mercredi 29 février 2012

EN DIRECT de Brême en live ici ce soir

Suivez le match Allemagne - France en direct en cliquant sur ces liens.......
hebergeur image

Le brassard pour Lloris

Laurent Blanc a choisi son capitaine pour le prochain Euro. Ce sera Hugo Lloris. Le gardien de but de l'Olympique Lyonnais portera le brassard mercredi soir face à l'Allemagne et le gardera jusqu'au Championnat d'Europe. Eric Abidal et Philippe Méxès étaient également pressentis pour ce rôle.
Laurent Blanc l'a annoncé du bout des lèvres. Une annonce plus implicite que claire et nette. Mais pas de doute, Hugo Lloris sera bien le capitaine de l'équipe de France, mercredi soir face à l'Allemagne mais, au-delà, lors du prochain Championnat d'Europe. Avec Philippe Méxès et Eric Abidal, on savait déjà que le gardien lyonnais serait un des trois joueurs avec une forte responsabilisation dans le groupe. Restait à attribuer le brassard. Il sera pour Lloris.
"Vous pouvez le penser, oui", a d'abord répondu Laurent Blanc lorsqu'il lui a été demandé si son gardien de but serait capitaine à Brême mercredi soir. Puis, un peu plus tard, il a effectué exactement la même réponse à propos de l'Euro. Pourquoi Lloris? "J'estime qu'Hugo présente le plus de garanties dans ce rôle là, juge le sélectionneur tricolore. Il n'y aura pas que lui, encore une fois, mais j'estime que c'est quelqu'un qui a l'air de maîtriser et d'avoir une certaine lucidité dans ce rôle." Et Blanc de préciser qu'il ne s'agit en rien d'un choix par défaut mais bien, à ses yeux, du meilleur choix possible.
"Une belle marque de confiance"
Pourtant, lors de sa prise de fonctions, le sélectionneur avait indiqué qu'il n'était pas très chaud pour un capitaine évoluant au poste de gardien, mais qu'il préférait un joueur de champ, si possible un milieu de terrain. Au final, il a hésité entre deux défenseurs et un gardien, avant de trancher en faveur de celui-ci. Le coup de sang de Méxès, suspendu trois matches en Serie A pour avoir donné un coup de poing à Borriello samedi face à la Juventus, lui a-t-il porté préjudice? Non, a assuré Blanc, qui a néanmoins mis en garde le défenseur du Milan AC: "Ca n'a eu aucune influence sur mon choix définitif. S'il fait ça au premier match de l'Euro, il rentrera à la maison. C'est un sanguin et même s'il est plus mature... Il faut qu'il fasse attention. Des gestes comme celui qu'il a fait face à la Juventus peuvent le pénaliser, lui et l'équipe. A méditer et à ne plus refaire."
Pour Hugo Lloris, il s'agit plus d'une titularisation dans ce rôle que d'une découverte puisqu'il a déjà été capitaine à six reprises ces derniers mois, la première fois en Angleterre en novembre 2010. "C'est une belle marque de confiance de la part du sélectionneur", a-t-il estimé, visiblement un peu pris de court. Poussé dans ses derniers retranchements, Laurent Blanc a lâché le morceau... sans avoir prévenu son joueur, qui a donc appris la nouvelle lors de cette conférence de presse. "J'étais au courant que je faisais partie des trois candidats, a-t-il simplement dit. Il y a des joueurs qui ont plus de responsabilités dans cette équipe mais il faut rester soi-même. C'est une grande fierté mais il ne faut pas s'arrêter là."
Eurosport

http://fr.sports.yahoo.com/28022012/70/match-amical-le-brassard-pour-lloris.html
hebergeur image

lundi 27 février 2012

L'OM revient sur terre

Battu à Brest (1-0), Marseille a subi sa première défaite en L1 depuis plus de trois mois. Quatre jours après sa victoire en Ligue des champions face à l'Inter, l'OM n'a pu enchaîner. Une bien mauvaise opération pour les Phocéens, dépassés au classement par Toulouse, vainqueur de Sochaux (2-0).
Plongé dans une douce euphorie depuis sa victoire grisante face à l'Inter sur la scène européenne, l'Olympique de Marseille a subi un brutal retour à la froide réalité de la Ligue 1 dimanche. Brest n'a pas le prestige du géant lombard, mais les Bretons sont venus à bout de l'OM (1-0). Pas un mince exploit puisque l'équipe de Didier Deschamps n'avait plus connu le goût désagréable de la défaite depuis plus de trois mois. Il faut remonter au 23 novembre pour trouver trace du dernier revers olympien. C'était en Ligue des champions, face à l'Olympiakos. Quatre jours plus tôt, l'OM s'était incliné en championnat à Montpellier. Depuis, l'OM s'était forgée une imperméabilité à la défaite. Cette cuirasse s'est fissurée en Bretagne.
L'OM a été victime du réalisme brestois. Piégé par un coup de tête de Paul Baysse sur corner à la sortie du premier quart d'heure, il est ensuite tombé sur un Steve Elana proprement ahurissant. Le gardien breton a tout sorti, même ce qui semblait inarrêtable. On retiendra notamment ce double arrêt stratosphérique à l'heure de jeu, sur une frappe en demi-volée de Kaboré détourné sur son propre poteau, puis sur la reprise de Cheyrou à bout portant. Du grand art. Avec un portier à ce point en état de grâce, Brest ne pouvait pas ne pas gagner. Marseille a pourtant beaucoup tenté (22 tirs à 8), mais en vain.
Toulouse passe l'OM
Voilà en tout cas un accroc qui tombe bien mal pour les Marseillais. S'ils veulent revivre l'an prochain cette Ligue des champions qui leur apporte tant de satisfactions, ils vont devoir cravacher. Ils sont toujours à six points de Lille (avec le même nombre de matches que les Nordistes) et si, par bonheur, l'OM se qualifie pour les quarts de finale de la C1 dans deux semaines et demi à San Siro, il devra gérer quatre compétitions de front à l'approche du printemps. C'est à la fois prometteur et inquiétant dans l'optique de cette troisième place à aller chercher en championnat.
Si l'OM a perdu des points précieux dans la course à l'Europe, Toulouse, lui, en a engrangés trois supplémentaires face à Sochaux (2-0). La lanterne rouge n'a pas opposé une grosse résistance au TFC. Deux buts, signés Abdennour (9e) et Rivière (55e), ont suffi pour que les Violets signent leur deuxième succès consécutif en Championnat. Huit jours plus tôt, ils s'étaient promenés à Nancy (0-3). Résultat : sans faire de bruit, Toulouse grimpe à la 6e place. Avec autant de points que Lyon, un de plus que Marseille, et seulement trois de retard sur l'AS Saint-Etienne (4e). La situation sochalienne est nettement moins réjouissante. Au Stadium, les Lionceaux ont aligné un 12e match de rang sans victoire. A l'issue de cette 25e journée, ils sont toujours bons derniers de la classe.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/26022012/70/ligue-1-l-om-revient-sur-terre.html
hebergeur image

