lundi 31 mai 2010

"Une histoire incroyablement négative"

La révolution Mourinho n'est pas encore en route. Pour sa première conférence de presse dans son nouveau costume de coach de la Casa Blanca, le Portugais n'a pas fait dans la déclaration fracassante. Bien au contraire. Engranger des trophées ? Bien sûr mais à long terme. Celui qui se définit lui-même comme un "grand entraîneur" a annoncé qu'il lui faudrait, comme à Milan, deux ans pour tirer le meilleur de sa formation : "C'est la deuxième année qui est clé." Depuis Vincente Del Bosque (1999-2003), aucun entraîneur n'a réussi à perdurer plus de deux saisons sur le banc du Real. Mais Mourinho reste serein : "J'aime la pression."

Concernant la prochaine Liguer des Champions, la grande ambition de Florentino Perez, Mourinho est, là encore, resté sobre. Il ne promet rien. "Le Real a un grand passé mais aussi une histoire incroyablement négative ces dernières années. On repart à zéro, avec le rêve, mais sans obsession, de jouer la finale à Wembley". Mourinho se laisse du temps pour mieux remplir l'armoire à trophée et rappelle malgré tout : "Ce qui est joli, joli, joli, ce n'est pas d'entraîner le Real, ce qui est joli, joli, joli, c'est de gagner".

Et si Eto'o...

Mourinho n'annonce rien de spectaculaire pour le moment mais déjà certaines de ses déclarations tranchent avec les habitudes madrilènes. Ainsi, l'ancien tacticien de l'Inter et de Chelsea promet un été "assez tranquille". Finies les dépenses folles du dernier mercato, Mourinho souhaite simplement l'arrivée de "trois ou quatre joueurs" ayant "une capacité d'adaptation à un idéal de jeu".

De l'autre côté des Pyrénées, l'arrivée de Mourinho s'est accompagnée d'un cortège de rumeurs plus ou moins plausibles. Les noms de Milito, Cole, Maicon, Fabregas ont notamment circulé. Ce lundi, Samuel Eto'o a apporté du grain à moudre aux journaux ibériques. En conférence de presse, l'attaquant de l'Inter a tressé les louanges de son ancien coach. "Mou et le Madrid, ils sont faits l'un pour l'autre. Il est l'un des meilleurs entraîneurs du monde, je crois qu'il va avoir beaucoup de succès." Le Camerounais n'envisage pas encore clairement un départ vers Madrid mais il entrouvre la porte : "Partir au Real ? On verra après la Coupe du monde." Le genre de déclarations qui pourrait mettre le feu au poudre après l'entrée en matière très policée du Special One.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/31052010/70/liga-une-histoire-incroyablement-negative.html

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Jimmy Briand première recrue de l’OL !

Attention, duel au sommet de l’Olympe. Les deux Olympiques, Lyon et Marseille, s’affrontent en effet sur le marché des transferts. Le champion de France en titre et son dauphin n’ont d’yeux que pour une seul et même joueur : Jimmy Briand. Une situation cocasse qui ne devrait pas manquer de raviver la rivalité existant entre les deux formations. Si, sur le terrain, l’OM a pris le dessus sur l’OL cette saison, toujours est-il que les Gones pourraient bien tenir leur revanche lors de ce mercato.

En effet, comme l’indique France Football via son site internet, Jimmy Briand aurait trouvé un accord avec le club rhodanien. Un contrat de quatre ans attend l’attaquant du Stade Rennais dans la deuxième ville de France. Les deux clubs devraient rapidement trouver un compromis, les septuples champions de France étant enclins à débourser les 6M€ réclamés par les dirigeants bretons. Mais l’officialisation de cette transaction n’aura pas lieu avant le 8 juin, date d’ouverture du marché des transferts.

Loin des 40M€ versés par le FC Barcelone pour recruter David Villa, l’Olympique Lyonnais a malgré tout réussi le premier gros coup du mercato estival hexagonal. Orphelin de Sidney Govou, le couloir droit rhodanien va donc retrouver un international français. Victime d’une rupture des ligaments croisés du genou gauche et d’une luxation de la rotule lors d’une séance d’entraînement avec les Bleus en 2009, le joueur de 24 ans est bel et bien sur pied. Avec un bilan de 5 buts et 8 passes décisives en une demi-saison, le natif de Vitry-sur-Seine s’est rassuré. Reste à savoir si cette première expérience hors de son club formateur, du côté de Gerland, lui permettra de retrouver les Bleus.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/jimmy-briand-premiere-recrue-de-l-ol_50246


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Nouvelle blessure pour William Gallas ?

Les dernières nouvelles des Bleus ne sont pas vraiment rassurantes. A quelques heures seulement de s'envoler pour la Réunion, dernière étape de la préparation des bleus pour le mondial, l'un des hommes de Domenech, William Gallas est sorti soudainement de la séance d'entraînement, en train de se masser le mollet droit.
Le joueur d'Arsenal, qui se remet tout juste d'une blessure au mollet gauche, aurait peut-être, selon RTL, «trop compensé avec la jambe droite au moment de sa première blessure». Du coup, le défenseur central des bleus risque bien de rester sur le banc pour le France-Chine vendredi


http://www.leparisien.fr/sports/nouvelle-blessure-pour-william-gallas-31-05-2010-944670.php


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L’OM tente sa chance avec Gilardino !

Depuis qu’il a signé à la Fiorentina en 2008, Alberto Gilardino a retrouvé des couleurs. Peu en verve lors de sa dernière année au Milan AC, l’international transalpin est redevenu un buteur efficace à Florence. Auteur de 34 buts en 71 matches de Serie A, Gila a donc logiquement commencé à susciter de nouveau l’intérêt des grands clubs.

Manchester City, la Juventus ou encore l’Olympique Lyonnais, tels sont les clubs qui ont successivement tenté d’approcher le canonnier de la Viola. Mais si sa cote de popularité auprès des grands d’Europe est remontée en flèche, Gilardino ne s’est pas pour autant transformé en girouette prête à sauter sur le premier wagon.

Sous contrat avec la formation italienne jusqu’en 2015, Gilardino a beau avoir reçu des offres dont le montant atteignait parfois la somme de 25 M€, le natif de Biella a toujours juré fidélité à son équipe. Pourtant, à en croire Le Parisien, malgré la difficulté à le déloger du Stade Artemio Franchi, Alberto Gilardino serait la cible d’un nouveau club : l’Olympique de Marseille.

Si Mamadou Niang a indiqué vouloir rester sur la Canebière, Didier Deschamps, lui, souhaite toujours engager une pointure. Et pour cela, en dépit des pistes Jelen et Gignac, DD scrute à l’étranger. Toujours aussi friand du championnat italien, le coach olympien a donc flashé sur le Florentin. Mais si ce dernier serait à coup sûr un renfort de choix, notamment pour la Ligue des Champions, le quotidien francilien indique que l’intéressé ne serait pas franchement excité à l’idée de rejoindre la Ligue 1. Une tendance qui confirme les propos qu’avait tenus l’agent du joueur, M. Bonetto.

« Alberto dispose d’un contrat courant jusqu’en 2015. Et selon toute vraisemblance, il va rester à la Fiorentina la saison prochaine. Il est évident que l’absence de Coupe d’Europe la saison à venir mine tout le monde, le club et Alberto. Mais cela ne le poussera pas à partir. Il doit désormais se concentrer sur le Mondial au cours duquel il aura, je l’espère, l’un des premiers rôles avec la sélection italienne. »
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/l-om-tente-sa-chance-avec-gilardino_50210

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Christian Gourcuff: «Le FC Nantes, tel que je l'ai aimé, est mort»

Il a pourtant failli l'entraîner...
Mai 2009, on apprend que le président du FCN Waldemar Kita a rencontré le coach lorientais Christian Gourcuff pour le poste d'entraîneur, vacant à l'époque. Un an après, le Breton évoque ce rendez-vous et la situation d'un club qui lui est cher...

Il y a un an, le président nantais vous a-t-il réellement contacté?
Oui, il était intéressé par ma venue, car il pensait que j'étais capable de restaurer l'image du FC Nantes. C'est ce qui m'intéressait dans sa démarche. Quand on vient me chercher pour mes idées et mon travail, ça m'intéresse. Mais Lorient n'a pas voulu me libérer, le dossier nantais s'est donc clos assez vite...

Quel regard jetez-vous sur le FCN?
Cela fait longtemps que Nantes, tel que je l'ai connu et aimé, est mort. Quand Raynald Denoueix, fin 2001, a été limogé c'était déjà une première révolution. Après, la suite pour ce club n'est que l'illustration de l'évolution du foot business. Quand on tourne le dos à des valeurs et une philosophie qui ont fait ta force, forcément, il y a des conséquences catastrophiques...


Ce club peut-il rebondir vite?
Dans le foot, rien n'est acquis, mais rien n'est perdu non plus. Ce sont des cycles. Mais, c'est souvent plus rapide de détruire que de reconstruire. Pour Nantes, il est préférable de repartir à zéro. C'est vraiment ce que je souhaite car il y a un potentiel énorme en terme de public. Ce dernier est connaisseur et éduqué avec une certaine idée du football.

Pourquoi pense-t-on souvent à vous pour restaurer le FCN?
Parce que je suis assez proche de Denoueix au niveau de la conception du foot. On fait partie du même courant. Mais, selon moi, la personne la mieux à même de restaurer le FCN, c'est Denoueix lui-même.

Aimeriez-vous entraîner le FCN?
Moi, je n'ai plus d'objectif de carrière. Ce qui m'intéresse, c'est d'être à un endroit où on me souhaite vraiment et de travailler avec mes idées. Il est vrai toutefois que ma conception du foot est proche de ce qui se faisait avant à Nantes.

Au FCN, le coach ne semble pas avoir tous les pouvoirs. Qu'en pensez-vous?
Ce n'est pas du tout ma conception du rôle. A Lorient, j'ai un avis sur tout: la formation, la gestion des pros et le recrutement. Après, il faut une solidarité, l'efficacité est à ce prix. Dans un club, c'est ça qui est le plus dur car on se tire de plus en plus dans les pattes. Là où les coachs restent peu de temps, c'est néanmoins difficile d'avoir une emprise sur le recrutement qui engage le club sur quatre ou cinq ans
http://www.20minutes.fr/article/408230/Sport-Christian-Gourcuff-Le-FC-Nantes-tel-que-je-l-ai-aime-est-mort.php


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Décousu de fil blanc

C'était prévisible. Face à la Tunisie (1-1), l'équipe de France s'est heurtée aux limites du 4-3-3, bien trop risqué quand elle n'a pas le ballon. Au rang des satisfactions, une nouvelle fois Franck Ribéry et Yoann Gourcuff. En revanche, Eric Abidal et Nicolas Anelka n'ont pas marqué de points...

