jeudi 31 mai 2012

France-Serbie en live ICI CE SOIR

Suivez le match de préparation France-Serbie en direct en cliquant sur ces liens.....
http://fr.sports.yahoo.com/football/matches-amicaux/2012/france-serbie-503293.html

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EURO 2012 : face à la Serbie, la France monte d’une marche

Si Reims entend confirmer qu’elle est bien une ville d’histoire, il faudrait que ce - Serbie fasse date. Et qui sait? A onze jours du - Angleterre de l’Euro 2012, encore deux ou trois places sont à prendre dans le onze type. Des renversements sont encore envisageables et ce match amical a une à aimer les basculements. Si Lloris, Debuchy, Rami, Mexès, M’Vila, Cabaye, Ribéry et Benzema couvent au chaud une place de titulaire, à gauche de la défense (Evra ou Clichy), au milieu de terrain (Nasri, Alou Diarra, Malouda ou Matuidi?) et à droite de l’attaque (Ben Arfa, Nasri ou Valbuena), il y a encore match.Une impatience folle de revoir Olivier Giroud

C’est l’enjeu majeur de la réception de la plus forte équipe du programme de préparation des Bleus, après l’Islande, avant l’Estonie. France - Islande était une confrontation pour éviter de sortir des 23 à quelques jours de l’annonce officielle. France - Serbie est plus une rencontre pour gagner sa place parmi les titulaires de demain. A France - Estonie d’opérer la synthèse le 5 juin même si une surprise peut toujours émerger jusqu’au 11 juin.
On attend aussi avec une impatience folle de revoir Olivier Giroud, l’homme qui monte chez les Bleus. Il y a un parfum de phénomène autour du Montpelliérain, mais Laurent Blanc se garde d’un effet Ribéry, le Bleu qui avait changé le décor en 2006. Pour l’instant, le meilleur buteur de la Ligue 1 ne reste qu’un recours, si l’on se fie à la mise en place d’hier avec un Benzema titulaire et pas de Giroud et si l’on écoute bien le patron des A : « L’émergence de Giroud est une bonne chose. Qu’ils soient complémentaires (Benzema et lui), j’en suis convaincu, mais il faut penser à l’équilibre de l’équipe. »
Ce soir, tout ne sera évidemment pas parfait. Deux joueurs — Koscielny et Clichy — vont fouler de nouveau un terrain qu’ils ont quitté depuis dix-sept jours, une manière d’éternité pour deux éléments anglais qu’on oblige parfois à disputer deux rencontres en quarante-huit heures. Au moins, les 23 Bleus, excepté Carrasso, auront tous disputé un match demain soir. En parlant des 23, savoir qu’ils resteront tous cette fois-ci à coup sûr devrait en libérer certains. Hier, beaucoup de sourires voire de fous rires ont escorté la photo officielle, comme un signe de détente et de soulagement après un pic de tension. Sauf blessure, ils participeront tous au Championnat d’Europe, comme titulaires ou remplaçants, et ce France - Serbie doit aussi se lire comme le début d’une aventure.


http://www.leparisien.fr/euro-2012/preparation-a-l-euro-france-serbie-la-france-monte-d-une-marche-31-05-2012-2025520.php
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Montpellier : Nicollin met en garde Lyon et Marseille

On n'a pas le droit de faire des folies.» Lors d'un entretien accordé à Reuters, Louis Nicollin n'y a pas été par quatre chemins. Même sacrés champions de Ligue 1, les Héraultais ne veulent pas se laisser aller à la folie des grandeurs. Arrivé au club en 1974, alors que celui-ci n'évoluait qu'en division d'honneur, «Loulou» a connu toutes les sensations, du titre de champion à la relégation, et ne veut pas s'engager dans une lutte contre le Paris Saint-Germain, où les Qataris investissent à coups de millions.
Une mise en garde prononcée
Une initiative qu'il salue : «Je dis bravo au Paris Saint-Germain pour l'équipe qu'ils vont avoir ces prochaines années.» Toutefois, Nicollin vise également, et surtout, deux clubs emblématiques du championnat : l'Olympique Lyonnais et l'Olympique de Marseille. Car à la fin de l'exercice 2011/2012, les sourires ont disparu. La faute, selon Nicollin, à des années de dépenses outrancières, qui contraignent aujourd'hui les clubs à se serrer la ceinture. Et, ce qui ne fera pas que des heureux, à laisser filer le PSG.
«Je dis à Jean-Michel Aulas (président de l'OL) et Vincent Labrune (présidents de l'OM) qu'ils se calment et qu'ils n'essaient pas de rivaliser, sinon, ils iront presque en faillite», a-t-il expliqué. 22 millions d'euros pour Gourcuff, 18 pour Gignac, les deux clubs ont fait dans la démesure ces dernières années. L'heure n'est plus au luxe mais aux bilans : à eux deux, l'OL et l'OM cumulent une dette de 50 millions d'euros, sur cette saison.
Et déjà les deux clubs s'activent en coulisses pour vendre plusieurs de leurs joueurs, au prix fort. La non-qualification pour la Ligue des Champions la saison prochaine a eu l'effet d'un mini séisme sur l'Olympe.
Nicollin prône la sagesse
S'il sait que certains joueurs partiront de l'Hérault cet été, Nicollin ne veut pas bousculer ses habitudes et désordonner la maison. Quand on l'interroge sur une possible réévaluation de salaire de Younès Belhanda pour empêcher un départ, le président ne mâche pas ses mots, comme à son habitude. «On lui donnera une sucette, comme ça, il sera content», a lâché le boss du MHSC. Et s'il considère que plusieurs joueurs feraient mieux de poursuivre leur carrière dans l'Hexagone, il ne sacrifiera pas ses fonds pour les conserver, comme lorsqu'est évoqué le cas d'Olivier Giroud. «S'il veut partir, il part. On en trouvera un autre, d'avant-centre.»
Montpellier ne compte pas sombrer dans la folie des millions, et avertit ses rivaux, avant qu'il ne soit trop tard. Une prise de position qui en définitive revient à donner les pleins pouvoirs au PSG en vue de la saison prochaine.

mercredi 30 mai 2012

Drogba rejoint Anelka en Chine

Destination Shanghai pour . Vainqueur de la Ligue des champions avec Chelsea le 19 mai, l’attaquant ivoirien a choisi de poursuivre sa carrière en Chine. Selon nos informations, Drogba aurait d’ores et déjà signé son contrat avec le Shanghai Shenhua, le club qui s’est fait connaître dans le monde entier en recrutant en décembre dernier Nicolas Anelka, son ancien coéquipier chez les Blues. 
L’ancien joueur de l’OM doit d’ailleurs bénéficier d’un salaire équivalent à celui d’Anelka (plus de 220 000 € par semaine). Il pourrait faire ses débuts en Ligue chinoise sous ses nouvelles couleurs dès juin. Agé de 34 ans, Didier Drogba était en fin de contrat avec Chelsea, où il a remporté trois championnats d’Angleterre, quatre Cups et une Ligue des champions en l’espace de huit saisons

http://www.leparisien.fr/sports/football/drogba-rejoint-anelka-en-chine-30-05-2012-2023900.php

Monaco s'offre Ranieri !

le grand écart pour Monaco. D'un entraîneur sans expérience l'an dernier (Marco Simone), le club de la Principauté vient de s'offrir les services d'un cador pour la saison prochaine. Claudio Ranieri, débarqué de l'Inter Milan en mars dernier, et passé, entre autres, par Chelsea, Naples, Valence et la Fiorentina, s'est engagé pour deux ans plus un en option. L'arrivée de l'Italien de 60 ans, possible grâce au principal actionnaire, le milliardaire russe Dimitri Rybolovlev, va donner un coup de projecteur supplémentaire sur la Ligue 2 dont l'ASM a terminé à la 8e place l'an dernier après une première moitié de saison catastrophique. Cette fois, il n'y aura pas de droit à l'erreur avec la montée comme objectif.

http://fr.sports.yahoo.com/news/monaco-soffre-ranieri-071212738.html;_ylt=AhRa191dN9PRIUq15s76T6A5prQF;_ylu=X3oDMTRlbDllb2UyBG1pdANUb3AgU3RvcmllcyBNaXhlZCBMaXN0BHBrZwMzOWRiMWU4ZC1lNmRkLTM5YmEtYjRhMS0zZDk5ZDIwZjJiNDQEcG9zAzIEc2VjA01lZGlhQkxpc3RNaXhlZExQQ0FUZW1wBHZlcgNiYjQ3MGU1MC1hYTJhLTExZTEtYmIzYi1kNDc2OTAxN2U3ZDg-;_ylg=X3oDMTFlOHMwbjZ1BGludGwDZnIEbGFuZwNmci1mcgRwc3RhaWQDBHBzdGNhdAMEcHQDc2VjdGlvbnM-;_ylv=3