dimanche 26 février 2012

Lyon-PSG: un match fou fou fou



Le PSG sauve l'honneur, pas sa place

Le PSG a arraché un match nul complètement fou (4-4) sur le terrain de Lyon, qui aura mené 3-1 et aura été tenu à bout de bras, en fin de partie, par un très bon Hugo Lloris. Le club de la capitale perd cependant sa première place au bénéfice de Montpellier, vainqueur de Bordeaux (1-0).
Le PSG n'a pas tout perdu. A Lyon, Paris n'est pas parvenu à sauver sa tête. Mais il a évité la première défaite de l'ère Ancelotti en arrachant un nouveau match nul dans le temps additionnel (4-4). Comme face à Montpellier le week-end dernier (2-2), Guillaume Hoarau a joué les sauveurs au terme d'un match spectaculaire. Paris abandonne malgré tout le fauteuil de leader aux Héraultais, qui comptent désormais un point d'avance. Si la réaction de son équipe a dû soulager Carlo Ancelotti, toujours invaincu en 2012, l'Italien aura sans doute des choses à redire. Sans un grand Hugo Lloris, son équipe aurait pu espérer un meilleur sort. Mais sa défense, victime du réveil de la ligne d'attaque lyonnaise, n'est plus la plus hermétique du championnat. Gomis, Lisandro, Bastos et Briand se sont unis pour faire vivre aux Parisiens une soirée difficile. Mais pour l'OL (5e), maintenu à cinq points du podium avant le match de Lille, c'est un énorme coup de massue.
Hoarau, le sauveur
On ne pourra pas reprocher au PSG son manque de caractère. A l'image de Guillaume Hoarau, préféré au coup d'envoi à Kevin Gameiro et auteur de l'ouverture du score sur un coup franc habilement joué par Jérémy Menez (21e, 0-1). Le Réunionnais a trouvé dans les dernières secondes la force d'arracher de la tête un troisième match nul de suite bien qu'ayant loupé la balle de 2-0 à la 28e minute. Un loupé qui a permis un retour fracassant des Lyonnais. En cinq minutes, l'OL a totalement renversé la situation. Bafétimbi Gomis a égalisé sur un corner mal renvoyé par la défense (35e, 1-1). Lisandro, servi par Bastos (36e, 2-1), a frappé à son tour avant que ce dernier ne marque suite à un nouveau corner encore mal négocié par l'arrière-garde parisienne (40e, 3-1). Après un penalty transformé par Nene avant la pause pour une faute commise sur lui-même par Gonalons à la limite de la surface (45+3, 3-2), les Lyonnais ont pourtant porté le score à 4-2 grâce à Jimmy Briand (57e).
Mis sous pression par la victoire de Montpellier face à Bordeaux (1-0), le PSG a de nouveau montré sa capacité de réaction, faute d'avoir su faire la différence en début de match. Un sursaut initié à 4-2 par Ancelotti. En faisant rentrer Gameiro au profit d'un Pastore transparent (61e), le Mister est passé à un système à deux attaquants qui a posé davantage de problème à Lyon. Il a surtout fait rentrer Ceara (71e), qui a réduit le score quelques minutes plus tard (73e, 4-3). Seul Lloris a longtemps semblé pouvoir contrarier ses plans. Déjà décisif dans les premières minutes sur une déviation de Koné (10e), face à Jallet (18e) ou Alex (32e), le gardien de l'OL a fait tout ce qu'il pouvait pour dégoûter Nene (82e) ou Thiago Motta (86e). Mais il a fini par céder face Hoarau, auteur de trois buts en deux matches. Sans doute le seul vainqueur du soir à Gerland.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/25022012/70/ligue-1-le-psg-sauve-l-honneur-pas-sa-place.html
hebergeur image

vendredi 24 février 2012

Lyon: Bernard Lacombe dénonce «une équipe de fonctionnaires»

Le bras droit de Jean-Michel Aulas trouve que les joueurs de l'OL ne mouillent pas assez le maillot...
A l’époque où il commentait les matchs de l’Olympique Lyonnais sur la chaîne du club, Bernard Lacombe n’a jamais hésité à sortir le sécateur pour critiquer l’arbitrage (forcément anti-OL) mais aussi ses propres joueurs. Dans un entretien au Parisien ce vendredi, le conseiller spécial du président Jean-Michel Aulas n’hésite pas une fois de plus à secouer les partenaires de Cris. «A Bordeaux et contre Caen, je le dis, j’ai eu honte. Les gars marchaient tous. Pour trouver un joueur démarqué, il fallait que le porteur du ballon travaille à la Nasa», balance l’ancien attaquant avec un sens de la formule bien à lui.
A la veille de recevoir le PSG en championnat, Lacombe cherche à remobiliser un groupe qui alterne exploits renversants et prestations consternantes, selon lui. «Les exigences, chez nous, sont importantes, mais, par moments, j’ai l’impression de voir une équipe de fonctionnaires! On dirait que chacun calcule ses efforts en pensant: “Faut pas trop que je coure, je vais passer pour un con.” Les fonctionnaires et les joueurs de l’OL apprécieront.
http://www.20minutes.fr/article/886043/lyon-bernard-lacombe-denonce-une-equipe-fonctionnaires

jeudi 23 février 2012

France: Sans Benzema, avec Amalfitano et Saha contre l’Allemagne

Blanc a retenu 23 joueurs en vue de l’amical à Brême le 29 février contre l’Allemagne, dernier test avant la liste qui sera dévoilée au printemps pour l’Euro-2012 et les trois matches de préparation.
L’absence de Benzema pour cet amical de prestige contre un des favoris de l’Euro-2012, l’Allemagne, était attendue et redoutée. L’ex-Lyonnais a été blessé à une cuisse, mardi en Ligue des champions contre le Spartak Moscou, et pourrait souffrir d’une élongation. Le journal espagnol Marca évoquait mercredi deux semaines d’absence, le Real ne confirmant pas.
Blanc savait déjà qu’il ne pouvait pas compter sur un autre atout offensif, Loïc Rémy (Marseille) dont le forfait était déjà connu.
En l’absence de Benzema et Rémy, Olivier Giroud (Montpellier), fort de ses 16 buts en Ligue 1, a de nouveau été convoqué. Le Montpelliérain a déjà connu en Bleu deux premières entrées en jeu contre les Etats-Unis (1-0) et la Belgique (0-0) en novembre en amical.
Kevin Gameiro, malgré sa nette perte de confiance au Paris SG, est également dans la liste. La petite surprise vient du rappel de Louis Saha (19 sélections), un «ancien» (33 ans) dont la carrière internationale a toujours été hachée par des blessures à répétition. Mais «P’tit Louis» vient de réussir un doublé avec sa nouvelle équipe de Tottenham face à Newcastle, le 11 février.
Giroud, Gameiro et Saha sont les trois seuls attaquants de la liste. Les absents notables à ce poste sont donc Djibril Cissé (30 ans), qui tente de se refaire une santé aux Queens Park Rangers après six mois cauchemardesques à la Lazio Rome, et le Lyonnais Bafétimbi Gomis (2 buts en 6 sélections).
Bien armé en défense
Amalfitano, milieu de l’OM, voit donc quant à lui sa bonne saison marseillaise récompensée par une première convocation en Bleu à 26 ans. Un premier rendez-vous attendu pour le néo-Marseillais. «Il a un gros potentiel. S’il continue à enchaîner les gros matches, il tapera dans l’oeil du sélectionneur», avait prédit fin janvier Alou Diarra, international et partenaire d’Amalfitano à l’OM. Bien vu.
Autre bonne nouvelle pour l’OM, Mathieu Valbuena, redevenu le «Monsieur Plus» de Marseille après un automne quelconque, est également rappelé en Bleu.
Si l’attaque des Bleus est décimée avec les absences de Benzema et Rémy, Laurent Blanc paraît moins démuni en défense et enregistre au contraire des retours bienvenus.
Philippe Mexès, dont la dernière apparition en équipe de France remonte au 29 mars 2011, a été rappelé et va ainsi pouvoir retrouver son compère de la charnière centrale Adil Rami et peaufiner une association qui s’annonçait prometteuse avant sa grave blessure à un genou.
Patrice Evra, dispensé du dernier rassemblement en raison d’un drame familial, a aussi logiquement été retenu.
En revanche, malgré son rétablissement après sa fracture du péroné, Bacary Sagna n’a pas été retenu par le sélectionneur.