ANELKA À RECULONS
Après 45 minutes moyennes face au Costa Rica, Nicolas Anelka, une nouvelle fois préféré à Thierry Henry à la pointe de l'attaque, a joué une heure face à la Tunisie. Une heure et pas un seul tir pour celui qui est sensé concrétiser les multiples possibilités offertes par le 4-3-3. Anelka a joué très bas, sans cesse vers l'arrière. Sa seule action réussie, et ça veut tout dire, a été une ouverture pour Malouda. Ses successeurs n'ont pas été plus en verve. Pierre-André Gignac, Thierry Henry entré à gauche à la place de Franck Ribéry et Djibril Cissé sur le côté droit pour Sidney Govou, n'ont pas plus amené le danger. "Il faut plus concrétiser, nos actions sont avortées trop tôt", a reconnu Raymond Domenech après la rencontre.

ABIDAL DEBOUSSOLÉ

Toutes les inquiétudes qui se concentraient sur Williams Gallas et son mollet vont peut-être se déporter sur son compère de la charnière. Eric Abidal, sorti à la pause et remplacé par Marc Planus, a déçu. Déjà fautif sur le but du Costa Rica mercredi, le joueur d'Arsenal était étrangement absent au second poteau sur le but de Jemaa. Il n'a pas semblé non plus au mieux sur les ballons aériens. Le joueur de Barcelone peine à trouver sa place dans le nouveau système de Domenech. Il a envie de monter, comme le permet sa position de latéral en Catalogne, mais avec plusieurs joueurs à vocation offensive et le seul Toulalan devant lui, il doit se contrôler. D'autant que Sébastien Squillaci a été plutôt bon et qu'il devient une alternative crédible...

RIBÉRY PRIS POUR CIBLE

Le jeu des Bleus penche à gauche et c'est logique quand on voit l'énergie déployée par Franck Ribéry. A croire qu'il en redemande et on ne doit pas être très loin de la vérité. Le Munichois a livré 45 minutes intenses, provoquant la défense adverse à plusieurs reprises et parfois en tentant sa chance. Pourquoi 45 minutes seulement? Parce qu'il avait pris suffisamment de coups au goût de Raymond Domenech, qui n'a pas voulu prendre de risques. Toujours au rayon des satisfactions, la patte de Yoann Gourcuff (passeur décisif sur coup franc) apporte beaucoup, tout comme le sérieux d'Abou Diaby. Le vrai joker des Bleus, c'est peut-être lui et pas forcément Mathieu Valbuena.

LES LIMITES DU 4-3-3

Nul doute que la Tunisie a eu tout le loisir d'étudier le match des Bleus face au Costa Rica, premier du genre en 4-3-3. Un système aussi intéressant dans les phases offensives qu'il est dangereux pour la défense quand le ballon est dans les pieds adverses. D'entrée de jeu, les Aigles de Carthage ont compris qu'ils devaient exploiter en contres les pertes de balles françaises. Avec le seul Toulalan pour couvrir, c'était presque offert sur un plateau. "Il reste des choses à revoir et un équilibre à trouver et plus de communication", a d'ailleurs avoué le Lyonnais après la rencontre. Avec un seul récupérateur, l'équipe de France apparaît coupée en deux. L'entrée de Diaby n'a pas permis de régler une machine perturbée par l'entrée de six autres joueurs...

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/31052010/70/coupe-du-monde-2010-decousu-de-fil-blanc.html

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Plus brouillon cette fois...

TUNISIE - FRANCE : 1-1


Buts : Jemaa (6e) pour la Tunisie et Gallas (62e) pour la France

Le vent d'optimisme qui soufflait dans le ciel des Bleus après leur succès face au Costa Rica (2-1) s'est quelque peu estompé en traversant la Méditerranée. A J-12 avant le début du Mondial, le voyage en Tunisie a en effet confirmé les chantiers qui attendent Raymond Domenech : la défense et le poste d'avant-centre. Cela a donné un résultat nul (1-1) rendu peu lisible par l'entrée en jeu de sept joueurs en seconde période, dont celle de Marc Planus, qui a honoré sa première sélection. A Lens, le sélectionneur avait pourtant pointé du doigt les écueils qui pouvaient attendre l'équipe de France : "Il y a des moments très intéressants dans l'animation offensive et des moments plus délicats dans la récupération, en défense. C'est lié au système". Mais l'équilibre n'a pas encore été trouvé. Sans surprise, les mêmes joueurs alignés mercredi ont été reconduits à Radès pour rôder le nouveau schéma, à l'exception d'Hugo Lloris, de retour dans le but tricolore à la place de Steve Mandanda.

Pour son deuxième match de préparation, le nouveau visage des Bleus s'est confirmé. Dans ce schéma tactique, la France encaissera sûrement des buts. C'est ce qu'elle a fait, encore une fois, en cédant en début de match face à Issam Jemaa (6e, 1-0). Si on ne peut pas vraiment incriminer le 4-3-3, dans lequel il faudra néanmoins apprendre à bloquer les couloirs, le tandem Gallas-Abidal doit encore trouver ses automatismes. Ben Khalfallah, parti à la limite du hors-jeu, aurait même pu punir l'arrière-garde française sans une passe mal ajustée pour Jemaa (9e). Mais William Gallas a rassuré sur un point : son mollet a tenu un peu plus de 60 minutes. Pour le reste, son égalisation de la tête (62e, 1-1) a sauvé une prestation assez terne, notamment son placement sur l'ouverture du score.

Valbuena reste sur le banc

Si la défense sera exposée, les hommes de Domenech devraient aussi se créer beaucoup d'occasions. C'est ce qu'ils ont fait une nouvelle fois face aux Tunisiens. En manquant de réalisme, pour reprendre une vieille habitude. Gourcuff, sur coup franc (15e, 20e) ou de loin (30e), Ribéry (15e, 23e, 35e) ou Govou (21e, 26e, 33e) ont eu la fâcheuse tendance à pécher dans le dernier geste. Il n'était pas facile, non plus, de trouver Nicolas Anelka. L'attaquant de pointe fut une nouvelle fois très attiré par le milieu du terrain.

Mais quelles sont les autres solutions ? Henry ? Remplaçant au coup d'envoi, il est entré après la pause à... gauche à la place Franck Ribéry, toujours aussi remuant. Gignac ? Le Toulousain, entré à la 64e minute, a le profil du poste mais il n'a pas vraiment marqué des points. Cissé ? Idem. Les Bleus ont même terminé la rencontre avec les trois numéro 9 alignés ensemble. Sans succès. Valbuena, la note de fraîcheur des Bleus face au Costa Rica, n'a cette fois pas quitté le banc. En revanche, Diaby a encore réussi sa rentrée. Le côté gauche reste le point fort des Bleus, au risque de réduire le côté droit à la portion congrue. Mais il ne reste qu'un seul match à Raymond Domenech, vendredi à La Réunion face à la Chine, pour trouver les bons équilibres.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/31052010/70/coupe-du-monde-2010-plus-brouillon-cette-fois.html

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dimanche 30 mai 2010

Suivez Tunisie France en live ici

Le match Tunisie France en direct sur ce site en cliquant sur ce lien


http://www.20minutes.fr/article/407954/Sport-Tunisie-France-Suivez-le-match-en-live-comme-a-la-maison-a-partir-de-20h45.php




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Des perspectives à embellir

Le match contre le Costa Rica (2-1) a ouvert de nouvelles perspectives à l'équipe de France. La rencontre à Radès face à la Tunisie (21h00), second test de préparation avant le Mondial, doit confirmer et même embellir les promesses entrevues à Lens. (Photo Presse-Sports)

Se rassurer derrière
Mise à mal face aux Costaricains, surtout en première période, l'arrière-garde de l'équipe de France est attendue au tournant en Tunisie. Si Hugo Lloris va retrouver sa place dans la cage tricolore, les regards seront une nouvelle fois tournés vers William Gallas, auteur d'un retour encourageant mais encore éloigné du niveau attendu pour une phase finale de Coupe du monde. L'entrée de Sébastien Squillaci à la mi-temps a même mis en évidence la supériorité actuelle du défenseur de Séville. La charnière centrale Gallas-Abidal peut profiter de l'opposition tunisienne pour rassurer et perfectionner ses automatismes. Dans le cas contraire, Raymond Domenech se retrouvera dans l'obligation de dévoiler son plan B.

Des intentions offensives à confirmer
Au stade Félix-Bollaert, les Bleus ont déclenché un sentiment d'enthousiasme chez la plupart des observateurs par leur faculté retrouvée à échanger, se trouver, percuter, déstabiliser la ligne défensive adverse et se procurer des occasions. Face aux Aigles de Carthage, les principales armes offensives tricolores seront jugées sur leur capacité à renouveler ce type de prestation, tout en y ajoutant un soupçon de réalisme supplémentaire. Entraînés dans le sillage d'un Franck Ribéry bien décidé à profiter du nouveau système de jeu pour s'affirmer comme le leader technique du groupe, les Govou, Anelka, Gourcuff, Malouda and co doivent se mettre au diapason du joueur bavarois. Ils sont attendus au tournant.

Et Thierry Henry alors ?
Relégué sur le banc des remplaçants mercredi face au Costa Rica, Thierry Henry n'est plus un titulaire indiscutable dans l'esprit de Domenech, qui lui préfère Nicolas Anelka pour occuper l'axe de son trident offensif. Ce deuxième match de préparation pourrait confirmer cette tendance. Fer de lance de l'attaque tricolore depuis presque douze ans, le meilleur buteur de l'histoire du football tricolore paie, vraisemblablement, son temps de jeu famélique au Barça cette saison. S'il n'est pas encore au top physiquement, Henry semble pourtant posséder davantage de qualités que son pote de Chelsea pour cette position de véritable numéro 9. Mais, pour l'instant, le sélectionneur accorde sa confiance à l'attaquant des Blues, comme l'a encore montré la dernière mise en place tactique. Dimanche, le terrain parlera. - T.S.

L'équipe probable
Lloris - Sagna, Gallas, Abidal, Evra - Gourcuff, Toulalan, Malouda - Govou, Anelka, Ribéry.

http://www.francefootball.fr/


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Forlan : «Respecter la France»

Fer de lance de l'Uruguay, qui débute le Mondial sud-africain face aux Bleus de Raymond Domenech, Diego Forlan s'est confié en exclusivité pour Francefootball.fr. (Photo Presse-Sports)

A quelques jours de la Coupe du monde, le Rio de la Plata apporte son lot de vent glacial, jusque dans le repère de la sélection uruguayenne, à une poignée de kilomètres au nord de Montevideo. Dans le souffle de l'air, on discerne une conversation de goleadores (buteurs). «Tu as vu le but que j'ai mis l'autre jour ?», lance le premier. «Lequel ? Tu en as mis tellement !», rétorque le second entre deux frappes. Luis Suarez et Diego Forlan préparent ce Mondial comme si c'était le dernier. Seul rescapé de celui de 2002 avec Sebastian Abreu, l'expérimenté joueur de l'Atletico Madrid (31 ans) retrouve la France dans la peau d'un leader et avec une énorme envie.

« Diego, comment se passe votre préparation ?
Très bien, on travaille et on récupère. On profite de ces derniers jours pour recharger les batteries.

