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dimanche 31 octobre 2010
Le PSG prend l'extérieur
Invaincu à l'extérieur, malgré des déplacements à Séville, Toulouse, Dortmund ou Lyon, depuis la fin août, le Paris Saint-Germain compte bien poursuivre cette série dans l'Hérault dimanche soir. Défaits en championnat par Auxerre le week-end dernier (2-3), les hommes d'Antoine Kombouaré ont bien réagi mercredi en Coupe de la Ligue, en s'imposant 2-1 à Gerland après prolongations. De quoi préparer sereinement le match à Montpellier en clôture de la 11e journée, d'autant plus que cette formation parisienne semble beaucoup plus à son aise loin d'un Parc des Princes qui n'a désormais plus rien d'un chaudron.
Mais plus que la nouvelle ambiance au sein de l'enceinte de la Porte Saint-Cloud, ce sont peut-être les caractéristiques du jeu développé par le PSG qui peuvent expliquer en partie cette réussite moindre à domicile, à moins qu'elle ne trouve son origine dans l'enchaînement avec les rencontres de Ligue Europa, après lesquelles le club parisien ne l'a jamais emporté depuis le début de saison. Héros du déplacement lyonnais, Mathieu Bodmer penche plutôt pour la première solution. "Peut-être que l'on n'a pas encore une équipe qui peut faire le jeu toute la rencontre, estime le milieu de terrain. On a vu à Lyon qu'on était capable de contrer très vite et d'avoir des attaques très rapides. A domicile, on n'est pas encore capable de faire la même chose. Dans le jeu placé, nous ne sommes pas encore au point."
Les joueurs de la capitale possèdent surtout cette saison des valeurs que leurs devanciers, à moins de remonter à la première année de Vahid Halilhodzic à la tête de l'équipe (2003-2004), n'avaient pas, ou ils n'en faisaient tout du moins pas étalage : un certain caractère et un état d'esprit plus conquérant, allié à une nouvelle profondeur de banc, qui leur a permis de retourner des situations bien mal embarquées, chose impensable il y a encore quelques mois. Le match nul décroché à Dortmund en Ligue Europa (1-1), grâce à un but de Chantôme, véritable symbole de cette belle série, dans les dernières minutes, et la victoire arrachée à Lyon en prolongations (2-1) en sont les meilleurs exemples. "Etre mené au score, revenir et gagner, cela fait énormément de bien," confirme Kombouaré, qui apprécie également de pouvoir enfin faire tourner son effectif. Une tendance qui demande toutefois à être confirmée à la Mosson, où une défaite, qui serait donc la deuxième de rang en championnat, ferait mauvais genre. Surtout à l'orée d'un mois de novembre qui n'a pas toujours réussi au PSG par le passé...
http://r.orange.fr/r?ref=HPC_ihd_1821_alaune_manchette_2&url=http%3A//sports.orange.fr/infos/football/201043/le-psg-prend-l-exterieur_294626.html
Mais plus que la nouvelle ambiance au sein de l'enceinte de la Porte Saint-Cloud, ce sont peut-être les caractéristiques du jeu développé par le PSG qui peuvent expliquer en partie cette réussite moindre à domicile, à moins qu'elle ne trouve son origine dans l'enchaînement avec les rencontres de Ligue Europa, après lesquelles le club parisien ne l'a jamais emporté depuis le début de saison. Héros du déplacement lyonnais, Mathieu Bodmer penche plutôt pour la première solution. "Peut-être que l'on n'a pas encore une équipe qui peut faire le jeu toute la rencontre, estime le milieu de terrain. On a vu à Lyon qu'on était capable de contrer très vite et d'avoir des attaques très rapides. A domicile, on n'est pas encore capable de faire la même chose. Dans le jeu placé, nous ne sommes pas encore au point."