Les infos des transferts avec Maxifoot

Le TOP 5 des dossiers du jour qu'il ne fallait pas rater
1 – Le Real attend le PSG pour Kaká
Si Le Real Madrid ne lâchera pas Gonzalo Higuain, le Paris Saint-Germain peut en revanche espérer décrocher la signature de Ricardo Kaká. Selon le média espagnol ABC, les Merengue n'attendraient qu'une offre du club francilien pour libérer le milieu de terrain brésilien, qui n'entre plus dans les plans de José Mourinho. Montant espéré : 25 millions d'euros. Le PSG sait ce qu'il lui reste à faire.
2 – Balmont affole la Ligue 1
Après Eden Hazard, qui a choisi de rejoindre Chelsea, et Joe Cole, de retour à Liverpool, le LOSC pourrait perdre un troisième milieu de terrain durant l'intersaison : Florent Balmont. En fin de contrat en juin 2013, l'ancien Niçois a déjà fait savoir qu'il quitterait le club nordiste s'il ne prolongeait pas rapidement. Des déclarations qui n'ont laissé personne indifférent. Après l'OGC Nice, les Girondins de Bordeaux et l'Olympique Lyonnais seraient eux aussi particulièrement intéressés par Balmont, selon Sud-Ouest. Les Dogues ont du souci à se faire.
3 – L'OM tient à Amalfitano
Alors que des rumeurs lui prêtaient des envies d'ailleurs, Morgan Amalfitano pourrait finalement rester à l'Olympique de Marseille. Le club phocéen ne tient pas à voir partir l'ancien Lorientais. «Morgan n'a pas demandé à être placé sur la liste des transferts, confie un dirigeant marseillais au Parisien. Il s'interroge, légitimement, sur l'avenir du club. Mais il n'a aucunement fixé d'ultimatum ou parlé d'un départ. Notre position est claire : il reste, sauf si une offre majeure tombe.» L'avenir de l'OM étant particulièrement flou, l'international tricolore, récemment approché par des clubs espagnols, aurait demandé certaines garanties à sa direction.
4 – Un clasico pour Ivanovic
En voilà un qui peut se vanter d'attirer du beau monde. S'il confiait récemment ne pas s'occuper des rumeurs de transferts circulant à son sujet, Branislav Ivanovic pourrait néanmoins agiter le mercato. Outre le Real Madrid, le latéral droit de Chelsea serait également visé par le FC Barcelone, qui pourrait se séparer de Daniel Alves cet été. Selon le Daily Mail, les Blaugrana se seraient récemment renseignés au sujet de l'international serbe, lié aux Blues jusqu'en juin 2016.
5 – Corgnet tenté par Lyon
Relégué en Ligue 2 avec Dijon, Benjamin Corgnet souhaite relever un nouveau défi. Préférant poursuivre sa carrière en Ligue 1, le milieu de terrain offensif, l'une des révélations de la saison, ne serait pas mécontent de rejoindre Lyon. «J'ai entendu parler d'un intérêt de l'OL et c'est très flatteur. L'OL est un très grand club et c'est très agréable d'être suivi par lui. Mais on verra si tout cela se concrétise», a ainsi confié Corgnet au Progrès. Aux Gones de passer à l'action à présent

mardi 29 mai 2012

Gourcuff et Yanga-Mbiwa n'en seront pas

Après un suspense soigneusement entretenu (attendu lundi, au lendemain de la victoire à l'arrachée des Bleus face aux Islandais à Valenciennes, sur son choix pour l'Euro 2012, Laurent Blanc avait reporté l'annonce d'une journée), voici enfin connue la liste des joueurs qui composeront l'équipe de France. Ainsi que les noms des deux qui ont été écartés de la liste des 23 de Laurent Blanc...
On sait donc que le milieu Yoann Gourcuff et le défenseur Mapou Yanga-Mbiwa n'ont pas été retenus. Les milieux Marvin Martin, Blaise Matuidi et le défenseur Gaël Clichy, qui étaient en balance, font en revanche partie de la liste divulguée par Laurent Blanc.
Les raisons du choix
Le fait marquant du groupe choisi par Blanc est l'absence de Gourcuff. Agé de 25 ans, le Breton compte 29 sélections lors desquelles il a inscrit quatre buts. "Le Président" l'avait convoqué dans une pré-liste élargie en dépit de ses difficultés sportives - physique et mental en délicatesse - depuis un an et demi. Mais sa prestation insipide lors de son grand retour en équipe de France depuis mars 2011, dimanche face à l'Islande en amical, a sans doute poussé Blanc a éjecter son ancien protégé bordelais.
Le Montpelliérain Mapou Yanga-Mbiwa, vierge de toute expérience internationale, est lui victime de la polyvalence d'Alou Diarra, aussi bien capable d'évoluer au milieu que dans l'axe de la défense. Le défenseur héraultais était la grande surprise de la pré-liste de Laurent Blanc et ne devait sa promotion qu'à l'indisponibilité d'Eric Abidal (greffe du foie), au forfait de Younes Kaboul, touché à un genou, et aux difficultés sportives de Mamadou Sakho (non retenu dans le groupe élargi) avec le Paris SG depuis l'arrivée aux commandes de Carlo Ancelotti.

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Sans puissance, le talent n'est rien

L'équipe de France est invaincue depuis dix-neuf rencontres. Série en cours. Dimanche soir, les Bleus ont battu l'Islande 3-2 après avoir été menés 0-2 à la pause. Les optimistes, dont font partie la plupart des joueurs, verront dans ce succès la force de caractère d'un groupe qui n'a pas baissé les bras. Les pessimistes, eux, préféreront appuyer là où ça fait mal. Sur la défense notamment. Les réalistes, eux, auront noté qu’empiler les talents offensifs n'est pas gage de réussite. On imagine que Laurent Blanc le savait. Il a tout de même essayé, poussé par une forme de curiosité doublée d'une préparation différenciée, selon que l'on vienne de L1 ou d'autres championnats. A l'arrivée, cela n'a pas été concluant, sans que Ben Arfa, Nasri, Ménez ou Benzema ne soient cependant les seuls responsables.
Dimanche, lors d'une première période dominée par les Bleus mais terminée avec deux buts de débours, la France s'est montrée stérile, au contraire des Islandais qui ont à la fois profité de certains errements défensifs et d'un manque criant de répondant au milieu de terrain. Cabaye, en sentinelle, et Gourcuff, juste devant lui, n'ont pas existé dans l'impact. Face à des Islandais dont c'est la principale arme, la lacune physique des Bleus a sauté aux yeux. Avoir des artistes, c'est bien. Les associer à des costauds, c'est indispensable.
"On peut vouloir très bien jouer au ballon..."
"On a montré qu'on avait du caractère, a jugé Florent Malouda à la fin de la partie. En seconde période, on a plus varié, on a proposé autre chose. En première période, les Islandais coulissaient et on avait un bloc face à nous. Giroud nous a permis de varier notre jeu. On a mis des centres, joué long et par-dessus sur le but d'Adil." Le milieu de terrain de Chelsea a raison. Et surtout n'oublie pas l'autre composante du retour bleu, celle sans qui rien n'aurait été possible : "Au niveau de l'impact, on n'a pas reculé et accepté le combat. On a repris le match en main. On peut vouloir très bien jouer au ballon, il faut aussi dans être là dans l'impact physique et répondre présent. C'est ce qui permet d'être maître du jeu."
L'entrée d'Alou Diarra en 6, celle de Florent Malouda, toujours dur à bouger, ou encore de Franck Ribéry et d'Olivier Giroud, qui n'est pas le dernier pour aller au combat, ont donné à cette équipe de France le supplément de combattants dont elle avait besoin face aux hommes de Lars Lagerbäck, qui se sont éteints petit à petit. De là à voir dans cette victoire le seul sceau du physique, il n'y a qu'un pas que Malouda ne franchira pas, laissant entendre que les petits gars de la première période n'ont pas le monopole du talent. "Les trois buts marqués en seconde période par les autres joueurs étaient des beaux buts. Je pense simplement qu'on a mal abordé le match. Ce n'est pas un problème de composition. C'est bientôt le début de l'Euro, il faut se mettre dedans. C'est une mentalité de gagnant qu'il faut avoir." De la première à la dernière minute.

http://fr.sports.yahoo.com/28052012/70/matches-amicaux-sans-puissance-le-talent-n-est-rien.html
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lundi 28 mai 2012

