de la Fifa, Joseph Blatter, a déclaré mardi que la Fédération internationale de football ne tolèrerait aucune interférence politique en France, après les nombreuses interventions qui ont suivi la débâcle des Bleus.

Le président de la FIFA, Joseph Blatter se veut menaçant et prêt à sévir «quelle que la taille du pays» . Il l'a encore affirmé mardi matin. «En France, c'est devenu une affaire d'Etat, mais le foot doit rester entre les mains de la Fédération française de football. S'il s'avère qu'il y a vraiment une intervention, nous aiderons la fédération. Si le problème ne peut être résolu dans la discussion, la seule solution sera de suspendre la fédération». Le message n’est pas passé visiblement.


Sentiment du blogueur : l'équipe de France appartient à la France et la FIFA est simplement là pour organiser des compétitions...que monsieur le président de la FIFA s'occupe de la compétition en cours et qu'il laisse la France régler ses problèmes ...les français sont un peuple souverain représentés par des députés élus par eux et il tout à fait légitime que les députes, la représentation nationale, souhaitent comprendre ce qu'il s'est passé au sein de l'équipe de France de football durant cette coupe du Monde
http://www.20minutes.fr/article/581973/Sport-Raymond-Domenech-devra-s-expliquer-devant-l-Assemblee-mercredi.php

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Fiasco : la séance est ouverte

L'équipe de France à l'Assemblée nationale ! Mardi et mercredi, la commission des Affaires culturelles va procéder à deux auditions, dont celle de Jean-Pierre Escalettes, après l'échec en Afrique du Sud. Pourquoi ? Comment ? Quelques clefs pour comprendre

QUE VA-T-IL SE PASSER ?


Mardi à 18 heures, et mercredi à 11 heures, Roselyne Bachelot et Jean-Pierre Escalettes seront auditionnés " sur les résultats de l'équipe de France de football lors de la coupe du monde de la FIFA 2010", comme l'indique l'intitulé de l'audition. Le fiasco des Bleus est devenu une cause nationale, et c'est en réalité moins les résultats qui glacent le sang de nos députés que l'image désastreuse donnée par le groupe avec sa grève de l'entraînement. La ministre de la Santé puis le président de la FFF, démissionnaire sous le regard insistant de son autorité de tutelle, répondront - pendant une durée qui ne devrait pas dépasser les deux heures - aux questions des 76 membres de la commission, où figurent entre autres la président Michèle Tabarot, l'ex-ministre des Sports Marie-Georges Buffet, le patron du groupe UMP Jean-François Copé et l'ex-champion de judo David Douillet.

C'EST GRAVE ?


Non. C'est une mesure de transparence démocratique comme il peut s'en prendre sur tous les sujets. Roselyne Bachelot devrait s'en servir comme d'une tribune pour justifier son chantier de rénovation de la gouvernance des fédérations sportives et préciser, peut-être, ce que seront les Etats généraux du football en octobre. Quant à Jean-Pierre Escalettes, il prononcera ses premières paroles publiques depuis l'annonce de sa décision de démissionner, qui sera entérinée vendredi. Preuve que la démarche n'a rien d'exceptionnel : le 31 mars dernier, Jean-Pierre Escalettes, Jean-Louis Valentin et Fernand Duchaussoy avaient déjà été entendus sur... " les grands thèmes qui concernent la Fédération", entre autres l'Euro 2016 et la sécurité. De belles paroles avaient été prononcées. "Contrairement à ce que dit mon ami Jean-Louis Triaud, cet encadrement (des Bleus) ne forme pas une armée mexicaine mais un environnement extrêmement professionnel, tel que Gérard Houiller n’en a pas connu dans les clubs où il a officié." Parole de Jean-Pierre Escalettes.

EST-CE DE L'INGÉRENCE POLITIQUE ?


Il est peu probable que la FIFA, qui a tiqué après les déclarations de Roselyne Bachelot, s'insurge à nouveau d'un tel processus, qui vise à comprendre comment la France a pu ainsi se fourvoyer. Elle serait probablement plus sensible au déclenchement d'une commission d'enquête parlementaire, idée lancée par deux députés UMP (le vice-président de l'Assemblée, Marc Le Fur, et Philippe Meunier). Le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, en a écarté l'idée et l'autorité de tutelle de la FFF n'y semble pas favorable. Si le conseil fédéral démissionne collectivement le 2 juillet, la FIFA sera plus attentive à ce que les élections et la désignation du successeur de Jean-Pierre Escalettes se fassent dans les règles. L'idée d'un candidat extérieur et parachuté par le ministère a circulé. Cela serait beaucoup plus grave aux yeux de la fédération internationale qu'une audition publique devant la représentation nationale.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29062010/70/coupe-du-monde-2010-fiasco-la-seance-est-ouverte.html

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Ruffier dément les cadres

La grève des Bleus n’était pas unanime. Stéphane Ruffier a reconnu, le premier, que tous les joueurs n'étaient pas d'accord avec le boycott de l'entraînement à J-2 de France – Afrique du Sud. Pour le portier, certains Bleus, "au fond d'eux", n'étaient pas du même avis que les leaders de la fronde.
Stéphane Ruffier n'a pas participé à la Coupe du monde 2010. Débarqué quelques jours avant pour faire le nombre après la blessure de Cédric Carrasso, le portier de Monaco était toutefois dans le bus au moment du clash entre l'équipe de France et ses autorités, le dimanche 20 juin. Cela fait de lui un témoin privilégié. Après Eric Abidal, Patrice Evra, Thierry Henry et Florent Malouda, il était le cinquième joueur à s'exprimer, lundi soir sur Canal+. Et il n'a pas vraiment le même discours. Si les quatre premiers ont maintenu que tous les Bleus étaient d’accord avec le choix de boycotter l'entraînement pour s'opposer à l’exclusion de Nicolas Anelka, si Malouda a eu une phrase ambigüe sur le sujet, Ruffier n'est pas exactement sur la même longueur d'onde : " Pat (ndlr : Evra), notre capitaine, a fait des choix avec d'autres joueurs. On a pris part à ses choix puis on est resté solidaire", avoue-t-il avant d'ajouter : "Sûrement, Il y a des joueurs qui n'ont pas voulu faire ça. Je pense que les gens le savent. Certains au fond d'eux, n'avaient pas la même décision".