Football Ligue des Champions - L'OM a franchi le pas

hebergeur image
 


Jusqu'ici, tout ressemblait au huitième de finale aller de la saison dernière face à Manchester United (0-0), celui sur lequel Steve Mandanda avait refusé de s'attarder, mardi alors qu'on lui suggérait l'hypothèse d'un match fermé et sans prise de risque. Puis André Ayew a surgi, au bout du temps additionnel, sur un ultime corner, pour offrir à l'OM une victoire riche de sens et d'émotion contre l'Inter Milan, grand d'Europe, vainqueur du trophée en 2010 (1-0). Le club italien est désormais à la portée du club français, pour peu que l'équipe de Didier Deschamps fasse preuve du même réalisme dans l'enceinte de San Siro qui lui a si bien réussi dans le passé. 
Une victoire à l'Italienne
Une victoire à l'Italienne. C'est sans doute l'image qu'on gardera. Sauf que l'Inter, même en plein doute, ne s'attendait peut-être pas à ce qu'elle soit marseillaise. Malgré de nombreuses tentatives (17 tirs contre 6), l'OM a su faire preuve de réalisme pour remporter son premier match à élimination en Ligue des Champions depuis sa victoire face au Milan AC en 1993 ! Car, avant l'éclair d'Ayew, les attaquants marseillais se sont peu mis en évidence. A l'image de Brandao, en pleine réussite en ce moment (5 buts en 6 matches), qui a rarement été lâché par le marquage musclé des sentinelles Lucio et Samuel. Au total, et malgré une bonne entame de match, les Marseillais n'auront trouvé que cinq fois la direction du but.
Mais c'est surtout en défense que l'OM a remporté son duel. Sans emballer le match, les Nerazzurri ont eu plusieurs occasions d'ouvrir le score, par Forlan (11e), le titulaire surprise Zarate (36e) ou Stankovic (74e). Mais les Phocéens, emmenés par un bon Nkoulou, ont tenu bon. Pour le quatrième match consécutif, l'Inter est restée muette. Et s'est inclinée pour la quatrième fois. Cette fois, c'est André Ayew, meilleur buteur marseillais en C1 (4 réalisations), qui a sanctionné le manque de réalisme des Italiens malgré la présence de Sneijder à la baguette. A la 90e minute, Deschamps aurait sans doute signé pour un match nul. A 30 secondes près, c'est finalement avec un but d'avance qu'il se rendra à San Siro, le 13 mars. Un rendez-vous auquel pourrait participer Loïc Rémy. Mais pas Chivu, suspendu.
http://www.eurosport.fr/football/ligue-des-champions/2011-2012/l-om-a-franchi-le-pas_sto3165403/story-lci.shtml

Benzema, pas de miracle

Karim Benzema sera absent au moins deux semaines, selon les médias espagnols. Le Français souffre d'une petite lésion à l'adducteur droit qui l'empêchera de jouer avec les Bleus le 29 février lors d'Allemagne - France. Sorti mardi à la 15e minute de CSKA Moscou - Real, il est espéré pour le retour.
Le mystère qui a entouré toute la journée la blessure qui a contraint Karim Benzema à sortir, mardi à Moscou, a pris fin quasiment 24 heures après les faits. Sorti grimaçant après une reprise de volée, le Français n'a pas coupé à la blessure musculaire que son faciès et son pas meurtri laissaient craindre. Selon les médias madrilènes, les examens qu'a passés le Français dès son retour, mercredi, ont révélé une lésion à l'adducteur droit qui va nécessiter au minimum deux semaines d'arrêt, et possiblement trois.
Le Real Madrid n'a pas encore confirmé ces informations. Mais les premiers éléments recueillis ne laissent plus aucune chance au buteur formé à l'OL de retrouver les terrains avant le très attendu Allemagne - France de mercredi prochain à Brême. Laurent Blanc, qui fournira jeudi la liste des joueurs retenus pour la rencontre, encaisse un coup dur supplémentaire pour son attaque après la blessure de Loïc Rémy, victime d'une lésion aux ischio-jambiers.
Pour Karim Benzema, qui devrait passer de nouveaux examens jeudi, le challenge consiste déjà à revenir pour le huitième de finale retour contre le CSKA, le 14 mars. Déjà certain de manquer le prochain match de Liga sur la pelouse du Rayo Vallecano, dimanche, Benzema pourrait rater trois journées espagnoles. En attendant, l'Argentin Gonzalo Higuain devrait le suppléer à la pointe de l'équipe de José Mourinho. Higuain, qui n'a pas joué un match en intégralité depuis le 3 janvier en Copé del Rey contre Malaga (3-2), en profitera pour raviver la concurrence. Olivier Giroud, Kevin Gameiro voire Guillaume Hoarau, tentera la même chose avec les Bleus.
Eurosport

http://fr.sports.yahoo.com/22022012/70/match-amical-benzema-pas-de-miracle.html

hebergeur image

mercredi 22 février 2012

Marseille - Inter Milan à suivre en live ICI CE SOIR

Suivez  Marseille - Inter Milan en direct ici ce soir en cliquant sur ces liens......
http://fr.sports.yahoo.com/football/ligue-des-champions/2011-2012/olympique-de-marseille-inter-milan-484249.html

hebergeur image

Sochaux-Lille, Saint-Etienne-Lorient et Caen-Auxerre en live

Suivez Sochaux-Lille, Saint-Etienne-Lorient et Caen-Auxerre en direct en cliquant sur ce lien.........

hebergeur image

Naples accable Chelsea

En pleine crise, Chelsea a subi une lourde défaite à Naples (3-1) en 8e de finale aller de la Ligue des Champions. Un résultat qui assombrit l'avenir européen des Blues et celui d'André Villas-Boas. Mené, le Napoli a encore impressionné à San Paolo pour prendre une option sur les quarts.
Pour Chelsea, en pleine crise (1 victoire en 7 matches), l'obstacle était sans doute trop gros. A San Paolo, où Naples n'a plus perdu depuis 2008 et son retour sur la scène européenne (11 matches), les Blues ont été dépassés par l'envie de leur adversaire du soir (3-1). S'ils ont ouvert le score, ils ont fini par mordre la poussière, comme Manchester City et Villarreal avant eux. Pour la troisième participation de leur histoire en Ligue des Champions, les Italiens continuent d'afficher un enthousiasme rafraîchissant. Ils peuvent désormais aborder sereinement leur déplacement à Stamford Bridge, le 14 mars. S'ils ne sont pas encore hors-course, les Londoniens sont quant à eux clairement sous pression. Plus particulièrement André Villas-Boas, dont les changements opérés sont loin d'avoir porté leurs fruits.
Lavezzi-Cavani, ça fait mal
Pour redresser la barre, AVB avait pourtant frappé fort. Déjà privé de John Terry, dont on avait appris l'absence pour six semaines dans la journée, l'entraîneur avait décidé de placer plusieurs joueurs d'expérience sur le banc. Exit donc Lampard, Ashley Cole, Torres ou encore Essien. Un geste fort pour secouer son vestiaire. Si ses plans ont rapidement été remis en cause par la blessure de Bosingwa (12e), qui devait rendre illico presto sa place à Cole, Chelsea a semblé être sur la bonne voie en début de match. En pleine domination italienne, Cech a multiplié les parades et Mata a profité d'une erreur de Paolo Cannavaro pour tromper la défense napolitaine pour la première fois depuis cinq matches (27e, 0-1). Un but qui permet aux Anglais de garder espoir pour la qualification.
Mais s'ils veulent renverser la situation à domicile, les Blues devront montrer autre chose. Les errances de David Luiz et la rusticité de Gary Cahill pour son premier match à ce niveau ont pesé trop lourd. D'autant plus que, en face, le duo Ezequiel Lavezzi-Edinson Cavani est allé beaucoup trop vite pour une défense qui vient d'encaisser dix buts en cinq matches. Le premier a d'abord remis les équipes à égalité d'une frappe enroulée qui trompait Cech (1-1, 38e). Puis Cavani, auteur de son 18e but en 19 matches, a donné l'avantage aux Italiens, peut-être de l'épaule (2-1, 45e+2), avant d'offrir sur une passe en retrait un doublé à Lavezzi (3-1, 65e). Ashley Cole devait même sauver sur sa ligne une frappe de Maggio (85e). Sturridge, Mata et Drogba, eux, se sont montrés trop maladroits. Dans trois semaines à Londres, le Napoli, expert dans l'art de la contre-attaque, sera dans sa position préférée. Chelsea et Villas-Boas seront en grand danger. Et l'Angleterre pourrait alors perdre son dernier représentant en C1...
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/21022012/70/ligue-des-champions-naples-accable-chelsea.html
hebergeur image