Kaka, Eto'o : Le PSG se place

Le PSG prépare l'avenir. La qualification pour les phases de poules de la Ligue des champions acquise, le club de la capitale a commencé à placer ses pions sur le marché estival. Les rumeurs vont déjà bon train depuis un moment, mais il semble que Paris a donné un coup d'accélérateur cette semaine. Dimanche matin, L'Equipe annonce ainsi que les dirigeants parisiens sont entrés en contacts avec Samuel Eto'o, le buteur camerounais de l'Anzhi Makachkala. Et Marca affirme qu'ils ont formulé une offre au Real Madrid pour Kaka, son milieu offensif brésilien.
Le dossier Eto'o est déjà dans les tuyaux depuis un bon moment. L'été dernier, le PSG avait tenté d'attirer l'attaquant des Lions Indomptables, alors à l'Inter. Celui-ci avait repoussé les avances parisiennes avant de décrocher un contrat en or à l'Anzhi Makachkala (20 millions d'euros par an), qui avait déboursé 27 millions d'euros pour s'attacher ses services. Un an plus tard, l'ancien Barcelonais serait beaucoup moins réticent à l'idée de signer au PSG. La perspective de retrouver Leonardo, qui a été son entraîneur à l'Inter, et de jouer la Ligue des champions le séduisent. A tel point qu'il serait disposé à réduire son salaire, condition indispensable à la réalisation du transfert. Le club russe ne serait pas contre le fait de négocier le départ du joueur de 31 ans au PSG, qui souhaite ardemment recruter un buteur de renommée internationale.
Lavezzi serait tout proche
La piste Kaka ne date pas d'hier non plus. Elle a elle aussi été activée l'été dernier et relancée cet hiver. Sans aucune chance d'aboutir, compte tenu de la volonté du joueur de rester à Madrid pour s'imposer au Real. La donne a changé. Car Madrid souhaite se séparer de son milieu offensif brésilien, et qu'il voit d'un très bon oeil l'offre de 25 millions d'euros formulée cette semaine par le PSG d'après le quotidien Marca. Rarement titulaire à la Maison Blanche cette saison, l'ancien Milanais retrouverait un statut de star incontestable à Paris. Il y retrouverait aussi Carlo Ancelotti, qui était son entraîneur aux plus belles heures de sa carrière à l'AC Milan. Et l'ancien Milanais toucherait 9 millions d'euros par saison au PSG, sensiblement la même somme qu'il perçoit au Real, où il est sous contrat jusqu'en juin 2015. Pour Paris, le plus dur sera de convaincre Kaka de quitter la capitale espagnole sans être parvenu à s'y imposer.
Eto'o et Kaka ne seraient pas les seuls dossiers sur lequel le PSG aurait déjà avancé. Cette semaine, la presse italienne indiquait que le club de la capitale était tout proche d'engager Ezequiel Lavezzi, l'attaquant de Naples. L'Argentin a d'ores et déjà fait ses adieux au club napolitain qu'il quittera cet été, et Paris aurait déjà formulé une proposition de 23 millions d'euros. La clause libératoire du joueur, fixée à 31 millions d'euros, ne devrait de toute façon pas poser trop de problèmes aux dirigeants parisiens. "Lavezzi ira au Paris Saint-Germain. La possibilité qu’il aille au PSG, seul club à pouvoir payer la clause libératoire, est énorme", a même déclaré son agent, Ernesto Bronzetti, cité par La Gazzetta dello Sport. Son compatriote Gonzalo Higuain, qui pourrait faire l'objet d'une rude bataille entre le PSG et la Juventus cet été, est également dans le viseur de dirigeants parisiens qui ne devraient plus tarder à entrer dans la phase concrète de leur recrutement.

http://fr.sports.yahoo.com/20052012/70/transferts-kaka-eto-o-le-psg-se-place.html hebergeur image

Sabri Lamouchi prend les commandes de la Côte d’Ivoire !

Coup de théâtre en Côte d’Ivoire ! L’entraîneur François Zahoui vient d’être démis de ses fonctions à un peu plus de deux mois de la fin de son contrat. Il faut dire que la défaite en finale de la Coupe d’Afrique des Nations contre la modeste Zambie a laissé des traces chez les Éléphants. Et la Fédération Ivoirienne de Football n’a donc pas fait dans la dentelle, en annonçant tout simplement le départ du technicien. Restait donc à lui trouver un successeur digne de ce nom. Et c’est une surprise qui est à l’ordre du jour.
En effet, c’est Sabri Lamouchi qui est le nouvel homme fort de l’équipe ivoirienne. Retraité depuis 2009, l’ancien milieu de terrain s’était contenté jusque-là d’officier en tant que consultant sur la chaîne de télévision cryptée Canal+. Trois ans plus tard, l’international tricolore (12 sélections, 1 but) prend donc pour la toute première fois de sa carrière la tête d’une sélection. Et c’est dans une Côte d’Ivoire encore meurtrie par l’échec à la CAN qu’il fera ses premiers pas. L’information a été confirmée sur le site officiel de la FIF :
« La Fédération Ivoirienne de Football informe de ce que, à partir de ce jour, Monsieur Sabri LAMOUCHI est nommé Sélectionneur et Entraîneur de l’Equipe nationale A, en remplacement de Monsieur François ZAHOUI. Le Comité Exécutif de la FIF tient à adresser ses remerciements à Monsieur François ZAHOUI pour le travail effectué pendant l’exercice de ses fonctions à la tête des Eléphants. La décision prend effet dès publication du présent communiqué ». Et pas le temps de trainer pour Lamouchi, puisque la sélection ivoirienne disputera dès le mois de juin deux matches de qualification pour la Coupe du monde.

http://www.footmercato.net/autre-championnat/sabri-lamouchi-prend-les-commandes-de-la-cote-d-ivoire_85572

Les Bleus ont mis le turbo

L'équipe de France a démarré poussivement sa préparation à l'Euro 2012. A moins de deux semaines du coup d'envoi de l'épreuve, l'équipe de Laurent Blanc a arraché une courte victoire face à l'Islande en amical à Valenciennes (3-2). Fébriles en défense, sans impact au milieu, les Bleus ont rejoint les vestiaires avec deux buts de retard avant de renverser la situation en deuxième période avec des buts de Debuchy, Ribéry et Rami. Il leur faudra cependant hausser le niveau face à la Serbie, un adversaire a priori plus coriace, jeudi à Reims.
La France a pourtant réussi une bonne entame de match. Organisée dans un 4-2-3-1 avec un trio Ménez-Nasri-Ben Arfa en soutien de Benzema, elle s'est rapidement procurée des occasions et a même trouvé les filets grâce au buteur madrilène, mais son but a été refusé pour un hors-jeu. Derrière ce quatuor, l'absence de vrai milieu récupérateur a en revanche été criante. Le duo Cabaye-Gourcuff a peiné pour exister. Les Islandais en ont profité, à l'image de Sightorsson, vainqueur d'un duel aérien devant Cabaye et Mexès avant de lancer Bjarnason pour l'ouverture du score (1-0, 28e). L'attaquant de l'Ajax a ensuite profité d'un centre parfait de Gislason, oublié par Evra, pour doubler la mise et plonger les Tricolores dans le doute (2-0, 34e).
Giroud, entrée gagnante
Sonnés, les Français ont abordé la deuxième période avec la volonté de s'installer dans le camp nordique. Et Debuchy, probablement le joueur le plus convaincant du côté tricolore, a trouvé une belle récompense à se prestation. L'arrière droit de Lille a bien suivi une frappe contrée de Benzema, servi par Ben Arfa après un bon travail initial de Ménez, pour réduire la marque (2-1, 52e). A l'heure de jeu, Blanc a lancé Cabaye, Malouda, Martin et Giroud, modifiant son schéma pour en faire un 4-3-3. Mais c'est bien l'Islande qui a failli reprendre un break d'avance, Bjarnason échouant devant Mandanda alors qu'il était seul face au portier marseillais sur un contre où la défense tricolore avait une nouvelle fois été prise de vitesse (62e).
Les entrées de Valbuena et Ribéry à un quart d'heure de la fin du match ont largement contribué au renversement de situation. Après une première frappe du Marseillais hors du cadre (80e), le Munichois a égalisé d'un petit lob sur un service impeccable de Giroud (2-2, 85e). L'avant-centre montpelliérain a montré à quel point il pouvait jouer un rôle majeur dans l'animation offensive des Bleus. C'est également sur une de ses déviations que Rami a pu placer une demi-volée gagnante pour permettre aux Français de démarrer leur préparation à l'Euro 2012 par un succès (3-2, 87e). Une victoire étriquée, synonyme de 19e match consécutif sans défaite, qui a dû apporter quelques enseignements à Laurent Blanc. On pourra le vérifier jeudi face aux Serbes.