Avec ces déclarations, le gardien de l’ASM confirme à demi-mots que la fonde n’était pas unitaire. De son côté, Stéphane Ruffier n'a pas bronché. Mais pouvait-il faire autrement alors qu’il venait de débarquer ? Pas vraiment comme il le confirme : "J'ai suivi le groupe car je venais d'arriver. Ce n'était pas évident de faire quelque chose à côté", explique-t-il avant d'ajouter : "On ne se détache pas d'un groupe. C'est une question de solidarité." Pour lui, le contenu des discussions dans le bus ne devrait d'ailleurs jamais être dévoilé : "Il s'est passé des choses qui resteront toujours dans ce bus. Il n'y a pas besoin de l'étaler devant tout le monde. "

Pour sa découverte de l'équipe de France, Ruffier a en tout cas été gâté. Sorti de ses vacances par l'encadrement des Bleus pour être prêt en cas de nouveau coup dur, il n'est resté que quelques jours dans le petit monde des Bleus. Mais il a vécu un épisode inédit. Et a pu se rendre compte qu'il changeait de dimension : "J'ai appris ce qu'était le haut niveau. Avec tous les avantages et les inconvénients. Et les inconvénients ont les a vus. Médiatiquement, c'est puissant." Comme l’écho de ses premières déclarations, qui brouille le message des cadres, quatre jours après leur intervention médiatique..


Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28062010/70/coupe-du-monde-2010-ruffier-dement-les-cadres.html

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Le Brésil dévore du Chili

Redoutable de réalisme, le Brésil s'est qualifié pour les quarts de finale de la Coupe du monde en dominant le Chili (3-0), à Johannesbourg. Des réalisations de Juan, Luis Fabiano et Robinho qui envoient les Auriverde affronter les Pays-Bas, vainqueurs un peu plus tôt de la Slovaquie (2-1).
BRESIL - CHILI : 3-0


Buts : Juan (34e), Luis Fabiano (38e) et Robinho (59e)

Loin de l'image du football samba, ce Brésil a des allures de prédateur au sang froid. Après un premier tour où il n'aura guère brillé que face à la Côte d'Ivoire (3-1), il l'a confirmé en 8e de finale face au Chili (3-0). Car, même sans Elano, absent au coup d'envoi et remplacé par Daniel Alves, tous les ingrédients d'un favori au sacre mondial sont en place : un réalisme implacable, une défense imperméable et un jeu offensif fluide dans le sillage du triangle magique Luis Fabiano-Kaka-Robinho. Les Chiliens en ont fait les frais, eux qui ne se sont jamais parvenu à inquiéter les Auriverde. Face à un Brésil qui monte en puissance mais n'a pas donné l'impression de forcer son talent, ils repartent avec leur plus large défaite en Coupe du Monde depuis leur 8e de finale contre le Brésil en 1998 (1-4), déjà. Sans pour autant avoir démérité.

Face à la Roja, privée de ses défenseurs Medel et Ponce, quatre minutes seulement ont en effet suffi aux hommes de Dunga pour assurer leur place en quart de finale où ils retrouveront les Pays-Bas. Une fois n'est pas coutume, c'est sur un coup de pied arrêté que la Seleçao a planté la première banderille. Un corner de Maicon déposé sur la tête de Juan, qui a inscrit de la tête le quatrième de ses huit buts en sélection face aux Chiliens (34e, 1-0). Quelques instants plus tard, Luis Fabiano enfonçait le clou. Suite à un beau mouvement de Robinho, Kaka, co-meilleur buteur du Mondial avec Thomas Müller (3 passes), trouvait l'attaquant du FC Séville, qui n'avait plus qu'à effacer Claudio Bravo pour marquer dans le but vide (38e, 2-0). Son troisième but en Coupe du monde. Son 28e en 41 sélections.

La bonne habitude de Robinho

Avant cela, les Brésiliens avaient su se montrer patients. Hormis une alerte signée Gilberto Silva (9e), le Chili se croyait peut-être à l'abri. Belle erreur. Malgré le retour de son buteur Suazo, qui n'avait joué que 45 minutes lors de la phase de groupes, les troupes de Marcelo Bielsa ne se sont pas montrées dangereuses. Pire, incapables de créer le danger, elles se sont exposées aux contres brésiliens à force d'insister et d'attaquer. Mais seule une frappe de Valvidia juste au-dessus de la transversale a pu donner quelques sueurs froides à Julio Cesar (66e). Beausejour n'a pas non plus réussi à trouver le cadre (84e).

De toute façon, il aurait été trop tard. Ce diable de Robinho était déjà passé par là. A la conclusion d'une percée de Ramires, convaincant à la place de Felipe Melo mais suspendu au prochain match, il a inscrit, d'une belle frappe enveloppée, son premier but du tournoi mais le septième en six matches face au Chili (59e, 3-0) ! Le joueur de Manchester City aurait même pu corser l'addition sans l'intervention de Bravo (74e) ou une position de hors-jeu (76e). Diablement efficaces à défaut d'être spectaculaires, les Brésiliens peuvent tranquillement se tourner vers leur quart de finale face aux Pays-Bas. Les Oranje à qui ils ont déjà barré la route en 1994 (quart de finale) et 1998 (demi-finale).
http://fr.yahoo.com/_ylt=AsMwVpP85wKWSI2ICDiZN19NhJp4;_ylu=X3oDMTNub3VlaGUzBGEDcjEtMjgwNjEwLXNwb3J0LVJpZW4gbiBhcnJldGUgbGEgU2VsZWNhbwRjcG9zAzEEZwNpZC0xMDMxOARpbnRsA2ZyBHBrZ3YDNgRwb3MDMwRzZWMDdGQtZmVhdARzbGsDbW9yZQRzbHBvcwNGBHRlc3QDNzAz/SIG=12upnou3g/**http%3A//fr.sports.yahoo.com/28062010/70/coupe-du-monde-2010-le-bresil-devore-du-chili.html

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lundi 28 juin 2010

BRÉSIL - CHILI en live ici ce soir

Suivez le match BRÉSIL - CHILI en direct sur ce site en cliquant sur ce lien

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Les Pays-Bas sans forcer

Pour la première fois depuis 12 ans, les Pays-Bas retrouvent les quarts de finale de la Coupe du monde en battant la Slovaquie (2-1). Sans briller, les Oranje ont pu compter sur Robben et Sneijder et peuvent désormais rêver d'une éventuelle revanche face au Brésil, leur tombeur en 1994 et 1998.
PAYS-BAS - SLOVAQUIE 2- 1


Buts : Robben (18e), Sneijder (84e) pour les Pays-Bas. Vittek (90e+4 s.p.) pour la Slovaquie.