Avec le match contre la France en ligne de mire ?
Oui, car c'est le premier match, le plus compliqué, celui qui va marquer notre chemin.

L'équipe de France a connu une qualification difficile, marquée par une polémique. Elle ne paraît pas au mieux. Espérez-vous en profiter ?
Il faut respecter la France, c'est une grande sélection. Nous sommes un peu dans la même situation. Nous avons eu une phase éliminatoire compliquée et nous avons également dû passer par les barrages. La France a une sélection qui a beaucoup d'expérience, des joueurs qui évoluent dans des grands clubs, de haut niveau. Il ne faut donc pas les sous-estimer.

Quels sont les deux ou trois joueurs français dont vous vous méfierez ?
Il y en a plus que trois ! La France possède une grande équipe. Henry est un très grand joueur, tout comme Anelka et Ribéry.

Et défensivement ?
Ils ont aussi d'excellents joueurs derrière. Je pense notamment à Gallas.

Quelle va être la clé pour battre la France ?
Il va falloir être bon en défense. Ce sera essentiel pour que l'équipe soit à l'aise, qu'elle puisse développer son jeu offensivement.

Qui sont les favoris de cette Coupe du monde ?
Les mêmes que d'habitude : l'Argentine en fait partie, l'Espagne aussi, car c'est l'équipe qui joue le mieux actuellement, sans oublier le Brésil et l'Allemagne, toujours présents.

Recueilli par Florent Torchut, à Montevideo

Vous retrouverez tout ce qu'il faut savoir sur l'Uruguay dans le France Football «Guide de la Coupe du monde», en kiosque le mardi 1er juin.

http://www.francefootball.fr/

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Lyon avance bien sur Briand

De retour au tout premier plan après sa grave blessure, Jimmy Briand a la cote. Si en janvier dernier il a prolongé son contrat jusqu'en 2013 au Stade Rennais, l'attaquant breton de 24 ans a surtout obtenu une clause qui lui permet de quitter le club contre un petit chèque de 6 millions d'euros. Autrement dit, une occasion en or sur le marché des transferts. Du coup, Marseille et Lyon se livrent un duel olympien pour s'attacher les services du natif de Vitry-sur-Seine (94).

Longtemps annoncé du côté de la Canebière, Briand semble aujourd'hui plus proche de Gerland. Satisfait par la fin de saison de Mathieu Valbuena, récompensé par sa sélection pour la Coupe du monde, l'OM s'interroge sur le bien-fondé de la venue d'un joueur possédant un profil proche de son lutin. Dans le même temps, Lyon, qui cherche un remplaçant à Sidney Govou, a de son côté donné un coup d'accélérateur et les discussions sont en très bonne voie d'après L'Equipe. Estimée à 15 millions d'euros, la piste Loïc Rémy apparaît, elle, trop onéreuse pour l'OL.
http://www.lequipe.fr/Football/breves2010/20100530_103414_lyon-avance-bien-sur-briand.html

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OM : un coup d’avance dans le dossier Gignac

En net recul sur le dossier Jimmy Briand, l’Olympique de Marseille aurait-il choisi de se focaliser sur André-Pierre Gignac ? C’est ce que croit savoir La Dépêche, qui annonce aujourd’hui que le club phocéen a pris un avantage non négligeable sur la concurrence. Il faut dire que l’OM peut compter sur le désir de l’attaquant de 24 ans de rallier la Canebière.

Et il n’est pas le seul à exprimer cette envie. Gignac est une cible plébiscitée par les supporters marseillais, plus que Gameiro, Briand ou encore Le Tallec. Toutes les parties semblent donc espérer un dénouement favorable. Bien que muet sur le sujet depuis plusieurs semaines, l’OM serait bien mieux positionné que ses rivaux dans ce dossier.

En stage avec l’équipe de France, Gignac devrait logiquement attendre la fin de la Coupe du Monde pour voir son transfert se concrétiser. Cela laisse un gros mois aux dirigeants olympiens pour s’entendre avec leurs homologues de Toulouse, conscient qu’il leur sera difficile de conserver leur buteur international. Et avec la manne financière promise par Margarita Louis-Dreyfus, l’OM ne devrait pas se heurter longtemps à la résistance toulousaine.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/om-un-coup-d-avance-dans-le-dossier-gignac_50179

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Quelques violons à accorder

TOULALAN ne se posera plus de questions

Depuis deux ans, Toulalan et L. Diarra répondent toujours aux mêmes questions, à défaut de lever toutes les interrogations. Que faire pour assurer une meilleure relation milieu - attaque ? Comment éviter de se cantonner à ce rôle de râtisseur qui coupe l'équipe en deux et maintient l'idée d'une frilosité collective ? Désormais seul devant la défense, en pointe basse du milieu, Toulalan n'a plus besoin de "psychoter" sur ce délicat équilibre entre sécurité et projection vers l'avant. Il l'avait rarement trouvé en 4-2-3-1. L'idée s'était imposée qu'ente lui et Diarra, l'un était de trop. Le forfait du Madrilène a cruellement résolu le problème. La nouvelle donne est taillée sur mesure pour Toulalan. Le 4-3-3, il le pratique à Lyon depuis un moment. Boucher les trous avec malice et générosité, c'est son métier. Presser le porteur, c'est sa vocation. Porter l'équipe vers le haut quand elle maîtrise la récupération, c'est sa nature. Contre le Costa Rica, c'est lui qui a impulsé l'action du premier but. C'est le signe que l'équipe avançait.

GOURCUFF, plusieurs solutions devant lui

Brillant en meneur de jeu la saison dernière, Gourcuff a donné plusieurs signes de souffrance, cette saison, en 4-2-3-1. A Bordeaux, n'avoir qu'une solution de passe devant lui a semblé le perturber, d'autant que les Girondins ont connu des difficultés pour exister sur les côtés. Avec l'équipe de France, sa personnalité a été étouffée par celle de ses partenaires d'attaque et leur faculté persistante à venir dans sa zone. En partant de plus bas dans le terrain, Gourcuff s'offre une vision beaucoup plus élargie du jeu, avec au minimum trois solutions de passe devant lui. Elle est parfaitement conforme à son sens de la passe, sa technique et son impact. Ses responsabilités défensives sont plus importantes en 4-3-3, mais il a le coffre pour assumer.

MALOUDA ne peut pas tout avoir

Quelque part, son positionnement en tant que milieu relayeur est une surprise, presque une provocation pour un joueur hyper-efficace cette saison devant le but, et qui n'avait pas hésité à ouvrir une querelle avec le sélectionneur sur le rôle trop défensif qu'il avait à l'Euro. C'est oublier deux choses. D'abord que Malouda a évolué, cette saison à Chelsea, dans un registre assez proche, les fois où Ancelotti a aligné son milieu en losange (il était le côté gauche de ce "diamond"). Son volume de jeu s'y est parfaitement exprimé. C'est oublier aussi que le Guyanais réclame depuis 2006 un rôle plus proche de la zone de vérité, c'est-à-dire de l'axe. Sa propension à "dézoner", à oublier son côté pour se faire plaisir dans l'axe a pu agacer dans le camp français. A priori, en 4-3-3, Malouda sera moins impliqué sur le dernier geste, ce qui peut le frustrer. Mais il n'aura pas à "manger la craie", un rôle qu'il n'apprécie guère, et sera naturellement à l'intérieur du terrain. Une opportunité à saisir. On ne s'inquiète pas pour lui.

RIBERY n'a plus qu'à jouer

Il l'a demandé si souvent, si maladroitement, si franchement, qu'il a désormais un authentique devoir de performance sur ce côté gauche que Raymond Domenech a enfin décidé de lui confier. Franck Ribéry est probablement "le" crack de l'équipe de France 2010. Une individualité qui peut faire basculer les matches. Il est frais physiquement. Il meurt d'envie de s'éclater enfin après une saison difficile. Tellement de choses lui sont arrivées depuis deux saisons qu'il en avait perdu la spontanéité et l'humilité qui faisaient sa force. Les conditions sont réunies pour que le joueur du Bayern mette son incroyable énergie au service de l'équipe. Honnêtement, que Ribéry soit meilleur à gauche qu'à droite est quelque chose qui reste à démontrer. Mais en le plaçant sur son côté préféré, Domenech aura choisi de le libérer d'un poids. Contre le Costa Rica, Ribéry a montré qu'il avait reçu le message. Il faut juste que ça dure.

ANELKA, numéro neuf

C'est la principale inconnue de la nouvelle façon de jouer des Bleus. Qu'Anelka soit aujourd'hui l'attaquant axial n°1 du groupe tricolore se discute assez peu. Henry est hors de forme. Gignac et Cissé n'ont ni son expérience, ni son bagage. Le vrai hic, c'est que le joueur de Chelsea ne se sent pas avant-centre. Il ne se conçoit pas comme un authentique buteur. Il le clame à longueur d'interviews : il est un attaquant de soutien. Or, dans ce 4-3-3, qui est un système à une seule pointe, c'est dans ce registre qu'il devra évoluer. Un certain malentendu a été perceptible face au Costa Rica. Anelka, qui a horreur de passer cinq minutes sans toucher le ballon, a naturellement décroché, alors que ses partenaires avaient besoin d'appels et de mobilité sur la ligne du hors-jeu. S'il y a une chose à clarifier dans l'animation offensive des Bleus en Tunisie, c'est celle-là. Si ça ne marche pas, il sera temps d'imaginer autre chose. Qu'Anelka joue à droite, par exemple. Ou qu'il laisse sa place à un affamé de buts.

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http://fr.sports.yahoo.com/30052010/70/coupe-du-monde-2010-quelques-violons-a-accorder.html

Un penchant à gauche

Les entraînements à Tignes avaient livré une grosse tendance. Le match amical remporté contre le Costa Rica, mercredi en a été la confirmation. Depuis l'instauration du 4-3-3, le jeu des Bleus penche nettement à gauche. Evra-Malouda-Ribéry. Sur le terrain, ce trio s'entend à merveille malgré le peu d'affinités du milieu de Chelsea avec le poste. «Je m'adapte, je m'adapte, avait-il lâché laconique au coup de sifflet final. En club, l'entraîneur me demande souvent de jouer à ce poste-là.» Ce n'est pas franchement celui qu'il préfère. La conviction que l'équipe de France «peut faire mal» dans cette configuration l'incite à mettre ses états d'âmes de côté.


Domenech pas d'accord
Là-haut, dans la montagne, la bonne relation technique entre les trois avait sauté aux yeux dès les premières mises en place tactiques. Décalages, dédoublements, provocations, c'est par eux qu'est venu le danger contre le Costa Rica en même temps que l'égalisation contre son camp de Sequeira. Sur l'autre aile, l'absence de montées de Sagna, la propension de Gourcuff à dézoner et le manque d'adresse de Govou dans la dernière passe ont conforté l'idée que les Bleus présentaient un côté plus fort que l'autre. «Je ne suis pas complètement d'accord, tempère Domenech. Le deuxième but (signé Valbuena), on l'a marqué côté droit.» Après un exploit individuel dans l'axe d'Abou Diaby.