dimanche 27 mai 2012

France - Islande en live ici ce soir

France - Islande est à suivre en direct en cliquant sur ces liens ............
http://fr.sports.yahoo.com/27052012/70/matches-amicaux-france-islande-le-direct.html
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Gourcuff et une bonne dose d'audace

Il suffisait de demander. Et Laurent Blanc s'est exécuté, avec le sourire. Dimanche face à l'Islande, le sélectionneur alignera le onze suivant : Mandanda - Debuchy, Rami, Mexès, Evra - Cabaye, Gourcuff, Nasri - Ben Arfa, Benzema, Ménez. Onze joueurs choisis parmi les vingt-cinq rescapés qui ont encore une chance de disputer l'Euro 2012. Pour mettre sur pied cette équipe qui lance officieusement l'aventure, Blanc a privilégié avant tout les hommes qu'il avait sous la main depuis plus d'une semaine (Rami, Mexès, Evra, Cabaye, Nasri, Ben Arfa et Benzema), ajoutant quatre joueurs de Ligue 1 pour faire le nombre. Deux plus frais que les autres puisque Debuchy, qui évoluera sur le côté droit de la défense, et Ménez, qui sera chargé de l'animation, étaient suspendus lors de la 38e journée de championnat. Quant aux deux autres, Steve Mandanda et Yoann Gourcuff, les motivations sont on-ne-peut-plus différentes.
Si portier de l'OM va jouer à Valenciennes pour permettre à Hugo Lloris de "se régénérer et de souffler", comme l'a révélé Blanc, Gourcuff, lui, joue très gros. Pas plus que les autres, assure le sélectionneur. Mais quand même un peu : "Il s'entraîne beaucoup plus que les joueurs qui se régénèrent. Je le trouve très bien, comme le reste du groupe. Mais il n'y aura aucune analyse particulière ou sur Yoann Gourcuff." On a du mal à le croire.
Blanc : "la volonté est d'avoir le ballon"
Face à l'Islande, le milieu de terrain de Lyon, auteur d'une fin de saison correcte, sera aligné aux côtés de Yohan Cabaye et de Samir Nasri. Sa présence en Ukraine et en Pologne dépendra assurément de la copie qu'il rendra au stade du Hainaut dans un système que l'on avait déjà vu en Angleterre en novembre 2010 et que Blanc apprécie plus que tout. Il l'a rappelé samedi : "Les noms dans les cases peuvent changer mais le système principal, c'est trois au milieu. Après, le triangle peut se déformer mais la volonté est d'avoir le ballon, avec des joueurs comme ça devant, très habiles, il faut des joueurs pour les alimenter." Et d'autres pour les récupérer. En l'occurrence, il n'y en aura qu'un, Yohan Cabaye.
Des hommes de devant, 100% 1987, c'est assurément Hatem Ben Arfa qui sera le plus surveillé et scruté. Revenu dans le groupe France après bientôt deux ans d'absence, le milieu droit de Newcastle joue une partie importante. Mais pas autant que Gourcuff. Rémy rentré à la maison, le secteur offensif ne devrait plus évoluer et les candidats retenus dans les deux pré-listes seront à l'Euro, même si Blanc a confié samedi qu'il ne doublerait pas tous les postes. Pas une raison pour passer à côté quand même.
La composition de l'équipe de France face à l'Islande : Mandanda - Debuchy, Rami, Mexès, Evra - Cabaye, Gourcuff, Nasri - Ben Arfa, Benzema, Ménez.

http://fr.sports.yahoo.com/26052012/70/matches-amicaux-gourcuff-et-une-bonne-dose-d-audace.html
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samedi 26 mai 2012

Les Bleus arrivent à Prouvy... sous les huées


Déception des supporters à l'arrivée des Bleus à... par France3Nord-Pas-de-Calais

Vers la fin des tirs au but?

Sepp Blatter a émis le souhait que les instances du football réfléchissent à une autre manière de désigner le vainqueur des matches...
Les supporters du Bayern, dont l'équipe a été battue aux tirs au but par Chelsea en finale de la Ligue des champions, apprécieront le timing de l'annonce. Vendredi, Sepp Blatter, le président de la Fédération internationale de football (Fifa), a indiqué qu'il souhaitait une autre solution que la séance des tirs au but pour décider de l'issue des matches.

«Le football peut être une tragédie lorsqu'on va aux penalties»

S'exprimant lors du congrès de la Fifa à Budapest, Sepp Blatter a demandé à la task force Football 2014, créée l'an dernier par l'instance dirigeante du football mondial et présidée par l'ancien international allemand Franz Beckenbauer, de réfléchir sur ce sujet.

«Le football peut être une tragédie lorsqu'on va aux penalties. Le football est un sport d'équipe. Quand il devient du un contre un, il perd sa nature même», a déclaré le patron de la Fifa. «Peut-être que Franz Beckenbauer et son groupe Football 2014 peuvent nous montrer la voie vers une solution, peut-être pas aujourd'hui mais dans l'avenir», a-t-il ajouté.

Football 2014 est composé d'une vingtaine de personnalités du football -dirigeants, experts, arbitres, journalistes et anciens joueurs, comme le Brésilien Pelé, l'Anglais Bobby Charlton, l'ancien gardien serbe de
Saint-Etienne Ivan Curkovic ou encore l'ancien international français Christian Karembeu.

http://www.20minutes.fr/article/941103/football-vers-fin-tirs-but

La patate !


Le coup franc le plus rapide au monde ? par evidenceprod

vendredi 25 mai 2012

Blanc n'a pas choisi

Enfin du concret. En voyant débarquer tous leurs partenaires à Clairefontaine ce jeudi midi (sauf Ribéry), les Bleus qui ont suivi le stage de préparation dès le premier jour ont pu, enfin, matérialiser leur entrée dans l'Euro. Laurent Blanc, lui, a révélé les grandes lignes de la montée en puissance qu'il projette pour ses 26 joueurs, bientôt réduits à 23, entre le France - Islande de dimanche et le France - Angleterre du 11 juin. Une période cruciale puisque, ainsi qu'il la reconnu sous le soleil estival de la forêt des Yvelines, il ne sait pas encore quels seront les trois noms qu'il retranchera de sa liste dans quatre jours, ni quels seront les onze qu'il alignera sur la feuille de match face à l'équipe de Roy Hogdson. Le temps s'accélère et les heures à venir seront cruciales quant au visage qu'auront les Bleus à l'Euro.
"J'ai des idées, mais elles ne sont pas arrêtées, a assuré le sélectionneur des Bleus quand il a été interrogé sur l'identité des trois recalés pour sa liste finale. Il peut se passer plein de choses pendant les matches et les entraînements. On a déjà vu des joueurs qui ont obtenu leur présence à l'Euro durant le stage. Je pense à Gomis, qui avait réalisé un doublé contre l'Equateur en 2008. On peut penser qu'il a gagné sa place là. Tout peut arriver." De fait, cela laissera plus de chances d'émerger aux joueurs qui recevront du temps de jeu à Valenciennes, dimanche contre l'Islande. Ils devraient être nombreux : dans son plan d'évolution jusqu'à France - Angleterre, Blanc a prévu de consacrer un match - le prochain - à la distribution de temps de jeu à ceux qui ont le plus besoin. Pour France - Serbie (le 31 mai) et France - Estonie (3 juin), on se rapprochera du onze de départ programmé pour débuter l'Euro. "Au premier match, il faudra faire en sorte que les joueurs aient pu récupérer de leur saison. A partir du deuxième, on sera plus en position de préparation. Le but c'est d'arriver à l'Estonie avec la majorité des joueurs que tu penses faire débuter contre l'Angleterre."
Une colonne vertébrale, et bien des mystères
Encore faut-il que la liste des onze élus soit, elle aussi, connue. Il y a de la marge. "Je ne sais pas encore, lâche Blanc. J'ai des idées mais je veux encore voir ce qui va se passer aux entraînements. Il y a l'état de forme des joueurs auxquels tu ne pensais pas au départ, d'autres qui n'y étaient pas mais peuvent démontrer une grande forme. Je ne veux surtout pas dire : 'J'ai mon équipe'. Peu de sélectionneurs réfléchissent comme ça." Blanc, depuis, sa prise de fonction, n'a réellement déterminé qu'une épine dorsale et pas une équipe-type : Lloris et Benzema sont les deux seuls noms qu'il a livrés lorsqu'il s'est agi de parler de la colonne vertébrale de l'équipe. Une liste à laquelle peuvent s'ajouter les noms de M'Vila (joueur le plus utilisé depuis sa prise de fonctions), ainsi que Rami et Mexès, ses défenseurs centraux privilégiés. Au-delà ? Mystère. Sauf probablement pour Ribéry et Evra.
Interrogé sur la structure de sa liste, et notamment le nombre de joueurs qu'il retiendrait par poste, Blanc a d'ailleurs laissé entendre qu'il ne l'avait pas déterminée non plus. "Il y aura une réflexion à avoir sur l'équilibre de l'équipe, et notamment pour savoir si on double tous les postes de derrière et si on double tous les postes devant. On y a déjà beaucoup réfléchi mais si je double tous les postes, on se retrouve à 25..." La différence avec les 23 ? Les postes de meneurs de jeu axiaux peut-être... Cette déclaration relance en tout cas l'hypothèse d'une prime à la polyvalence et d'une organisation de jeu pas encore arrêtée. Cette question de la structure de la liste est centrale. Si Blanc double les postes en défense et en attaque, c'est au milieu qu'il faut s'attendre à plus de "dégâts" (Martin, Gourcuff, Matuidi, Valbuena...). Dans le cas contraire, s'il envisage par exemple de se contenter de sept défenseurs, les noms de Clichy, Yanga-Mbiwa ou Réveillère pourraient devenir fragiles.
Une chose est sûre : malgré la tension inhérente à ce genre de situation, le sélectionneur ne pâlit pas à l'idée de devoir annoncer la mauvaise nouvelle aux malheureux élus, comme l'ont fait avant lui, dans des circonstances parfois épiques, Jacquet, Lemerre, Santini ou Domenech. "On leur dira. Que faire d'autre ? C'est désagréable mais on ne fait pas que des choses agréables dans ce métier. Quand il faut prendre ses responsabilités, on les prend. En club (à Bordeaux), il y a avait des joueurs à ne pas renouveler, on l'a fait, c'est comme ça, et ce n'est pas de gaieté de coeur. On n'ira pas taper à leur porte mais on leur dira quand même." La décision sera prise selon toute vraisemblance le lundi 28 mai. Le lendemain de France - Islande. La veille de la date limite fixée par l'UEFA.
http://fr.sports.yahoo.com/24052012/70/euro-2012-blanc-n-a-pas-choisi.html hebergeur image