Jusque là, tout va bien. Les supporters des Pays-Bas peuvent souffler. Après un premier tour rondement mené conclu avec trois victoires de suite, les Bataves craignaient de voir leur équipe retomber dans ses travers dès le premier match couperet. Comme à l'Euro 2008 ou au Mondial 2006 où les Néerlandais avaient chuté contre la Russie (3-1 a.p.) et le Portugal (1-0). La malédiction est rompue. Les Oranje ont retenu la leçon pour s'offrir un quatrième succès de suite face à une équipe de Slovaquie (2-1), largement à leur portée sur le papier. Ils retrouvent les quarts d'un Mondial pour la première fois depuis 1998.

Marqués par leurs précédents échecs, les Pays-Bas n'ont pas joué avec le feu face aux joueurs de Vladimir Weiss. La belle mécanique orange et sa pléiade de talent offensif n'ont pas fait le show, comme on pouvait l'espérer. Pour la montée en puissance, il faudra attendre un peu. Sans spectacle et sans un collectif séduisant mais avec un secteur défensif appliqué, la sélection néerlandaise s'en est remise au talent immense d'une de ses stars offensives, Arjen Robben, pour mettre un terme aux rêves des Slovaques, qui avaient pourtant très bien commencé ce huitième de finale.

Robben débloque la situation

Titulaire pour la première fois du Mondial, le Bavarois, déjà décisif lors de son entrée en jeu face au Cameroun au match précédent (2-1), a sorti une nouvelle action dont il a le secret. Lancé en profondeur par Wesley Sneijder, le roi de Bavière, aligné à la place de Rafael Van der Vaart, blessé à un mollet, a repiqué dans l'axe avant de placer une frappe aux abords de la surface du pied gauche (1-0, 18e). Les Pays-Bas ont fait le plus dur. Et s'en sont longtemps contentés. Ils ont même bien failli s'en mordre les doigts. Après une première période bien terne, les protégés de Bert van Marwijk ont bien tenté de se mettre à l'abri par l'intermédiaire de Robben (49e) puis de Mathiljsen (50e) sur un service de... l'immanquable Robben. Sans réussite.

La Slovaquie a même été à deux doigts de revenir sur des occasions de Stoch (66e) ou encore Vittek, le héros du match face à l'Italie qui a manqué un contre un avec le portier batave à la 67e. Incapable de profiter des petits relâchements bataves, la Slovaquie s'est finalement fait surprendre sur une action superbe de Kyut lancé dans le dos de la défense. L'attaquant de Liverpool, très actif comme à son habitude, a fixé avant d'offrir un caviar à Sneijder, qui a marqué dans le but vide (2-0, 84e). La Slovaquie, qui a réduit le score sur un penalty de Vittek (90e+3), n'a pas vraiment joué et pourra nourrir des regrets. Les Pays-Bas n'ont pas joué non plus mais leur talent a encore fait la différence. Ils se retrouvent en quart de finale face au Brésil ou au Chili et leurs six joueurs sous la menace d’un carton jaune ont su éviter un nouvel avertissement. Les supporters néerlandais espèrent désormais que leurs protégés en ont gardé sous le pied.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28062010/70/coupe-du-monde-2010-les-pays-bas-sans-forcer.html

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Barça : la nouvelle tactique du Milan AC pour sauver le soldat Ibrahimovic

« Ibra ? En Espagne, il y a un régime fiscal plus avantageux qu’ici et le Barça paie une somme nettement inférieure à ce que doit payer une équipe italienne pour un tel joueur. Son retour en Italie est donc impossible, car je doute qu’il veuille baisser son salaire. » Par ces propos, Adriano Galliani mettait un sérieux bémol à l’éventuelle venue de Zlatan Ibrahimovic au Milan AC.

Pourtant, à en croire le quotidien Sport, les Rossoneri n’ont pas encore abandonné l’idée de recruter l’attaquant du FC Barcelone. Car si le désir lombard de faire d’Ibra le leader de leur attaque est bel et bien réel, ce sont les modalités financières de l’opération qui posent problème aux champions d’Europe 2007. Confrontés à une crise financière qui les a déjà obligés à vendre Kaka (contre 65 M€, Ndlr), les Milanais ne peuvent actuellement se payer le Scandinave dont l’indemnité de transfert dépasse les 40 M€. Sans parler de son salaire de 10 M€ par saison.

S’il veulent donc rendre un tel transfert possible, le journal espagnol indique que les Rossoneri ont élaboré une tactique bien précise : vendre des joeurus ayant une forte valeur marchande. Si un tel choix n’est pas une surprise, on sait désormais qui va être prié de plier bagage. Ainsi, le Hollandais Klaas-Jan Huntelaar et le Français Mathieu Flamini ont été les joueurs désignés par leur direction. Respectivement liés au Milan jusqu’en 2013 et 2012, ces deux joueurs n’ont jamais eu ou ont perdu leur statut de titulaire.

Recrutés contre 15 M€ et 0€ en 2009 et 2008, Huntelaar et Flamini ont certes déclaré vouloir rester à San Siro, mais leurs dirigeants ont d’autres plans. Ainsi, d’après le quotidien ibérique le troisième du dernier exercice de Serie A espère encaisser pas moins de 25 M€ grâce à la vente de son buteur et de son milieu de terrain. Reste maintenant à savoir si des clubs seront disposés à payer deux remplaçants de luxe au prix fort.
http://www.footmercato.net/calcio/transferts/barca-la-nouvelle-tactique-du-milan-ac-pour-sauver-le-soldat-ibrahimovic_51581

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Il démissionne

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Alors qu'il doit être auditionné mercredi à 11 heures par la commission des Affaires culturelles de l'Assemblée nationale sur la déroute de l'équipe de France à la Coupe du monde 2010, Jean-Pierre Escalettes a annoncé, lundi, sa démission : "Après un week-end de réflexion durant lequel j'ai consulté mes collègues élus, mes collaborateurs et mes proches, je considère qu'il est de mon devoir de démissionner de ma fonction de Président de la Fédération Française de Football", explique-t-il dans un communiqué publié sur le site de la Fédération française de football (FFF).


Après le fiasco des Bleus en Afrique du Sud, psychodrame qui a vite tourné à l'affaire d'État, Jean-Pierre Escalettes avait dans un premier temps exclu de partir de son plein gré, provoquant l'étonnement des professionnels du football. Aujourd'hui, il écrit : "J'assume avec lucidité ma part de responsabilité. Ma décision est essentiellement dictée par la volonté de préserver et de faciliter l'évolution d'une institution que je sers avec passion depuis plusieurs décennies."