Ribéry prend du plaisir
Pour le sélectionneur, Evra, Malouda et Ribéry toucheraient «peut-être un peu plus de ballons» à gauche simplement parce que les circonstances du match l'imposeraient... La forme, l'envie et le plaisir de Ribéry d'évoluer enfin sur l'aile gauche correspondent à une autre réalité. «Quand on voit Franck avec des jambes comme ça, ça vaut le coup», s'enthousiasmait Malouda, mercredi soir. «On connaît sa vitesse et les décalages qu'il est capable de faire», a ajouté Abidal, à la veille d'affronter la Tunisie. Le latéral gauche précise qu'«à droite aussi, des choses se mettent en place». Il leur reste deux matches de préparation pour le montrer.
http://www.lequipe.fr/Football/breves2010/20100530_005029_un-penchant-a-gauche.html

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Ça sent l'équipe-type...

Hormis le retour logique d'Hugo Lloris dans les cages, Raymond Domenech devrait aligner face à la Tunisie dimanche le même onze de départ que lors du match face au Costa Rica. Thierry Henry débutera encore sur le banc alors que William Gallas jouera "au moins 45 minutes" selon le sélectionneur.
HENRY, CA SE CONFIRME

Remplaçant vendredi et samedi soir à l'entraînement, Thierry Henry ne devrait pas débuter face à la Tunisie. La confirmation que son statut change et que Raymond Domenech s'oriente vers un rôle de remplaçant de luxe pour son habituel capitaine. Evidemment, le sélectionneur a botté en touche quand on lui a demandé si Nicolas Anelka était titulaire à ses yeux. "J'ai vu (à la mise en place) 23 joueurs qui doivent à un moment ou un autre pouvoir jouer, commencer un match. Tout le monde doit être disponible." Domenech a toutefois confirmé à nouveau que tout le monde aurait du temps de jeu d'ici à la compétition. De quoi rassurer Djibril Cissé qui doit avoir des fourmis dans les jambes...

LE 4-3-3 RECONDUIT

Malgré une nouvelle pirouette de Domenech ("C'est une option, ce qui ne veut pas dire que ce sera le système qui ira au bout"), le schéma en 4-3-3 adopté face au Costa Rica devrait être reconduit dimanche si on en juge la mise en place samedi soir. Dix des onze qui ont débuté à Lens formaient en effet l'équipe-type à l'entraînement. Seul Hugo Lloris retrouvait logiquement sa place dans les cages. Sidney Govou était aligné dans le couloir droit, confirmant ainsi que Mathieu Valbuena ne devrait pas être testé d'entrée de jeu, et Franck Ribéry à gauche. La défense (Sagna-Gallas-Abidal-Evra) et le milieu (Toulalan-Malouda-Gourcuff) ne bougent pas. Alou Diarra, qui a fait un détour par Bordeaux pour raisons personnelles, sera bien sur la feuille de match.

UNE HEURE POUR GALLAS?

William Gallas a besoin de temps de jeu et la défense des Bleus, de repères. Face à la Tunisie, le défenseur "jouera au moins 45 minutes" selon les dires de Raymond Domenech. On pourrait donc voir le joueur d'Arsenal disputer une petite heure à Radès. Eric Abidal, avec qui il forme la charnière, est en tout cas confiant sur la forme de son acolyte. "William, ça va. Moi je n'avais pas de doute. Dès que je l'ai vu à Tignes, je lui ai demandé comment il allait. Il m'a répondu "ok". L'entraîneur a fait le bon choix en lui faisant jouer seulement une mi-temps contre le Costa Rica, ce n'était pas le moment de lui mettre des kilomètres dans les jambes."

L'EQUIPE PROBABLE: Lloris - Sagna, Gallas, Abidal, Evra - Gourcuff, Toulalan, Malouda - Govou, Anelka, Ribéry.


http://fr.sports.yahoo.com/29052010/70/coupe-du-monde-2010-ca-sent-l-equipe-type.html
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samedi 29 mai 2010

Tunisie - France : Lloris de retour, Henry toujours sur le banc

L'équipe de France disputera demain dimanche (21 heures) au stade de Radès son deuxième match de préparation pour le Mondial face à la Tunisie, avec une équipe quasiment identique à celle qui avait débuté contre le Costa Rica. Lors du dernier entraînement à huis clos, ce samedi en fin de journée à Sousse, Hugo Lloris a récupéré la place de titulaire dans le but au détriment de Steve Mandanda.
En savoir plus
Diarra sur la feuille de match

Les dix joueurs de champs sont donc les mêmes et Thierry Henry débutera le match sur le banc. Tandis que Nicolas Anelka sera à la pointe d'une équipe qui évoluera dans le schéma en 4-4-3 testé contre le Costa Rica.

A la veille de la rencontre contre les Aigles de Carthage, Raymond Domenech espère que les Tunisiens «feront un grand match pour nous mettre en difficulté» avant l'Afrique du Sud, «qu'on pourra se servir de ce match avec une équipe qui fera tout pour nous battre et que ce sera une forme de vaccin pour le match contre l'Afrique du Sud.»

Les titulaires

Lloris - Sagna, Gallas, Abidal, Evra - Gourcuff, Toulalan, Malouda- Govou, Anelka (cap.), Ribéry.
http://www.leparisien.fr/coupe-du-monde-2010-football/france/tunisie-france-lloris-de-retour-henry-toujours-sur-le-banc-29-05-2010-942448.php
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Henry, la fin d'un règne ?

Jusque là titulaire indiscutable, Thierry Henry va-t-il se retrouver sur le banc chez les Bleus ? Remplaçant mercredi face au Costa Rica, il pourrait l'être à nouveau en Tunisie, dimanche. En concurrence avec Nicolas Anelka, le dernier rescapé de 1998 risque d'être le grand perdant du 4-3-3.
Thierry Henry sera-t-il remplaçant le 11 juin face à l'Uruguay ? S'il est encore trop tôt pour condamner le meilleur buteur de l'histoire des Bleus, tous les signes incitent à le croire. Sur le banc mercredi face au Costa Rica (2-1), il n'était toujours pas titulaire dans le 4-3-3 reconduit vendredi lors du premier entraînement de l'équipe de France à Sousse. Avant d'annoncer sa liste des 23, Raymond Domenech avait pourtant prévenu :" ceux qui resteront doivent accepter d'être parmi les 12 remplaçants et pas parmi les 11 titulaires. Tout peut se passer en fonction des saisons des uns et des autres. Rien n'est assuré". "Il n'y a pas de titulaire indiscutable", avait-il répété à la veille du premier match de préparation en évoquant le cas de Titi. En d'autres termes, personne n'est intouchable. Tel le message adressé par le sélectionneur. Ce dernier a décidé de n'accorder aucun passe-droit. L'équipe de France a besoin d'aligner ses joueurs les plus en forme. Quitte à se priver de ses joueurs les plus emblématiques. Même un monument comme Thierry Henry.

Impensable il y a quelques mois, ce choix est-il pour autant illogique ? A 32 ans, le joueur du Barça a traversé une saison noire, entre temps de jeu réduit en club où il n'est plus titulaire dans l'esprit de Pep Guardiola, main contre l'Eire et polémique mondiale le 18 novembre, puis match amical catastrophique contre l'Espagne en amical le 3 mars (défaite 2-0). Autre geste fort, mercredi à Lens, c'est Patrice Evra qui portait le brassard de capitaine et l'avait gardé tout le match, y compris quand Henry était entré en seconde période à la place d'Anelka. "Pat (Evra) a les qualités pour faire un bon capitaine, moi j'agis, vous, vous en tirez les conséquences", avait sobrement commenté Domenech, expliquant que le joueur de Manchester avait conservé le capitanat car il est "toujours difficile d'enlever le brassard à quelqu'un qui reste sur le terrain".

Dernier rescapé de 98

Relégué en tribunes à Barcelone, Thierry Henry a un manque évident de rythme et de compétition au plus haut niveau. Ce dont il a besoin, c'est de jouer. Alors pourquoi lui offrir seulement 45 minutes face au Costa Rica ? Nicolas Anelka, titulaire, aura passé davantage de temps aux côtés de Ribéry, Gourcuff et Malouda au sein d'un 4-3-3 toujours en rodage. Autant de signes qui laissent penser que Thierry Henry n'est plus un titulaire en puissance aux yeux de Domenech. Le patron des Bleus ne jure désormais que par la forme du moment. A ce titre, il a fait une entorse à ce principe en l'incorporant dans la liste des 23. Un cadeau eu égard à ses état de services. "J'ai un profond respect pour les grands joueurs, Thierry l'a été, l'est, il ne joue pas mais il est à Barcelone, il joue avec une grosse concurrence, c'est un passage difficile", le défendait-il pourtant au plus fort des critiques. Rien qui lui assure visiblement une place dans le onze de départ.

Aujourd'hui, Henry apparaît comme la principale victime du passage au 4-3-3. "Je suis malheureusement habitué à ça à Barcelone, préfère sourire le dernier rescapé de 1998. Mais peu importe qui joue. Personne n'est au-dessus de l'équipe. Moi, je me suis senti bien. On a vraiment fait une préparation très dure. Je n'ai jamais connu cela en club. On monte en puissance". En équipe de France, où il n'a pris place que 13 fois sur le banc en carrière, cela marque néanmoins la fin d'une époque. Alors que ses qualités semblaient correspondre davantage à ce nouveau système, c'est Nicolas Anelka qui a pris une petite longueur d'avance grâce à la belle saison réussie avec Chelsea (doublé Championnat-Cup). Il a surtout pour lui ce qui fait particulièrement défaut à Henry: du rythme et des jambes. Pourtant, le joueur des Blues n'est pas franchement convaincant dans un schéma à une seule pointe où il ne parvient pas à servir de point d'appui. André-Pierre Gignac, voire Djibril Cissé, pourraient donc eux aussi venir bousculer la hiérarchie. Mais Henry a encore deux semaines et deux matches amicaux pour convaincre et aborder sa quatrième Coupe du monde dans le fauteuil de titulaire.

L'EQUIPE PROBABLE :

Lloris - Sagna, Gallas, Abidal, Evra - Gourcuff, Toualalan, Malouda - Govou, Anelka, Ribéry

http://fr.sports.yahoo.com/29052010/70/coupe-du-monde-2010-henry-la-fin-d-un-regne.html

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Leproux: «Notre public doit être ''un''»

Près d'un an après son arrivée à la présidence du PSG, Robin Leproux est revenu dans L'Equipe Mag un premier exercice plutôt difficile. «Ce que je vis est très intense, mais très compliqué», ne cache-t-il pas. En point d'orgue de cette première année, une victoire en Coupe de France, mais aussi une mesure drastique prise contre la violence à l'intérieur et autour du Parc des Princes. Désormais, les places dans les virages Auteuil et Boulogne seront délivrées au hasard. Avec pour objectif d'en finir avec faits divers. «Le PSG doit être ancré sur des valeurs, explique Leproux. Paris, c'est la Ville-lumière, le spectacle, sur le terrain et dans la corbeille. Les joueurs, comme les acteurs, les chanteurs, viennent de tous les horizons. Je veux revivre ça.»