mardi 21 février 2012

Live CSKA Moscou - Real Madrid

Suivez le Réal à Moscou en cliquant sur ce lien ...

hebergeur image

Gameiro, toujours pas

Kevin Gameiro, titulaire mais sevré de ballons, a erré comme un fantôme face à Montpellier (2-2) puis a été remplacé à l'heure de jeu. Malgré une volonté de bien faire, la situation de l'attaquant parisien ne s'arrange pas. Peut-il être lui-même dans ce 4-2-3-1 qui est aussi celui des Bleus?
Les statistiques sont souvent trompeuses. Pour Kévin Gameiro, deuxième meilleur buteur du Paris Saint-Germain, elles font mal. L'ancien Lorientais, titulaire à 23 reprises sur 24 journées cette saison, et auteur de 10 buts, a de plus en plus de mal à exister au sein d'un collectif certes globalement solide mais incapable de produire du jeu et donc de la servir sur un plateau. Ce dimanche contre Montpellier, un imbroglio régnait sur la titularisation ou non de l'international tricolore, qui devait faire face au retour express de Javier Pastore, finalement bien remis de sa blessure à la cuisse. Le choc contre Lyon, samedi prochain, donnera plus d'indications sur le devenir du droitier dans le onze de départ de Carlo Ancelotti. Mais en plus du retour de Pastore, le but salvateur de Guillaume Hoarau, plus adapté à un 4-3-3 que son coéquipier, ce dimanche, peut ouvrir de nouvelles pistes tactiques au "Mister" au détriment d'un Gameiro toujours inefficace.
Sevré de ballons sur les quelques contres parisiens obtenus en première période, Gameiro, toujours combattif et désireux de bien faire, est allé s'exiler sur l'aile droite que Menez a souvent désertée pour repiquer dans l'axe. Les chiffres, toujours eux, sont venus rappeler au buteur du PSG qu'abandonner son poste n'est jamais bon : seulement 20 ballons touchés en une heure effective de jeu pour 2 tirs (dont 1 seul cadré). Le premier tir, tenté depuis les 20 mètres et survenu à la 29e minute, est venu rappeler que Gameiro n'est pas un attaquant complet et que son principal défaut demeure de ne pas être un "tueur". Un chiffre, encore : sur ces 44 dernier tirs effectués en Ligue 1, Gameiro n'a marqué que 2 buts.
Loin, très loin des chiffres de Lorient
Le rendement et l'implication de Kévin Gameiro, qui ne pointe qu'à une seule longueur de Nene et à six de Giroud au classement des buteurs, sont à l'évidence réduits à néant dans ce 4-3-3 où deux solistes tels que Nené et Menez restent attirés par la lumière. Menez a par exemple jugé préférable de frapper au but à la 36e plutôt que de combiner avec lui. La question demeure brûlante: Gameiro peut-il évoluer dans ce dispositif qu'il retrouve également en équipe de France (où il n'a marqué qu'un but en 8 matches) ? A Lorient, qui jouait pour lui en 4-4-2, le renard des surfaces pouvait se targuer de statistiques impressionnantes (50 buts en trois saisons). Après le nul concédé face au Montpellier de Giroud (2-2), Gameiro a certainement pris conscience que son statut de potentiel numéro 1 était remis en cause... et pas qu'au PSG. Ce Giroud, qu'il voulait "titiller" avant le match, a certainement ramené plus qu'un point dimanche.
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/20022012/70/ligue-1-gameiro-toujours-pas.html
hebergeur image

lundi 20 février 2012

Montpellier ne se cache plus

Dans les travées du Parc des Princes, ils ont quitté le vestiaire un à un. La tête haute. "Frustrés" par ce nul concédé dans les dernières secondes à Paris (2-2). Mais tellement "fiers" d'être toujours sur les talons du PSG à l'issue de la 24e journée de Ligue 1. Les Montpelliérains l'ont prouvé dimanche soir : oui, il faudra bien compter sur eux dans la course au titre.
Après la rencontre, les questions ont inévitablement tourné autour de ce sujet. Les Héraultais ne l'ont pas esquivé. Bien au contraire. Leurs réponses ont même trahi des ambitions revues à la hausse. Accrocher le leader chez lui, ça donne forcément des idées. En milieu de semaine, Olivier Giroud ne voulait pas parler de titre. "Prématuré", disait-il. Dimanche, son discours a sensiblement changé. Quand un journaliste lui a demandé si le MHSC pouvait être sacré, l'attaquant international a immédiatement répliqué, sourire en coin : "Avec ce qu'on a montré ce soir, vous ne pensez pas ? En tout cas, moi, j'espère. On a encore montré de belles choses. On espère jouer crânement notre chance jusqu'au bout." "Ce résultat est très encourageant pour la première place", lâchait Henri Bedimo, intenable dans son couloir gauche.
"J'ai entendu beaucoup e gens dire qu'on allait s'écrouler..."
Quelques minutes plus tôt, en conférence de presse, les paroles de René Girard n'étaient pas aussi directes. Mais elles signifiaient la même chose. "Le titre? Pourquoi pas?, reconnaissait le coach héraultais. On est deuxièmes, à un point. Il y a encore 14 matches et il va se passer des choses. J'ai entendu beaucoup de gens dire qu'on allait s'écrouler. J'ai le plaisir de les décevoir. On est toujours là et on va s'accrocher jusqu'au bout."
"Fier d'être paysan", pour faire écho aux chants des supporters parisiens, Girard a vu son équipe "réussir un match référence". "On a montré qu'on est capable de faire un match pareil devant 45.000 personnes, tenir tête au leader et lui mettre presque la tête sous l'eau." Jusqu'à cette égalisation de Guillaume Hoarau dans les ultimes minutes. "C'est vraiment rageant, pestait Giroud. C'est peut-être une erreur de jeunesse. Il y avait la place de passer devant. Mais bon, ce n'est pas plus mal qu'on reste derrière. Au moins, on n'aura pas la pression à gérer." Juste celle de sa propre ambition.
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/20022012/70/ligue-1-montpellier-ne-se-cache-plus.html