jeudi 24 mai 2012

Ben Arfa, un recours à droite

Hatem Ben Arfa a été retenu par Laurent Blanc parce qu'il s'est imposé à droite à Newcastle. Là où une place est à prendre chez les Bleus.
Hatem Ben Arfa est un joueur qui donne beaucoup de perspectives à un entraîneur. Sa carrière le prouve. A Lyon, il alternait généralement entre le poste d'attaquant de soutien et celui de milieu offensif gauche. A Marseille, Eric Gerets n'avait pas hésité à le faire évoluer un peu plus bas, en numéro 10. Mais à Newcastle, c'est bien en milieu offensif droit qu'il s'est imposé comme un titulaire des Magpies. Un poste où la hiérarchie n'est pas vraiment établie en équipe de France.
Alan Pardew n'est pas un précurseur. Hatem Ben Arfa à droite, Laurent Blanc l'avait testé avant lui. Pour son premier match sur le banc de l'équipe de France, en Norvège (1-2) en août 2010, le sélectionneur avait lancé le joueur à ce poste à la mi-temps. HBA avait d'ailleurs inscrit un but dont il a le secret, pour ce qui reste à ce jour sa dernière sélection chez les Bleus. L'entraîneur des Magpies l'a aligné sur le côté droit pour la première fois face à Blackburn, en Cup, au début du mois de janvier (2-1). Et HBA avait inscrit venu d'ailleurs. Pardew a logiquement choisi de poursuivre l'expérience. "Quand je suis arrivé, on m'a indiqué qu'il ne voulait pas jouer sur un côté. Il lui a fallu comprendre que nous allions le faire jouer au poste où il serait le plus utile pour l'équipe. Numéro 10, c'est un poste qui demande une grosse débauche d'énergie. C'est plus simple sur l'aile, et je pense qu'on le verra de plus en plus à cette place à l'avenir", avait-il prédit.
"La position que je préfère"
Le coach de Newcastle semble avoir vu juste. D'autant plus que Ben Arfa s'est épanoui à un poste qu'il considère lui-même désormais comme son "poste préférentiel". Il lui permet de rentrer dans l'axe pour se placer sur son pied gauche, ce qui lui donne le choix entre la frappe, où la feinte pour repartir en débordement et adresser un centre. HBA a ainsi distribué cinq passes décisives en Premier League cette saison, la plupart sur des centres. Pour le latéral adverse, cela en fait un client insaisissable. "Côté droit, j'aime beaucoup, j'y prends de plus en plus goût. A Marseille, j'étais plus à gauche, mais à droite c'est la position que je préfère car je peux rentrer. Je peux jouer à presque tous les postes du milieu et de l'attaque, mais j'ai plus d'automatismes à ce poste", reconnaissait le joueur, âgé de 25 ans, en conférence de presse mardi à Clairefontaine.
C'est en tout cas à ce poste que Ben Arfa a convaincu Laurent Blanc de l'inscrire sur sa pré-liste pour l'Euro 2012. Ecarté sur le fil des groupes tricolores pour l'Euro 2008 et la Coupe du monde 2010, HBA n'est pas encore assuré d'être de l'aventure en Pologne et en Ukraine. D'autant plus que la concurrence est particulièrement féroce à son poste, alors que Loïc Rémy, blessé, est loin d'être assuré de faire partie des 23 élus. Samir Nasri, qui a terminé la saison comme milieu droit à Manchester City, est une solution de rechange. Jérémy Ménez a lui aussi prouvé qu'il était une solution crédible à une position où il a longtemps évolué avec le PSG cette année, avant de finir l'exercice dans l'axe. Avec un profil un peu différent, ce qui pourrait d'ailleurs faire son jeu, Mathieu Valbuena a rarement déçu Laurent Blanc, qui l'a souvent aligné à ce poste chez les Bleus. Le casse-tête du poste de milieu droit existait déjà pour Blanc. C'est encore plus le cas avec Ben Arfa.

http://fr.sports.yahoo.com/24052012/70/euro-2012-ben-arfa-un-recours-a-droite.html hebergeur image

OM : Dassier torpille sévèrement Didier Deschamps et Vincent Labrune !

Évincé il y a quasiment un an après un bilan plutôt à son avantage, Jean-Claude Dassier a la rancœur tenace et n’a toujours pas digéré son éviction de la tête du club phocéen. À quelques jours de la première audience du tribunal arbitral visant à régler le litige entre Jean-Claude Dassier et l’OM (JCD réclamerait 1,7 M€ correspondant à sa troisième année de contrat et un reliquat de primes), l’ancien président marseillais lance de nouvelles piques envers Didier Deschamps et Vincent Labrune dans les colonnes du Parisien.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les déclarations de Dassier risquent d’échauder les deux hommes. Bien évidemment, l’ancien homme fort de TF1, aujourd’hui âgé de 70 ans, critique ouvertement le bilan de son successeur à la tête de la direction. « L’été dernier, j’étais responsable de tous les problèmes de l’OM. Quand je vois comment mon successeur termine la saison et dans quel état se trouve le club, je reste circonspect. » Mais si Vincent Labrune en prend pour son grade, il n’est pas le seul puisque Didier Deschamps n’est pas épargné dans sa gestion de son équipe et du mercato.
Jean-Claude Dassier égratigne DD sur le cas Ben Arfa notamment et le juge responsable de son départ controversé et de ses prestations en dent de scie. « Quand je vois le talent du garçon, je me dis que quelque chose ne fonctionne pas chez Deschamps. Comment a-t-il fait pour ne pas exploiter le potentiel de Ben Arfa, lui qui est considéré comme le meilleur entraîneur de L1 ? » Mais ce n’est pas tout, puisqu’il a fustigé la gestion des cas Bocaly et Hilton et ceux des flops Gignac, Rool et Morientes. « Et ne me parlez pas de Hilton, Bocaly, qu’il a rejetés et qui brillent à Montpellier. Ou du recrutement de Rool, Morientes ou Gignac. Cela fait beaucoup. »
On le voit, les rancœurs sont tenaces et les attaques précises et violentes de la part de Jean-Claude Dassier. Si quelques piques peuvent paraître disproportionnées, certaines sont criantes de vérité et dénotent le mal-être d’un club qui a perdu beaucoup ces deux dernières saisons. Reste que Vincent Labrune se serait bien passé de cette nouvelle affaire médiatique…

http://www.footmercato.net/ligue1/om-dassier-torpille-severement-didier-deschamps-et-vincent-labrune_85331

mercredi 23 mai 2012

OM : l’avenir de Valbuena déjà scellé ?