«Pacifier, c'est vital pour le PSG»
Le président du PSG l'assure, faire cohabiter ses supporters est le seul moyen de redonner une vie pacifique à l'enceinte parisienne, et redonner une image positive au PSG. «Il faut que les gens qui aujourd'hui s'entretuent arrivent à cohabiter demain, espère Robin Leproux. On peut dire que c'est le monde des Bisounours. Mais, partout dans le monde, il y a eu des pays, des communautés, des gens qui se sont battus et qui, finalement, ont réussi à vivre ensemble. Pacifier, c'est vital pour le PSG. Si on n'y arrive pas, on aura du mal à garder et à attirer des joueurs, pareil pour les partenaires commerciaux et les investisseurs.» Le slogan de l'ancien patron de RTL est donc clair : «Notre public doit être "un".» (Photo Presse-Sports)
http://www.francefootball.fr/


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Rennes prêt à piller l’OGC Nice !

Frédéric Antonetti à Rennes, voilà un mariage détonant. Le dicton selon lequel les opposés s’attirent n’a jamais été aussi réaliste. Le tempérament de feu du sudiste est à des années lumières du calme breton. Une idylle qui n’a pourtant pas donné le rendement escompté cette année, les Rouge-et-Noir terminant l’exercice 2009/10 à une modeste neuvième place, loin de leurs ambitions initiales. Pour relancer son groupe lors du mercato, l’entraîneur passé par l’OGC Nice compte d’ailleurs piocher parmi les cadres de son ancien club.

Ainsi, à en croire Nice-Matin, le Stade Rennais aurait jeté son dévolu sur Onyekachi Apam et David Ospina. Les deux hommes sont des titulaires indiscutables au sein de l’effectif des Aiglons, mais les pensionnaires du Stade du Ray ne devraient pas s’opposer à leur départ. Le club breton devra néanmoins s’acquitter d’une indemnité de transfert estimée à 11 M€. Un chiffre qui a de quoi faire réfléchir à deux fois la direction rennaise, d’autant que le portier colombien ne semble pas attiré outre mesure par l’idée de quitter Nice.

Non content de vouloir débaucher deux joueurs au Gym, Frédéric Antonetti aurait également coché le nom d’un troisième élément, et non des moindres. En effet, Loïc Rémy serait encore et toujours sur les tablettes bretonnes. Déjà courtisé l’hiver dernier, l’international français serait toujours en contact avec les pensionnaires du Stade de la Route de Lorient. Mais la bande à Patrick Le Lay aura fort à faire, le FC Séville, l’OL et l’OM étant également intéressés. Le coût du transfert est d’ailleurs estimé entre 12 et 16 M€. Un prix qui pourrait rapidement refroidir les ardeurs bretonnes.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/rennes-pret-a-piller-l-ogc-nice_50155

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Planus : «Une grande fierté»

«Marc Planus, qu'avez-vous ressenti lorsque vous avez été certain de figurer dans la liste des 23 ?
Une joie immense. Je ne l'ai pas forcément montrée quand j'ai vu la liste des 30, puis celle des 24. J'attendais... Même si ça a été atténué par le fait que j'étais là depuis trois jours, que j'y avais pris goût et que je ne me voyais pas quitter le groupe, au fond de moi, ça a été une grande fierté. J'ai 28 ans, je ne suis pas certain de jouer une autre Coupe du monde dans ma carrière. C'est quelque chose d'important.

Même en sachant que vous ne partez que quatrième dans la hiérarchie des défenseurs centraux ?
Peu importe. Le but, c'est évidemment de jouer, mais tout ce que je sais, c'est que je suis heureux d'être là. Dans ce groupe, il y a de grands joueurs que j'ai adulés par le passé quand ils ont gagné la compétition, des grands joueurs que j'ai regardés à la télé. Aujourd'hui, j'en fais partie. Si je peux apporter quelque chose, je le ferai.

Le sélectionneur vous a-t-il expliqué pourquoi il vous avait préféré à d'autres joueurs comme Rami, Boumsong, Escudé...
Non ! Je suis assez timide et introverti donc ce n'est sûrement pas pour mettre l'ambiance (Rires). S'il m'a appelé, c'est qu'il a estimé que peut-être, à un moment donné, j'avais les compétences requises. Ma convocation a été un signe fort. Je n'ai pas eu besoin d'explications supplémentaires.

Avez-vous eu des garanties d'avoir du temps de jeu contre la Tunisie ou la Chine ?
Je ne me pose pas la question. Je me prépare juste à être prêt physiquement pour quand on fera appel à moi. Que ça arrive dans deux jours, dans dix jours ou dans trois semaines... Je serai juste heureux de prendre ce qu'il y a à prendre.

Après la montagne, la mer... Comment abordez-vous cette deuxième phase de préparation ?
Avec quelques degrés en plus ! (Rires) C'est différent. A Tignes, c'était très dur pendant une semaine. On a énormément travaillé physiquement pour que tout le monde arrive au même niveau. Certains avaient un peu moins joué en raison de blessures et j'en faisais partie. Ça nous a permis de resserrer le groupe, de remettre les choses à plat dès le départ. C'était un début de préparation dirigé dans le but d'être prêt du 11 juin au 11 juillet.

Vous parlez comme si vous étiez un ancien de la Maison. Avez senti à ce point qu'il y avait des choses à régler ?
Non, mais on sait qu'on est attendu au tournant. La phase de qualification a été accomplie dans la douleur. On a envie que ce groupe optimise ses qualités, que tout le monde se mette au service du collectif pour le tirer vers le haut. Ça a été une prise de conscience. On se l'est dit dès le départ.

Votre victoire contre le Costa Rica en est le résultat ?
J'ai vu un bon match de foot et des joueurs qui ont tout donné alors qu'ils étaient très éprouvés physiquement. Tout le monde a adhéré au projet proposé par le sélectionneur. Un 4-3-3, ça implique que les attaquants sur le côté défendent. Ils l'ont fait, ils se sont montrés disponibles et ils ont proposé de bonnes choses... Surtout, j'ai vu un engouement important dans cette équipe. C'était la première pierre à poser. Pour l'instant, les conditions sont bonnes pour répondre présent le 11 juin»
http://www.lequipe.fr/Football/breves2010/20100528_205147_planus-une-grande-fierte.html

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Egos, la deuxième lame

Les jeunes personnalités écartées, Raymond Domenech a poursuivi l'oeuvre de dégonflement des egos par quelques autres choix plus subtils ou plus techniques, ces derniers jours.

LE BRASSARD POUR EVRA

Certains gestes en disent parfois plus qu'un long discours. Mercredi face au Costa Rica, Raymond Domenech n'a pas seulement décidé de transformer le système de jeu des Bleus. Le sélectionneur a également donné le brassard de capitaine de l'équipe de France à Patrice Evra. Un geste loin d'être anecdotique. Alors que Thierry Henry n'était pas sur le terrain au coup d'envoi, le capitanat aurait "logiquement" dû revenir à William Gallas, 78 sélections au compteur. Dans des temps pas si reculés, il en aurait été ainsi et la force de l'habitude aurait primé. Mais le sélectionneur, dans sa quête de remise à plat, a décidé de promouvoir Patrice Evra. Une révolution tout en douceur et d'autant plus habile que, même si elle a un peu surpris sur le coup, elle est incontestable aux yeux des acteurs. Parfois capitaine à Manchester United, Evra est de l'avis général un joueur exemplaire, qui est monté en puissance lors du stage de Tignes. Ses prises de parole ont marqué le groupe. D'ailleurs Henry n'a pas récupéré le brassard à son entrée en seconde période. Pas nécessaire.

VIEIRA ET GALLAS : PAS DE PASSE-DROITS

La République des passe-droits a été enterrée en équipe de France dans la foulée de l'Euro 2008. Un virage à 180 degrés a été opéré dans la gestion de certains cas. A l'Euro, les trentenaires avaient la main, au nom de tout ce qu'ils avaient apporté. En espérant qu'ils pourraient rééditer leurs perfs d'antan. Vieira ? Retenu malgré une blessure musculaire à une cuisse. "Il s'entraîne" répondait Domenech. Son joueur, en réalité, se contentait de trottiner au milieu de séances avec ballon sans rapport avec ce que ses muscles pouvaient endurer. Deux ans plus tard, le grand récupérateur était absent de toutes les listes. Avec des trémolos dans la voix mais une certaine lucidité sur son niveau de jeu. Ce fiasco a aussi inspiré à Domenech une ligne dure dans la gestion du cas Gallas. En d'autres temps, le défenseur, deux fois blessé au mollet, aurait été choyé et protégé au nom de son bilan, notamment à la Coupe du monde 2006. Depuis qu'il a engagé une course contre la montre, le Londonien n'entend qu'un seul discours : "sois à 100%, ou les Bleus joueront sans toi". Il a joué 45 minutes sans donner l'impression d'aller au bout de ses efforts, à Lens. Le suspense continue.

HENRY SANS ANELKA

L'Espagne - France (0-2) de mars 2010 a été une caricature : des attaquants qui estimaient ne pas devoir défendre, qui pensaient pouvoir faire la différence seuls, qui semblaient vouloir dire au sélectionneur que leur qualité individuelle était snobée par le plan de jeu demandé. Ribéry le clamait assez franchement. Anelka, quelques mois plus tôt, avait brandi sa liberté de mouvement comme un étendard, feignant de voir qu'elle coupait Gourcuff de ses attributions. Alors, Domenech a décrété la rupture. Si Ribéry se sent conforté par le 4-3-3 né à Tignes, puisqu'il joue à gauche comme il le demandait, Henry et Anelka peuvent se sentir aujourd'hui moins indispensables qu'ils le pensaient peut-être. Dans ce système, sauf cascade de blessures, ils n'ont pas leur place en même temps. Ce sera l'un, ou l'autre. A Lens, c'était Anelka, avec Henry sur le banc. Et on peut même imaginer que les deux trentenaires partagent une banquette un de ces jours puisque ce système épouse mal le registre de "second attaquant" que chérit le joueur de Chelsea. Il appelle une vraie pointe. Un buteur puncheur dévoreur d'espaces. Gignac ou Cissé par exemple.

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http://fr.sports.yahoo.com/28052010/70/coupe-du-monde-2010-egos-la-deuxieme-lame.html

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vendredi 28 mai 2010

Mourinho à Madrid, c'est fait

Fin du pseudo-suspense. Le Real Madrid a annoncé vendredi sur son site Internet avoir recruté le Portugais José Mourinho comme nouvel entraîneur, après avoir trouvé un accord avec l'Inter Milan, son précédent club.

Mourinho sera présenté au stade Santiago-Bernabeu lundi à 13 heures, ajoute le Real.