Les joueurs de la capitale possèdent surtout cette saison des valeurs que leurs devanciers, à moins de remonter à la première année de Vahid Halilhodzic à la tête de l'équipe (2003-2004), n'avaient pas, ou ils n'en faisaient tout du moins pas étalage : un certain caractère et un état d'esprit plus conquérant, allié à une nouvelle profondeur de banc, qui leur a permis de retourner des situations bien mal embarquées, chose impensable il y a encore quelques mois. Le match nul décroché à Dortmund en Ligue Europa (1-1), grâce à un but de Chantôme, véritable symbole de cette belle série, dans les dernières minutes, et la victoire arrachée à Lyon en prolongations (2-1) en sont les meilleurs exemples. "Etre mené au score, revenir et gagner, cela fait énormément de bien," confirme Kombouaré, qui apprécie également de pouvoir enfin faire tourner son effectif. Une tendance qui demande toutefois à être confirmée à la Mosson, où une défaite, qui serait donc la deuxième de rang en championnat, ferait mauvais genre. Surtout à l'orée d'un mois de novembre qui n'a pas toujours réussi au PSG par le passé...
http://r.orange.fr/r?ref=HPC_ihd_1821_alaune_manchette_2&url=http%3A//sports.orange.fr/infos/football/201043/le-psg-prend-l-exterieur_294626.html
match en live Valenciennes Lille ici à 17H00
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Ligue 1: le match OM/Rennes définitivement reporté
Le match Marseille-Rennes comptant pour la 11e journée de L1, qui devait initialement avoir lieu samedi mais avait été décalé à dimanche pour cause de forte pluie, a définitivement été reporté pour la même raison, a indiqué l'Olympique Marseille dimanche.
Ce sommet de la L1 devait initialement se dérouler samedi à 21 heures.
De fortes averses avaient rendu la pelouse impraticable et conduit au report de la rencontre à dimanche à 17 heures, sous réserve des conditions météo.
Mais de fortes pluies se sont de nouveau abattues sur Marseille toute la matinée, rendant la pelouse impraticable à plusieurs endroits du terrain. Après s'être laissé jusqu'à 14 heures pour prendre une décision définitive, alors que se produisait une accalmie, l'arbitre Fredy Fautrel a finalement conclu à la nécessité d'un report.
Les deux clubs avaient exprimé le souhait de jouer dimanche, malgré la proximité pour l'OM d'un match de Ligue des champions à Zilina mercredi.
L'OM ne souhaitait pas non plus se «retrouver dans la problématique de la saison passée», avait indiqué le directeur sportif José Anigo, en allusion à un match en retard contre Sochaux, comptant pour la 14e journée, et qui avait finalement été disputé entre la 30e et 31e journée.
http://www.leparisien.fr/sports/ligue-1-le-match-om-rennes-definitivement-reporte-31-10-2010-1130718.php
Ce sommet de la L1 devait initialement se dérouler samedi à 21 heures.
De fortes averses avaient rendu la pelouse impraticable et conduit au report de la rencontre à dimanche à 17 heures, sous réserve des conditions météo.
Mais de fortes pluies se sont de nouveau abattues sur Marseille toute la matinée, rendant la pelouse impraticable à plusieurs endroits du terrain. Après s'être laissé jusqu'à 14 heures pour prendre une décision définitive, alors que se produisait une accalmie, l'arbitre Fredy Fautrel a finalement conclu à la nécessité d'un report.
Les deux clubs avaient exprimé le souhait de jouer dimanche, malgré la proximité pour l'OM d'un match de Ligue des champions à Zilina mercredi.
L'OM ne souhaitait pas non plus se «retrouver dans la problématique de la saison passée», avait indiqué le directeur sportif José Anigo, en allusion à un match en retard contre Sochaux, comptant pour la 14e journée, et qui avait finalement été disputé entre la 30e et 31e journée.
http://www.leparisien.fr/sports/ligue-1-le-match-om-rennes-definitivement-reporte-31-10-2010-1130718.php
Espagne: Karim Benzema réveille le Real Madrid face à Alicante
Son entrée en jeu a changé la donne…
Avec toute la nuance qui la caractérise habituellement, la presse espagnole avait déclaré Karim Benzema «mort» cette semaine, après une prestation translucide face à Murcie en Coupe d’Espagne. Evidemment, il a fallu moins d’une semaine au jeune français pour prouver l’inverse. Alors que son équipe était tenue en échec sur la pelouse du promu Hercules Alicante, l’ancien Lyonnais a fait son entrée et délivré deux passes décisives pour Ronaldo dans les dix dernières minutes, permettant au Real de gagner 3-1.