hebergeur image

Lyon rentre dans le rang

Battu à Bordeaux (1-0), Lyon a signé son troisième match sans victoire lors de la 24e journée de Ligue 1. L'OL (5e) reste donc au pied du podium à égalité de points avec l'OM, Rennes et St-Etienne. Les Girondins (9e), qui confirment leur retour en forme, ne sont plus qu'à trois longueurs.
L'OL n'avance plus. A Chaban-Delmas, les hommes de Rémi Garde ont enchaîné un troisième match sans victoire, piégé par le retour en forme de Bordeaux et Yoann Gouffran (1-0). Tenus en échec par l'OM (2-2) puis surpris par Caen (2-1), ils prennent du retard dans la lutte acharnée pour la troisième place. Lille, qui s'était imposé la veille à Lorient (0-1), pointe désormais à trois longueurs. Surtout, les Gones voient du monde revenir derrière. Avec 39 points, ils font désormais partie d'un groupe de quatre qui lorgnent sur le podium. Marseille et Saint-Etienne, qui comptent un match en retard, pourraient même faire une belle opération. Quant aux Girondins, qui viennent de prendre 13 points sur leurs cinq derniers matches, ils ne sont plus qu'à trois points et peuvent rêver d'Europe.
Lyon, qui avait enregistré 9 défaites la saison dernière, en affiche déjà 8 au compteur. Cette semaine, la courte victoire en Ligue des champions contre l'APOEL Nicosie (1-0) avait tiré la sonnette d'alarme, mardi. L'OL n'est pas en confiance et ça se voit. En Gironde, le contenu a été à la hauteur du résultat. Inquiétant. Pour redresser la barre, Garde avait pourtant tenté de changer de système en abandonnant le 4-2-3-1 pour un 4-3-3 qui poussait Lisandro sur le banc. Pour très peu d'occasions à l'arrivée. Dans son but, Cédric Carrasso a passé une après-midi très tranquille. Seules quelques frappes lointaines l'ont sollicité. Le passage de Lyon en 4-4-2, avec les entrées de Lisandro et Briand à la place de Lacazette et Källström (55e), n'y a rien changé.
Un autre chose qui ne change pas, ce sont les errements défensifs lyonnais. Toujours à la recherche de sa charnière centrale, Garde avait décidé d'associer Umtiti et Koné. Mais c'est ce dernier a offert le but de la victoire aux Girondins. Sur un corner, l'ancien Guingampais a dévié le ballon de la tête au premier poteau. A l'affût, Gouffran n'avait plus qu'à profiter de l'offrande pour inscrire son 8e de but de la saison (41e, 1-0). Après avoir fait chuter Lille, la formation de Francis Gillot signe ainsi sa sixième victoire consécutive à domicile. A ce rythme là, l'équipe en forme de 2012 pourrait bien décrocher une place européenne. Une situation encore impensable en début de saison. La prochaine journée, où Bordeaux se déplacer à Montpellier et Lyon recevra le PSG, en dira plus sur les ambitions des uns et des autres.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/19022012/70/ligue-1-lyon-rentre-dans-le-rang.html
hebergeur image

dimanche 19 février 2012

PSG-Montpellier en live ici ce soir !

Suivez PSG-Montpellier en direct en cliquant sur ces liens ...............
http://fr.sports.yahoo.com/football/ligue-1/2011-2012/paris-sg-montpellier-452991.html

hebergeur image

Bordeaux - Lyon et Saint-Etienne - Rennes en live

Suivez Bordeaux - Lyon et Saint-Etienne - Rennes en direct en cliquant sur ce lien A PARTIR DE 16H50...........

hebergeur image

L'OM baisse la tête

Tenu en échec par Valenciennes (1-1), Marseille a signé un deuxième match nul de suite à domicile lors de la 24e journée. Les Marseillais pointent désormais à trois points du podium. L'OM, qui avait fait tourner avant la réception de l'Inter Milan mercredi en Ligue des Champions, peut s'en vouloir.
Marseille reste invaincu depuis neuf matches en Ligue 1. Si la série se poursuit, l'OM marque clairement le pas, notamment à domicile où il vient d'aligner deux matches nuls consécutifs. Après Lyon (2-2), c'est Valenciennes (1-1) qui est venu priver les hommes de Didier Deschamps de deux points précieux dans la course au podium. Alors que Lyon et Rennes peuvent encore les dépasser dimanche, ils restent provisoirement bloqués à une fragile 4e place à trois points du podium sur lequel Lille a conforté sa place. Comme le LOSC, l'OM dispose d'un match en retard face à Evian, disputé le 6 mars. Mais les voyants ne sont pas vraiment au vert après une rencontre qu'il a laissé filé alors qu'il semblait maîtriser les débats. Un cafouillage de la défense a permis à VA d'égaliser par Gil (51e) et empêcher une belle occasion de se rapprocher des trois premières places.
Deschamps a fait tourner
Didier Deschamps, qui avait demandé à ses joueurs de ne pas avoir la tête à la réception de l'Inter Milan mercredi, est-il lui-même tombé dans le piège ? Avant le troisième match de l'OM en une semaine, l'entraîneur a fait le choix de faire tourner son effectif. En l'absence de Loïc Rémy, blessé, il a fait confiance aux deux frères Ayew, André et Jordan, au détriment de Brandao. Outre le Brésilien, plusieurs titulaires ont également pris place sur le banc : Benoît Cheyrou, Cesar Azpilicueta et Jérémy Morel. En l'absence de leur buteur Brandao, auteur de 5 réalisations en six matches, les Phocéens se sont pourtant montrés efficaces grâce à Alou Diarra à la réception d'un centre de Rod Fanni pour ouvrir rapidement le score (1-0, 16e).
Mais, alors que Jordan Ayew aurait pu doubler la mise sur son tir contré qui venait mourir sur la transversale (29e), Marseille est retombé dans ses travers. Après la sortie de Diarra à la pause, remplacé par Cheyrou, l'OM s'est endormi. Et le danger a changé de camp. La sanction a fini par tomber par l'intermédiaire de Gil qui a profité des errements de la défense olympienne pour égaliser au milieu d'une forêt de jambes (1-1, 51e). Malgré une bonne frappe de Kaboré (74e) puis une tête de Brandao sur le poteau alors que Penneteau était battu (88e), les Marseillais ne s'en relevaient pas. Si le VAFC, qui restaient deux victoires consécutives, s'installe confortablement au milieu de tableau, l'OM réalise la mauvaise opération de la soirée. Avant de défier l'Inter au Vélodrome, Deschamps espérait sans doute une meilleure préparation.
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/19022012/70/ligue-1-l-om-baisse-la-tete.html
hebergeur image

samedi 18 février 2012

Marseille - Valenciennes à suivre en live ici ce soir

Suivez  Marseille - Valenciennes en direct en cliquant sur ce lien .............

hebergeur image

Le multiplex de la 24e journée en live

Suivez Le multiplex de la 24e journée en direct en cliquant sur ce lien.......

hebergeur image

Blanc veut "aller à Rio"

Laurent Blanc déclare que "bien sûr", il "a envie d'aller à Rio", pour mener les Bleus à la Coupe du monde 2014, malgré son désaccord avec le président de la FFF sur le calendrier de sa prolongation. "Je souhaite pouvoir continuer", dit-il ce vendredi dans un entretien au Monde.
Laurent Blanc s'était juré de ne plus en parler. Mais le sélectionneur des Bleus a dû se rendre compte que son absence dans l'espace médiatique nuisait davantage au climat des Bleus et à son image que le contraire. Dans un long entretien au Monde paru vendredi soir, le Laurent Blanc reprend la main sur les dossiers "désagréables" auxquels il a été mêlé depuis la qualification des Bleus à l'Euro 2012, tous liés de près ou de loin à ses rapports avec son patron Noël le Graët et avec la FFF. Blanc explique notamment, sans nier le désaccord sur le timing d'une éventuelle prolongation, que l'idée d'un point de non-retour agité il ya dix jours par le Journal du dimanche ne correspond pas à la réalité. Voici sa version sur tous les sujets qui fâchent :
STOP APRES 2012 ?