Après six saisons passées au club, Mathieu Valbuena allait-il quitter l'Olympique de Marseille cet été ? C'était l'une des questions que les observateurs du club phocéen se posaient. L'international tricolore faisait en effet partie des joueurs susceptibles d'être vendus par les dirigeants olympiens, en quête de liquidités.
Mais alors que le mercato estival n'a pas encore ouvert ses portes, l'avenir de celui qui s'était révélé à Libourne en National semble déjà scellé. Par la voix de son agent, on a en effet appris que Valbuena serait toujours Marseillais la saison prochaine. Et peut-être les suivantes également.
«Pourtant, il a des offres»
«J'ai rencontré Vincent Labrune en présence de Mathieu Valbuena et José Anigo. Il sera à l'Olympique de Marseille car son amour pour le club est unique. Et pourtant, il a des offres pour aller dans d'autres clubs. Il veut faire partie de cette reconquête car c'est important. Il devrait prolonger son contrat dans quelques jours, probablement jusqu'en juin 2017», a ainsi révélé Christophe Hutteau sur RMC.
Didier Deschamps, s'il reste lui aussi, pourra donc toujours s'appuyer sur son milieu de terrain offensif, tout de même auteur de 5 buts et 13 passes décisives en championnat cette saison malgré les résultats très décevants de l'OM, à la reprise

Le PSG affrontera le Barça en amical

Avant de retrouver la Lige des Champions, le PSG aura déjà croisé le chemin de quelques ténors européens. Le club de la capitale va en effet affronter des adversaires prestigieux lors de sa préparation estivale, avec en point d'orgue une rencontre amicale face au FC Barcelone le 4 août au Parc des Princes, d'après L'Equipe et Le Parisien. L'équipe de Lionel Messi ne sera pas le seul cador au programme des Parisiens cet été. Après leur stage en Autriche cet été, ils défieront en effet Chelsea, champion d'Europe, le 22 juillet à New York, puis la Juventus Turin, championne d'Italie, le 31 juillet à Montréal.

http://fr.sports.yahoo.com/22052012/70/ligue-1-le-psg-affrontera-le-barca-en-amical.html

mardi 22 mai 2012

Le joueur M. Sissoko en garde à vue

Le joueur du PSG Mohamed Sissoko a été placé en gade en vue, pour défaut de permis et insulte à policiers. Le joueur a été interpellé rue de Rivoli (Ier arrondissement) au volant de son véhicule, pour "usage de faux document" après avoir présenté un permis de conduire britannique et "défaut de permis" de conduire français, selon cette source. Une procédure pour "outrage à dépositaires de l'autorité publique", en l'espèce les policiers, a aussi été engagée à son encontre.

Le joueur a été contrôlé par des policiers mardi vers 12h30. Il leur a présenté un permis de conduire britannique comportant "de nombreux défauts" qui ont poussé les policiers "à de plus amples vérifications" qui se sont révélées "à son désavantage". Le joueur n'avait en outre pas de permis français et serait, du point de vue de ces documents, "en état de récidive", toujours selon la source policière.

"Vous êtes des +keufs+ (policiers) de merde", a-t-il dit aux fonctionnaires qui l'ont contrôlé, puis interpellé sans faire usage de menottes, a ajouté la source policière. Le footballeur a été emmené au commissariat le plus proche où sa garde à vue lui a été signifiée, pour tous ces faits, a précisé cette source. "Vous allez entendre parler de moi!", a aussi dit le milieu de terrain du PSG aux policiers, selon cette source.

Deux jours après la fin du Championnat, l'international malien du PSG devait partir en vacances, mais a été contraint de revoir ses plans,
écrit l'Equipe.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/05/22/97001-20120522FILWWW00639-le-joueur-m-sissoko-en-garde-a-vue.php

Chine. Shanghai cherche un nouvel entraîneur, sans Nicolas Anelka

Au lendemain des déclarations de Nicolas Anelka, qui a menacé de quitter le club, Shanghai Shenhua a annoncé être à la recherche d’un nouvel entraîneur.
Nicolas Anelka va-t-il mettre sa menace à exécution et quitter la Chine ? Estimant manquer de soutien, l’entraîneur-joueur de Shanghai Shenhua a affirmé lundi que si ses dirigeants « continuent de faire des petites manigances derrière mon dos », il déciderait « rapidement d’abandonner ou pas ».
Ce mardi, l’ancien buteur de l’équipe de France n’a pas dû apprécier d’apprendre que le Shanghai Shenhua recherchait un nouvel entraîneur en chef. « Le club le cherche activement et attend de lui qu’il accepte le poste et en prenne les commandes bientôt », a annoncé le Shenhua sur Twitter.
Sergio Batista aux commandes ?
Seulement 14e du championnat de Chine, le club est actuellement entraîné par Jean-Florent Ikwange Ibenge, ancien sélectionneur de la RD Congo, lui-même épaulé par Anelka, qui revendique la casquette de coach. « En substance, j’ai le pouvoir d’un entraîneur en chef, je décide de la liste des joueurs, je dirige l’entraînement quotidien », confiait-il lundi.
Selon la presse locale, l’Argentin Sergio Batista, champion du monde 1986 en tant que joueur puis champion olympique à Pékin en 2008 comme technicien, serait pressenti pour prendre le poste d’entraîneur, brièvement occupé par Jean Tigana en début de saison.
Une nomination qui pourrait provoquer le départ d’Anelka, recruté pour deux ans en janvier, avec un salaire estimé à 234 000 € par semaine.

MHSC : à peine la fête passée, il faut déjà préparer 2012-2013

C’est ce qu’on appelle l’éphémère fuite de l’instant. À peine le temps de savourer ce présent extraordinaire, de se retourner sur un passé si peu ordinaire qu’il faut déjà regarder plus loin. L’avenir, ses perspectives dégagées et dorées avec les rentrées financières du titre et de la Ligue des champions. Mais aussi la trajectoire incertaine de certains destins. Dans l’intimité du stade Abbé-Deschamps, dès le titre obtenu, René Girard a clamé son désir "de continuer avec l’intégralité de cette équipe, en y apportant quelques retouches. Ce serait l’idéal pour progresser encore".
La suite, la prolongation naturelle de cette folle épopée, le staff a déjà planché dessus. "On n’a pas attendu le titre pour y réfléchir. On va préparer ça très sérieusement pour être bien la saison prochaine", assure Laurent Nicollin.

Elle dépend avant tout des trajectoires incertaines de quelques destins. Montpellier a proposé à tous ses joueurs phares une revalorisation salariale conséquente (on évoque le chiffre de 150 000 € par mois). Suffisant pour retenir les trois fantastiques ? Le départ le plus probable semble celui d’Olivier Giroud. Le Bayern Munich ne dément pas son intérêt pour l’international qui pourrait être cédé pour une somme tournant autour des 16 M€. Dans son discours comme dans son attitude, le meilleur buteur de Ligue 1 laisse planer le doute mais a donné tous les indices d’un départ imminent (lire par ailleurs). Younès Belhanda a, au contraire, laissé entendre qu’il était parti pour rester. Et la grande bise de Laurent Nicollin à la sœur du joueur, hier, laissait entrevoir des négociations en bonne voie.
Reste le cas de Mapou Yanga-Mbiwa. Le tout nouvel international dispose dans l’absolu d’un bon de sortie. Il est convoité par des clubs comme Lille, Marseille, le Bayern mais pourrait finalement décider de poursuivre l’aventure en Ligue des Champions. "Après ce titre, je vais prendre le temps de réfléchir à mon avenir", a déjà laissé entendre le capitaine héraultais.
D’autres départs sont-ils possibles ? Ne soyons pas naïfs. Des joueurs qui ont crevé l’écran vont avoir des propositions. On pense notamment à Marco Estrada, qui avait reçu une belle offre du club russe de Rubin Kazan, l’hiver dernier, avant d’être revalorisé par le MHSC. Henri Bédimo risque aussi d’être très demandé. Le défenseur camerounais, qui a esquivé la question ces derniers temps, a envoyé des signes plutôt rassurant hier. "Vu l’ambiance ce soir, c’est sûr que ça donne envie de participer à la Ligue des Champions avec cette équipe-là et devant ce public-là." Il est, de plus, sous contrat et il est peu probable que Montpellier laisse facilement filer une denrée aussi rare qu’un latéral gauche.
Pour le reste, la plupart des joueurs sous contrat (Saihi, Camara, Marveaux, Cabella...) ont été récemment prolongés. Jeunechamp, Dernis et Pitau, en fin de contrat, pourraient également renouveler au titre des services rendus.
Restera à être aussi efficace dans le recrutement que ces dernières années. Pour palier le départ éventuel de Giroud, deux pistes se dégagent. Le Brésilien Lima du club portugais de Braga mais surtout l’attaquant Angevin Gaétan Charbonnier (Angers). À 23 ans, ce dernier (1,88 m) offre une trajectoire un peu comparable à celle de Giroud avec 12 buts en 30 matches en L2 cette saison. Mais il lui faudra apprivoiser la L1.
En cas de départ de Mapou, les noms qui circulent sont ceux de Daniel Congré (Toulouse, 26 ans) ou du défenseur du FC Bruges, Ryan Donk (27 ans). Autres rumeurs, persistantes ou naissantes pour renforcer le groupe destiné à découvrir l’Europe : l’attaquant néerlandais Chistian Benteke (Genk), le retour de Victor-Hugo Montaño (Rennes), le milieu offensif de Guingamp Anthony Knockaert ou Abdelmoumen Djabou (Setif) surnommé le Messi algérien.
Il faudra évidemment faire le tri de ces bruits et de ces intentions au fil d’un mercato d’été qui s’annonce vivant. Mais on peut faire confiance au staff montpelliérain pour ne pas laisser détricoter d’un coup un si bel habit de lumière. "Et si on gagnait la Ligue des champions ?", la saison prochaine, a lancé René Girard, comme une boutade. Avec ce club, ce qu’il vient de vivre et de nous faire vivre, on n’ose désormais plus écrire que quelque chose est impossible.
http://www.midilibre.fr/2012/05/21/avenir-dore-destins-incertains,504726.php