«Je suis vraiment heureux pour lui. Son entrée en jeu a été très importante et il a été décisif», a même lâché Ronaldo après le match, suivi par son coach, José Mourinho. «Il n'a pas marqué, mais il a construit les deux buts de Cristiano. C'est très important pour son moral», a expliqué le «Mou». De là à en faire un titulaire?
http://www.20minutes.fr/article/616045/sports-espagne-karim-benzema-reveille-real-madrid-face-alicante
Avec toute la nuance qui la caractérise habituellement, la presse espagnole avait déclaré Karim Benzema «mort» cette semaine, après une prestation translucide face à Murcie en Coupe d’Espagne. Evidemment, il a fallu moins d’une semaine au jeune français pour prouver l’inverse. Alors que son équipe était tenue en échec sur la pelouse du promu Hercules Alicante, l’ancien Lyonnais a fait son entrée et délivré deux passes décisives pour Ronaldo dans les dix dernières minutes, permettant au Real de gagner 3-1.
«Je suis vraiment heureux pour lui. Son entrée en jeu a été très importante et il a été décisif», a même lâché Ronaldo après le match, suivi par son coach, José Mourinho. «Il n'a pas marqué, mais il a construit les deux buts de Cristiano. C'est très important pour son moral», a expliqué le «Mou». De là à en faire un titulaire?
http://www.20minutes.fr/article/616045/sports-espagne-karim-benzema-reveille-real-madrid-face-alicante
Lyon, la jeunesse triomphante
Maxime Gonalons et Clément Grenier ont sans doute été les deux meilleurs lyonnais contre Sochaux (2-1), alors qu'Alexandre Lacazette a inscrit le but de la victoire, son premier chez les professionnels. Un succès laborieux qui donne un peu d'air à l'OL.
On jouait la soixante-neuvième minute, Sochaux venait fort logiquement d'égaliser et l'Olympique Lyonnais semblait au plus mal quand Maxime Gonalons a transpercé le premier rideau défensif sochalien avant de transmettre le ballon à Alexandre Lacazette. Fraîchement entré en jeu, le jeune attaquant lyonnais (19 ans) a du s'y reprendre à deux fois mais a su inscrire le but de la victoire. Une juste récompense pour l'OL? Pas franchement tant le niveau de jeu des Gones a été insipide. "Nous sommes 8e et nous avons pris les trois points. Notre équipe était très fatiguée et nous avons eu du mal à garder le résultat. C'était très costaud, dans les enchaînements de matches, d'avoir su conserver la victoire", se contente pourtant Claude Puel.
En revanche, les jeunes n'ont pas volé leur heure de gloire : Maxime Gonalons a assurément disputé le meilleur match de sa saison dans l'entrejeu, Clément Grenier a confirmé sa bonne sortie de mercredi contre le PSG et le buteur, Alexandre Lacazette, a prouvé que ce n'était pas un hasard si c'est lui qui avait donné le but de la victoire aux Bleus lors du récent championnat d'Europe des moins de 19 ans. "Il y a Gonalons, Lacazette, Grenier, Gassama, Pied. Il faut leur attribuer une mention particulière, commente Puel… Ils répondent présents, c'est bien car ils méritent d'être alignés. C'est important de pouvoir compter sur tous ces jeunes. Ils sont en train de prendre de la présence et de la qualité. Ils ont reçu le message depuis deux ans et se sont mis au travail.