Interrogé sur sa volonté d'être prolongé jusqu'à la Coupe du monde 2014, Blanc répond : "Bien sûr que j'ai envie d'aller à Rio. Mon métier me plaît. Je souhaite continuer et j'espère pouvoir créer les fondations nécessaires au renouveau de l'équipe de France. J'exprime une envie, si c'est le cas, tant mieux. Sinon la vie continue. Je ne suis pas le seul décisionnaire. Je ne veux pas passer pour le mec que je ne suis pas. Je ne réclame rien." Sur l'idée de rapports frigorifiés avec son président, le sélectionneur les nie tout en assumant le désaccord sur le calendrier. "Ne comptez pas sur moi pour entretenir cette polémique. C'est une histoire entre le président de la Fédération et moi. J'aurais souhaité être prolongé avant l'Euro. Le président a une autre opinion. Je l'enregistre. La prochaine interview que je vous conseille de faire est celle du président."
LA BATAILLE DU CAMP DE BASE

Présenté comme favorable à un séjour en Pologne alors que les Bleus joueront à Donetsk, le patron des Bleus réfute l'existence de ce débat : "On a voulu faire croire aux gens que le président avait imposé le choix de l'Ukraine. C'est une aberration. Cela a été un choix cohérent, qui a été uniquement rendu possible lors du tirage au sort parce que le Portugal, qui avait l'option numéro un sur le centre du Shakhtar Donetsk, s'est désisté. Notre objectif est de passer le moins de temps possible dans les aéroports et sur les routes."
SPONSORISÉ A TITRE PRIVÉ ?
Son opération commerciale avec un sponsor des Bleus, le Crédit agricole, pour une somme estimée à 300.000 euros, aurait été effectuée à titre purement privé, sans information préalable de la FFF. Là encore, démenti. "La Fédération était au courant, nie Blanc. Comment aurais-je pu signer un contrat avec un sponsor de l'équipe de France qui fait sa propre publicité sur le site de la FFF sans que les services marketing de celle-ci soient au courant ? C'est transparent."
UN ÉTAT DANS L'ÉTAT
Le procès en "super-indépendance" fait à Laurent Blanc dans certains couloirs de la FFF est alimenté par l'existence d'un staff technique important, cher, qui fait doublon sur certains postes avec l'organigramme de la FFF. Le sélectionneur, moins défensif sur ce sujet, défend ses hommes et renvoie la Fédération à ses reponsabilités. "N'oublions pas que, depuis dix-sept mois, on a connu trois présidents à la Fédération, trois directeurs généraux. A chaque fois, ça a été un discours différent. Moi, on m'a dit : 'Choisis les hommes'. J'en suis très satisfait. Le choix des hommes, je l'assume. Mais les discussions de contrats, de salaires, vous croyez que c'est moi qui les mène ? Pas du tout. C'est la Fédération qui a validé tout ça". Blanc fait une forme de concession : "On pourrait, bien sûr, améliorer le fonctionnement". Mais il ajoute en forme d'avertissement : "Si on veut retourner dans la cour des grands, il faut regarder ce qui se passe ailleurs. En Espagne, en Allemagne, en Angleterre ou en Italie, les staffs sont autrement plus étoffés et onéreux."
BERNES, L'HOMME EN TROP ?
Le sélectionneur réfute enfin que son association avec Jean-Pierre Bernès soit un frein à son indépendance ou à ses rapports avec Noël Le Graët. Si l'idée a été relayée dans les médias, c'est "une jalousie" dit Blanc. "Ne croyez pas que cette information soit sortie d'un coup du chapeau. Je n'ai pas de contrat avec Jean-Poerre Bernès. Il s'avère que mon agent était Alain Migliaccio, qui maintenant travailler avec M. Bernès. C'est quelqu'un qui fait du bon travail et que j'apprécie." Il ne s'en séparera pas, faut-il comprendre. Si Blanc est prêt à composer, il fait comprendre qu'il ne faudra pas aller trop loin dans sa volonté de l'assister. Il dit ainsi d'entrée de jeu qu'il aurait agi de la même façon que Fabio Capello s'il avait été confronté aux même événements, la semaine dernière. "Il a dit à la fédération anglaise : 'Si vous voulez faire mon boulot, allez-y...' (...) Quand on discute sans cesse vos décisions, on met en porte-à-faux votre responsabilité ou votre compétence sportive. Et à ce moment-là, c'est voué à l'échec."
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/17022012/70/euro-2012-blanc-veut-aller-a-rio.html
hebergeur image

vendredi 17 février 2012

Rémy manquera l'Inter

Touché mercredi face à Bourg-Péronnas (3-1), Loïc Rémy souffre d'une lésion de l'ischio-jambier droit. L'attaquant de l'Olympique de Marseille est out pour les trois prochaines semaines et manquera donc le huitième de finale aller de la Ligue des Champions face à l'Inter, mercredi au Vélodrome
Le calendrier surchargé de l'Olympique de Marseille vient de faire une première victime dans les rangs phocéens. Et pas la moindre puisque Loïc Rémy est out pour les trois prochaines semaines. L'attaquant olympien, qui avait ressenti une gêne musculaire à l'ischio mercredi face à Bourg-Péronnas (3-1), avait été obligé de quitter ses partenaires à la mi-temps du huitième de finale de Coupe de France.
L'international français, qui a passé des examens jeudi pour déterminer la nature exacte et la durée de l'indisponibilité, est victime d'une "une lésion de l'ischio droit avec une zone de décollement importante du demi-tendineux", comme l'a révélé l'Olympique de Marseille sur son site internet. Rémy manquera "environ" les trois prochaines semaines de compétition. Il ne sera donc pas à Brême pour le match de rentrée des Bleus face à l'Allemagne, le 29 février prochain. Et, surtout, l'ancien Lyonnais manquera le huitième de finale aller de la Ligue des Champions face à l'Inter, mercredi.
A Brandao de jouer
Le coup est rude pour Didier Deschamps, qui perd là son atout offensif numéro 1. Le Marseillais, auteur de 2 buts en Ligue des Champions et 9 en Ligue 1, devrait logiquement être suppléé à la pointe de l'attaque par le revenant Brandao. De retour depuis le mois dernier à l'OM, le Brésilien a marqué à chacune de ses titularisations (5 buts). Face à l'Inter, sa réussite ne sera pas superflue.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/16022012/70/ligue-des-champions-remy-manquera-l-inter.html
hebergeur image

jeudi 16 février 2012

Ça finit mal pour Thierry Henry

Aujourd’hui, après six semaines de « pige » à Arsenal, Thierry Henry décolle pour New York. Avec, sur la pile des bagages, une déroute à San Siro devant l’AC Milan (4-0), hier soir, en 8e de finale aller de la .
Du banc de touche en première période ou du terrain en seconde, la légende vivante des Gunners n’a pu que constater avec impuissance l‘énorme supériorité des Italiens, leaders du Calcio, sur une formation londonienne qui n’occupe plus les premiers rangs sur l’échiquier européen. Et a encaissé sa plus grosse défaite dans la compétition.
Les hommes d’Arsène Wenger n’avaient encore jamais été éliminés par un club transalpin en huit matchs aller-retour et une finale. Il faut un début à tout et les coéquipiers de Van Persie joueront le retour pour l’honneur. Tétanisés par l’enjeu, friables en défense, les Anglais n’ont pas tardé à craquer sous les coups de boutoir milanais.
A la 15e, «Prince» Boateng signe un but royal. Sur une ouverture piquée de Nocerino, le puissant attaquant ghanéen enchaîne amorti poitrine et reprise de volée du droit en pleine course pour catapulter le ballon sous la transversale du gardien Szczesny (1-0).