Le conseil fédéral extraordinaire qui se tiendra vendredi matin devait notamment examiner le sort de Jean-Pierre Escalettes. C'est à l'issue de cet examen qu'il remettra finalement officiellement sa démission. Il devrait être remplacé par un président par intérim qui sera élu parmi les membres de l'actuel conseil fédéral.

http://www.lepoint.fr/societe/fiasco-des-bleus-escalettes-demissionne-de-la-presidence-de-la-fff-28-06-2010-471148_23.php

PAYS-BAS - SLOVAQUIE en live ici cet après midi

Suivez le match PAYS-BAS - SLOVAQUIE en direct ici en cliquant sur ces liens

http://coupe-du-monde-2010.sport.francetv.fr/video-direct?match=pays-bas-slovaquie


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Pays-Bas et Brésil se donnent rendez-vous

Avant de s'affronter vendredi lors d'un quart de finale qui s'annonce d'ores et déjà explosif et spectaculaire, les Pays-Bas et le Brésil doivent encore franchir l'obstacle des huitièmes de finale ce lundi, respectivement contre la Slovaquie (16h) et le Chili (20h30). Les équipes probables.

Placés dans le même quart de tableau, les Pays-Bas et le Brésil devraient, si la hiérarchie est respectée, se retrouver à Port Elisabeth vendredi, pour un quart de finale explosif. Mais avant cela, les Bataves devront se débarrasser ce lundi (coup d'envoi à 16h) au Moses Mabhida Stadium de Durban, de la surprenante formation slovaque, tombeur de l'Italie (3-2) lors du dernier match de poules, emmenée par son buteur Robert Vittek (3 buts) et qui a terminé à la deuxième place du Groupe F avec 4 points (1v, 1n, 1d). Face à eux, les Néerlandais ont fait le plein de confiance dans le Groupe E, avec trois victoires en trois matchs (5bp, 1bc).

L. Fabiano craint de tomber sur un mur

Faut-il s'attendre à une surprise de taille cet après-midi ? Si l'arbitrage ne s'en mêle pas, non. La supériorité des Bataves sur le papier est indéniable. Toutefois, les Slovaques ont du talent, ils n'auront rien à perdre (comme contre l'Italie) et pourront donc donner tout ce qu'ils ont sans crainte. Après ce huitième de finale 100% européen, le suivant sera 100% sud-américain, entre l'un des trois grands favoris, le Brésil, opposé au Chili. Arrivé deuxième du Groupe H à un but de l'Espagne, les hommes de Marcelo Bielsa n'auront, comme les Slovaques, aucune pression sur les épaules à l'Ellis PA l'inverse des coéquipiers de Michel bastos, premiers du Groupe G avec 7 points. Les deux équipes se sont déjà affrontées deux fois en Coupe du Monde : en demi-finale en 1962 et en huitième de finale en 1998, pour deux victoires larges de la Seleçao, 4-2 et 4-1. La garantie de voir des buts ? «Nous allons devoir apprendre à jouer contre des formations défensives, car je pense que très peu d'équipes vont vouloir jouer d'égal à égal contre le Brésil» , a prévenu l'attaquant Luis Fabiano. Dunga prônant lui aussi la solidité défensive, à l'Européenne, pour accrocher une sixième étoile au maillot brésilien, le match pourrait être plus fermé que prévu.

Les équipes probables :

Pays-Bas : Stekelenburg - Van der Wiel, Heitinga, Mathijsen, Van Bronckhorst - Van Bommel, de Jong - Kuyt, Sneijder, Van der Vaart (ou Robben) - Van Persie.

Slovaquie : Mucha - Pekarik, Skrtel, Durica, Zabavnik - Kopunek, Kucka, Stoch, Hamsik, Jendrisek - Vittek.

Brésil : Julio Cesar - Maicon, Lucio, Juan, Bastos - Elano, Gilberto Silva, Ramires (ou Melo) – Kaká, Robinho, Luis Fabiano

Chili : Bravo - Isla, Contreras, Fuentes, Jara - Vidal, Carmona, M. Fernandez - A. Sanchez, Valdivia, Beausejour
ark Stadium de Johannesburg (coup d'envoi à 20h30).


http://www.maxifoot.fr/football/article-9900.htm

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Le PSG fond sur la révélation Tshabalala !

Inconnu il y a de cela un mois, Siphiwe Tshabalala a été l'une des grandes révélations de ce début de Mondial. Auteur d'un but splendide face au Mexique en ouverture, puis élu homme du match contre la France, le milieu de terrain offensif sud-africain a crevé l'écran. Au point d'être devenu l'une des priorités de recrutement du PSG...

Si le Mondial 2010 en Afrique du Sud a permis au monde entier de découvrir les très bruyants vuvuzela, le peuple sud-africain s’est découvert une nouvelle star, Siphiwe Tshabalala. Véritable OVNI dans la compétition, le milieu de terrain offensif des Kaizer Chiefs de 25 ans est un cadre des Bafana Bafana depuis quatre saisons et n’est encore jamais parti de son pays pour tenter sa chance en Europe.

Après avoir brillamment négocié la fin de son contrat en juin 2010 avec son club, l’une des grandes révélations du mondial 2010 se trouve libre de s’engager dans le club de son choix. Une aubaine pour qui voudra le recruter tant Tshabalala a ébloui le premier tour malgré l’élimination des siens. Intenable pour le match d’ouverture du Mondial face au Mexique, il a inscrit l’un des plus beaux buts de la compétition d’un missile du pied gauche. Face à la France, il va être un véritable poison et va faire vivre un cauchemar à la fébrile défense centrale tricolore. Éliminé de la compétition, l’ailier sud-africain aux dreadlocks va pouvoir tenter sa chance en Europe.

Si plusieurs clubs européens lorgnent sur lui (Wigan, et Hanovre notamment), Skysports rapporte dans ses colonnes que le PSG serait séduit par le profil du joueur au rapport qualité/prix imbattable. Interrogé par le média anglais, ce dernier évoque son avenir et laisse la porte ouverte à toutes propositions. « Je suis un agent libre, il est donc normal de plusieurs clubs s’intéressent à moi. Je pense que j’ai fait une bonne Coupe du monde malgré l’élimination de mon équipe au premier tour. Les Kaiser Chiefs ont été tout pour moi, mais désormais je veux jouer en Europe, donc attendons de voir les propositions. »

À la recherche d’un milieu gauche depuis le départ de Rothen, Paris pourrait voir en Tshabalala le joueur tant recherché. Libre de tout contrat, il serait à n’en point douter une excellente affaire pour les dirigeants du club parisien qui prendraient un risque limité aussi bien sur le plan sportif que financier.
http://www.footmercato.net/liga/transferts/le-psg-fond-sur-la-revelation-tshabalala_51569

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Bielsa : "Une petite place dans l'histoire

Comment battre le Brésil ?