Puel : "Nous en avons besoin"
Titulaire surprise à la place de Miralem Pjanic au milieu de terrain, Clément Grenier, également sacré champion d'Europe cet été, savourait sa deuxième titularisation consécutive, trois jours seulement après sa première apparition dans le onze de départ de l'équipe professionnelle contre Paris : "Je suis très content de ces deux titularisations. Je travaillais et je travaille encore pour jouer ici et pour avoir le plus de temps du jeu possible. Je ne m'y attendais pas du tout, surtout à cette deuxième titularisation d'affilée." Très habile techniquement, doté d'une belle qualité de passes, Clément Grenier avait de quoi se réjouir de ses performances : "On va dire que c'était plutôt bien même si j'ai beaucoup de travail à accomplir, notamment au niveau du rythme. Je peux faire mieux aussi sur quelques ballons. Ça va venir avec les matchs."
La jeunesse lyonnaise arrive à maturité. Et c'est sans doute la meilleure nouvelle de la soirée pour un OL qui vient de perdre Lisandro Lopez, Michel Bastos et peut-être Miralem Pjanic. "Ces jeunes amènent du sang frais. Nous en avons besoin, sait Claude Puel. Nous ne sommes pas épargnés par les blessures avec notamment Michel Bastos qui est sorti peu avant la mi-temps et qui souffre d'un coup reçu derrière le genou droit à l'insertion des ischios-jambiers et Lisandro Lopez qui a ressenti une douleur à un mollet au début de l'entraînement vendredi. Il souffre d'une élongation et il sera absent trois semaines. Ces jeunes bénéficient donc de temps de jeu et ils savent le prendre". A Lisbonne, face au Benfica, ils pourraient encore être sollicités.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/31102010/70/ligue-1-lyon-la-jeunesse-triomphante.html
On jouait la soixante-neuvième minute, Sochaux venait fort logiquement d'égaliser et l'Olympique Lyonnais semblait au plus mal quand Maxime Gonalons a transpercé le premier rideau défensif sochalien avant de transmettre le ballon à Alexandre Lacazette. Fraîchement entré en jeu, le jeune attaquant lyonnais (19 ans) a du s'y reprendre à deux fois mais a su inscrire le but de la victoire. Une juste récompense pour l'OL? Pas franchement tant le niveau de jeu des Gones a été insipide. "Nous sommes 8e et nous avons pris les trois points. Notre équipe était très fatiguée et nous avons eu du mal à garder le résultat. C'était très costaud, dans les enchaînements de matches, d'avoir su conserver la victoire", se contente pourtant Claude Puel.
En revanche, les jeunes n'ont pas volé leur heure de gloire : Maxime Gonalons a assurément disputé le meilleur match de sa saison dans l'entrejeu, Clément Grenier a confirmé sa bonne sortie de mercredi contre le PSG et le buteur, Alexandre Lacazette, a prouvé que ce n'était pas un hasard si c'est lui qui avait donné le but de la victoire aux Bleus lors du récent championnat d'Europe des moins de 19 ans. "Il y a Gonalons, Lacazette, Grenier, Gassama, Pied. Il faut leur attribuer une mention particulière, commente Puel… Ils répondent présents, c'est bien car ils méritent d'être alignés. C'est important de pouvoir compter sur tous ces jeunes. Ils sont en train de prendre de la présence et de la qualité. Ils ont reçu le message depuis deux ans et se sont mis au travail.
Puel : "Nous en avons besoin"
Titulaire surprise à la place de Miralem Pjanic au milieu de terrain, Clément Grenier, également sacré champion d'Europe cet été, savourait sa deuxième titularisation consécutive, trois jours seulement après sa première apparition dans le onze de départ de l'équipe professionnelle contre Paris : "Je suis très content de ces deux titularisations. Je travaillais et je travaille encore pour jouer ici et pour avoir le plus de temps du jeu possible. Je ne m'y attendais pas du tout, surtout à cette deuxième titularisation d'affilée." Très habile techniquement, doté d'une belle qualité de passes, Clément Grenier avait de quoi se réjouir de ses performances : "On va dire que c'était plutôt bien même si j'ai beaucoup de travail à accomplir, notamment au niveau du rythme. Je peux faire mieux aussi sur quelques ballons. Ça va venir avec les matchs."
