jeudi 30 septembre 2010

PSG-KARPATY LVIV et Gand-Lille ici en live

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Equipe de France : Laurent Blanc appelle Payet et Gourcuff

Créer un noyau dur. On peut retenir cette idée de la conférence de presse de Laurent Blanc jeudi pour présenter la liste des 23 joueurs qui affronteront la Roumanie et le Luxembourg, les 9 et 12 octobre prochains. Laurent Blanc a rappelé Yoann Gourcuff chez les Bleus. Le néo-Lyonnais n'avait pas remis les pieds depuis son expulsion contre l'Afrique du sud pendant le Mondial.
Le sélectionneur a également fait appel au Gunner d'Arsenal Samir Nasri qui avaient manqué les matchs contre la Biélorussie et la Bosnie à cause d'une blessure.


Le petit nouveau de la liste s'appelle Dimitri Payet. Le Stéphanois fait son entrée afin de le récompenser de son «excellent comportement en club». Le sélectionneur des Bleus veut aussi permettre au buteur des Verts, décisif contre Lyon dimanche dernier, d'«humer l'odeur de l'équipe de France».


La liste des 23


Gardiens de buts: Hugo Lloris (Lyon), Steve Mandanda (Marseille), Cédric Carrasso (Bordeaux)


Défenseurs: Bakary Sagna (Arsenal), Adil Rami (Lille), Philippe Mexès (Roma/ITA), Mamadou Sakho (Paris SG), Gaël Clichy (Arsenal), Benoît Trémoulinas (Bordeaux)


Milieux de terrain: Abou Diaby (Arsenal), Alou Diarra (Bordeaux), Lassana Diarra (Real Madrid/ESP), Yann Mvila (Rennes), Florent Malouda (Chelsea/ENG), Yoann Gourcuff (Lyon), Mathieu Valbuena (Marseille), Blaise Matuidi (Saint-Etienne), Samir Nasri (Arsenal)


Attaquants: Kevin Gameiro (Lorient), Guillaume Hoarau (Paris SG), Karim Benzema (Real Madrid/ESP), Loïc Rémy (Marseille), Dimitri Payet (Saint-Etienne)
http://www.leparisien.fr/sports/equipe-de-france-laurent-blanc-appelle-payet-et-gourcuff-30-09-2010-1089604.php
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Du neuf chez les 10 ?

Absents lors du dernier rassemblement, Samir Nasri (Arsenal) et Yoann Gourcuff (Lyon) ont des chances de faire leur retour en équipe de France, à l'occasion de la double confrontation face à la Roumanie (9 octobre) et au Luxembourg (12 octobre). Les Bleus pourraient même se teinter de vert...
Dimitri Payet, Laurent Blanc ne l'a jamais "pratiqué". Mais le patron des Bleus pourrait être tenté d'appeler le Stéphanois qui est actuellement sur un nuage. Leader du championnat avec son club, meilleur buteur de Ligue 1 avec 7 réalisations en autant de journées, le Réunionnais frappe très fort à la porte. Le moment de lui ouvrir est-il venu? Le "Président" répondra à cette question jeudi en début d’après-midi. Il lèvera également le voile sur ses intentions concernant Jérémy Toulalan. Non-indispensable en défense chez les Bleus, le Lyonnais est redevenu milieu de terrain à Lyon. Suffisant pour entrer dans les plans de Blanc? Loin d'être une évidence alors que la triplette M’Vila-A.Diarra-Diaby a donné quelques gages de sécurité du côté de Sarajevo. Quid de David Trezeguet, qui s'est auto-proclamé de nouveau sélectionnable pour une 72e cape et un éventuel 35e but? Laurent Blanc ne semble pas disposé pour faire du neuf avec du vieux.
"Continuer à leur faire confiance"


Finalement, une seule certitude (mais de taille) devance l'annonce de cette troisième liste de l'ère Blanc : les Bleus qui ont su rebondir en Bosnie (0-2) seront de retour pour affronter la Roumanie (9 octobre au Stade de France) et le Luxembourg (12 octobre à Metz). Laurent Blanc n'en a pas fait grand mystère. Lundi, il l'a répété sur l’antenne de RTL: "Les gens qui ont joué en Bosnie seront certainement appelés contre la Roumanie et contre le Luxembourg, sauf blessure ou méforme." Cette équipe a un avenir et le caractère dont elle a fait preuve à Sarajevo ont plu au sélectionneur. Ce n’est pas le moment de tout chambouler. "On a choisi des options, un groupe de jeunes joueurs, il faut continuer à leur faire confiance, explique Blanc. Si au bout de un ou deux matches vous changez tout et vous rappelez des joueurs que l'on connait déjà, ce n'est pas la meilleure manière de leur donner confiance."


Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29092010/70/qualifications-euro-2012-du-neuf-chez-les-10.html
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Lyon : en Europe, ça passe

Avec, encore, de grosses difficultés dans son expression, Lyon est allé battre l'Hapoel Tel-Aviv (3-1), mercredi. Michel Bastos a inscrit un doublé, notamment une fantastique demi-volée pour doubler la mise. Dans son groupe B, l'OL est à l'aise sur le plan comptable (6 points sur 6 possibles).
Loin de l'atmosphère étouffante du championnat où il se traîne à la 18e place, Lyon respire en Ligue des Champions. Le poids de l'expérience sans doute. Le modeste niveau de l'adversaire aussi, peut-être. Grâce à un doublé de Michel Bastos et un but de Pjanic, déjà buteur face à Schalke 04 (1-0), l'OL a en tout cas rempli sa mission à Tel-Aviv : prendre trois nouveaux points, qui le rapprochent d'une huitième qualification consécutive pour les 8es de finale. Ce succès, combiné à la victoire de Schalke 04 face au Benfica (2-0), permet au club rhodanien de s'installer seul en tête du groupe B avec 6 points. Mais, pour le reste, difficile de dire que les Lyonnais se sont vraiment rassurés. Alors que le bon match contre Saint-Etienne, samedi à Gerland (0-1), n'avait pas été récompensé, la victoire a cette fois conclu un match parfois emprunté. Signe d'une équipe qui doute, la sérénité n'est pas encore au rendez-vous, notamment en défense.


Menacé, Claude Puel s'est donné un peu de répit. Pour cela, il avait renouvelé sa confiance aux joueurs alignés face aux Verts, Källström étant une nouvelle fois préféré à Pjanic. Un choix qui s'est d'abord avéré payant. Lyon, qui n'avait jamais marqué plus tard que la 27e minute lors de ses 8 matches compétitifs cette saison, a pris rapidement les devants. Dès la 7e minute, Michel Bastos transformait un penalty provoqué par Jimmy Briand (0-1). Le Brésilien récidivait quelques minutes plus tard. Sur un corner mal renvoyé par la défense israélienne, il trouvait la lucarne gauche d'Enyema d'une frappe imparable des 25 mètres (36e, 0-2). Avec trois réalisations dans cette C1, Bastos égalait son bilan de la saison dernière. Deux coups d'éclat qui cachaient néanmoins une certaine fébrilité.


Bastos, deux buts et puis s'en va


Sous pression, la défense a été mise à rude épreuve. Ainsi, Lloris a dû intervenir trois fois sur des tentatives de Dedi Ben Dayan (5e), Avihay Yadin (22e) ou encore Ben Sahar (24e) alors qu'une situation de panique est née dans la défense lyonnaise après une sortie aérienne ratée de son gardien sur corner (35e). Pourtant, l'arrière garde de Tel-Aviv n'avait pas non plus des allures de coffre-fort. Offensivement, l'OL, outre les buts de Bastos, a été dangereux par Bafétimbi Gomis (20e, 23e, 58e). L'attaquant était encore rattrapé par la défense israélienne après un contre mené par Gourcuff (35e) alors qu'un centre de la droite de Réveillère passait devant le but sans personne pour le reprendre (40e). Pied voyait ensuite son tir détourné par Enyama (70e) et Briand ratait le coche sur une belle passe de Gourcuff (74e).


A force de plier, l'OL a fini assez logiquement par céder. Lovren, qui avait déjà manqué de marquer contre son camp en première période (31e), concédait un penalty en commettant une faute dans la surface sur un coup franc anodin. Enyema, le gardien nigérian de l'Hapoël, se chargeait de la sanction (79e, 1-2) et ramenait les Gones à leurs lacunes. Un dernier frémissement qui laissait planer l'ombre d'une fin de match difficile jusqu'à ce que Pjanic, entré à la place de Gourcuff (77e), ne mette fin au suspense (90+4, 1-3). Malgré tout, l'OL a tenu un succès tellement précieux par les temps qui courent. Avant la réception du Benfica, en octobre, Lyon peut voir venir. Mais dès samedi, il faudra enchaîner à Nancy pour un rendez-vous tout aussi important que pour commencer une remontée en championnat. Peut-être sans Bastos, touché derrière la cuisse en fin de match. Simple crampe, espère-t-il...


Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29092010/70/ligue-des-champions-lyon-en-europe-ca-passe.html
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Benzema : Blanc pense comme Mourinho

A la question : "Benzema ne travaille-t-il pas assez ?", le sélectionneur des Bleus répond que le joueur du Real Madrid "n'a pas l'habitude de travailler". "Quand vous êtes en tête à tête avec la personne, elle vous écoute, dit Blanc. Mais ces mêmes joueurs attentifs et réceptifs, lorsqu'ils sortent dans la rue, rencontrent des gens qui leur disent: 'tu es le meilleur, tu joues au Real Madrid, tu n'as pas besoin de travailler'. Ce sont les faux-amis"
Buteur et auteur d'un très bon match en Bosnie (0-2), Benzema est à peu près certain d'être retenu pour France - Roumanie et France - Luxembourg, les deux prochaines échéances des Bleus (9 et 12 octobre). Mais il est une affaire à lui tout seul depuis le début de la saison. Au Real Madrid, José Mourinho lui fait cirer le banc la plupart du temps en le titillant sur son sens de l'effort. Aligné mardi à Auxerre, le Français n'a pas brillé. Sur Canal+, le Portugais a ajusté: "C'est un joueur qui a besoin de jouer avec plus de... "motivation" n'est pas le bon mot, mais avec plus d'ambition et de caractère. Sur les qualités, c'est fantastique."


Zidane était timide lui aussi, comme Gourcuff...


Dans le même entretien, Laurent Blanc reconnaît que Yoann Gourcuff est un "garçon introverti" et il propose de "l'aider". En écho à sa dernière saison compliquée en équipe de France où il semblait avoir été mangé par la personnalité de ses partenaires malgré sa position de meneur de jeu, Blanc demande: "Laissez-le jouer. Laissez-le mûrir, tout simplement. Pensez qu'à son âge, Zinédine (Zidane) était le petit mec qui arrivait avec son sac en équipe de France". Gourcuff, 23 ans, a débuté en sélection plus jeune que Zidane, qui s'était cependant imposé comme un incontestable à 23 ans, dix mois après sa première sélection.


Blanc ajoute qu'il ne voit pas donner dans l'immédiat le brassard en équipe de France au joueur de Lyon, qu'il a dirigé à Bordeaux: "Pour l'instant, non. Il est en phase de confirmation et ce n'est pas la phase la plus facile. Lui rajouter des responsabilités ne serait pas l'aider". Jusqu'ici, Blanc a alterné la désignation de son capitaine : Mexès, Malouda et A. Diarra se sont succédés.
http://www.eurosport.fr/football/european-championship-qualification/2012/blanc-pense-comme-mourinho_sto2486821/story-lci.shtml
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mercredi 29 septembre 2010

Lyon face à Tel Aviv à suivre en live ici ce soir

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Lyon attend toujours le vrai Gourcuff

Recruté cet été par l'Olympique Lyonnais, Yoann Gourcuff peine à retrouver le niveau brillant affiché sous le maillot des Girondins de Bordeaux. S'il a la confiance du président Aulas, le milieu offensif lyonnais doit hausser son niveau de jeu sous ses nouvelles couleurs et cela ne devrait pas tarder selon son père, Christian Gourcuff.
Passeur décisif et buteur, Yoann Gourcuff avait séduit la France entière lors de son arrivée à Bordeaux en 2008. Mais depuis la fin de saison ratée des Girondins lors de l'exercice 2009-2010, l'ancien Milanais peine à exprimer son talent sur les terrains de l'Hexagone. Après 7 journées de championnat, il affiche le maigre bilan d'une passe décisive avec son ancien club. Recruté par Lyon pour 22 millions d'euros, l'international français n'a pas encore confirmé son prix d'achat.


«Yoann doit retrouver la sérénité»


Installé comme le nouveau dépositaire du jeu de l'OL, Gourcuff a sombré comme ses partenaires en Ligue 1. Selon son père, Christian Gourcuff, la situation actuelle du club rhodanien n'aide pas l'intégration de son fils. «Yoann doit retrouver la sérénité et cela passe par des victoires. Tout joueur a des interrogations, à commencer pour lui par les résultats de Lyon. Au sortir d'une expérience difficile avec l'équipe de France, ce n'est pas la meilleure façon de retrouver de l'enthousiasme et du moral», a expliqué l'entraîneur de Lorient sur RMC.
De son côté, Jean-Michel Aulas ne met aucune pression sur sa recrue vedette. «Même s'il n'était pas à 100 % contre Saint-Étienne, il a montré ce qu'il pouvait nous apporter», a déclaré le président lyonnais. Malgré les fortes attentes suscitées par le montant du transfert, le patron des Gones ne souhaite sans doute pas perturber le moral fragile de son joueur, qui a besoin de se sentir protéger pour évoluer à plein régime.


Pas à 100% physiquement


Mais Gourcuff doit également faire face à quelques soucis physiques. «Il est à la recherche de sa meilleure forme physique. Il a eu des petits pépins avec une béquille qui l'a handicapé avant le match contre Bordeaux. Il a également eu une opération des dents de sagesse. Il faut qu'il puisse se préparer correctement», a confié son père. S'il semble avoir besoin de retrouver 100% de sa condition physique pour s'exprimer pleinement, le milieu Lyonnais devra livrer une belle prestation avec son club ce mercredi face à l'Hapoël Tel-Aviv en Ligue des Champions.


Une victoire pourrait relancer la saison de l'OL et apporter la confiance qui semble manquer au Breton depuis plusieurs mois. Il serait en tout cas sur la bonne voie selon le coach des Merlus : «Il a de bonnes sensations sur le terrain et dans son club. Ce sont quand même les meilleures garanties pour que Lyon et Yoann rebondissent.» La suite de la saison de Lyon pourrait donc être liée au retour en forme de Gourcuff. Aulas ne demande certainement pas mieux.
http://www.maxifoot.fr/football/article-10631.htm
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Auxerre - Real Madrid. Résumé du match 28/09/2010

La marque bleue

Les Français ont parlé aux Français, mardi à Londres. L'OM a sombré à Chelsea (2-0), coulé par trois compatriotes dont l'inattendu Gaël Kakuta, 19 ans, titularisé pour la première fois en Ligue des Champions. Une passe, un but: la French Connection mise en place par Ancelotti en attaque a fait mal.
Fidèle à son 4-3-3, mais contraint de le recomposer en raison des nombreux absents (Drogba, Lampard, Kalou, Benayoun), Carlo Ancelotti a fait confiance à sa légion française pour animer l'attaque de Chelsea, mercredi soir contre Marseille. Et l'Italien avait prévu une première surprise avec la titularisation de Gaël Kakuta, 19 ans. Sous les yeux d'Alain Boghossian, émissaire de Laurent Blanc, le jeune Tricolore a eu l'occasion de justifier tout le bien qu'on dit de lui outre-Manche. C'est même lui qui s'est trouvé à l'origine du premier coup de Trafalgar pour l'OM en distillant, de son pied gauche sur corner, la passe décisive pour John Terry (7e). Placé sur le côté droit, l'ancien Lensois a beaucoup couru, beaucoup permuté et tenté de lancer Anelka loin devant.


Audacieux et sans retenue, il s'est appliqué à sa tâche offensive en proposant beaucoup de solutions. Il a aussi contribué à la dimension défensive dans son travail de récupération et de pressing. Une envie de bien faire qui aurait aussi pu coûter un but à son équipe lorsqu'il a raté son intervention devant Heinze, laissant l'Argentin porter le danger dans la surface (53e). En tout cas, sa huitième apparition sous le maillot des Blues aura très encourageante, récompensée par les applaudissements du public de Stamford Bridge lors de son remplacement à l'heure de jeu.


Malouda est décidément intenable


Si Kakuta a été la surprise du chef Ancelotti au sein d'une attaque portée par sa French Connection, celle-ci a été orchestrée par un Florent Malouda impérial en première période. Sur la lancée de sa superbe entame de saison, le meilleur buteur de Premier League, Monsieur "un but par match", a gardé le tempo. Premier à tester les réflexes de Mandanda de loin (6e), le gaucher de Chelsea a mis au supplice la défense adverse par sa vivacité et ses dribbles. Ses ententes approfondie avec Cole et naissante avec Zhirkov, rendent le côté gauche londonien injouable.


En parfait maître d'oeuvre, Malouda a été inarrêtable pendant 45 minutes, artillant de loin, distribuant les centres parfaits et tentant de mettre sur orbite un Nicolas Anelka un peu trop esseulé à la pointe de l'attaque. Il n'a certes pas marqué mardi, mais son abattage offensif, son soutien en défense où il a ratissé de nombreux ballons, ont largement contribué au succès de Chelsea. Il fut d'ailleurs à l'image des Blues, dominateur outrancier en première période, discret offensivement en seconde avant un finish tonitruant qui aurait pu être ponctué d'une passe décisive si Sturridge avait cadré sa reprise, seul face à Mandanda (87e).


Anelka, buteur mais discret


Si son nom restera sur la feuille de marque, Nicolas Anelka a paradoxalement été le plus discret des trois Frenchies. Placé seul à l'avant en l'absence du suspendu Didier Drogba, l'ancien Parisien a vécu un drôle de match, accompagné régulièrement des sifflets des bruyants supporters marseillais. Comme à son habitude, Anelka a beaucoup bougé, peut-être trop. Un point d'ancrage trop mobile pour Kakuta et Malouda très remuants, qui ne sont pas parvenus à le servir au milieu de Diawara et Mbia. Souvent signalé en position de hors-jeu en début de match, il lui aura fallu quinze minutes avant de pouvoir frapper au but. La seconde tentative, ce serait un penalty plein de sérénité tiré sans élan, suffisant pour tromper Mandanda et inscrire un troisième but en deux rencontres de Ligue des champions (28e). Mais au final, Anelka n'a guère pesé en attaque. Cinq tirs dont seulement deux cadrés en 90 minutes, un petit rendement pour lui, mais, il est vrai, dans un match tranquille pour Chelsea.


Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29092010/70/ligue-des-champions-la-marque-bleue.html
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L'OL sur un volcan

L’Olympique Lyonnais s’était donné de l’air en s’imposant sur sa pelouse contre Schalke 04 (1-0), lors de la première journée de la Ligue des champions. Malheureusement, entre ce premier match européen et le voyage en Israël, l’OL s’est incliné deux fois en Championnat contre Bordeaux (2-0) et Saint-Etienne (0-1). Une victoire en terre sainte permettrait d’apercevoir la qualification pour les huitièmes de finale et de se mobiliser sur la L1 où sa dix-huitième place fait tache. Une défaite prolongerait définitivement Lyon dans une crise que les discours de son président ne pourraient plus occulter.


Puel et le « plaisir »
Outre des résultats médiocres, c’est l’ambiance qui règne dans le vestiaire de l’OL qui préoccupe les dirigeants lyonnais. Il est temps de dérider tout ça avec des sourires, c’est en tout cas le souhait formulé par JMA qui a demandé à Claude Puel de ramener de la vie dans l’effectif et de prendre du plaisir. Pour autant, Claude Puel est dans une position très compliquée. Lyon ne se sépare pas facilement de ses entraîneurs mais les mauvais résultats s’enchaînent. Une défaite européenne pourrait sceller le sort de l’ancien Lillois après le match de samedi à Nancy alors qu’une trêve internationale de quinze jours débutera.


Lisandro et une attaque en berne
Lyon marque peu. Avec quatre buts en sept matches de L1 et un seul en Ligue des champions contre Schalke 04, le bilan est maigre. Autre signe inquiétant, l’OL n’a pas marqué de but en seconde mi-temps cette saison. La malchance et les nombreux poteaux heurtés n’expliquent pas tout. Lisandro Lopez, l’homme providentiel l’an passé, n’est pour l’instant pas au niveau après une préparation chaotique et manquera une nouvelle fois à l’appel ce soir. Ce dernier a reçu le soutien de Lucho dans Le Parisien : « Il vit une période difficile, c’est un joueur de grande classe, il reviendra fort », a estimé le Marseillais.


Toulalan et les doutes
Lyon a plus que jamais besoin de ses joueurs cadres. Jérémie Toulalan, qui a été replacé au milieu de terrain après un essai en défense centrale, semble recouvrer peu à peu ses esprits. En revanche, Laurent Blanc, qui a bien noté le changement de poste du joueur, entend pour le moment se passer de lui : « C’est un garçon qui n’est pas du tout banni de l’équipe de France. Il y a une construction à faire, il faut être rigoureux dans ses idées, ses options, ses choix, et ne pas changer d’avis tous les trois jours », a-t-il expliqué sur RTL, lors de l’émission de Bixente Lizarazu, lundi soir.
http://www.francesoir.fr/football-ligue-des-champions/lol-sur-un-volcan.29715
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Ligue des Champions: pas de miracle pour Marseille et Auxerre

Une demi-heure et le match était déjà quasiment plié. A Chelsea, Marseille est tombé sur plus fort que lui, mardi soir, lors de la deuxième journée de la Ligue des Champions.


Un but de Terry sur un corner de Malouda (7e) et un autre d'Anelka sur penalty, consécutif à une main de Mbia dans la surface (27e), sont rapidement venus scellés les espoirs marseillais à Stamford Bridge.
Après le faux-pas initial des hommes de Deschamps contre le Spartak Moscou au Vélodrome (0-1), les joueurs de l'OM n'ont plus le droit à l'erreur et seraient même bien inspirés de faire le carton plein lors des prochaines rencontres s'ils veulent atteindre les 8es de finale. Car dans le même temps, le Spartak n'a fait qu'une bouchée de Zilina (3-0).


Au classement de ce groupe F, Chelsea et le Spartak Moscou occupent donc les deux premières places avec 6 points. L'OM et Zilina les deux dernières avec 0 point.


Auxerre méritait mieux


Pendant ce temps là à Auxerre, l'AJA se frottait à un autre grand d'Europe: le Real Madrid. Et si les Madrilènes ont souvent eu le ballon, les Auxerrois ne méritaient sans doute pas cette nouvelle défaite (0-1), la deuxième après celle encaissée à Milan (0-2).


Car les partenaires de Pedretti ont eu plusieurs occasions. Pour résumer, il y eut notamment cette tête de Ndinga à quelques centimètres des cages d'un Iker Casillas complètement battu (25e). Puis une autre de son défenseur Pepe sur le poteau gauche des buts madrilènes (79e).
Madrid n'a donc absolument pas dominé cette rencontre de la tête et des épaules, même si Ronaldo (66e, 69e, 70e) et Di Maria (77e) provoquèrent quelques grosses frayeurs dans l'arrière-garde auxerroise. Mais Mourinho a eu de l'inspiration en faisant entrer l'Argentin à l'entrée du dernier quart d'heure en replacement du Français Lassana Diarra. Car cinq minutes plus tard, c'est bien Di Maria qui devançait Pedretti pour aller battre Olivier Sorin (81e) et offrir la victoire au Real.


Dans l'autre rencontre de ce groupe G, l'Ajax Amsterdam et le Milan AC ont fait match nul 1-1. Conséquence, Auxerre pointe à la dernière place avec 0 point. L'Ajax est 3e avec un point, Milan 2e avec quatre points, le Real 1er avec six points.
http://www.leparisien.fr/sports/ligue-des-champions-pas-de-miracle-pour-marseille-et-auxerre-28-09-2010-1086639.php
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mardi 28 septembre 2010

CHELSEA - OM et AUXERRE - REAL MADRID en live ici

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Chelsea-Marseille: cinq choses à savoir avant la rencontre

L'OM est à Londres ce mardi avec un groupe en confiance pour rattraper sa défaite contre le Spartak Moscou en ouverture de sa Ligue des Champions. Présentation.
Marseille, l'équipe type.Didier Deschamps dispose enfin d'un vestiaire complet et apaisé. Les départs tonitruants de Mamadou Niang (Fenerbahce) et Hatem Ben Harfa (Newcastle) appartiennent au passé. Souleymane Diawara comme Stéphane Mbia sont remis de blessure et reforment la charnière centrale de fer de la saison dernière. La recrue estivale Cesar Azpilicueta et Taï Taïwo sont bien installés à leurs postes de latéraux. Au milieu, Edouard Cissé et l'indispensable Lucho sont en forme. Devant, le faux-nouveau André Ayew est la révélation de ce début de saison. Sa générosité sur le terrain est à la mesure de ses 3 buts en 6 matchs de championnat joués sur 7.


Chelsea tronqué. Contrairement à l'OM, l'équipe londonienne n'est pas en configuration optimale. Les milieux Franck Lampard et Yossi Benayoun et l'attaquant Salomon Kalou sont à l'infirmerie. Didier Drogba purge quant à lui un dernier match de suspension en ligue des Champions pour avoir piétiné Thiago Motta lors d'un huitième de finale retour perdu en mars dernier contre l'Inter Milan. L'absence de ces quatre éléments offensifs limite les options offensives de l'entraîneur Carlo Ancelotti pour ce mardi, notamment au milieu.


La bataille du milieu. Samedi, Chelsea a connu sa première défaite de la saison. Manchester City a montré la voie en battant 1-0 l'équipe du milliardaire russe Roman Abramovitch. Chelsea a eu la mainmise du ballon, mais n'a jamais pu faire ce qu'il voulait avec. City a aligné un milieu très physique qui a étouffé les Blues. Un contre suivi d'un but de Carlos Tevez, seul en pointe, aura fait basculer le match. Rien ne dit cependant que Didier Deschamps prendra une option similaire à Stamford Bridge, jouant la carte d'une stratégie basée sur la défense et le contre alors que son équipe est résolument offensive.


Gignac et Rémy attendus. "16 millions" et "15 millions" n'ont toujours pas marqué un but pour l'OM, alors que c'était leur spécialité à Toulouse et à Nice. André-Pierre Gignac a raté cinq occasions samedi contre Sochaux. "Il lui manque la réussite. Il ne doit pas cogiter," a résumé Didier Deschamps. Loïc Rémy, pour sa première au Stade Vélodrome samedi, a fait une passe décisive à Lucho et pourrait mettre sur le banc Mathieu Valbuena.


L'OM en retard. Marseille a débuté de la plus mauvaise des façons la Ligue des Champions en perdant à domicile contre le Spartak Moscou (0-1). Lucho a vendangé deux occasions, Gignac a fait un poteau et c'est sur un but contre son camp d'Azpilicueta que les Russes ont gagné le match. Entre-temps, l'OM a battu Arles-Avignon (0-3) et Sochaux (2-1), faisant le plein de confiance avant de se rendre à Londres. Au même moment, Moscou accueillera les faibles Slovaques de Zilina, avec de grandes chances d'augmenter sa différence de points avec Marseille. Contre Chelsea, un match nul sera déjà considéré comme une bonne opération.
http://www.lexpress.fr/actualite/sport/chelsea-marseille-5-choses-a-savoir-avant-le-match_922779.html
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L’OL lorgne sur Antoine Griezmann

S’il n’a pas encore marqué depuis le début de la saison, ses prestations restent dans la continuité de celles effectuées la saison passée. Bénéficiant d’une marge de progression énorme, il découvre le très haut niveau et a pu se frotter à la solide défense du Real Madrid. Auteur d’une grosse prestation face aux galactiques, Antoine Griezmann a tapé dans l’œil des nombreux recruteurs qui suivent régulièrement ses prestations.