"Nous devons être plus prudents, pour éviter la défaite. Nous devons respecter un adversaire de la trempe du Brésil. Pour gagner, il ne suffit pas de jouer sur ses qualités, il faut aussi s'adapter au potentiel de l'adversaire, savoir le contrer. Si vous jouez seulement votre jeu, vous vous affaiblissez. Et les équipes peuvent progresser à chaque match, nous en avons joué trois dans cette Coupe du monde, ces matches ont renforcé notre expérience, en particulier le dernier contre l'Espagne (1-2), qui ressemble à celui qui nous attend contre le Brésil. Espérons que cette expérience va nous aider."

Saurez-vous vous passer de votre charnière centrale Medel-Ponce, suspendue ?
"Ils ont été très bons pendant la Coupe du monde, mais nous allons les remplacer, nous allons faire avec. En Coupe du monde, vous avez toujours plusieurs possibilités dans votre effectif. Je n'ai pas encore décidé de mon équipe. Nous verrons demain (lundi, ndlr) si nous étions bien préparés pour un évènement de cette ampleur."

Le Brésil n'a plus perdu contre le Chili depuis dix ans (3-0 le 15 août 2000), est-ce un handicap, psychologiquement ?
"C'est motivant de pouvoir changer l'histoire, chaque match nous en donne l'occasion, et celui de demain est une vraie chance. La psychologie compte toujours en compétition. Votre question est motivante, de mon point de vue. La tendance est négative? Nous avons été battus? Nous serons remontés en entrant sur le terrain. On connaît l'importance du Brésil dans l'histoire du foot, mais en toute modestie, nous allons essayer de nous y faire une petite place."
http://coupe-du-monde-2010.sport.francetv.fr/football/bielsa-une-petite-place-dans-lhistoire

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L’OM relance des pistes prestigieuses pour son attaque

Deschamps de retour, l'OM se penche désormais activement sur le chantier offensif. En attendant de voir les partants qui vont libérer des places et réduire la masse salariale, le club phocéen réactive ou désactive les pistes évoquées depuis quelques semaines.
Le retour de vacances de Didier Deschamps a définitivement lancé l’avant-saison et le mercato marseillais. Comme il l’avoue lui-même, il a passé « des vacances studieuses », en témoigne le recrutement de Cesar Azpilicueta. Désormais, l’Olympique de Marseille peut se pencher sur la venue de ce nouvel attaquant d’envergure internationale tant désiré par l’entraîneur phocéen. Qui sera-t-il ? Les jours passent et la liste s’affine.

Selon Le Parisien, l’OM aurait rayé le nom d’André-Pierre Gignac. Peu convaincant avec Toulouse la saison dernière, il n’a pas rassuré lors de la Coupe du Monde, même s’il était évidemment difficile de se montrer à son avantage dans le contexte français. Surtout, le prix exigé par le TFC paraît exagéré pour les dirigeants phocéens, qui privilégient donc d’autres pistes. Celle d’Alberto Gilardino n’est pas encore enterrée, apprend-on, même s’il faut d’abord réduire la masse salariale pour accueillir un tel cador.

Un cador qui pourrait également être, pour le plus grand plaisir des fans marseillais, Didier Drogba. Si son retour à l’OM semble du domaine de l’impossible, Le Parisien affirme que l’Ivoirien est prêt à faire un effort sur son salaire. Reste à convaincre Chelsea de lâcher le meilleur buteur de Premier League cet été. Pas une mince affaire.

L’OM garde donc sous le coude quelques pistes de repli, la principale menant à Kevin Gameiro. D’ailleurs, le Lorientais est interrogé dans les colonnes de La Provence. « C’est un grand club. Il vient d’être sacré champion de France. Dès lors, une proposition de l’OM ne se refuse pas. Mais pour l’heure, je n’ai pas eu vent de contacts officiels. Il n’y a rien de concret », a lâché le jeune buteur. Aucune piste ne ressort donc particulièrement. Pour autant, il n’y a pas de quoi s‘inquiéter : le recrutement d’Azpilicueta a démontré que l’OM savait mener sa barque discrètement. Le nouvel attaquant attendu est peut-être déjà dans l’avion en direction de la Canebière, qui sait ?
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/l-om-relance-des-pistes-prestigieuses-pour-son-attaque_51556

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Fabio Capello "ne songe pas à démissionner

Fabio Capello va parler de son avenir avec la Fédération anglaise de football (FA) après la large défaite subie par l'Angleterre face à l'Allemagne (4-1) dimanche en huitième de finale de la Coupe du monde.

"J'ai du temps pour prendre une décision. Je dois parler au président (de la FA). Je ne songe pas à démissionner", a déclaré le sélectionneur italien, encore abasourdi en conférence de presse d'après-match par l'ampleur du score.

Capello, qui est âgé de 64 ans, a pris les rênes de la sélection aux Trois Lions en janvier 2008. La FA a confirmé il y a moins d'un mois qu'il resterait sélectionneur jusqu'à la phase finale de l'Euro 2012 en Pologne et Hongrie.

Sous sa direction, alors qu'ils n'avaient pas réussi à se qualifier à l'Euro 2008, les Anglais ont remporté neuf de leurs dix matches éliminatoires de Coupe du monde.

Au total, Capello a supervisé 28 matches des Lions et affiche un bilan de 19 victoires et seulement cinq défaites.

Mais les prestations de l'Angleterre contre les Etats-Unis, l'Algérie et la Slovénie n'ont pas convaincu et la défaite contre l'Allemagne, la plus large subie par l'Angleterre en phase finale d'une Coupe du monde, a pris l'allure d'une humiliation pour une équipe qui disait viser le titre.

Fabio Capello a encore quelque temps pour réfléchir, les éliminatoires de l'Euro 2012 débutent en septembre.
http://fr.sports.yahoo.com/27062010/81/mondial-fabio-capello-ne-songe-pas-a-demissionner.html

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L'Argentine avec la manière

Au terme d'un match enlevé et souvent spectaculaire, l'Argentine a dominé le Mexique (3-1) dimanche à Johannesburg. Même si le premier but, signé Tevez, est entaché d'un hors-jeu incontestable, l'Albiceleste n'a pas volé sa victoire. Elle affrontera l'Allemagne dans un quart de finale qui promet.