La jeunesse lyonnaise arrive à maturité. Et c'est sans doute la meilleure nouvelle de la soirée pour un OL qui vient de perdre Lisandro Lopez, Michel Bastos et peut-être Miralem Pjanic. "Ces jeunes amènent du sang frais. Nous en avons besoin, sait Claude Puel. Nous ne sommes pas épargnés par les blessures avec notamment Michel Bastos qui est sorti peu avant la mi-temps et qui souffre d'un coup reçu derrière le genou droit à l'insertion des ischios-jambiers et Lisandro Lopez qui a ressenti une douleur à un mollet au début de l'entraînement vendredi. Il souffre d'une élongation et il sera absent trois semaines. Ces jeunes bénéficient donc de temps de jeu et ils savent le prendre". A Lisbonne, face au Benfica, ils pourraient encore être sollicités.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/31102010/70/ligue-1-lyon-la-jeunesse-triomphante.html
On a retrouvé Gameiro
Auteur d'un but et une passe, Kevin Gameiro s'est réveillé face à Arles-Avignon (2-0). Confronté à plusieurs blessures, Claude Puel a vu juste avec ses jeunes. Joueurs, blessures, coaching, arbitrage : tous les petits détails que vous devez connaître pour comprendre sur quoi s'est jouée cette journé
JOUEURS : LE REVEIL DE GAMEIRO
On a retrouvé Kevin Gameiro. Auteur de trois réalisations depuis le début du championnat (dont deux penalties), le meilleur buteur français de la saison dernière s'est réveillé face à Arles-Avignon (2-0). Résultat : un quatrième but (56e) et une passe décisive pour Kitambala (77e). Au-delà de ça, l'attaquant a livré un match plein pour les Merlus. Sa saison est peut-être lancée. Yoann Gourcuff a montré un meilleur visage avec Lyon. En revanche, Jimmy Briand n'a rien montré sur le plan offensif jusqu'à sa sortie à la 78e minute. Remplacé un peu plus tôt (72e) et pas beaucoup plus convaincant, Bafetimbi Gomis a quitté la pelouse de Gerland sous la bronca du public. Dans les rangs de Nancy, Julien Féret a été un poison pour la défense caennaise (2-3). Il est, de plus, impliqué sur deux buts de l'ASNL (1 passe décisive, 1 centre dévié par la défense normande dans ses propres filets), soit sur 8 des 13 buts nancéens depuis le début de la saison. Son coéquipier Grégory Tafforeau est passé à côté de sa première période, dépassé sur son flanc gauche, auteur de la faute qui amène le pénalty nancéen, et buteur contre son camp.
BLESSURES : HECATOMBE A LYON
C'est l'hécatombe à Lyon. Avant même le coup d'envoi face à Sochaux, l'OL a perdu Miralem Pjanic, victime d'une douleur aux adducteurs lors de l'échauffement, et Lisandro Lopez, forfait en raison d'une élongation au mollet. Ce dernier devrait manquer trois semaines. Si ça ne suffisait pas, Michel Bastos a dû céder sa place dès la 42e minute. Touché derrière le genou droit, le Brésilien est incertain pour le déplacement chez le Benfica en Ligue des Champions, mardi. A Caen, pour conclure une soirée cauchemardesque, Tafforeau est sorti en fin de match visiblement touché derrière la cuisse. Pour sa part Lens a perdu Issam Jemaa, sorti sur civière à la 39e minute et blessé au genou, lors du match nul à Toulouse (1-1).