lundi 21 mai 2012

Higuaín, première recrue du PSG?

tient peut-être enfin son attaquant de classe mondiale. Selon plusieurs sources parisiennes, le recrutement de Gonzalo Higuaín, l’avant-centre du , est en très bonne voie. L’optimisme est de mise à , même si les transferts avortés de Pato, Tevez ou Beckham ces derniers mois peuvent échauder. L’Argentin, qui viendrait compléter un effectif où les Sud-Américains sont en force, retrouverait son compère de la sélection, Javier Pastore. Les deux hommes conversent par téléphone depuis plusieurs mois sur la possibilité d’un transfert.
. Ils devraient, selon toute vraisemblance, discuter bientôt ensemble de visu. Devenu doublure de Karim Benzema à Madrid, Higuaín est en recherche de temps de jeu,mais le Real Madrid n’est pas vraiment disposé à le lâcher. Ce pendant, dans un football qui subit, lui aussi, la crise économique mondiale, les liquidités offertes par le PSG ne se refusent pas. Dès que la possibilité du transfert de Gonzalo Higuaín a commencé à circuler, une somme comprise entre 40 et 60M€ a été envisagée. Son embauche pourrait dépasser les 42M€ dépensés pour faire venir Javier Pastore de Palerme, un montant qui colle aux basques du meneur de jeu.
Auteur de 22 buts en 35 matchs cette saison


C’est surtout le père de l’attaquant, autrefois joueur à Brest, qui pousse pour voir son fils signer à Paris. Agé de 24 ans, le joueur, auteur de 22 buts en 35matchs de Lig a cette saison, ne peut signer qu’à l’ouverture du mercato le 13 juin. Né en France, il bénéficie de la double nationalité franco-argentine et ne prend donc aucune place d’extracommunautaire, alors que le PSG a droit à quatre joueurs hors Union européenne ou assimilés. Depuis 2006 au Real, Higuaín est une terreur devant le but, l’homme qui manque à Ancelotti pour permettre à son équipe de franchir un cap, en Ligue 1 comme en Ligue des champions, dont il connaît les exigences. Si rien n’est encore fait, le dossier est en passe de se faire. De quoi consoler les supporteurs de la perte du titre au profit de Montpellier ?http://www.leparisien.fr/psg-foot-paris-saint-germain/higuain-premiere-recrue-21-05-2012-2009191.php hebergeur image

Ligue 1 : Montpellier champion de France au bout d'une folle soirée

Au bout du suspense, ils l'ont fait ! Montpellier est devenu dimanche champion de France à l'issue de sa victoire à Auxerre (2-1), au terme de la 38e et dernière journée de championnat, marquée par d'incroyables interruptions de match en raison de supporteurs d'Auxerre amers après la relégation de l'AJA
C'est le premier titre de champion de Montpellier, 13e budget de L1 (36 millions d'euros) qui devance le Paris SG, 2e (victorieux à Lorient 2-1), qui a dépensé plus de 100 millions d'euros en recrutement cette saison depuis son rachat par des investisseurs qataris.

Les interruptions multiples à Auxerre, entre jets de projectiles et tribunes évacuées par les CRS, en présence du ministre de l'Intérieur Manuel Valls à l'Abbé-Deschamps, ont provoqué un décalage énorme dans la soirée. Le match des Parisiens, brièvement interrompu aussi en première période à cause de fumigènes, s'est achevé normalement, bien avant celui de Montpellier, alors sur un score nul de 1-1 à ce moment-là, en pleine interruption. Le suspense était son comble. Si Montpellier avait perdu ensuite, à la reprise du match, Paris SG aurait été champion. Mais Utaka a mis fin au suspense avec son deuxième but en fin de match (2-1, 75e).

Montpellier, l'équipe de l'exubérant président Louis Nicollin, ému aux larmes, s'est donc aussi qualifiée pour la plus prestigieuse des compétitions de club, la Ligue des champions, qu'elle découvrira (cette qualification était acquise bien avant la dernière journée de championnat). Reste à savoir si Montpellier gardera ses joyaux -Belhanda et Giroud- dans son effectif, alors que ces deux joueurs seront très convoités à la mi-saison (la presse allemande verrait bien Giroud aller au Bayern Munich). La fête pouvait battre son plein à Montpellier, place de la Comédie.

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dimanche 20 mai 2012

Multiplex de la 38e journée de Ligue 1 en live

Montpellier n'a pas besoin que d'un point, pendant que la lutte pour le maintien sera brulante...
Suivez le multiplex de la 38e journée de Ligue 1 en direct en cliquant sur ces liens.......
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Chelsea win Champions League 2011/2012 - Penalties 4:3

L1 : une 38e et ultime journée passionnante avec des enjeux à tous les étages

L'heure est venue de savoir ! Qui sera champion de France, qui accompagnera Lyon et Marseille en Ligue Europa, qui sera relégué, qui se maintiendra et qui sera sacré meilleur buteur ? A l'occasion de la 38e et dernière journée de Ligue 1 programmée ce dimanche (21h), neuf matchs sur dix auront un fort enjeu…
Si la rencontre entre Lille et Nancy est dénuée d'enjeu sportif mais permettra néanmoins d'assister à la dernière apparition d'Eden Hazard dans le championnat français, les neuf autres rencontres de la 38e journée mettront aux prises des équipes qui ont encore quelque chose à gagner, ou à perdre !
Au programme (21h) : Auxerre - Montpellier, Lorient - Paris SG, Lille - Nancy, Lyon - Nice, Saint-Etienne - Bordeaux, Rennes - Dijon, Sochaux - Marseille, Evian TG - Brest, Toulouse - Ajaccio, Valenciennes - Caen.
Montpellier à 90 minutes d'un sacre historique !
Avec trois points d'avance sur le PSG, Montpellier est archi favori pour décrocher le titre de champion de France, le premier de son histoire. Si les coéquipiers de Younes Belhanda (suspendu) ne perdent pas à Auxerre, ou s'ils s'inclinent mais que dans le même temps Paris ne l'emporte pas à Lorient, l'Hexagoal ne pourra pas leur échapper. Les Héraultais sont donc en position de force. Ce duel à distance sera aussi celui d'Olivier Giroud et Nenê (21 buts chacun) pour le titre de meilleur buteur de Ligue 1 !
Une finale Saint-Etienne – Bordeaux qui peut profiter à Rennes