ARGENTINE - MEXIQUE : 3-1


Buts : Tevez (26e, 52e), Higuain (33e) pour l'Argentine. Hernandez (71e) pour le Mexique.

Un air de déjà vu. L'Argentine doit avoir l'impression que l'histoire bégaye. Après s'être débarrassés du Mexique à Leipzig en 2006 (2-1 a.p.), les "Albicelestes" avaient retrouvé l'Allemagne pour un échec aux tirs au but (1-1, 2-4) en quarts de finale. Ils vont pouvoir tenter de prendre leur revanche après leur nouveau succès face aux Aztèques en huitièmes de finale du Mondial 2010 (3-1). De revanche, il n'y en a pas eu sur la pelouse de Johannesburg dimanche. Comme en 2006, le Mexique a quitté la Coupe du monde juste après la phase de poule contre l'Argentine. Et comme il y a quatre ans, les regrets vont être au rendez-vous.

Rafael Marquez avait encore en travers de la gorge le but sublime de Maxi Rodriguez, qui avait offert la victoire aux Argentins en Allemagne. "On avait perdu à cause d'un but qu'un joueur met une fois dans sa vie", a encore expliqué le capitaine des Aztèques juste avant ce remake. L'ancien défenseur de Monaco aura encore beaucoup de choses à dire après ce deuxième échec en quarts de finale. Car cette rencontre est entachée d'un but marqué sur hors jeu de Carlos Tevez (1-0, 26e). Une erreur d'arbitrage qui a tout changé.

Un but hors-jeu qui change tout

Jusque là, le Mexique avait montré de belles choses. Solides au milieu de terrain, vivaces devant, les joueurs de Javier Aguirre avaient posé de sérieux soucis aux Argentins au début du match. Salcido a même fait trembler le camp argentin sur une frappe de loin, qui a terminé sa course sur la barre de Romero (8e). L'Argentine restait sur ses gardes. Lionel Messi l’a réveillé. Il s'était déjà essayé deux fois - sans réussir - à aller au bout (7e, 11e) avant de sortir une nouvelle accélération dont il a le secret pour lancer Tevez dans la profondeur. Après avoir vu sa frappe arrêter par Oscar Perez, "Carlito" a conclu l'action sur une passe de Messi, qui avait récupéré le ballon. Un contre rondement mené ? Oui sauf que l'attaquant de Manchester City était hors-jeu d'un bon mètre...

Malgré les protestations des Aztèques, qui ont aperçu les images sur les écrans géants, et les doutes de Monsieur Rosetti, le but a été validé. Et le Mexique a pris un sérieux coup sur la tête. L'énorme erreur d'Osario en est la preuve. Sept minutes après le but de Tevez, le défenseur droit mexicain a manqué son contrôle juste devant sa surface. Il a offert une occasion en or à Higuain, qui ne s'est pas fait prier pour marquer son quatrième but du Mondial après avoir chipé le ballon (33e). 2-0, l'Argentine avait alors un pied en quarts de finale. Et les deux après un coup de canon énorme de Carlos Tevez juste après le retour des vestiaires. Le ballon a terminé dans la lucarne de Perez, impuissant (3-0, 51e).

La réduction du score sublime d’Hernandez n'a pas changé la donne (71e). Malgré les tentatives des Mexicains et notamment les frappes de l'excellent Carlos Salcido (62e, 69e), les Argentins ont géré leur avance et leurs efforts pour décrocher un nouveau billet pour les quarts de finale. Le Mexique va mettre quelques temps à digérer mais il dispose d'une belle génération pour rebondir le plus vite possible. L'Albiceleste peut maintenant se tourner vers un quarts de finale, qui s'annonce bouillant contre l’Allemagne. Avec, en toile de fond, le souvenir de deux finales mythiques (1986 et 1990) entre les deux géants du football.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/27062010/70/coupe-du-monde-2010-l-argentine-sert-show.html

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dimanche 27 juin 2010

Argentine Mexique en live ici sur ce site

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L'Allemagne aurait pu s'en passer

L'Allemagne a écarté l'Angleterre de façon spectaculaire (4-1), dimanche. Plus dynamique que l'équipe de Fabio Capello, lestée par une défense catastrophique, elle a aussi bénéficié d'un énorme coup de pouce de l'arbitre. Lampard avait bien égalisé à 2-2 (39e), mais le but a été refusé injustement.
ANGLETERRE - ALLEMAGNE : 4-1


Buts : Klose (20e), Podolski (32e), Upson (37e), Müller (67e, 70e)

Il se passe toujours quelque chose entre l'Allemagne et l'Angleterre. Les Allemands pestent depuis 44 ans contre le "but" de Geoff Hurst, qui avait offert le titre mondial aux Anglais à Wembley en 1966. On peut penser que les sujets de sa Majesté rumineront aussi longtemps l'invraisemblable erreur d'arbitrage commise par l'arbitre uruguayen M.Larrionda et son juge de touche. Comment ont-ils pu ne pas voir que le ballon était largement rentré dans le but de Neuer après avoir heurté la barre transversale sur cette frappe du droit de Frank Lampard à la 39e minute? Une erreur colossale qui a incontestablement pesé sur l'issue de ce huitième de finale, puisque ce but aurait permis à l'Angleterre de revenir à 2-2 à quelques minutes de la pause.

Bien sûr, la lecture sèche du score peut laisser penser que la Mannschaft s'est promenée. Cela a failli être le cas. Après un premier quart d'heure d'observation, les Allemands ont mis au supplice une défense anglaise pathétique, particulièrement dans son axe centrale. C'est là que les joueurs de Joachim Low ont appuyé et ils ont bien eu raison. Le premier but restera comme une caricature de cette criante faiblesse anglaise. Où étaient Terry et Upson sur le dégagement de Neuer, qui est devenu sur ce coup le premier gardien de but à réussir une passe décisive en Coupe du monde depuis... 1966? Un signe sans doute... Klose, lui, était là pour venir tromper de près un David James apathique. Le match était commencé depuis 20 minutes. 12 de plus et l'Allemagne menait 2-0 grâce à Podolski, complètement oublié dans la surface sur le côté gauche.