Et bien évidemment, l’émergence d’un jeune et prometteur français à l’étranger suscite la convoitise des plus grands clubs hexagonaux. Ainsi selon la radio espagnole Cadena Ser, l’Olympique Lyonnais serait visiblement très intéressé par le profil du joueur. Milieu offensif gauche de formation, Antoine Griezmann est virevoltant et bon dribbleur. Il pourrait être le parfait remplaçant d’un Michel Bastos si le Brésilien venait à quitter le club rhodanien.


Interrogé en juillet dernier à propos d’un éventuel retour en France, le joueur de la Real Sociedad nous révélait son souhait et envie de rejoindre soit l’OL soit l’OM. « J’aimerais un jour pouvoir aller dans un club espagnol comme Valence ou Séville. Après, si je devais revenir en France, ça serait pour aller à Marseille ou à Lyon. Je reviendrais seulement pour jouer dans l’un de ces clubs. » Pour le moment, il s’agit d’un simple intérêt, toutefois l’OL pourrait passer à la vitesse supérieure dans les prochains mois. Mais la Real Sociedad risque de demander beaucoup d’argent pour ce jeune talent dont personne ne voulait en France et qui est devenu aujourd’hui l’un des chouchous du stade d’Anoeta.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/l-ol-lorgne-sur-antoine-griezmann_55927

L’OM songe à Ryad Boudebouz !

Samedi soir, à la 64e minute de la rencontre Olympique de Marseille-Sochaux (2-1, 7e journée), le public du Stade Vélodrome applaudissait un Lionceau qui quittait la pelouse. Son nom : Ryad Boudebouz (20 ans). Une vision peut-être prémonitoire de l’avenir de l’international algérien. Très bon depuis l’ouverture de la saison (2 buts et 3 passes décisives), le milieu offensif serait en effet sur les tablettes du club phocéen à en croire le quotidien algérien Le Buteur. Interrogé à ce propos par la publication maghrébine, l’intéressé s’est dit surpris.


« Vous venez de me l’apprendre. Je ne suis pas au courant de ces contacts. Personnellement, je n’ai rien reçu de concret à ce sujet. Pour l’heure, je suis bien à Sochaux où je compte réaliser une bonne saison. Je suis concentré à fond avec mon équipe », a-t-il lancé, coupant ainsi court aux rumeurs de départ pour cet hiver. En revanche, il n’exclut pas un transfert en fin de saison.


« J’aimerais bien jouer pour un grand club européen, mais avant cela je crois que je dois passer à un palier supérieur en France. Opter pour une grande équipe française me permettra de gagner en adversité et d’acquérir une meilleure expérience, avant de rejoindre un grand championnat européen », a-t-il confié. L’OM peut donc croire en ses chances. Le Vélodrome n’attend en tout cas que cela. Toutefois, toujours selon Le Buteur, le Paris SG et l’Olympique Lyonnais seraient eux aussi sur les rangs. Voilà qui promet une sacrée foire d’empoigne l’été prochain !
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/l-om-songe-a-ryad-boudebouz_55926

Le top 10 des transferts les plus chers de l’été

Bien que le marché des transferts estival 2010 a été beaucoup moins spectaculaire que celui de 2009, cela n’a pas empêché certains grands clubs de dépenser des sommes folles. Si le Real Madrid s’était distingué l’an passé avec plus de 270 M€ investis pour recruter Cristiano Ronaldo et Kaka entre autres, cette année la palme revient à Manchester City.


Dans ce top 10, quatre recrues mancuniennes trustent en effet les cinq premières places (Silva, Touré, Milner, Balotelli) pour un coût total de 123 M€. Tout ça sans compter le transfert de Boateng (12 M€). Mais si les Citizens se sont montrés les plus actifs, le titre honorifique du transfert le plus cher revient au Barça qui a tout de même mis 40 M€ sur la table pour attirer dans ses filets le serial buteur valencian David Villa.


Côté français, un seul joueur apparaît dans ce classement. Il s’agit du néo Lyonnais Yoann Gourcuff, acheté contre 22 M€ et qui pointe au septième rang. Deuxième français le plus cher, André-Pierre Gignac n’est que quinzième (15 M€). Enfin, au petit jeu des calculs, si Man. City a été le club le plus dépensier, c’est le FC Valence qui a le plus renfloué ses caisses avec 70 M€ d’encaissés.


Le classement :


1. David Villa (Valence vers FC Barcelone) : 40 M€


2. Yaya Touré (FC Barcelone vers Manchester City) : 34 M€


3. James Milner (Aston Villa vers Manchester City) : 31,6 M€


4. David Silva (Valence vers Manchester City) : 30 M€


5. Mario Balotelli (Inter Milan vers Manchester City) : 28 M€


6. Angel Di Maria (Benfica vers Real Madrid) : 25 M€


7. Yoann Gourcuff (Bordeaux vers Olympique Lyonnais) : 22 M€


8. Javier Mascherano (Liverpool vers FC Barcelone) : 22 M€


9. Ramires (Benfica vers Chelsea) : 22 M€


10 . Bruno Alves (FC Porto vers Zenith) : 22 M€


15. André-Pierre Gignac (Toulouse vers Olympique de Marseille) : 15 M€
http://www.footmercato.net/autre-championnat/le-top-10-des-transferts-les-plus-chers-de-l-ete_55819

OL : l’étau se resserre autour de Claude Puel

« Y a-t-il quelqu’un qui veuille prendre ma place ? » Non, ce n’est pas Claude Puel qui a demandé cela aux journalistes mais bien Jean-Michel Aulas s’adressant aux supporters de l’Olympique Lyonnais hier soir. Ces derniers avaient décidé de rester dans l’enceinte du stade, histoire de partager leur colère. Obligé d’intervenir, le président rhodanien leur a dit ce qu’il répète aux médias à longueur de temps : il faut garder foi en Claude Puel. Forcément, après une défaite dans le derby, c’est plus difficile.


Puel est donc plus que jamais en première ligne. Comme il l’avait déjà souligné, c’est dans l’adversité qu’il se sent fort. Son discours d’après-match n’avait donc rien d’une complainte. « Je n’ai pas besoin d’être réconforté, je me gère très bien », a-t-il expliqué. « C’est un début de saison qui n’est pas évident mais j’ai vu beaucoup de qualité et d’envie. Je l’ai dit, c’est injuste. Il y a une certaine injustice mais je remercie aussi les supporters qui nous ont permis de bien préparer le match et de bien se concentrer ». Surtout, il ne démissionnera pas malgré le départ catastrophique des siens en championnat. « Je suis toujours l’homme de la situation », a-t-il affirmé.


Pour le moment, Jean-Michel Aulas est du même avis même si sa confiance est ébranlée par deux ans sans titre. Hier, malgré la défaite, l’OL a montré un visage plus séduisant que celui des premiers matches de la saison. De quoi penser que les joueurs ne veulent pas lâcher Puel, du moins pour le moment. Comme il y a un an, la Ligue des Champions semble être la carte joker de l’entraîneur lyonnais. Le succès face à Schalke avait rassuré. Mais une éventuelle contre-performance face à l’Hapoel Tel-Aviv mercredi soir pourrait avoir des conséquences néfastes. Malgré Aulas, malgré une qualité de jeu en hausse hier soir, Claude Puel sera en première ligne pour quelques semaines encore.
http://www.footmercato.net/ligue1/ol-l-etau-se-resserre-autour-de-claude-puel_55868

"Ne vous inquiétez pas pour nous"

A l'heure d'accueillir le grand Real et sa ribambelle de stars, Auxerre la joue décontractée. L'AJA n'a pas peur de cet adversaire qui a bien plus à perdre qu'elle. Non, jouer le Real Madrid, c'est avant tout un plaisir. "Sur un match, tout est possible..."
José Mourinho n'est pas du genre à apprécier les surprises. Le Portugais aime savoir tout sur tout. Où qu'il soit et quoi qu'il fasse. C'est plus fort que lui. Evidemment, lorsqu'il a appris qu'il allait découvrir Auxerre en Ligue des Champions, l'entraîneur du Real Madrid s'est renseigné... à la source. Il y a quelques semaines, alors que les coaches des équipes qualifiées pour la C1 étaient réunies à Nyon, Mourinho s'est rapproché de Jean Fernandez pour faire connaissance. Et, surtout, lui demander deux ou trois choses sur son club et l'environnement de celui-ci. Il a d'abord voulu savoir où était l'aéroport d'Auxerre. Le coach de l'AJA lui a répondu qu'il n'y en avait pas. Mais que la cité icaunaise était pourvue d'un simple aérodrome. "Mou" a fait une drôle de moue. Didier Deschamps, juste à côté, est entré dans la danse : "Explique lui pour les vestiaires...", a lancé un brin hilare l'entraîneur de l'OM. Fernandez s'est exécuté. "Ils sont petits, très petits", a-t-il révélé en italien à José Mourinho qui a bien dû se demander où il allait tomber. Mardi soir, il saura.
A l'Abbé-Deschamps, José Mourinho et sa bande vont sortir de leur "luxe" habituel et affronter l'AJA qui est une anomalie bien sympathique dans cette Ligue des Champions formatée du XXIe siècle. Mais qui a décidé d'en profiter et de croquer dans cette édition à pleine dents. A l'image d'Olivier Sorin, le portier de l'AJA qui craignait de "s'en prendre plein la gueule" après le tirage au sort. "C'est vrai qu'après le tirage, c'était très impressionnant quand on énumérait tous les attaquants qu'on allait croiser, a-t-il déclaré lundi. Mais sur le terrain, c'est différent. J'ai confiance. Ne vous inquiétez pas pour nous, on saura répondre présent".