8 millions

Le Real Madrid précise que «l'accord s'est conclu lors d'une rencontre dans l'après-midi entre le président de l'Inter, Massimo Moratti et Florentino Perez», celui du Real Madrid, «marquée par les relations d'amitié et de cordialité que maintiennent les deux clubs».Négocier les transferts de Figo, Sneijder et autres, ça rapproche.


L'Inter a confirmé sur son site l'information à peu près dans les mêmes termes que le Real. Les deux clubs n'ont fourni aucune précision sur les modalités financières de leur accord.

Selon les médias espagnols, l'Inter a accepté le paiement par le Real de 8 millions d'euros pour libérer Mourinho, alors que le club italien exigeait jusqu'a présent le paiement d'une clause de résiliation de 16 millions.
http://www.20minutes.fr/article/407970/Sport-Mourinho-a-Madrid-c-est-fait.php

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Détente en famille pour les Bleus à Sousse

Les joueurs de l'équipe de France ont consacré une bonne partie de leur journée de vendredi à la détente en famille dans un grand hôtel donnant sur la plage de Sousse en Tunisie, a constaté l'AFP.

Certains joueurs ont pris place sur des transats sous parasols sur la plage, par grand beau temps (soleil le matin, 26°, ciel voilé l'après-midi) profitant de la vue, entre touristes faisant du parachute ascensionnel ou partie de volley-ball entre ressortissants russes en voyage organisé.

D'autres sont restés en famille autour de la piscine de l'hôtel ou sur les terrasses donnant sur la mer.

La séance d'entraînement prévue vendredi à 17h00, heure locale, a été repoussée à 18h30 heure locale (19h30 heure française).

Les Bleus et leurs entourages étaient arrivés la veille en Tunisie, au lendemain du premier match de préparation remporté face au Costa Rica à Lens (2-1).

Les joueurs français affronteront la Tunisie dimanche. Le dernier amical sera contre la Chine à la Réunion le 4 juin. Les Bleus affronteront ensuite l'Uruguay pour leur premier match du groupe A au Mondial le 11 juin
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http://fr.sports.yahoo.com/28052010/1/detente-en-famille-pour-les-bleus-a-sousse.html

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L’OM a déjà trouvé un successeur à Ben Arfa !

Les récentes déclarations de l’entourage de Ben Arfa ont jeté le trouble sur son avenir à l’OM. Lassé du manque de confiance affiché par Deschamps à son égard, l’ancien Lyonnais pense clairement à quitter Marseille. Cela tombe bien, le staff olympien ne compte pas forcément sur lui la saison prochaine et HBA pourrait être l’une des victimes de l’opération dégraissage prônée par l’actionnaire majoritaire du club. D’ailleurs, la cellule de recrutement de l’OM serait déjà à la recherche d’un remplaçant de choix pour animer le flanc gauche de l’attaque marseillaise.
Selon toutes vraisemblances, l'avenir d'Hatem Ben Arfa se trouve loin de Marseille. Malgré quelques bonnes prestations, ce dernier n'est pas satisfait de son temps de jeu et Didier Deschamps ne semble pas prêt à lui en accorder davantage s'il ne gagne pas en maturité. Dès lors, la cellule de recrutement lui cherche un successeur et l'aurait trouvé en la personne de Sylvain Marveaux

Selon France Football, l’heureux élu s’appellerait Sylvain Marveaux. En fin de contrat la saison prochaine, le milieu offensif breton n’entend pas prolonger son bail à Rennes et veut profiter de sa superbe saison (10 buts – 5 passes décisives) pour négocier au mieux son avenir. Si son club formateur le bloque cet été, il pourra alors s’engager dès le mois de janvier prochain pour le club de son choix. Les dirigeants du club breton ont donc tout intérêt à se montrer attentifs à toutes les offres arrivant sur leur bureau.

Si aucun contact n’a encore été établi entre Deschamps et le joueur, le grand espoir rennais a été mis en tête de liste des possibles remplaçants de Ben Arfa. Mais le club phocéen aura fort à faire. Pisté par Chelsea et Manchester United, Sylvain Marveaux serait tenté par la Bundesliga. S’il n’a que peu de chances de prolonger son contrat avec Rennes, bien malin qui pourra dire où évoluera celui qui est considéré comme le nouveau Florent Malouda la saison prochaine.
http://www.footmercato.net/ligue1/transferts/l-om-a-deja-trouve-un-successeur-a-ben-arfa_50125

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Rabah Saâdane : "L’équipe de France est capable du meilleur comme du pire"

Avare d’entretiens, le sélectionneur algérien se confie à France-Soir à deux semaines de l’ouverture de la Coupe du monde.
France-Soir. Vous affrontez l’Irlande ce soir. Qu’attendez-vous de cette rencontre qui survient en plein cœur de la préparation pour la Coupe du monde ?
Rabah Saâdane. Le résultat m’importe peu. Ce match arrive trop tôt mais il était programmé par avance. L’équipe ne sera pas au meilleur de sa forme. En revanche, ce sera une première évaluation et ce qui m’importe c’est la réaction individuelle et collective des joueurs sur le terrain. On ne va pas aller chercher le résultat à n’importe quel prix au risque de se blesser. Mon objectif est d’arriver en forme pour notre premier match contre la Slovénie (le 13 juin, NDLR).

F.-S. Bon nombre de joueurs composant votre équipe ont été formés en France, le salut de votre sélection passe-t-il par la formation française ?
R. S. Le football algérien est en période transitoire dans le pays. Au travers des résultats actuels de l’équipe nationale, le gouvernement, fort du souhait présidentiel, est décidé à professionnaliser le football en Algérie, cela est positif. Je pense qu’il est inutile de faire l’éloge de la formation française, qui est reconnue de par le monde. Priorité est donnée à l’équipe de France mais la porte reste ouverte pour ceux qui n’ont aucune intention d’évoluer sous le maillot bleu. Je table sur une période de cinq à dix ans, si la machine repart bien en Algérie, pour que nous produisions à nouveau, car il y a beaucoup de talents dans notre pays.

F.-S. Vous avez coutume de prendre la sélection lorsqu’elle est au plus mal, peut-on vous qualifier de pompier de service ?
R. S. J’ai été formé en Algérie, je n’ai joué qu’en Algérie, je suis un cadre pur de la formation algérienne et j’en suis très fier. J’ai eu la chance de vivre les plus belles épopées du football algérien, j’estime qu’il est normal que je fasse le pompier. J’avais pour habitude de venir puis de repartir, car je considérais que les conditions de stabilité et de reconnaissance n’étaient pas réunies. Cette fois-ci, la mission du pompier a duré beaucoup plus longtemps, car ces critères sont remplis et les résultats sont là. La conclusion est qu’on a reconnu que l’Algérien que je suis a des compétences. Tout le monde a été gagnant dans cette histoire.

“Cette qualification est déjà un exploit”
F.-S. A ce titre, vous avez qualifié l’Algérie pour sa troisième Coupe du monde alors que l’objectif qui vous était assigné se limitait à une présence à la CAN. Ce mondial n’arrive-t-il pas comme un cheveu sur la soupe pour une équipe en phase de reconstruction ?
R. S. Lorsque nous avons repris l’équipe, fin 2007 elle était au creux de la vague, l’Algérie était 103e au classement Fifa, même si ce classement n’est pas objectif. Nous sommes aujourd’hui dans les trente premiers de ce classement, ce qui signifie que nous avons fait un parcours exceptionnel. Cette qualification est un exploit et cela a créé une dynamique extraordinaire. Il ne faut pas mettre de pression sur l’équipe, l’objectif est déjà atteint. Nous visons à acquérir de l’expérience, on va essayer de pratiquer un bon football et nous pourrons voir ce que l’on vaut.

F.-S. Les spéculations vont bon train concernant votre avenir, resterez-vous en poste après le Mondial ?
R. S. Je suis en contact direct avec le président de la fédération, on en discute. Nous avons établi une projection sur l’avenir en arrêtant le travail pour les prochaines échéances. On est déjà dans l’après-Coupe du monde. L’équipe A’ est dirigée par des entraîneurs algériens de qualité, mes adjoints ont profité de mon expérience. La continuité est là, que je reste ou non.

“Benzema et Nasri doivent travailler dur”
F.-S. Karim Benzema et Samir Nasri, qui étaient éligibles en équipe d’Algérie, ont privilégié une carrière avec les Bleus. Etes-vous surpris de leur absence dans la liste dévoilée par Raymond Domenech ?
R. S. Je respecte le choix de Raymond Domenech, car je me mets à sa place. Ces deux joueurs ont pris une décision, il ne doit pas y avoir de regrets, ni d’un côté ni de l’autre. Ils sont jeunes, à eux de travailler dur pour retrouver l’équipe de France lors du prochain Euro.

F.-S. En tant que sélectionneur, comment percevez-vous les critiques qui s’abattent sur Raymond Domenech ?
R. S. pense qu’il a pris l’habitude (rire), il est blindé. On n’a rien à lui apprendre du haut niveau, il doit savoir ce qu’il fait. Chacun a le droit de s’exprimer, mais les décisions lui appartiennent.

F.-S. Misez-vous sur l’équipe de France ?
R. S. Je ne mise pas sur l’équipe de France, je dis qu’elle est capable du meilleur comme du pire. C’est une équipe qui a acquis une grande expérience. Je pense que les Bleus passeront le premier tour, il faudra les juger sur la qualité de jeu qu’ils produiront. Sur des matches à élimination directe, tout deviendra alors possible.

F.-S. Après les jets de pierres essuyés par votre délégation lors de votre arrivée au Caire le 12 novembre dernier, la Fifa a sanctionné l’Egypte en lui infligeant deux matches ferme à disputer à 100 km du stade international du Caire. Jugez-vous la sanction adaptée ?
R. S. La sanction prise par la Fifa démontre qu’un événement grave s’est produit. C’est un avis, j’estime que la Fifa a fait preuve de clémence envers l’Egypte. Je pense que si un tel événement s’était déroulé sur un autre continent, le match n’aurait pas eu lieu. L’Egypte aurait dû être donnée perdante sur tapis vert, les événements étaient trop graves.
http://francesoir.fr/football-mondial-2010/rabah-saadane-l-equipe-de-france-est-capable-du-meilleur-comme-du-pire


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L'Euro 2016 se jouera en France

Dans six ans, la France accueillera (enfin) à nouveau une grande compétition internationale. L'UEFA a choisi vendredi la France comme organisatrice de l'Euro 2016. L'instance dirigeante du football européen a préféré le dossier français aux candidatures présentées par la Turquie et l'Italie. Après l'annonce du résultat, Jean-Pierre Escalettes, président de la Fédération française, a voulu avoir "une pensée pour la Turquie et l'Italie. J'imagine leur déception et leur frustration après des mois et des mois de travail... Bonne chance au foot italien et au foot turc. L'émotion m'envahit de penser qu'en 2016 la France accueillera l'Europe du foot. Les membres du comité exécutif ont apprécié nos efforts, nous ont fait confiance. Ce qui compte c'est d'avoir la confiance de l'UEFA. Cette confiance ne sera pas trahie. C'est une belle journée pour nous!"
La France a devancé la Turquie lors du deuxième tour. Le troisième candidat, l'Italie, avait été éliminé après le premier tour, à l'issue des présentations d'une demi-heure de chaque dossier devant les 13 membres votants du comité exécutif. Le président français de l'UEFA, Michel Platini, le Turc Senes Erzik (vice-président) et l'Italien Giancarlo Abete n'ont pas pris part au vote. La victoire du dossier français, qui avait été, comme celui de la Turquie, mieux noté que celui de l'Italie par la commission technique, est aussi un succès pour Michel Platini, à un an d'une probable réélection à la tête du gouvernement du football européen. L'ancien numéro 10 de l'équipe de France avait proclamé sa neutralité.