Une raclée en trompe-l'oeil

L'Angleterre aurait pu sombrer. En quelques secondes, elle a pourtant été tout près de revenir à hauteur de son adversaire. Il y eut d'abord le but de la tête de Matthew Upson. Puis ce "but" de Lampard, qui va faire causer dans les chaumières anglaises. Dommage, car ce match aurait peut-être pu devenir exceptionnel avec un deux partout à mi-parcours. Au lieu de quoi l'équipe de Fabio Capello n'a jamais réussi à remettre les Allemands suffisamment sous pression pour que ces derniers craquent. Certes, il y a eu ce coup-franc sur la barre de Lampard, décidément bien malheureux dimanche à Bloemfontein, en seconde période. Mais plus les minutes passaient, plus l'issue apparaissait inéluctable. Contraints de se découvrir, les coéquipiers de Steven Gerrard allaient être punis en trois minutes sur deux contres terribles et magnifiquement menés, conclus à chaque fois par l'épatant Thomas Müller. Cette fois, à 20 minutes du terme, l'affaire était définitivement pliée. Les vieilles jambes anglaises étaient trop lourdes dans le contexte du match face à l'attaque virevoltante de la Mannschaft. Pour les Allemands, c'était le scenario idéal. En menant au score, ils ont pu jouer sur leurs qualités.

Globalement, la meilleure équipe a sans doute gagné dimanche. La plus fraiche. La plus joueuse. La plus "lucky", aussi, donc. C'est une raclée en trompe-l'oeil. On ne saura jamais ce qu'aurait donné ce huitième de finale sans cette colossale erreur d'arbitrage. Ce n'est pas le problème de l'Allemagne, qui bénéficie peut-être de la chance du champion, même si le chemin est encore très long. N'empêche, la Mannschaft est au rendez-vous des quarts de finale, comme toujours depuis 1938. Une régularité remarquable, qui ne doit rien au hasard, elle. Pour l'Angleterre, c'est probablement la fin d'une génération. Sur ce tournoi, elle avait autant de lacunes qu'elle peut avoir de ressentiment envers l'arbitrage. C'est dire l'ampleur de ses manques...

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/27062010/70/27062010155804.html

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Mondial: l'Allemagne corrige l'Angleterre et va en quarts

L'Allemagne s'est qualifiée dimanche pour les quarts de finale de la Coupe du monde en corrigeant l'Angleterre 4-1 au Free State Stadium de Bloemfontein.

Le match a néanmoins été entaché d'une grosse erreur de l'arbitre uruguayen Jorge Larrionda, qui a refusé un but parfaitement valable à Frank Lampard en fin de première période alors que le score était de 2-1 pour l'Allemagne.

Les buts allemands ont été inscrits par Miroslav Klose (20e), Lukas Podolski (32e) en première période et Thomas Müller, à la conclusion de deux contres parfaits (67e et 70e) quand l'Angleterre cherchait à revenir.

La sélection aux Trois Lions avait réduit le score par Matthew Upson, à la 37e minute.

L'Allemagne rencontrera en quart de finale, samedi au Cap, le vainqueur du match Argentine-Mexique prévu à partir de 20h30 à Johannesburg.
http://www.lepoint.fr/mondial-l-allemagne-corrige-l-angleterre-et-va-en-quarts-27-06-2010-470890_19.php

Man City propose Robinho à Barcelone...

Le marché des transferts est loin d’avoir trouvé sa conclusion avec David Villa du côté du FC Barcelone. Avec le buteur espagnol en renfort, l’équipe catalane ressemble fort à une armada. Et pourtant, Pep Guardiola n’est pas satisfait et réclame de nouveaux joueurs. Cela devrait être Juan Manuel Mata, comme l’affirmait la presse espagnole en début de semaine, mais il semblerait que Valence ait subitement freiné l’opération.

Du coup, une autre option refait surface. Le quotidien ibérique Sport affirme ainsi que Manchester City a proposé Robinho au FC Barcelone. Le Brésilien est une des cibles de Guardiola depuis l’hiver dernier, lorsque l’entraîneur s’était rendu à l’évidence qu’il ne ferait plus jouer Thierry Henry. Avec le seul Pedro, c’est bien l’aile gauche qui a besoin de sang neuf. Comme nous vous le relations il y a quelques jours, après un rendez-vous entre le représentant du joueur et les dirigeants mancuniens, les deux parties ont convenu d’une séparation. Un divorce à l’amiable donc, mais qui se fera si seulement un club est capable d’aligner les millions.

Pour le Barça, cela ne sera pas plus de 22 M€. Une somme qu’il alignera uniquement s’il parvient à vendre Zlatan ibrahimovic. À ce sujet, rien n’est moins sûr puisqu’en ces temps de récession, peu de clubs sont capables de dépenser près de 50 M€, le prix réclamé par Barcelone pour céder le Suédois. Côté anglais, on espère voir Robinho réaliser une belle Coupe du Monde afin de faire grimper les prix. On s’achemine donc vers un feuilleton au long cours.
http://www.footmercato.net/liga/transferts/man-city-offre-robinho-a-barcelone_51531

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ANGLETERRE-ALLEMAGNE en live ici cet après midi

Suivez le choc européen ANGLETERRE-ALLEMAGNE en direct sur ce site en cliquant sur ce lien

http://www.20minutes.fr/article/581355/Sport-Coupe-du-monde-Angleterre-Allemagne-a-suivre-en-live-comme-a-la-maison.php


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Henri Emile dans le staff de Blanc ?

Il avait été écarté par Raymond Domenech. Ancien intendant de l'équipe de France de 1984 à 2004, Henri Emile (photo Presse-Sports) devrait reprendre du service auprès des Bleus. A en croire Le Journal du Dimanche, il devrait intégrer le staff de Laurent Blanc, dont il est resté proche et avec lequel il a remporté la Coupe du monde 1998 puis l'Euro 2000.

En revanche, Eric Bedouet, le préparateur physique de Bordeaux, ne devrait pas suivre Blanc en équipe de France. «Il est sous contrat. Je considère qu'il va continuer avec nous», explique au JDD Jean-Louis Triaud, le président girondin. L'hebdomadaire n'évoque pas l'hypothèse d'une double-casquette comme celle qu'a portée Robert Duverne, à la fois préparateur physique de Lyon et des Bleus entre 2006 et 2009.
http://www.francefootball.fr/FF/breves2010/20100627_112351_henri-emile-dans-le-staff-de-blanc.html

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Allemagne - Angleterre : quelle grande équipe va sortir ?

Ces deux grandes nations du football, qui nourrissent une vieille rivalité, se rencontrent à 16h. Le vainqueur affrontera le gagnant du match Argentine - Mexique.