"Pourquoi pas l'AJA ?"


Répondre présent, Jean Fernandez n'en attend pas moins de ses joueurs. Pas pour oublier les déboires domestiques et une Ligue 1 qui ne sourit pas à l'AJA depuis le début de la saison, mais pour profiter d'un instant rare. Mettre de côté Nancy quand le Real Madrid approche, c'est quasiment automatique. "Le week-end a été difficile pour l'AJA après le résultat de Nancy (2-2). On était un peu déçu du résultat. Depuis ce matin, on est surtout excités à l'idée de jouer le Real. Certes, il y a un peu d'inquiétude car on se dit aussi que s'ils font un grand match, ça va être compliqué...", reconnait Fernandez. Compliqué mais tellement excitant.


"Pour l'AJA, faire venir le meilleur club du monde à l'Abbé-Deschamps est extraordinaire", se délecte-t-il, reconnaissant avec honnêteté que la préparation d'une telle partie est relativement simple. Pas la peine de préparer un plan anti-Ronaldo, car il faudrait également en prévoir un pour Higuain, pour Di Maria et compagnie. Non, les Auxerrois doivent simplement penser à eux. Et jouer. "Sur le mini-championnat, ils termineront devant nous. C'est sûr. Mais sur un match, tout est possible. Il n'y aucun souci pour trouver la motivation. La musique, voir les joueurs du Real dans le couloir. C'est extraordinaire. Ça, on ne le vivra peut-être qu'une fois dans notre carrière. Il faut jouer le jeu. Il y a déjà eu des exploits par le passé. Pourquoi pas l'AJA?" Eh oui, pourquoi pas?


Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/27092010/70/ligue-des-champions-ne-vous-inquietez-pas-pour-nous.html

Ligue des champions: l'OM et Auxerre en quête d'exploits

Marseille à Chelsea et Auxerre face au Real Madrid sont confrontés à des défis qui semblent immenses, mais ont des raisons de croire à l'exploit, mardi lors de la 2e journée de la Ligue des champions.


Groupe E: Le Bayern peut s'échapper


Le Bayern Munich est à la peine en Championnat et a été battu sur sa pelouse samedi par Mayence (2-1). Mais le finaliste de la dernière édition a réussi ses débuts en Ligue des champions en battant l'AS Rome (2-0), son principal rival dans le groupe E. Les Bavarois, qui doivent apprendre à vivre sans Robben et Ribéry, blessés, peuvent prendre le large en battant Bâle, dominé par Cluj lors de la première journée (2-1).


Les Roumains accueillent de leur côté la Roma, qui s'est joliment relancée en battant l'Inter Milan 1-0 samedi pour sa première victoire en Championnat d'Italie.


Bâle (SUI) - Bayern Munich (GER)


AS Rome (ITA) - CFR Cluj (ROM)


Groupe F: Marseille pour un exploit


En s'imposant (1-0) samedi, Manchester City a prouvé que Chelsea était vulnérable et a peut-être donné aux joueurs de Marseille une raison d'y croire. Avec un effectif enfin au complet, l'OM a confirmé face à Sochaux (2-1) qu'il était sur la bonne voie. Le retour de Diawara a fait du bien à la défense, qui aura beaucoup de travail à Stamford Bridge, même en l'absence de Drogba, toujours suspendu. Chelsea, également privé de Lampard, Kalou et Benayoun, reste bien sûr favori, mais Marseille a besoin de points après son faux pas au Vélodrome contre le Spartak Moscou (1-0).


Le club russe a pour sa part une bonne occasion de faire fructifier ce succès initial face aux Slovaques de Zilina, battus 4-1 par Chelsea lors du premier match et qui semblent promis à la dernière place du groupe.


Spartak Moscou (RUS) - Zilina (SVK)


Chelsea (ENG) - Marseille (FRA)


Groupe G: Encore un géant pour l'AJA


Auxerre continue sa tournée des géants. Lors de la première journée, les Bourguignons avaient bien résisté à l'AC Milan avant de céder sur deux buts d'Ibrahimovic (2-0). C'est un adversaire peut-être encore plus impressionnant qui se présentera mardi à l'Abbé-Deschamps: le Real Madrid de Cristiano Ronaldo et José Mourinho, vainqueur de l'épreuve la saison dernière avec l'Inter Milan. Le match semble déséquilibré mais les Auxerrois ont un espoir: le Real marque peu, six buts seulement en cinq matches de Championnat, et reste sur un triste 0-0 samedi à Levante.


L'AC Milan, où Ibrahimovic a encore marqué (victoire 1-0 samedi contre le Genoa), se déplace à Amsterdam pour affronter l'Ajax, battu (2-0) par le Real lors de la première journée et probable rival d'Auxerre pour la 3e place qualificative pour l'Europa League.


Auxerre (FRA) - Real Madrid (ESP)


Ajax Amsterdam (NED) - AC Milan (ITA)


Groupe H: Arsenal version C1 ou Premier League ?


Quelle équipe d'Arsenal se présentera sur la pelouse du Partizan Belgrade ? Celle qui a écrasé Braga (6-0) lors de la première journée de la Ligue des champions serait clairement favorite, mais celle qui s'est laissée surprendre à domicile face à West Bromwich samedi en Championnat d'Angleterre (3-2) malgré un doublé de Nasri pourrait souffrir. "Personne n'a été à son niveau habituel. Nous avons manqué de concentration, à ce niveau ça se paie", a commenté l'entraîneur Arsène Wenger, qui sait que c'est encore plus vrai en Ligue des champions.


Dans l'autre match du groupe, les Ukrainiens du Shakhtar Donetsk, vainqueurs du Partizan (1-0) lors de la première journée, accueillent Braga et peuvent se retrouver en excellente situation en cas de succès.


Partizan Belgrade (SRB) - Arsenal (ENG)


Sporting Braga (POR) - Shakhtar Donetsk (UKR)
http://www.lepoint.fr/sport/ligue-des-champions-l-om-et-auxerre-en-quete-d-exploits-27-09-2010-1241719_26.php

MU : Rooney au coeur d’une improbable rumeur

Une Coupe du Monde ratée, un scandale sexuel révélé et un mariage en péril : secouez le tout et vous obtenez une rumeur de transfert signée de nos confrères anglais du Daily Mirror. Selon le journal britannique, Wayne Rooney pourrait quitter Manchester United à la fin de la saison pour rejoindre… le FC Barcelone ! Ce même Barça qui a acheté pour 40 M€ un nouvel attaquant en la personne de David Villa l’été dernier…


Difficile donc de croire à la faisabilité d’une telle opération. Bien sûr, Rooney plait à tous les cadors européens, mais c’est surtout le Real Madrid qui semblait intéressé ces derniers temps. On imagine mal le club catalan lâcher plus de 60 M€ pour s’attacher les services de l’Anglais dans les prochains mois. Et on imagine encore plus mal Sir Alex Ferguson se séparer de son meilleur joueur, deux ans après avoir perdu Cristiano Ronaldo, pour un passage à vide.


Wayne Rooney n’affiche pas un visage rayonnant actuellement, laissant la vedette à Dimitar Berbatov, et sa vie privée semble affecter sa vie professionnelle. Mais l’international anglais est tout sauf un homme qui baisse les bras et un départ n’est pas à l’ordre du jour. Barcelone et les autres équipes intéressées, ou non, devront attendre quelques années encore
http://www.footmercato.net/liga/transferts/mu-rooney-au-coeur-d-une-improbable-rumeur_55872

Toulouse : les quatre vérités de Moussa Sissoko

Caracolant aux premières de la Ligue 1 depuis le début de la saison, Toulouse est l’une des belles surprises du championnat de France. Pourtant privés d’André-Pierre Gignac, parti à Marseille, les Pitchounes brillent. Une donne qui n’étonne pas Moussa Sissoko, comme il le confie à L’Équipe : « Dédé est un très grand attaquant, qui pesait vraiment sur les défenses. Il est parti, on a pris Santander et Tafer... Sur ce qu’ils montrent à l’entraînement, ils ont les qualités pour réussir ici. Je leur fais confiance. À nous, les milieux de terrain, de les soutenir et de les mettre dans les meilleures conditions. Le coach insiste beaucoup là-dessus : il faut aller au bout de nos actions ».


Avec un plan de jeu bien rôdé et une détermination sans faille, les hommes de la Ville rose semblent être prêts à créer la sensation cette saison. Un contraste étonnant par rapport à une année dernière bien difficile : « L’an dernier, on nous attendait plus haut. On a vécu une saison difficile, avec pas mal de blessures, mais on a toujours su qu’on avait les moyens pour faire quelque chose de bien. On est en train de le prouver. [...] On savait qu’on avait un bon groupe, uni. Mais on n’avait pas totalement pris conscience de notre potentiel réel. Cette année, tout le monde s’en est rendu compte, et ça se ressent sur le terrain. On est en train de progresser ».