"Tout un pays mobilisé"

Nicolas Sarkozy et Zinedine Zidane avaient fait le déplacement à Genève pour appuyer cette candidature. Le président de la République a plaidé pour la candidature française en déclarant qu'elle relevait d'une "décision stratégique" pour faire face à la crise économique. Dans une brève intervention, moins de cinq minutes, le chef de l'Etat s'est fait fort de souligner que l'ensemble des responsables français, toutes couleurs politiques confondues, étaient mobilisés pour accueillir la compétition. "Nous, nous pensons en France que le sport c'est une réponse à la crise. C'est justement parce qu'il y a une crise, qu'il y a des problèmes, qu'il faut mobiliser tout un pays vers l'organisation de grands événements", a-t-il dit.

"Et qu'est-ce qu'il y a de plus fort que le sport et à l'interieur du sport, qu'est-ce qu'il y a de plus fort que le football ?", a-t-il ajouté. Nicolas Sarkozy a assuré d'autre part que l'Etat français était là pour garantir tous les engagements pris dans le dossier, notamment en matière de sécurité de la compétition. Il a conclu son intervention en soulignant que la candidature française faisait l'objet d'un consensus dans la classe politique et l'ensemble de la France. "Il n'y a pas la gauche et la droite, il n'y a pas le sud et le nord, il n'y a pas l'est et l'ouest, il y a tout un pays mobilisé pour avoir cet événement !".
http://lci.tf1.fr/sport/l-euro-2016-se-jouera-en-france-5864901.html

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Suivez en direct la décision de l'UEFA pour l'attribution de l'EURO2016

CLIQUEZ SUR CE LIEN POUR SUIVRE LA DECISION DE L'UEFA


http://www.20minutes.fr/article/407882/Sport-Euro-2016-Suivez-l-attribution-en-live-comme-a-la-maison-des-12h45.php


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La France croise les doigts

Ce vendredi à Genève (13h), l'UEFA élira le pays organisateur de l'Euro 2016. Candidate au même titre que la Turquie ou l'Italie, la France est favorite. Excellente sur le volet lié aux équipements, la candidature tricolore a fait un effort sur la rénovation ou la construction de nouveaux stades.
Dix-huit ans après avoir accueilli la Coupe du monde et cinq années après avoir perdu les Jeux Olympiques de 2012 au profit de Londres, la France espère retrouver de sa superbe et accueillir l'autre événement sportif de l'année 2016, le Championnat d'Europe des Nations. Pour décrocher la timbale, il faudra "battre" les deux autres candidatures, celles de l'Italie et de la Turquie. L'heureux élu sera connu vendredi midi du côté de Genève.

Le projet porté par la Fédérations Française de Football et la Ligue de Football Professionnel repose sur deux hommes et deux versants : l'humilité, la convivialité et la sécurité, représentées par Jean-Pierre Escalettes (président de la FFF); l'ambition, la technologie et la rentabilité, incarnées par Frédéric Thiriez, (président de la LFP). Comme toujours, serait-on tenté de dire, la France a sa chance. Elle est même favorite, si l'on en croit Michele Uva, responsable de la candidature transalpine. Pourquoi ? Parce que Platini... "Ce n'est pas un problème, mais c'est un avantage certain pour la France. Elle part favorite. Mais l'UEFA va devoir choisir sur la base de la qualité des dossiers, sur la capacité de garantir la bonne tenue de la compétition. Et sur certains points, nous sommes très en avance, notamment au niveau des stades, un domaine où des dossiers sont bloqués en France, comme à Lyon par exemple".

Les équipements au point

Les stades, justement, sont peut-être les points faibles du dossier français. A l'image de l'Italie, les enceintes sont globalement vieilles, à des années-lumière de ce que l'on trouve en Europe du nord. Le parc des stades avait seulement été relifté pour 1998 et, depuis, a pris un sacré coup de vieux. Cette fois, les instances françaises ont décidé de favoriser l'émergence d'une nouvelle génération d'enceintes, dans le sillage du grand stade de Lyon cher à Jean-Michel Aulas. Le président de l'Olympique Lyonnais, longtemps contrecarré par une opposition locale, a bataillé pour obtenir un amendement législatif autorisant les subventions d'Etat. Amendement adopté à l'été 2009 et qui permet que les "enceintes sportives" prévues pour une compétition internationale ainsi que les "équipements connexes" soient déclarés d'intérêt général. Outre celui de Lyon, trois autres stades doivent être construits (Lille, Bordeaux et Nice). Les huit autres enceintes du dossier de candidature sont censées être rénovées.

Pour ce faire, l'Etat a décidé de mettre la main au portefeuille et promet une enveloppe de 150 millions d'euros a été promise par l'Etat aux douze villes candidates. "Cette subvention n'est plus conditionnée à une quelconque obtention de l'Euro", avait d'ailleurs assuré la secrétaire d'Etat aux Sports, Rama Yade, fin 2009. Quelque "15.000 emplois en phase de construction puis 4.500 emplois pérennes en phase d'exploitation", selon M. Thiriez, seraient dégagés par ce projet qui propulserait les clubs français dans une nouvelle ère.

A l'image de la candidature de Paris 2012, les volets liés aux équipements sont excellents. Que ce soit les infrastructures routières ou l'hôtellerie, l'Hexagone est plus qu'au point. Et fait figure de favori bien légitime. Mais la France a payé pour le savoir, une élection de ce type ne se joue pas que sur le papier. En 2005 à Singapour, Paris 2012 avait le meilleur dossier des cinq candidats. Mais Londres, enfin Tony Blair, a raflé la mise...

A 13H, LA DESIGNATION DU PAYS HÔTE SERA A SUIVRE SUR NOTRE SITE EN LIVE VIDEO !

LES STADES DE LA CANDIDATURE FRANCAISE :

Le dossier de candidature à l'Euro-2016 de la France "s'appuie sur un parc de 12 stades, dont 3 seront désignés comme stades de réserve d'ici le 28 mai 2011". Le choix des 3 sites de réserve se fera donc au maximum un an après la désignation du pays hôte, si la France est retenue vendredi.

PARIS


Stade: Parc des Princes


Capacité nette UEFA: 40.058


Livraison: octobre 2014


Budget: 80 M EUR (rénovations)

LENS


Stade: Stade Félix-Bollaert


Capacité nette UEFA: 40.113


Livraison: mars 2014


Budget: 111 M EUR (rénovations)

SAINT-DENIS


Stade: Stade de France


Capacité nette UEFA: 76.474


Budget: 10 M EUR (retouches)

LILLE


Stade: Grand Stade


Capacité nette UEFA: 47.882


Livraison: juillet 2012


Budget: 324 M EUR (stade neuf)

BORDEAUX


Stade: Nouveau Stade


Capacité nette UEFA: 42.566


Livraison: décembre 2014


Budget: 200 M EUR (stade neuf)

NICE


Stade: Grand Stade


Capacité nette UEFA: 33.470


Livraison: juin 2013


Budget: 184 M EUR (stade neuf)

TOULOUSE


Stade: Stadium Municipal


Capacité nette UEFA: 37.050


Livraison: avril 2014


Budget: 56 M EUR (rénovations)

MARSEILLE


Stade: Stade Vélodrome


Capacité nette UEFA: 65.000


Livraison: juin 2014


Budget: 151 M EUR (mise à niveau)

LYON


Stade: Grand Stade OL


Capacité nette UEFA: 57.628


Livraison: décembre 2013


Budget: 320 M EUR (stade neuf)

STRASBOURG


Stade: Stade de la Meinau


Capacité nette UEFA: 36.645


Livraison: juillet 2014


Budget: 160 M EUR (réhabilitation)

SAINT-ETIENNE


Stade: Stade Geoffroy Guichard


Capacité nette: 39.327


Livraison: juin 2014


Budget: 75 M EUR (rénovations)

NANCY


Stade: Stade Marcel Picot


Capacité nette UEFA: 33.067


Livraison: juin 2013


Budget: 60 M EUR (rénovations)

M.D. avec AFP / Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28052010/70/euro-2016-la-france-croise-les-doigts.html

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Coupe du monde 2010 - Essien n'y sera pas

Les Black Stars vont avoir du mal à s'en remettre. A quelques jours du coup d'envoi du Mondial 2010, le Ghana vient de perdre son joueur clef : Michael Essien. Depuis plusieurs mois maintenant, le doute planait quant à sa participation. Tout un peuple croisait les doigts pour voir son leader guider la sélection lors du premier Mondial disputé en Afrique. Le couperet est tombé : Essien ne sera pas totalement rétabli de sa blessure au genou avant fin juillet. L'Afrique du Sud s'envole pour lui et peut-être, une partie des rêves des finalistes de la dernière CAN avec. Un coup dur à l'image de la perte de Michael Ballack pour l'Allemagne.

La semaine dernière, le milieu de Chelsea s'était pourtant montré optimiste. "Je me sens beaucoup mieux qu'il y a quelques semaines ", avait glissé l'ancien Lyonnais avant de préciser : "Je serai en Afrique du Sud si l'équipe médicale me juge bon pour le service". Ce n'est pas le cas et il devra patienter avant de retrouver les rectangles verts. Encore... Avec son club, Essien n'a plus joué depuis le 8 décembre en raison de blessures à une cuisse puis à un genou. Et son dernier match officiel remonte au 15 janvier avec sa sélection contre la Côte d'Ivoire à la CAN. Il n'avait alors disputé que 45 minutes. Depuis, il doit prendre son mal en patience en tribunes ou devant sa télé pour soutenir sa sélection et les Blues de Chelsea, qui ont décroché un doublé sans lui. Ce sera encore le cas cet été.