L'Angleterre et l'Allemagne se rencontrent, ce dimanche 27 juin, en huitième de finale du Mondial 2010. A l'issue du match, qui débutera à 16h au stade de Bloemfontein, une grande nation du football quittera la compétition.

Les deux équipes nourrissent une vieille rivalité alors qu'elles se retrouvent à intervalle régulier lors des grandes compétitions internationales depuis la victoire épique de l'Angleterre au Mondial 1966, notamment grâce à un but contesté de Geoff Hurst, qui alimente toujours les discussions.

Deux des derniers duels se sont achevés aux tirs au but, toujours gagnés par les Allemands : en 1990 à la Coupe du Monde et en 1996 à l'Euro.

Sentiment de revanche des Mexicains

Le vainqueur de la rencontre affrontera le gagnant du match Argentine – Mexique, disputé ce dimanche au stade Soccer city de Johannesburg. Les Argentins, auteurs d'un sans faute lors de la première phase du Mondial sont donnés favori de ce huitième de final, à tel point que le sélectionneur Diego Maradona s'est efforcé de tempérer l'euphorie ambiante.

En 2006, lors de la Coupe du Monde en Allemagne, les équipes d'Argentine et du Mexique s'étaient déjà rencontrés au même stade de la compétition. Les Argentins l'avait emporté 2 à 1, notamment grâce à un but exceptionnel de Maxi Rodriguez qui avait fait un incroyable enchaînement contrôle de la poitrine et reprise de volée dans la lucarne. Un but qui a nourri le sentiment de revanche des Mexicains, bien décidés à retrouver les quarts de finale pour la première fois depuis 1986.

http://tempsreel.nouvelobs.com/dossier/foot-le-mondial-2010/20100627.OBS6225/allemagne-angleterre-quelle-grande-equipe-va-sortir.html

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Journal des transferts : l'OM en première ligne

C’est fait :

Le latéral droit d’Osasuna, Cesar Azpilicueta devrait être la première recrue estivale de l’OM et devrait être présenté mardi. Bruno Cheyrou est de retour en France, il s’est engagé avec le FC Nantes après six mois passés à Chypre. Joli coup pour Lorient qui s’est offert le prêt d’un jeune frenchie d’Arsenal, Francis Coquelin. Brillant au Mondial en Afrique du Sud avec la Slovaquie, Robert Vittek quitte définitivement Lille pour Ankaragucu. A l’étranger, Michael Ballack quitte Chelsea et retourne au pays puisqu’il s’est engagé avec le Bayer Leverkusen. En Italie, Marco Amelia est prêté par le Genoa au Milan AC pendant que Marco Storari quitte le club lombard pour rejoindre la Juventus. En Angleterre, Wolverhampton enregistre l’arrivée du défenseur français Steven Mouyokolo.

Ça fait le buzz :

En France, il règne toujours un certain flou à Bordeaux. Yoann Gourcuff est toujours pisté par Lyon. Au rayon des arrivées, l’arrivée de David Trezeguet a été formellement démentie par le président Triaud tandis que les autres dossiers trainent en longueur. À Marseille, après avoir finalisé l’arrivée du latéral droit Azpilicueta Didier Deschamps est toujours en attente de son attaquant de pointe. S’il a laissé entendre que Brandao et Niang pourraient encore être à l’OM la saison prochaine, il a estimé qu’André Pierre Gignac était encore un peu trop cher à son goût. Au rayon départs, les indésirables Cyril Rool et Fernando Morientes sont toujours au club. À Lyon, Adil Rami Yoann Gourcuff et Hernanes sont toujours pistés. Frederic Piquionne, Jean-Alain Boumsong et Mathieu Bodmer sont toujours plus que jamais sur le départ.

A Paris, le mercato traine et la première recrue n’a toujours pas été officialisée. Pourtant, les candidats à la signature sont nombreux. Bodmer, Boumsong, Tiené : autant de joueurs qui pourraient signer rapidement au PSG, ou pas. De son côté, Stéphane Sessegnon prépare son départ et clame à qui veut l’entendre qu’il veut quitter le PSG. Hormis Everton, les prétendants ne sont pas légions. Mention spéciale pour Rennes, le club le plus actif de L1 qui a déjà enregistré la signature de Jean-Armel Kana-Biyik et qui pourrait accueillir trois nouvelles recrues la semaine prochaine avec Onyekachi Apam, Georges Mandjeck et Johann Carrasso qui devraient s’engager en début de semaine prochaine avec le club breton.

À l’étranger, les transferts de Maicon (Inter Milan) et Di Maria (Benfica) vers le Real Madrid pourraient être bouclés cette semaine qui pourrait brader quelques jeunes talents du club pour financer ses très coûteuses acquisitions. Au Barça, le nouveau président Sandro Rosell doit se débarrasser de quelques indésirables (Ibrahimovic, Henrique, Hleb, Keirrison et Caceres) et ne désespère pas de recruter Cesc Fabregas et David Silva et Mezut Ozil, mais sur ces trois dossiers, il aura fort à faire. Quant à Juan Mata (Valence CF), il serait proche de signer avec les Blaugrana.

En Angleterre, Manchester United est toujours aussi actif à en croire les tabloïds anglais. Rafael Van Der Vaart, Jesus Navas et Joe Cole sont les pistes les plus évoquées cette semaine. Liverpool cherche toujours son coach et multiplie les contacts. Roy Hogdson (Fulham), Mark Hughes (libre), Slaven Bilic (Croatie), Manuel Pellegrini (libre), Frank Rijkaard (Galatasaray) et même Didier Deschamps sont évoqués pour succéder à Benitez. A Chelsea, la semaine a été plutôt calme et Nicolas Anelka a prolongé officiellement son contrat avec les Blues.

Du côté du Milan, le cas Huntelaar pourrit l’été du club lombard. Le buteur néerlandais ne veut pas partir et empêche Luis Fabiano d’engager. Chez le voisin Interiste, Diego Milito devrait rester et pourrait voir son salaire multiplié par deux. Javier Mascherano et Dirk Kuyt sont toujours dans les petits papiers de Rafa Benitez qui pourrait également tenter de récupérer Milan Jovanovic qui a pourtant signé un pré accord avec Liverpool. Enfin à la Juventus, le milieu français de Wigan Charles N’Zogbia serait sur les tablettes du club turinois tandis que William Gallas a refusé d’y être transféré. De leur côté, Mauro Camoranesi, Diego et David Trezeguet sont plus que jamais partants.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/mercato-la-gazette-de-la-semaine_51515

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