Une progression linéaire, à l’image de celle connue par Moussa Sissoko lui-même. International tricolore (3 capes), le milieu de terrain est sans doute le plus bel espoir du club. Courtisé par les plus grosses cylindrées françaises et européennes, le natif du Blanc Mesnil a préféré rester au Stadium : « Pendant le mercato -et encore aujourd’hui-, j’ai entendu des bruits, des échos... Ça fait plaisir, mais je fais abstraction de tout ça. C’est aussi pour cette raison que j’ai préféré prendre du recul par rapport aux médias. Je voulais rester concentré et travailler tranquillement ». La sérénité, voilà un maître-mot à prendre en considération dans le milieu du football. Un bon début de saison qui demande confirmation....
http://www.footmercato.net/ligue1/toulouse-les-quatre-verites-de-moussa-sissoko_55874

Chelsea devra se méfier de Marseille

Chelsea, handicapé par de nombreuses absences et battu pour la première fois de la saison samedi par Manchester City en championnat (1-0), devra se méfier de Marseille, à l'effectif enfin au complet et qui a besoin de points après sa défaite face au Spartak Moscou, mardi en Ligue des Champions.


L'entraînement détendu lundi matin au siège du club, dans l'écrin aussi verdoyant que sécurisé de Cobham en lointaine banlieue sud-ouest de Londres, n'en laissait certes rien paraître, mais le club de Roman Abramovich peut nourrir quelques inquiétudes.



La première défaite en championnat, samedi, à Manchester City (0-1), qui a mis Chelsea au défi physique, conjuguée aux absences de plusieurs joueurs majeurs (l'éternelle idole de Marseille Didier Drogba suspendu, Lampard, Kalou et Benayoun blessés), fait en effet passer comme une ombre sur un début de saison pétaradant (21 buts marqués, meilleure attaque).


Jusqu'au choc contre City, autre nouveau riche d'Angleterre, Chelsea avait surtout canardé des équipes de calibre nettement inférieur comme Stoke, Blackpool ou West Bromwich.


Cela n'avait pas échappé à l'entraîneur marseillais Didier Deschamps, un brin sceptique quant à la qualité des équipes de seconde partie de tableau en Angleterre par rapport à la France...


L'OM joue gros


Deschamps, qui a joué à Chelsea lors de la saison 1999-2000, a également bien noté que la profondeur du banc anglais en attaque est - relativement - limitée. Nicolas Anelka, le banni de l'équipe de France, sera, lui, bien présent, pour ses retrouvailles avec un environnement français...


Il devra bousculer une défense marseillaise en phase de consolidation avec le retour du tandem Mbia-Diawara dans l'axe. Il ne s'agit évidemment pas d'une garantie tout risque, mais la complémentarité et l'assurance des deux hommes offrent une certaine marge de manoeuvre.


A priori plus solide derrière, l'OM ne devrait pas se contenter de regarder passer le train anglais campé dans ses positions. Après un été pénible en raison d'un recrutement mal anticipé, la montée en régime de l'équipe, aussi bien défensivement qu'offensivement où elle sait se créer de nombreuses occasions, autorise d'autres ambitions désormais.


Mais le club français va jouer gros à Stamford Brigde. Pénalisé d'entrée dans la compétition par sa défaite à domicile devant le Spartak Moscou (0-1), l'OM s'est en effet mis dans de sales draps et se sait condamné à de bons résultats à l'extérieur pour atteindre le 2e tour.


Car, comme chaque année, il s'agit là de l'objectif du club, qu'un scénario implacable repousse sans cesse à la saison suivante. Sauf qu'aujourd'hui cet objectif se mue quasiment en impératif, au vu du recrutement très onéreux opéré par l'OM cet été. Les recettes liées à la participation aux 8es de finale seraient les bienvenues pour les finances du club...
http://www.lepoint.fr/societe/ligue-des-champions-chelsea-devra-se-mefier-de-marseille-28-09-2010-1241951_23.php
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lundi 27 septembre 2010

Quand le sort s'acharne...

A l'issue de chaque journée de L1, retrouvez les leçons et réflexions qui s'imposent à nous. Les malheurs de Lyon, Lens et Arles-Avignon continuent. Rennes s'affirme discrètement comme un prétendant à l'Europe, sinon mieux, Paris apprend à voyager, et Marseille a retrouvé Lucho.
Ils n'y arrivent pas




COQUIN DE SORT...


Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. Arles-Avignon, Lens et Lyon, les trois équipes relégables à l'issue de cette 7e journée, n'ont vraiment pas été vernies ce week-end. Les Provençaux ont concédé l'ouverture du score montpelliéraine alors qu'ils n'étaient que dix sur le terrain (Charisteas se faisait soigner sur la touche) avant de voir le but égalisateur de Kermorgant en seconde période refusé pour un hors-jeu imaginaire. Ils se sont inclinés dans l'Hérault (3-1). A Gerland face à Saint-Etienne, l'OL a touché du bois à trois reprises, vu deux tirs repoussés par Payet sur sa ligne avant d'encaisser un but du même Payet sur un coup franc très généreux. Les Lyonnais ont finalement perdu le derby (0-1). Enfin, les Artésiens, opposés au PSG (0-2) ont dominé la première période. Mais ils ne se sont jamais remis du but contre son camp de Demont après une partie de billard mémorable entre défenseurs lensois dans la surface. Et le but de Nenê, au bout du temps additionnel, leur fait perdre une place au classement. La réussite fuit souvent les équipes en difficulté. On a pu le vérifier lors de cette 7e journée.


Ils en profitent




RENNES, EN TOUTE DISCRETION


Dans l'ombre de l'euphorie stéphanoise et des déboires lyonnais, Rennes s'affirme comme le prétendant à l'Europe qui a le mieux réussi son début de saison. Toujours invaincus, les Bretons se sont emparés de la deuxième place du classement après une précieuse victoire à Nice samedi soir (1-2). Les hommes de Frédéric Antonetti, qui ne sont qu'à un point des Verts, peuvent s'appuyer sur la meilleure défense du championnat (trois buts encaissés) et un bilan remarquable à l'extérieur (3 victoires en 4 matches). Offensivement, la marge de progression existe. Le SRFC n'a inscrit que 9 buts en 7 matches, un bilan en partie imputable aux départs de Gyan et Bangoura. Mais le retour de Marveaux, décisif sur le premier but rennais au Stade du Ray, va faire du bien aux Rouge et Noir dans cette optique. Et peut-être permettre à Rennes d'être un peu moins poussif à domicile (1 victoire et 2 nuls). Si c'est le cas, la forme actuelle des Bretons finira bien par ne plus passer inaperçue.


La stat-clef : 13




PARIS APPREND A VOYAGER


Il parait que le 13 porte malheur. Pas pour le Paris Saint-Germain. Le club de la capitale a mis fin à une série de 13 matches sans victoire à l'extérieur en Ligue 1 en allant s'imposer sur le terrain de Lens (0-2) dimanche soir. Les Parisiens n'avaient plus gagné en déplacement depuis le 2 décembre 2009 et un succès à Boulogne-sur-Mer (2-5). Mais c'est la deuxième victoire d'affilée des Franciliens hors de leurs bases après celle acquise à Séville (0-1) en Ligue Europa. Peut-être encore plus révélateur, les hommes d'Antoine Kombouaré ont enchainé, dans l'Artois, une quatrième sortie consécutive sans prendre de but, toutes compétitions confondues. La défense du PSG, si décriée en début de saison, a retrouvé une solidité qui n'est pas étrangère au fait que Paris voyage mieux ces derniers temps. Et cela se traduit par une remontée à la cinquième place du classement de Ligue 1.


La décla qui parle


GILLOT LIVRE SON VERDICT


Saint-Etienne, Lille, Paris, Rennes et Marseille. En sept journées, Sochaux a déjà affronté pas mal de gros calibres. Francis Gillot a pu se faire une idée assez précise de la lutte qui se dessine en haut du classement. Et l'entraineur sochalien estime que Marseille, vainqueur des Lionceaux au Vélodrome samedi (2-1), a toutes les chances de conserver son titre. "On n’a pas à rougir de nos défaites face à des prétendants à l’Europe. Je pense d’ailleurs que Marseille sera champion de France", a-t-il déclaré à l'issue de la rencontre. Pour l'ancien coach de Lens, la vraie qualité du club phocéen se situe dans sa faculté à faire la différence sur des petits détails. "Sur le premier but, je pense que Taiwo veut centrer. Le but est donc chanceux. Sur le deuxième, il y a une erreur de marquage. Ce sont ces détails qui nous tuent. Ensuite, on réduit la marque. Mais c’est trop tard. J’ai un sentiment d’inachevé, les petits détails étaient du côté de l’OM", a-t-il souligné. Une qualité qui fait souvent partie de la panoplie du champion...


Ils ont brillé


LUCHO MONTE EN PUISSANCE


Plutôt discret jusqu'ici, Lucho Gonzalez a livré son meilleur match de la saison face à Sochaux (2-1). Le stratège argentin de l'OM a pesé dans l'entrejeu par sa qualité de passe, avant d'offrir la victoire à son équipe d'une volée du gauche sur une déviation de Rémy. Son retour en forme tombe bien avant le déplacement à Chelsea en Ligue des Champions. A l'instar de Lucho, Gervinho a retrouvé des jambes et s'est illustré avec Lille à Toulouse (1-1). Payet et Nenê continuent de faire la pluie et le beau temps à Saint-Etienne et au PSG, tandis que Fernando s'affirme match après match dans la défense centrale bordelaise. Le Lorientais Baca a été omniprésent sur son côté droit et délivré une passe décisive face à Monaco (2-1). Le Mistral était du côté de Taiwo et des Marseillais. A Brest, le vent a soufflé en faveur d'Elana, qui a sorti un penalty de Pujol. Marchal tient la baraque dans l'axe de la défense stéphanoise, alors qu'Oliech a fait oublier Jelen à Auxerre en inscrivant un doublé face à Nancy (2-2), dont le but le plus rapide de la saison après 56 secondes de jeu.


 Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/27092010/70/ligue-1-quand-le-sort-s-acharne.html

Nouvelle boulette du maintenant célèbre gardien du FAR Rabat

Une semaine après avoir fait le tour de la planète web à cause d’un penalty pas comme les autres, le gardien marocain, Khalid Askri récidive lors d’un match contre le KAC Kénitra. Le portier du club de la capitale s’est illustré une nouvelle fois de triste manière en tentant un crochet face à un attaquant après une passe en retrait de son défenseur, résultat…but pour l’équipe adverse.


Pour couronner le tout, Khalid Askri ne trouve rien de mieux que de jeter son maillot et de sortir du terrain comme un «prince» en n’oubliant pas de saluer la foule en délire ou pas…Manuel Almunia doit se sentir moins seul
http://www.20minutes.fr/article/601908/sports-le-gardien-marocain-remet-couche

Gignac au banc d’essai des anciens attaquants de l’OM

« Quand André-Pierre Gignac va ouvrir son compteur, on aura du mal à l’arrêter. Pour l’instant, ça se joue à peu de choses, mais ça va venir ». Jean-Claude Dassier, le président de l’Olympique de Marseille, a confiance en son buteur vedette. Et il ne tirera pas de conclusions négatives après seulement trois matches de Ligue 1 et une entrée en jeu en Ligue des Champions face au Spartak Moscou. Surtout, un regard dans le rétroviseur démontre qu’il ne fait pas forcément bon marquer dès ses premiers pas sous le maillot phocéen.


L’exemple le plus flagrant se nomme sûrement Christian Gimenez. Débarqué à l’OM en août 2005, l’attaquant argentin arrivait flanqué d’un statut de serial buteur (il venait d’inscrire 5 buts en 5 matches dans le championnat suisse). Et le Vélodrome a pu croire à une histoire d’amour très vite puisque Gimenez a marqué pour sa première sortie, face à Ajaccio. Son compteur débloqué, il pouvait s’attendre à un festival. Raté, il n’inscrira qu’un but supplémentaire en 21 rencontres…


Cinq ans plus tôt, Cyrille Pouget était lui aussi parti sur les chapeaux de roue, avec 3 buts lors de ses 4 premières rencontres. Il n’en marquera au final que 5 sous les couleurs olympiennes. Des statistiques qui ressemblent à celles de l’Espagnol Alfonso, débarqué avec son statut de joueur prêté par le Barça : un départ en fanfare (3 buts en 3 matches) avant de baisser pavillon (un total de 4 buts en 11 rencontres).


Les trois joueurs précédemment cités n’ont pas laissé de trace indélébile sur la Canebière. Qu’en est-il des attaquants qui ont frappé les esprits marseillais ? Certes, Jean-Pierre Papin s’était offert un doublé pour son premier match à l’OM, mais Didier Drogba a mis lui trois matches avant d’inscrire le premier d’une longue série de buts. Quant à Mamadou Niang, il s’est servi de l’Intertoto pour se libérer de ce poids, avant de marquer lors de la 2e journée de championnat.


Une tendance se dégage toutefois nettement sur les dix dernières années : de Pouget à Bakayoko en passant par Mido, Weah, Luyindula ou encore Djibril Cissé, aucun attaquant recruté par l’OM n’a mis plus de 4 rencontres pour ouvrir son compteur but, hormis Sychev et Brandão (tous deux arrivés au mercato hivernal). L’étau se resserre donc autour d’André-Pierre Gignac. Et personne ne serait mécontent de le voir mettre son pouce à la bouche dès mardi soir à Stamford Bridge…
http://www.footmercato.net/ligue1/gignac-au-banc-d-essai-des-anciens-attaquants-de-l-om_55922
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But Taye Taiwo (Marseille-Sochaux, 7e journée de Ligue 1)

Paris confirme sa bonne forme après sa victoire face à Lens


Paris confirme sa bonne forme après sa victoire face à Lens
envoyé par BFMTV. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

Paris ne s'emballe pas

Invaincu en septembre, le PSG a confirmé son retour en forme avec sa victoire à Lens (0-2) dimanche soir. Les hommes d'Antoine Kombouaré accèdent au cinquième rang du classement, mais ne cèdent pas à l'euphorie.
C'est sans doute une nouveauté du côté de Paris. Malgré le succès décroché à Bollaert dimanche soir et la joie toute relative liée à cette première victoire à l'extérieur depuis décembre 2009, les Parisiens ont été unanimes pour pointer les errements plutôt que les satisfactions lors de leur soirée nordiste. Discours de façade ? Possible. Mais surtout une certaine habitude (lassitude?) à voir le bateau couler alors qu'on le pensait lancé. "On a encore des progrès à faire, souligne Claude Makelele, encore une fois omniprésent dans l'entrejeu. On doit tuer ces matches là avec toutes ces occasions. Il ne faut pas s'emballer."


Lundi matin, Paris est cinquième, invaincu depuis trois matches en championnat et n'a pas encaissé le moindre but depuis quatre rencontres toutes compétitions confondues. Mais, en s'imposant à Lens, les hommes d'Antoine Kombouaré ont également bénéficié d'un coup de pouce des Nordistes, plus que jamais en crise. Ce que concède le Kanak. "On a fait une première mi-temps décevante à tous points de vue" déplore l'entraîneur parisien. Et comme devant, Hoarau et Erding n'ont pas réussi à faire la différence, la rencontre est longtemps restée indécise.


"Garder les pieds sur terre"


Il aura fallu un coup de pouce des Lensois pour voir le match se décanter. Pour le plus grand bonheur des Parisiens qui ont – trop - souvent failli dans le dernier geste. Car si Paris est de retour dans le haut de tableau, il ne le doit pas à son duo d'attaquants, resté muet et encore trop tendre dans la zone de vérité. "Dans les matches comme ça, on doit être encore plus tueur", lâche Makelele, conscient des progrès à effectuer pour espérer briller cette saison.


Plus que le résultat brut et sa première victoire contre Lens en tant qu'entraîneur, Antoine Kombouaré loue l'état d'esprit de ses troupes. "On a eu le courage de jouer, avec plus d'agressivité et de disponibilité" relate-t-il. On est dans une spirale positive, mais on doit garder les pieds sur terre." Paris avance masqué et attend la suite pour affirmer sa position en quelque sorte. Les partenaires de Ludovic Giuly sont conscients qu'ici plus qu'ailleurs, tout peut aller très vite. Dans un sens comme dans l'autre.


Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/27092010/70/ligue-1-paris-ne-s-emballe-pas.html
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Le Real Madrid en panne sèche

Juan Juanlu, anonyme milieu de terrain espagnol de Levante, a fait la rencontre, samedi, de José Mourinho. Et cela ne s’est pas très bien passé. « Il provoque tout le temps tous les joueurs. Il ferait mieux de se taire et d’arrêter de provoquer », a-t-il expliqué au quotidien As après l’héroïque résultat nul (0-0) de son équipe face au Real Madrid. Un match que l’entraîneur portugais a passé debout, ou presque, trop agacé pour rester assis sur son banc de touche.


Troisième de la Liga à deux points du FC Valence, le Real ne séduit pas. Il marque peu – six buts et cinq matches – et n’impressionne pas. La méthode José Mourinho a parfaitement fonctionné à l’Inter Milan, vainqueur de la dernière Ligue des champions. Le vestiaire madrilène est plus dilettante que le milanais et les premières rebellions se font déjà sentir. Mercredi, le gardien et capitaine Iker Casillas est allé à la rencontre du Portugais pour lui demander de décaler ses séances d’entraînements de 10 heures à 11 heures. Réponse du commandant en chef : « Non. »


Ronaldo : 41 tirs, 2 buts
Symbole des problèmes de l’équipe, Cristiano Ronaldo traverse une passe difficile. Il a tiré 41 fois au but depuis la saison… mais n’a fait mouche qu’à deux reprises. A Levante, l’ailier portugais a eu une belle occasion, de la tête, en première période (39e), mais s’est surtout signalé par sa propension à s’accaparer les coups francs de son équipe et à abuser d’actions individuelles.


Mourinho le défend comme il le peut : « Il y a des joueurs qui ont un certain type de jeu, il est très difficile de les faire changer et ce n’est peut-être pas la meilleure option. Un attaquant doit être égoïste, car sa seule idée est de marquer des buts. » Il faudra marquer contre Auxerre, mardi en Ligue des champions. « On s’attend à un match difficile », annonce le latéral Arbeloa. Preuve que ce Real, décidément, ne tourne pas bien.
http://www.francesoir.fr/football/le-real-madrid-en-panne-seche.28710
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Paris n'a pas fait le voyage pour rien

A la recherche d'une première victoire à l'extérieur depuis bientôt dix mois, le Paris Saint-Germain est allé s'imposer à Lens (0-2), lors de la 7e journée de Ligue 1. Les hommes d'Antoine Kombouaré pointent au 5e rang tandis que les Lensois trainent leur peine à la 19e place du championnat.
LENS - PSG : 0-2




Buts : Demont (49, csc) et Nenê (90+3)

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Après quasiment dix mois de disette, le Paris Saint-Germain a remis le couvert, dimanche au stade Bollaert. En clôture de la 7e journée, le club de la capitale est allé décrocher sa première victoire à l'extérieur de l'année 2010 (0-2). Les hommes d'Antoine Kombouaré sont allés battre une équipe de Lens qui n'avance plus et se traine dans les bas-fonds de la Ligue 1, juste devant le fantôme arlésien et derrière l'énigme lyonnaise.


