Wenger a aimé l'Allemagne
En dehors de ces Sud-Américains, l'Alsacien a quand même eu le temps d'apprécier la justesse du jeu de la Nationalmannschaft. «Les Allemands ont été les seuls à te donner l'impression qu'ils pouvaient marquer à tout moment. Ils ont réhabilité le dribble. C'est un enseignement majeur de ce Mondial.» Loin de tous ces superlatifs, les Bleus... Wenger, de son siège avisé de commentateur, n'a pas du tout aimé l'attitude des coéquipiers de Franck Ribéry. «Il y a depuis longtemps une forme de solidarité de façade chez les Bleus. Un discours d'unité feint qui ne s'est jamais concrétisé sur le terrain. Ni solidarité, ni unité. On peut toujours parler, parler... Quand tu bats les Féroé 1-0 en éliminatoires, comment peux-tu venir à la Coupe du monde en espérant battre l'Argentine 4-0...»
Gallas en prend pour son grade
Et de poursuivre. «Sans joueurs intelligents, tu ne peux pas gagner. Les miens en ont (de l'intelligence, ndlr). Clichy, Diaby, Sagna. Gallas, lui, n'est plus chez nous.» Après ce triste constat, le Gunner se veut positif et espère que l'arrivée de Laurent Blanc se fera sans problème : «On ne peut pas faire comme si rien ne s'était pas passé. Laurent Blanc ne doit pas être associé aux sanctions. Il doit arriver et trouver une situation claire. Il ne peut pas démarrer avec un handicap.» Les semaines à venir nous diront si les espoirs d'Arsène Wenger ont été entendus.
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