COACHING : LE COUP DE JEUNE DE PUEL
Maintenu en poste cette semaine, Claude Puel a réussi un coup de coaching gagnant lors de la victoire de Lyon face à Sochaux (2-1). Confronté à la blessure de Michel Bastos, l'entraîneur de l'OL aura eu le mérite de lancer le jeune Alexandre Lacazette (42e). En seconde période, le champion d'Europe des moins de 19 ans inscrivait le but de la victoire (69e). Plus globalement, sa décision d'aligner la jeune génération (Gonalons, Grenier, Pied) aura porté ses fruits. Francis Gillot, suspendu mais présent dans les tribunes de Gerland, a également bien vu en lançant Butin à la reprise. Ce dernier est à l'origine du but sochalien. A Auxerre, Jean Fernandez a eu du nez en faisant entrer Camel Chafni à la 69e minute. Dix minutes plus tard, ce dernier offrait un ballon de but à Pedretti pour le 2-0 (78e). Côté toulousain, Alain Casanova n'a pas apprécié la première période de son équipe face à Lens (0-0). Remplacé à la pause par Moussa Sissoko, Fodé Mansaré en a fait les frais. Sans succès.
ARBITRAGE : M. FAUTREL N'HESITE PAS
Même si M. Jaffredo a eu beaucoup de travail lors de Caen-Nancy (47 fautes sifflées, 7 jaunes), les hommes en noir ont été relativement tranquilles samedi. Finalement, c'est Freddy Fautrel qui aura vécu la soirée la plus tendue. Confronté à des pluies torrentielles dans les Bouches-du-Rhône, l'arbitre de Marseille-Rennes aura dû prendre la décision de reporter le choc au sommet de la journée. "Je juge uniquement la qualité du terrain, s'il est praticable ou pas, et la sécurité des joueurs", a-t-il expliqué alors que l'OM devra compter un jour de repos en moins (si la rencontre se joue dimanche) avant son déplacement important à Zilina en Ligue des Champions, mercredi.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30102010/70/ligue-1-brest-ne-se-cache-plus.html
JOUEURS : LE REVEIL DE GAMEIRO
On a retrouvé Kevin Gameiro. Auteur de trois réalisations depuis le début du championnat (dont deux penalties), le meilleur buteur français de la saison dernière s'est réveillé face à Arles-Avignon (2-0). Résultat : un quatrième but (56e) et une passe décisive pour Kitambala (77e). Au-delà de ça, l'attaquant a livré un match plein pour les Merlus. Sa saison est peut-être lancée. Yoann Gourcuff a montré un meilleur visage avec Lyon. En revanche, Jimmy Briand n'a rien montré sur le plan offensif jusqu'à sa sortie à la 78e minute. Remplacé un peu plus tôt (72e) et pas beaucoup plus convaincant, Bafetimbi Gomis a quitté la pelouse de Gerland sous la bronca du public. Dans les rangs de Nancy, Julien Féret a été un poison pour la défense caennaise (2-3). Il est, de plus, impliqué sur deux buts de l'ASNL (1 passe décisive, 1 centre dévié par la défense normande dans ses propres filets), soit sur 8 des 13 buts nancéens depuis le début de la saison. Son coéquipier Grégory Tafforeau est passé à côté de sa première période, dépassé sur son flanc gauche, auteur de la faute qui amène le pénalty nancéen, et buteur contre son camp.
BLESSURES : HECATOMBE A LYON
C'est l'hécatombe à Lyon. Avant même le coup d'envoi face à Sochaux, l'OL a perdu Miralem Pjanic, victime d'une douleur aux adducteurs lors de l'échauffement, et Lisandro Lopez, forfait en raison d'une élongation au mollet. Ce dernier devrait manquer trois semaines. Si ça ne suffisait pas, Michel Bastos a dû céder sa place dès la 42e minute. Touché derrière le genou droit, le Brésilien est incertain pour le déplacement chez le Benfica en Ligue des Champions, mardi. A Caen, pour conclure une soirée cauchemardesque, Tafforeau est sorti en fin de match visiblement touché derrière la cuisse. Pour sa part Lens a perdu Issam Jemaa, sorti sur civière à la 39e minute et blessé au genou, lors du match nul à Toulouse (1-1).
