dimanche 12 août 2012

C'est déjà Ibracadabra

Avec la Juve, l'Inter puis le Barça, il avait marqué dès son premier match de championnat, il a fait encore mieux avec le PSG. Dès ses débuts en Ligue 1, Zlatan Ibrahimovic a signé un doublé retentissant et permis à l'équipe parisienne d'éviter une vilaine déconvenue à domicile face à Lorient (2-2). Complètement désorganisé, le PSG comptait deux buts de retard à la pause mais il a pu compter sur la ténacité et la puissance de sa recrue. " L'ambiance du stade était fantastique. Je ne suis pas encore à 100%, je ne m'entraîne que depuis une semaine et demie, mais grâce à mes coéquipiers j'ai marqué deux buts", a commenté le géant suédois.
Logiquement titulaire à la pointe de l'attaque parisienne avec Lavezzi et Ménez pour l'épauler, Zlatan a pourtant tardé à trouver sa place sur la pelouse du Parc des Princes. Plutôt que de profiter de la vitesse de ses deux partenaires, le Suédois a choisi de décrocher au milieu de terrain pour davantage toucher le ballon et tenter de mieux orienter un jeu parisien très brouillon. L'option choisie par le géant suédois n'a pas fonctionné et, durant la première demi-heure, il ne s'est montré dangereux que sur corner avec une tête bien repoussée par Audard (19e). "Ce n'est que le début, on a encore beaucoup de temps pour être mieux organisés et bien faire", a tenu à tempérer l'intéressé.
Déchaîné après la pause
Davantage présent devant le but adverse en fin de première période, Ibrahimovic aurait pu ouvrir son compteur en suivant un tir de Lavezzi détourné par Audard (36e). Il a pourtant été contré par l'impeccable Ecuele-Manga aux six mètres. Un réel tournant dans la partie car le défenseur central et capitaine des Merlus s'est donné une entorse au genou gauche sur le coup et a dû céder sa place. Délesté de ce garde du corps encombrant, l'ancien Milanais a pu sonner la révolte parisienne en seconde période.
Déterminé à réduire la marque, il a commencé par une tête de peu à côté sur un centre de Jallet (49e). De plus en plus souvent impliqué dans les offensives parisiennes, il n'a pourtant trouvé que le poteau sur le centre de Lavezzi (54e). Sa mobilité et sa puissance athlétique lui ont permis de prendre le dessus sur Bourillon et de profiter d'une ouverture de Nene pour enfin tromper Audard (1-2, 64e). "Il a fait un travail fantastique, pas seulement parce qu'il a marqué mais parce qu'il a beaucoup travaillé, a souligné Carlo Ancelotti après la rencontre. ........................
http://fr.sports.yahoo.com/news/cest-déjà-ibracadabra-225227310.html;_ylt=Atj6aul51DfVuYK5uy3t0EHkg4t4;_ylu=X3oDMTQ1NzFsbGdoBG1pdANGZWF0dXJlZCBNZWdhdHJvbiBMaWd1ZSAxIFNQBHBrZwNmOTUzY2I2NC1mZjg4LTM4MTUtOWQzYi1iYTVjOWU2Y2Y5MTIEcG9zAzEEc2VjA21lZ2F0cm9uBHZlcgNmODU5OGRkMC1lNDBhLTExZTEtYWY2OS00NjQyNGY1MTUxNDM-;_ylg=X3oDMTF0ZDk5MWZ2BGludGwDZnIEbGFuZwNmci1mcgRwc3RhaWQDBHBzdGNhdANmb290YmFsbHxsaWd1ZTEEcHQDc2VjdGlvbnM-;_ylv=3

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