Si les tickets pour la Ligue des Champions sont déjà oblitérés par Montpellier, Paris et Lille, il en reste en revanche un à délivrer pour la Ligue Europa. Qui accompagnera Lyon et Marseille qualifiés par le biais des coupes nationales ? Bordeaux (5e, 58 pts, +11), Saint-Etienne (6e, 57 pts, +5) et Rennes (7e, 57 pts, +4) sont à la lutte, le choc à Geoffroy-Guichard entre les deux premiers cités sonne donc comme une finale. Mais Rennes pourrait en profiter… Pour Toulouse (8e, 56 pts, +5) en revanche, seul un miracle invraisemblable pourrait lui offrir l'Europe.
Les cas de figure :
- Bordeaux qualifié si : victoire à St-Etienne, ou nul à St-Etienne + Rennes ne bat pas Dijon.
- Saint-Etienne qualifié si : victoire face à Bordeaux + Rennes ne gagne pas, ou victoire face à Bordeaux + victoire moins/aussi large de Rennes*.
- Rennes qualifié si : victoire face à Dijon + nul entre Bordeaux et Saint-Etienne, ou victoire face à Dijon + victoire moins large de Saint-Etienne*.
* A noter, si Rennes et Saint-Etienne se retrouvent à égalité de points et avec la même différence de buts (ce qui est tout à fait possible), la décision se fera selon la meilleure attaque (47 buts pour les Verts, 48 buts pour les Bretons !), puis en cas de nouvelle égalité (ce qui est là encore possible), selon les résultats des confrontations directes (1-1, 4-0, avantage aux Verts)…
Huit clubs à la lutte pour le maintien !
Aussi incroyable que cela puisse paraître, de Valenciennes (12e) à Dijon (19e), 8 clubs sont encore à la lutte pour le maintien, à 90 minutes du terme de la saison ! Une seule confrontation directe opposera Valenciennes à Caen (17e). VA n'a donc besoin que d'un match nul pour être sûr de rester parmi l'élite. Alors que Dijon (36 pts) sera en très grand danger à Rennes, Ajaccio (18e) est pour l'heure condamné à cause de sa différence de buts très défavorable. Mais rien n'est joué ! Nice, Lorient et Sochaux ont 39 points, Brest, Caen et Ajaccio ont 38 points. Tout pourrait donc se jouer à la différence de buts…

C'était le destin de Chelsea

Chelsea a remporté la première Ligue des champions de son histoire aux tirs au but, à Munich, face au Bayern (1-1, 3-4 t.a.b.).
Ça, c'est un destin. Diminué, dominé, malmené, et même mené à deux minutes de la fin. Chelsea avait tout pour perdre cette finale. Comme la demie face à Barcelone. Mais ces Blues là, jusqu'au bout, auront défié l'improbable. Jusqu'à remporter cette finale de Ligue des champions contre le Bayern, sur la pelouse même des Bavarois (1-1, 3-4 t.a.b.). Et pour pousser le bouchon plus loin encore, c'est aux tirs au but qu'ils ont arraché cette finale, quatre ans après celle perdue dans les mêmes conditions contre Manchester United. Des Anglais qui battent des Allemands aux tirs au but, on aura tout vu. Oui, on aura tout vu avec Chelsea cette saison.
Globalement décevante en termes de jeu, cette finale 2012 aura valu par son extraordinaire scénario et son héros. Didier Drogba n'avait pas besoin de ça pour figurer dans le livre d'or de Chelsea. Mais ce 19 mai restera comme son chef d'oeuvre. C'est lui qui a redonné vie à son équipe alors qu'elle était quasiment morte. Lorsque Thomas Müller, d'une tête piquée, a trompé Petr Cech à bout portant (83e), le sort de cette finale semblait plié. Dominateur sans être vraiment maître de son sujet, le Bayern tenait son cinquième sacre. Le plus beau de tous, parce que conquis devant son public.
Drogba en héros
Mais Chelsea n'avait pas surmonté sa saison la plus laborieuse de l'ère Abramovich pour s'arrêter là. Alors, sur le premier et seul corner du match (le Bayern en a obtenu... 20) de son équipe, Drogba a tout relancé d'un fantastique coup de tête. A partir de là, l'attaquant ivoirien est devenu le personnage incontournable de la partie. En bien comme en mal. D'abord en provoquant un penalty au tout début de la prolongation, qu'Arjen Robben allait manquer, trouvant Petr Cech sur sa route. Puis, au bout de la nuit, Drogba a conclu la séance de tirs au but. Pourtant, celle-ci était mal partie pour Chelsea puisque Mata, le premier à s'élancer, avait manqué sa tentative.
Pour tout dire, lorsque Drogba a égalisé, il semblait impossible que Chelsea puisse perdre cette finale. Malgré le penalty de la prolongation, malgré la tentative manquée de Mata. L'issue heureuse paraissait inéluctable. Il y a là quelque chose qui dépasse le cadre de la raison. La victoire de Chelsea, c'est celle de la passion plus que de la raison. Si celle-ci avait imposé sa logique, le Barça aurait disputé cette finale. Et le Bayern aurait dû gagner cette finale. Sa finale. Les Munichois pourront regretter leur manque de précision devant le but, et leur absence de réalisme aux deux extrémités du terrain. Il y a des années comme ça. Où le destin d'un groupe hors du commun finit par imposer sa loi à tous et à tout.
Le couronnement des Blues, le premier d'un club londonien en Ligue des champions, entre davantage dans la lignée de celui de Liverpool en 2005, lui aussi improbable à bien des égards, qu'à celui, par exemple, du Barça l'an dernier. La meilleure équipe d'Europe a-t-elle triomphé à l'Allianz Arena? Probablement pas. Peu importe. Le parcours atypique de cette équipe tout au long de la saison et son refus constant d'abdiquer ne peuvent qu'emporter l'adhésion. Chelsea aurait pu soulever la coupe aux grandes oreilles bien plus tôt. Mais un destin, c'est compliqué, c'est capricieux. C'est beau, aussi.

samedi 19 mai 2012

Chelsea - Bayern Munich: la finale de la Ligue des champions en live

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Chelsea en terrain connu face au Bayern

Seul contre tous. Chelsea sait déjà quel contexte l'attend à l'Allianz Arena samedi, pour la finale de la Ligue des champions face au Bayern Munich. Pas idéal pour tenter d'aller chercher la première C1, mais les Blues en ont vu d'autre. En demi-finale, ils ont résisté durant 180 minutes à la pression du tenant du titre, le FC Barcelone, pour venir à bout du club catalan. La stratégie défensive, d'une efficacité redoutable, de l'équipe de Roberto Di Matteo n'a laissé personne indifférent. Une telle tactique est-elle envisageable face au club bavarois ? C'est peu probable.
Déjà parce que le Bayern n'est pas le Barça. Le FC Barcelone a un style unique au monde, fait de longues phases de possession du ballon grâce à une multiplication de passes courtes. Affronter cette équipe, c'est forcément subir son jeu. Le Bayern évolue de manière complètement différente, avec un jeu plus direct, et sera un adversaire plus "classique" pour Chelsea. Cela surprendrait d'ailleurs considérablement Jupp Heynckes de voir l'équipe de Di Matteo aborder la finale avec une stratégie identique à celle de la demi-finale. "Je ne pense pas que Chelsea sera ultra-défensif comme à Barcelone. Regardez le jeu du Barça et le nôtre ! Ce sera un match très dramatique entre deux équipes qui meurent d'envie de gagner, et chacune l'abordera à sa manière", pronostique l'entraîneur du Bayern.
Un bloc plus haut, sans dégarnir les côtés
S'il y a peu de chance de voir jouer Chelsea contre le Bayern comme contre le Barça, c'est aussi parce que les Blues ne pourront pas compter sur les mêmes hommes. Les absences de joueurs comme John Terry, Branislav Ivanovic, Raul Meireles et Ramires, tous suspendus, privent l'équipe londonienne de quatre joueurs particulièrement précieux dans la bataille tactique et le combat physique livrés face à Barcelone. Roberto Di Matteo se présentera à l'Allianz Arena avec une formation qui n'aura pas ses automatismes habituels, notamment dans le secteur défensif. Une stratégie d'attente pourrait se révéler risquée dans ce contexte. Et pas forcément adéquate, compte tenu du fait que le Bayern n'a pas forcément affiché des garanties de sécurité en défense cette saison et qu'il sera privé de deux défenseurs, Holger Badstuber et David Alaba, et d'un milieu récupérateur, Luiz Gustavo, tous suspendus. Logiquement, le bloc des Blues devrait donc évoluer un cran plus haut par rapport au match face au Barça.
Tout en veillant à ne pas dégarnir les côtés, où Franck Ribéry et Arjen Robben créent principalement le danger dans une animation offensive bavaroise qui se base aussi sur les incessantes montées des arrières latéraux. Chelsea a pu se tester avec la double-confrontation face à Barcelone dans ce domaine. Son 4-3-3 modulable en 4-5-1, où Juan Mata et Ramires redescendaient régulièrement d'un cran pour prêter main forte à leurs latéraux contre les Catalans, semble également approprié pour affronter les Bavarois. Même sans le Brésilien, qui cédera vraisemblablement sa place à Daniel Sturridge ou Salomon Kalou pour cette finale. Quel que soit son remplaçant, il devra être capable d'avoir la même débauche d'énergie que l'ancien joueur de Benfica. S'il est peu probable de voir Chelsea utiliser la même stratégie défensive que face à Barcelone sur le terrain, l'état d'esprit combatif affiché contre les Catalans sera en effet le même à Munich. Chez les Blues, c'est une marque de fabrique.


http://fr.sports.yahoo.com/18052012/70/ligue-des-champions-chelsea-en-terrain-connu-face-au-bayern.html