Pas d’électrochoc

Profitant des espaces, Robinho et Ibrahimovic sont omniprésents. Surtout le Suédois, trop souvent critiqué pour son faible rendement dans les matchs à enjeu (3 buts inscrits en 23 rencontres à confrontation directe). Après avoir longtemps tourné autour du deuxième but, « Ibra » déborde sur la gauche et centre en retrait sur la tête décroisée de Robinho, qui double la mise devant trois défenseurs pris de vitesse (2-0, 38e). Les joueurs d’Allegri ratent même le KO dans le temps additionnel avec un nouveau missile à côté du Prince, servi par Ibrahimovic.
A la reprise, Wenger lance Henry plus tôt que prévu pour créer l’électrochoc. L’ancien buteur des Bleus n’avait en effet disputé que des bribes de match (117 minutes en six journées) avant son « jubilé » sur la scène européenne. Noyé dans la masse, Titi ne peut guère empêcher Robinho, sur une nouvelle passe d’Ibrahimovic, de tromper Szczesny d’une frappe à ras de terre de l’entrée de la surface (3-0, 49e).
Le Français s’illustre par une talonnade vers Van Persie mais Abbiati sort le grand jeu sur la tentative du Néerlandais (65e). C’est au contraire Ibrahimovic qui corse l’addition en transformant un penalty (4-0, 79e). Une triste fin pour Henry...

Des échauffourées ont éclaté dans le centre de Milan avant la rencontre entre des supporteurs d’Arsenal et la police italienne antiémeutes. Un fan des Gunners a été arrêté et un autre blessé à la tête.

ACMILAN - ARSENAL 4-0 (2-0)
Spectateurs : 71 000.
Arbitre : M. Kassai (Hon).
Buts. AC Milan : Boateng (15e), Robinho (38e, 49e), Ibrahimovic (79e s.p.).
Avertissements. AC Milan : Antonini (45e+3), Mexès (62e), Ambrosini (81e) ; Arsenal : Song (72e), Djourou (78e).
AC Milan : Abbiati - Abate, Mexès, Silva, Antonini - Seedorf (cap.) (Emanuelson, 12e), van Bommel, KP Boateng (Ambrosini, 70e) - Nocerino - Ibrahimovic, Robinho (Pato, 84e). Entr. : Allegri.
Arsenal : Szczesny - Sagna, Koscielny (Djourou, 44e), Vermaelen, Gibbs (Oxlade- Chamberlain, 66e) - Walcott (Henry, 46e), Song, Ramsey, Arteta, Rosicky - Van Persie (cap.). Entr. : Wenger.

http://www.leparisien.fr/sports/ca-finit-mal-pour-thierry-henry-16-02-2012-1863954.php
hebergeur image

mercredi 15 février 2012

L'OL n'a pas salé l'addition

L'OL a battu l'Apoël Nicosie par la plus petite des marges (1-0), en 8e de finale aller de la C1, grâce à un but d'Alexandre Lacazette (58e). Ce n'est pas cher payé, car les Lyonnais ont totalement dominé une équipe chypriote extrêmement prudente, qui a adressé un seul tir à Hugo Lloris.
Heureux au tirage, sérieux au grattage à défaut d'être brillant, l'Olympique Lyonnais a fait un premier pas vers les quarts de finale de la Ligue des Champions, mardi en battant l'APOEL Nicosie (1-0) au stade de Gerland. Ce court mais précieux avantage, l'OL le doit à Alexandre Lacazette, préféré à Bafetimbi Gomis (5 réalisations en C1 cette saison). Inspiré et auteur du seul but du match - son cinquième lors de ses cinq dernières apparitions -, l'international Espoirs permet à ses petits copains d'aborder le retour en ballottage favorable. 1-0, ce n'est certes pas Byzance. Mais en ces temps de vaches maigres et trois jours après avoir perdu face à Caen (1-2), Rémi Garde s'en contentera aisément.
L'entraîneur de l'Olympique Lyonnais ne se plaindra pas non plus d'avoir vu Hugo Lloris, portier d'une équipe perméable, garder son but inviolé. S'il a dû sortir le grand jeu en toute fin de match sur une frappe de Manduca (89e), le gardien de l'équipe de France n'a strictement rien eu d'autre à faire. Dans ces conditions, encaisser un but eut été aussi injuste que navrant tant les joueurs d'Ivan Jovanovic ont passé le plus clair de leur temps devant le but de Chiotis, attendant une hypothétique ouverture... qui n'est jamais venue.
Titularisé en lieu et place d'Umtiti, Cris a profité du manque d'ambition de l'APOEL pour dépasser sa fonction originelle. C'est sur une montée du Brésilien que Lacazette a trouvé la faille, d'une frappe du droit puissante et légèrement contrée (1-0, 58e). Avant cela, le jeune Rhodanien s'était mis en évidence mais avait soit manqué de précision (30e), soit fait briller Chiotis (40e), qui a fini par plier au retour des vestiaires. Ederson l'a mis au supplice une première fois, mais Paulo Jorge est revenu sauver les meubles (47e). La seconde fois, Lacazette a fait mouche. Lyon, miraculé du premier tour, est toujours en vie. Plus que jamais.
 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/15022012/70/15022012002610.html
hebergeur image

mardi 14 février 2012

Lyon - Apoel Nicosie est à suivre ici en live à partir de 20h20

Suivez Lyon - Apoel Nicosie en direct à partir de 20h20 en cliquant sur ces liens..........
hebergeur image

Ligue des Champions: Lyon sous pression face à l'Apoel Nicosie

En difficulté en championnat dans la lutte pour le podium après sa défaite samedi face à Caen (2-1), Lyon est sous pression avant d'affronter avec l'étiquette de favori le club chypriote d'Apoel Nicosie, mercredi à Gerland (20h45), en 8e de finale aller de Ligue des Champions.
En difficulté en championnat dans la lutte pour le podium après sa défaite samedi face à Caen (2-1), Lyon est sous pression avant d'affronter avec l'étiquette de favori le club chypriote d'Apoel Nicosie, mardi à Gerland (20h45), en 8e de finale aller de Ligue des Champions.
"L'OL possède sans doute une plus grande expérience dans l'épreuve mais nous avons sans doute plus de jeunes joueurs que l'Apoel, une équipe expérimentée", prévient l'entraîneur lyonnais, Rémi Garde.
"Je laisse se faire les commentaires. Ce sont à peu près les mêmes qu'après le tirage au sort. De l'intérieur, nous ne voyons pas les choses comme cela. Nous avons évidemment l'objectif de nous qualifier mais je ne vois pas où est l'obligation ou la facilité. Il y a deux équipes qui méritent d'être là où elles sont", souligne-t-il.
Ce dernier rappelle le parcours "remarquable" du club chypriote "qui inspire le respect" après avoir devancé en phase de poules des adversaires bien plus prestigieux que l'Apoel, tels le FC Porto, le Shaktiar Donetsk et le Zenit Saint-Petersbourg.
"Les images vidéos étudiées sont très parlantes et les joueurs conscients de la qualité de l'adversaire", insiste le technicien.
Rémi Garde, tout comme le gardien Hugo Lloris, font également preuve d'humilité et de prudence après l'échec face à Caen, un mal classé contre lequel l'OL a perdu deux fois cette saison, "un avertissement pour nous".
La fragilité défensive de l'équipe, actuellement 4e de la Ligue 1, est le principal point d'inquiétude. Lyon a concédé au moins un but à l'occasion de 30 de ses 37 matches officiels cette saison.
"Notre jeu, ces derniers temps particulièrement, est dépendant de la manière dont on récupère le ballon tous ensemble. Nous avons des défaillances à ce niveau-là qu'il faudra corriger mardi car sur la scène européenne, cela ne pardonne pas. Ce sera l'affaire de tous et tout le temps", reconnaît Garde.
"Il est indispensable de retrouver un équilibre défensif", dit-il encore.
La faculté de l'Apoel Nicosie à défendre très bas et à se projeter rapidement vers l'avant dès la récupération du ballon doit inciter à la méfiance.
Cette façon de procéder n'est pas sans rappeler les matches contre Bordeaux en Coupe de France ou devant Caen, des adversaires qui ont surpris l'OL en contres, la semaine dernière.
"L'objectif principal sera de gagner mais il sera important de ne pas prendre de but pour nous mettre dans les meilleures conditions en vue du retour. Il faudra savoir tenir le ballon et être rigoureux", souligne Lloris.
Par ailleurs, comme face au Stade Malherbe, l'état du terrain de Gerland, malgré toutes les protections dont il bénéficie face aux conditions climatiques (la neige est annoncée), ne sera pas un atout pour l'équipe qui attaque.
Ainsi, l'Apoel n'a pu s'entraîner au stade lundi soir, mais a dû se replier au centre d'entraînement de l'OL pour préserver la pelouse.
http://www.lepoint.fr/sport/ligue-des-champions-lyon-sous-pression-face-a-l-apoel-nicosie-13-02-2012-1431053_26.php