Cette absence va laisser un grand vide chez les Black Stars. Par son activité, sa puissance et sa polyvalence, le "Bison" est l’une des clefs du système du Ghana. Milovan Rajevac devra trouver une solution pour faire sans son poumon. Ce sera compliqué au plus haut niveau mondial mais, il y a des motifs d'espoir. Le Ghana, qui est ambitieux en Afrique, a déjà démontré qu'il savait le faire. En janvier, l'équipe d'Afrique occidentale n'a échoué qu'en finale de la CAN contre l'Egypte en l’absence de sa star des Blues. La génération dorée, sacrée lors de la Coupe du monde chez les moins de 20 ans en 2009, avait fait des merveilles aux côtés des anciens. Les retours de John Paintsil, Stephen Appiah ou encore John Mensah sont d'autres d'arguments pour continuer de croire à un beau parcours. Même si sans Essien, le ciel s'est obscurcit.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/27052010/70/coupe-du-monde-2010-essien-n-y-sera-pas.html

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jeudi 27 mai 2010

Euro 2016: Pourquoi la France dit «Oui» à l'Europe

Au-delà du sport, l'organisation de la compétition représente un enjeu socio-économique important pour tout le pays...
Ses proches ont bien tenté de lui arracher un indice. Le début d’une piste. Ces derniers jours, il suffisait d'évoquer avec Michel Platini les chances françaises dans la course à l’Euro 2016 pour qu’il se transforme en tombe. «Non, il ne dit pas grand choses et pourtant c’est un ami, rit Jacques Rousselot, le président de Nancy. Michel est dans son rôle, au-dessus des partis, comme on dit.» Au dessus du comité exécutif de l’UEFA, qui désignera vendredi le pays hôte de l’Euro 2016.

A Genève, la délégation emmenée par Jean-Pierre Escalettes et Nicolas Sarkozy saura alors si elle a gagné son match à trois avec l’Italie et la Turquie. Et si la France peut réellement mettre en œuvre les projets d'envergure présentés pour accueillir une telle compétition. Pour Frédéric Thiriez, le président de la Ligue, c’est même «l’avenir du foot français» qui se joue lors de cette annonce. Au-delà de l’enjeu sportif, il est question de modernisation des infrastructures et dynamisme socio- économique. Pas inutile en temps de crise.

Des projets pas «Euro dépendant»

En attendant le verdict, la fédé et la Ligue affichent fièrement leurs chiffres. 86% des Français estiment que cette compétition permettrait de renouer avec la fièvre de l’été 98. Le nombre de licenciés devraient encore exploser. L’Euro 2016, c’est aussi 15.000 emplois créés pour la construction de quatre stades puis 4.500 emplois pérennes en phase d'exploitation. L’objectif étant de rattraper le retard accumulé par rapports aux voisins anglais ou allemands en matière d’affluence, de confort des installations ou de sécurité intérieure. Dans la décennie, la capacité d’accueil des stades de L1 passerait de 27.000 à 35.000 places.

A écouter Frédéric Thiriez, ce plan de rénovation des stades ne serait même pas «euro dépendant». Mais une réponse positive de l’UEFA permettrait d’accélérer les choses. Pour l’instant, la France présente une candidature sur plans. A Bordeaux, Lyon et Nice, les travaux n’ont pas commencé. A Lille, on découvre tout juste les fondations. En cas d’échec, il n’est jamais exclu que certains stoppent les procédures en cours de route. «Si la France n’a pas l’Euro, on lancera un projet un peu plus modeste par rapport au cahier des charges de l’UEFA, concède Jacques Rousselot, dont le stade subira bientôt un toilettage. Il faudra revoir la facture à la baisse. Mais pas grand-chose. La rénovation se fera quand même.» Comme si la France pouvait se passer de l’Euro.

Il n’y a pourtant rien de suffisant dans ces propos. Annoncée en ballotage avec la Turquie à la veille de l’annonce, la France est aussi bien placée pour savoir qu’en matière d’organisation d’événement, être favori ne suffit pas. Cinq ans après l’attribution des JO de Londres, Bertrand Delanoë a toujours de bons conseils à délivrer sur le sujet.
http://www.20minutes.fr/article/407588/Sport-Euro-2016-Pourquoi-la-France-dit-Oui-a-l-Europe.php


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Ben Arfa chez un PSG déplumé ?

Photographie des ultimes annonces et rumeurs données par nos confrères les plus en pointe, partout en Europe. Du côté du PSG, les cadres veulent se faire la malle. Mais Hatem Ben Arfa (Marseille) ne serait pas contre une arrivée dans la capitale. La Samp' veut Trezeguet et on s'arrache Ashley Cole
LE BUZZ

Hatem Ben Arfa sera-t-il encore marseillais la saison prochaine ? Certes, on se pose la question tous les six mois. Et, à chaque fois, l'ancien Lyonnais reste. Cet été, la donne pourrait être différente. Même si Didier Deschamps l'a remis en selle lors de la deuxième partie de la saison et semble compter sur lui, ce qu'il a affirmé sur la chaine du club, OM TV, le gaucher serait tenté par un départ. A l'étranger, du côté d'Everton, un club qui le suit de près, comme le rappelle le Sun ce jeudi matin ? Ou en France, au Paris Saint-Germain ? Si l'on croit la Provence, cela ne serait pas impossible. "Pourquoi pas", dit-on du côté de son entourage au sujet du PSG.

Cela apporterait un peu de sang neuf à une équipe qui est partie pour subir une saignée cet été. Selon l'Equipe, une partie des joueurs actuels du club de la capitale voudraient partir et l'ont ouvertement signalé à Antoine Kombouaré. Stéphane Sessègnon, Guillaume Hoarau, Sylvain Armand, Jérémy Clément ou encore Apoula Edel auraient la tête ailleurs. Le premier nommé aurait des touches en Angleterre, le second en Allemagne, à Schalke. A Paris, l'été sera chaud.

TELEX

- A 32 ans, David Trezeguet va peut-être quitter la Juventus Turin. Alors qu'il a encore une année de contrat avec le club piémontais, le buteur pourrait rejoindre la Sampdoria de Gênes (Gazzetta dello Sport).

- La Juventus aime Agüero. La preuve, les Bianconeri mettraient sur la table 50 millions plus Diego et Tiago pour l'Argentin de l'Atletico Madrid (Tuttosport).

- Si Joe Cole, en fin de contrat avec Chelsea, veut rejoindre Tottenham, il va devoir revoir son salaire à la baisse (Daily Star).

- Tout le monde aime Ashley Cole. Le Real, Barcelone, l'AC Milan, la Roma et le Bayern veulent le latéral de Chelsea (The Sun).

- Chelsea a les moyens. Et compte le prouver cet été encore. Les Blues préparent une offre de 32 millions d'euros adressée à Liverpool pour Javier Macherano et Yossi Benayoun (Daily Mail).

- Arsenal aime toujours autant la France. Le club d'Arsène Wenger pourrait proposer 9 millions d'euros à Lorient pour le défenseur central Laurent Koscielny (Ouest France).

- Mark Schwarzer, le gardien de 37 ans de Fulham, est aussi dans le viseur d’Arsenal (Daily Mirror).

- Cristian Ansaldi, le latéral droit du Rubin Kazan, intéresse le FC Barcelone (Sport).

LA PHRASE

"Juventus, Inter, Madrid, et toutes les autres équipes, Milan aussi... C'est bien pour moi. Mais je me concentre sur la Coupe du monde, exclusivement." Ces propos sont signés Fabio Capello, sélectionneur de l'Angleterre. Massimo Moratti, qui va perdre José Mourinho, fait de Capello le "candidat idéal" à la succession du Portugais.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/27052010/70/ligue-1-ben-arfa-chez-un-psg-deplume.html

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Euro 2016: Sarkozy à Genève vendredi pour soutenir la candidature de la France

Le président de la République Nicolas Sarkozy se rendra vendredi à Genève pour soutenir la candidature de la France à l'organisation de l'Euro 2016, a-t-on appris jeudi auprès de l'Elysée.
Le comité exécutif de l'Union européenne de football (UEFA) doit désigner vendredi le pays organisateur de ce championnat d'Europe des nations, choisi entre la France, l'Italie et la Turquie, les trois candidats en lice. AP

http://fr.news.yahoo.com/3/20100527/tsp-football-euro-2016-france-sarkozy-db75e62.html

Ils avaient des jambes

Williams Gallas a tenu le choc 45 minutes, la plupart des Français ont semblé en bonne condition physique et Mathieu Valbuena a déjà compris sa mission de joker. Gros plan sur les acteurs majeurs de France-Costa Rica, premier match de préparation à la Coupe du monde.
GALLAS, PIANO, PIANO

Raymond Domenech n'a pas pris de nouveau risque inutile avec son défenseur central. Le coup du buggy retourné il y a deux jours à Tignes a suffi. William Gallas est sorti sur ses deux jambes après 45 minutes de jeu face au Costa Rica. Son mollet a tenu et le staff a confirmé que le joueur n'avait ressenti aucune douleur. Pendant la rencontre, il a compensé une activité physique logiquement moindre par un bon placement. Ses rares interventions ont été propres et c'est quand même en première période que les Ticos ont le plus sollicité la défense tricolore. Seul reproche que l'on peut lui faire, l'erreur de timing sur un corner où la tête de Ruiz trouve la barre de Mandanda (34e).

A FOND LA FORME

La bonne nouvelle de cette rencontre, c'est la forme physique de la plupart des Bleus. Entre le stage à Tignes, très physique, les saisons marathon de certains ou l'absence de temps de jeu pour d'autres, on pouvait en douter. Franck Ribéry, intenable sur son côté gauche, celui qu'il préfère, est de ceux-là. Après sa fin de saison difficile, hors et sur le terrain, le Munichois avait envie et ça s'est vu. Yoann Gourcuff, positionné à droite d'un milieu à trois, a également été très actif. Le Bordelais, lui aussi sur la pente descendante ces dernières semaines, retrouve la forme au bon moment. Enfin, Florent Malouda, qui n'aime pourtant pas jouer trop bas, a également montré une belle activité.

HENRY-ANELKA, UN TON EN DESSOUS

Autre interrogation avant cette rencontre, la forme de Thierry Henry. Le capitaine habituel a débuté sur le banc, Raymond Domenech lui préférant Nicolas Anelka. A la pointe de l'attaque tricolore, ni l'un ni l'autre n'ont convaincu. Est-ce parce qu'il y a eu embouteillage au centre dans le jeu? Toujours est-il que le Barcelonais a beaucoup couru mais pour rien. Hormis une frappe, ce n'est pas de lui qu'est venu le danger en seconde période. La bonne nouvelle, c'est qu'il a semblé relativement en forme, compte tenu de son temps de jeu du côté de l'Espagne. En première, Nicolas Anelka n'a pas vraiment fait mieux. Il s'est plusieurs fois emmêlé les pinceaux ou retrouvé hors-jeu. On attend autre chose des deux hommes.

DU RAFRAICHISSANT

Mathieu Valbuena a été retenu dans les 23 pour sa forme, son envie et sa fraîcheur. Raymond Domenech ne le regrette déjà pas. Dans un rôle à la Ribéry 2006, le Marseillais a parfaitement rendu la confiance que le sélectionneur avait placée en lui. Sur la ligne de touche, avant son entrée, il trépignait. Il a mis une minute pour tenter sa chance, cinq pour avoir une vraie occasion et vingt pour inscrire son premier but sous le maillot tricolore. Dans un autre registre, Abou Diaby, qui a remplacé Florent Malouda, a réalisé un dernier quart d'heure plein d'aplomb avec des interventions sans fioriture et deux trois relances bien senties.

Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/26052010/70/coupe-du-monde-2010-ils-avaient-des-jambes.html

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