Dimanche soir, les Sang et Or n'ont pourtant pas démérité, notamment lors d'une première période qu'ils ont dominée. Mais de manière stérile. A l'image de Sertic, qui s'est procuré deux belles occasions en début de match mais qui, à chaque fois, a trouvé Edel sur sa route (8e, 19e). Le portier du PSG s'est montré tout aussi inspiré sur un coup franc de Maoulida (37e).


Lens victime d'un coup de billard


Et Paris dans tout ça ? Il y a bien eu ce beau mouvement Nenê-Giuly conclu par une frappe - contrée - de Tiené (27e). Mais pas grand chose de plus. Pour voir le PSG hausser le ton, il faut attendre le retour des vestiaires et une action improbable dans la surface lensoise. Sur un centre de Jallet, Makelele, monté aux avant-postes, est un peu trop court pour reprendre le ballon de la tête. Au second poteau, Nenê frappe comme il peut. Devant son but, Yahia dégage la reprise du Brésilien... sur Demont, qui marque contre-son-camp (0-1, 49e). Un coup de billard à trois bandes dont Lens ne se relèvera pas.


Libéré par l'ouverture du score, le Paris Saint-Germain va se procurer quelques occasions pour se mettre à l'abri mais attendra finalement les arrêts de jeu et un coup de patte de Nenê pour doubler la mise (0-2, 90+3). Ce troisième succès de la saison permet au club de la capitale de grimper au 5e rang de la Ligue 1. Bien au chaud. Et loin devant des Lensois qui ne gagnent plus et ne sont plus très loin de ce que Paris connait bien : la crise automnale.


Eurosport
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dimanche 26 septembre 2010

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Payet dessine son avenir

Milieu de terrain de formation, le jeune Dimitri Payet (23 ans) est, à la surprise générale, le meilleur buteur du Championnat de France avec sept réalisations. Il a d'ailleurs écoeuré, à lui tout seul, l'Olympique Lyonnais samedi soir (0-1). Son avenir semble tout tracé... (Photo Presse-Sports)




Avec un but "Juninhesque" et deux sauvetages décisifs sur sa ligne devant Toulalan (24e) et Cissokho (82e), le Stéphanois a été le bourreau de l'Olympique Lyonnais (0-1), et bien plus, samedi soir lors du 100e derby entre les deux rivaux. Il faut dire que ce coup franc prodigieux dans la lucarne de Lloris (75e) a eu, et aura, des répercussions sur l'avenir du football français. Qu'on le veuille ou non, Dimitri Payet a enfoncé l'OL dans la crise et peut-être scellé le sort de Claude Puel. Il a également élevé les Verts au rang de sérieux outsiders de ce Championnat, mais il a surtout mis fin à dix-sept ans de disette chez le voisin lyonnais (26 février 1993, 0-2). Rien que ça ! Bref, cet homme providentiel, tel un messie, ne cesse de briller depuis le début de saison. «Il a une étoile au-dessus de la tête», a même avoué Christophe Galtier.




Meilleur que Malouda et Drogba !
Auteur de sept buts en sept matches - soit un de mieux que ses trois premières saisons réunies chez les Verts - le Réunionnais est sur son petit nuage et n'a certainement pas envie d'en redescendre, comme en témoigne ses passages éclairs et silencieux devant la presse à chacune de ses prestations. Payet a tout simplement envie de se préserver, comme il le fait depuis le début de sa carrière. Formé au Havre avant de passer par Nantes, il a gravi les échelons en toute discrétion. Aujourd'hui, le travail paye. Avec un total de sept réalisations pour onze tirs cadrés, l'attaquant des Verts possède l'un des meilleurs ratios tirs/buts en Europe, devant des joueurs tels que Malouda, Drogba (Chelsea) ou encore Dzeko (Wolsfburg). Plus que jamais aux portes de l'équipe de France, Payet doit maintenant confirmer. Et comme le dit son entraîneur : «on espère que ça va durer le plus longtemps possible.»
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Lyon Saint Etienne 0-1 but de Payet

22h56 : Lyon ne comprend plus

Récit d'une soirée folle qui a vu l'OL perdre chez lui contre Saint-Etienne (0-1) après avoir fait le jeu et trouvé trois fois les montants. Entre la foi initiale de Gerland, les banderoles hostiles à Puel ou l'héroïsme de Payet, retour sur un match irrationnel... qui place l'OL au 19e rang.




21 heures : Les joueurs lyonnais donnent le coup d'envoi de ce centième derby sous la direction d'Anthony Gautier. Gerland a déjà annoncé la couleur avec un tifo explicite des Bad Gones: "Depuis 1987, combattre et vaincre". Les tribunes, combles, poussent leur équipe et ne se consacrent qu'à ça. Il n'est pas question de Claude Puel. Pas encore.


21h50 : Lyonnais et Stéphanois rejoignent les vestiaires sur un score nul et vierge. Dominateurs, les joueurs de Claude Puel semblent tenir le bon bout pour remonter la pente et maintenir leur emprise sur le derby. Las, Gomis, Bastos, Briand, Gourcuff n'ont su concrétiser les situations de buts de l'OL. Dans les tribunes, le parcage stéphanois s'anime. Des fumigènes s'allument.


22h03 : Dans le tunnel de Gerland, Christophe Galtier et Joël Bats se frictionnent. Anthony Gautier les convoque. Les deux hommes ont travaillé ensemble en 2007 dans le staff d'Alain Perrin, qui avait été rejeté par les "historiques de l'OL". Le coach stéphanois a surtout l'impression que le staff lyonnais met la pression sur le corps arbitral. "Je ne l'accepte pas..."




22h23 : Les montants de Jérémy Janot s'interposent une troisième fois aux desseins des attaquants lyonnais. Après Gomis en début de match (12e), Toulalan et Bastos trouvent coup sur coup le poteau et la transversale. La défense stéphanoise ne maîtrise plus rien et pourtant... On joue depuis une heure et le derby a choisi son camp. Les Lyonnais ont laissé passer leur chance, les Verts ne le savent pas encore, mais ils sont intouchables.


22h34 : Il reste un quart d'heure à jouer et Dimitri Payet ouvre le score. Très discret depuis le début du match, l'attaquant stéphanois nettoie la lucarne de Lloris sur sa seule balle de but. Sept réalisations en sept journées, Payet connaît la réussite qui fuit les Lyonnais, sanctionnés sur ce coup de pied arrêté consécutif à une intervention pourtant visiblement licite de Kim Källström. Les Gones sont sur le point de craquer. Lovren et Bastos reçoivent un carton jaune pour contestation. La tension dans ce centième derby vient de gagner trois crans.


22h41 : Dimitri Payet se consacre définitivement héros du peuple vert. Après avoir défait le verrou de la défense lyonnaise, l'attaquant s'érige en dernier rempart de l'équipe stéphanoise en repoussant sur sa ligne la tête de Jimmy Briand. Une heure plus tôt, Toulalan avait subi le même sort. Son coup de tête prenait pourtant la direction de la lucarne.


22h51 : Les supporters lyonnais exhibent une banderole "Puel démission". Sous pression avant le derby, Claude Puel se retrouve à nouveau au cœur des protestations de Gerland, bafoué par cette défaite infamante devant le rival stéphanois, la première depuis 1994. Les slogans à l'encontre du technicien vont longtemps résonner. La capitale des Gaules bout de colère.


22h56 : Le coup de sifflet final officialise la victoire historique de Saint-Etienne. Les Verts exultent. Aucun d'entre eux ne connait le goût d'une victoire à Gerland. Le contraste de cette joie avec la frustration lyonnaise est saisissant. Rémy Vercoutre est exclu pour protestation. Jean-Michel Aulas, lui, a déjà trouvé son paratonnerre pour écarter la polémique de ses joueurs et son entraîneur. Il suit les arbitres dans les couloirs de Gerland, les interpelle sur l'action décisive qui a offert le but de la victoire à Dimitri Payet. Le président lyonnais se prépare à vivre une nuit difficile... et à assurer le SAV.


23h10 : Coup sur coup, chez les deux diffuseurs de la L1, Jean-Michel Aulas délivre le même message : Lyon a fait un bon match, n'a pas eu de chance, a été lésé par l'arbitrage, et ne va rien décider de négatif à l'égard de Claude Puel. L'OL "ne va pas tomber dans des réactions qui ne sont pas celles d'un club sérieux". Loin du discours de mai dernier sur la plus belle saison de l'histoire du club, Aulas relève : "On a beaucoup investi sur une organisation qui n'a pas fonctionné jusqu'à maintenant. Mais ce soir, ça peut être le déclic."




23h50 : Après avoir "rassuré" les médias, Aulas continue de mouiller sa chemise et va parler au virage Nord avec un micro. Aux supporters remontés, il en dit plus qu'il n'en a jamais dit sur sa capacité à démissionner Claude Puel : "Les bonnes décisions seront prises fin octobre. (…) J'ai compris votre message." Il réussit à quitter les débats sous les applaudissements, par une référence bien sentie à l'ennemi stéphanois : "Nous allons jouer la Ligue des Champions mercredi tandis qu'ils ne la jouent qu'à la Playstation! (...)"


Eurosport
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