hebergeur image

lundi 13 février 2012

Le PSG petit bras

Emprunté, le Paris Saint-Germain a dû se contenter du nul à Nice (0-0). Avec ce huitième match consécutif sans défaite, les Parisiens vont conserver la tête du classement à l'issue de cette 23e journée. Mais ils n'ont plus qu'un point d'avance sur Montpellier, qu'ils recevront la semaine prochaine.
Un petit point. Et c'est tout. Le PSG a été tenu en échec à Nice (0-0). Pour la première fois après six matches consécutifs toutes compétitions confondues, les Parisiens ont dû se contenter d'un nul. Déçus par ce résultat, ils pourront se consoler en se disant qu'ils ont repris la première place du championnat à Montpellier. Mais après ce week-end et avant le choc de la semaine prochaine entre les deux leaders, ils n'ont plus qu'un petit point d'avance sur leur poursuivant. Sur le fond, c'est toujours ça de pris. Car le club parisien n'a pas brillé dimanche après-midi.
Pendant plus de 60 minutes, le PSG a été brouillon. Dans son fameux 4-3-2-1, le club parisien a peiné. Carlo Ancelotti, qui a sorti Alex - en manque de rythme - à la pause, n'a pas reconnu son équipe. Ses protégés n'ont pas su se mettre dans les bonnes conditions et ont rejoint la mi-temps avec aucun tir cadré au compteur. Les Parisiens ont montré beaucoup trop de déchets dans les derniers gestes pour se montrer dangereux. Si Jérémy Menez a tenté de temps en temps d'accélérer le jeu, Nene a été moins inspiré que d'habitude, Bodmer n'a pas pesé et Gameiro n'a pas eu grand chose à se mettre sous la dent avant de sortir pour Guillaume Hoarau, qui a changé un peu la donne.
L'entrée de l'ancien Havrais à la 61e a coïncidé avec une période plus solide des Parisiens, qui se sont enfin créé plus d'opportunités en passant notamment sur les côtés. Hoarau a même eu trois occasions (65e, 75e, 77e) mais il n'a pas su trouver le cadre ou a buté sur Ospina. Mais si le PSG n'a pas livré une copie digne de son statut de leader, les Niçois y sont aussi pour quelque chose. Plus combatifs, les Aiglons ont été bien organisés, ont joué plus simple et ont été présents dans les duels. Mais ils ont buté sur un Salvatore Sirigu encore très bon (Mounier 13e, Moulougui 41e, Abriel 73e). Ils prennent un point mérité et peuvent construire sur cette prestation pour tenter de sortir de la zone rouge (18e). Pour Paris, il y a en revanche beaucoup de choses à revoir avant le duel au sommet face à Montpellier.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/12022012/70/ligue-1-le-psg-petit-bras.html
hebergeur image

dimanche 12 février 2012

CAN : Zambie - Côte d'Ivoire en live ici ce soir

Suivez le match Zambie - Côte d'Ivoire  en direct en cliquant sur ce lien .....................

hebergeur image

Lille-Bordeaux et Nice-PSG en live

 Suivez Lille-Bordeaux et Nice-PSG en direct en cliquant sur ces liens............
hebergeur image

Montpellier mène grand train

Montpellier a signé sa quatrième victoire de rang en L1 face à Ajaccio (3-0) lors de la 23e journée. Les Héraultais prennent provisoirement la tête du classement, à la différence de buts, avant le déplacement du PSG à Nice. Lyon a chuté contre Caen (1-2). Rennes a battu Sochaux (1-0).
En cette période de froid, Montpellier est chaud bouillant. Le club héraultais a signé sa septième victoire consécutive toutes compétitions confondues, sa troisième en L1. En attendant le match de Paris dimanche à Nice (17h00), les protégés de René Girard se sont offert le scalp de l'AC Ajaccio, qui n'avait plus perdu en L1 depuis six rencontres, pour revenir à hauteur du PSG avec 49 points. Et même s'installer provisoirement dans le fauteuil de leader grâce à une meilleure différence de but (+22 contre +19). A une semaine du choc entre les deux équipes au Parc des Princes, Montpellier a en plus soigné son goal average. Après une première période insipide, le MHSC a accéléré et tué le match après la pause pour s'imposer 3 à 0 avec un nouveau but de l'inévitable Olivier Giroud, qui a clôturé la marque.
Pendant que Montpellier surfe sur une belle vague, Lyon vit des heures compliquées en championnat. Si l'OL a répondu aux attentes en Coupe de la Ligue et en Coupe de France en ce début d'année 2012, le club rhodanien n'avance plus en L1. A trois jours de leur huitième de finale aller de Ligue des Champions face à l'APOEL, les Gones, tenus à échec à Marseille (2-2), ont chuté sur leur pelouse contre Caen (2-1). Cette huitième défaite de la saison en championnat laisse l'OL à 10 points de Montpellier et du PSG, qui compte une rencontre en moins. Toujours quatrième, Lyon conserve n point d'avance sur l'OM, qui a vu son match contre Evian reporté, mais voit Rennes revenir à sa hauteur. Grâce au premier but de Mevlüt Erding, les Bretons ont renoué avec la victoire et enfoncé Sochaux, toujours lanterne rouge après ce neuvième match sans succès. Pour le moment à égalité de points, Lille pourrait aussi profiter du faux-pas lyonnais pour prendre le large face à Bordeaux dimanche.
Dans les autres matches de ce samedi après-midi, Auxerre a raté une belle occasion. L'AJA, qui menait 1 à 0 et jouait à 11 contre 10 depuis la 20e minute après l'expulsion du portier lorientais Fabien Audard, a vu Lorient revenir au score dans les arrêts de jeu (1-1, 90e+2). Le club icaunais reste relégable (18e). A Valenciennes, tout s'est aussi joué dans le temps additionnel. Et c'est VA qui a fait la bonne opération. Grâce à un but de Mamadou Samassa, le club nordiste a battu Nancy (1-0) et prend encore un peu le large avec la zone de relégation (+6 sur Auxerre). Enfin, Brest et Dijon ont fait match nul (1-1). Les Brestois ont eux aussi égalisé dans le temps additionnel par Gentiletti après l'ouverture du score de Gaël Kakuta (76e) pour les Bourguignons.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/11022012/70/ligue-1-montpellier-mene-grand-train.html
hebergeur image