COACHING : LE COUP DE JEUNE DE PUEL
Maintenu en poste cette semaine, Claude Puel a réussi un coup de coaching gagnant lors de la victoire de Lyon face à Sochaux (2-1). Confronté à la blessure de Michel Bastos, l'entraîneur de l'OL aura eu le mérite de lancer le jeune Alexandre Lacazette (42e). En seconde période, le champion d'Europe des moins de 19 ans inscrivait le but de la victoire (69e). Plus globalement, sa décision d'aligner la jeune génération (Gonalons, Grenier, Pied) aura porté ses fruits. Francis Gillot, suspendu mais présent dans les tribunes de Gerland, a également bien vu en lançant Butin à la reprise. Ce dernier est à l'origine du but sochalien. A Auxerre, Jean Fernandez a eu du nez en faisant entrer Camel Chafni à la 69e minute. Dix minutes plus tard, ce dernier offrait un ballon de but à Pedretti pour le 2-0 (78e). Côté toulousain, Alain Casanova n'a pas apprécié la première période de son équipe face à Lens (0-0). Remplacé à la pause par Moussa Sissoko, Fodé Mansaré en a fait les frais. Sans succès.
ARBITRAGE : M. FAUTREL N'HESITE PAS
Même si M. Jaffredo a eu beaucoup de travail lors de Caen-Nancy (47 fautes sifflées, 7 jaunes), les hommes en noir ont été relativement tranquilles samedi. Finalement, c'est Freddy Fautrel qui aura vécu la soirée la plus tendue. Confronté à des pluies torrentielles dans les Bouches-du-Rhône, l'arbitre de Marseille-Rennes aura dû prendre la décision de reporter le choc au sommet de la journée. "Je juge uniquement la qualité du terrain, s'il est praticable ou pas, et la sécurité des joueurs", a-t-il expliqué alors que l'OM devra compter un jour de repos en moins (si la rencontre se joue dimanche) avant son déplacement important à Zilina en Ligue des Champions, mercredi.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30102010/70/ligue-1-brest-ne-se-cache-plus.html
Brest trône sur la L1 !
Brest, promu cette saison, est le nouveau leader de la Ligue 1 grâce à sa victoire à domicile sur Saint-Etienne (2-0) samedi lors de la 11e journée. Lyon s'est difficilement imposé devant Sochaux (2-1) et remonte à la 9e place devant Auxerre, tombeur de Nice (2-0). Lens a accroché Toulouse (1-1).
Un Breton chasse l'autre en tête de la Ligue 1. En attendant Marseille-Rennes, reporté en raison des intempéries et qui pourrait être joué demain à 17h, Brest a pris le fauteuil de leader à son voisin rennais en disposant de Saint-Etienne (2-0) grâce à des buts de Licka (76e) et Poyet (84e). Dans ce duel entre deux des équipes surprises de ce premier tiers de saison, le club du Finistère a confirmé son étonnante solidité. Face aux Verts, les hommes d'Alex Dupont ont enchainé un huitième match sans défaite et sans prendre de but. Avec une telle série, il n'est finalement pas illogique de les retrouver en tête du classement.
Avec ce revers stéphanois et le report de Rennes-Marseille, Toulouse aurait pu se retrouver sur la deuxième marche du podium. Mais les Toulousains ont concédé un match nul à domicile face à des Lensois qui avaient bien besoin de cette performance pour se rassurer. Les Artésiens ont su rester mobilisés après l'ouverture du score de Machado (5e s.p.), Yahia offrant une juste récompense à son équipe en égalisant sur corner (27e). Les hommes d'Alain Casanova sont désormais sous la menace de Montpellier et du PSG, qui s'affronteront demain soir à La Mosson (21h00).
6 points entre le 2e et le 17e
Derrière ces deux équipes, on trouve deux revenants. L'Olympique Lyonnais, handicapé par l'absence de Lisandro et la sortie sur blessure de Michel Bastos, auteur de l'ouverture du score (31e), a puisé dans ses réserves pour venir à bout de Sochaux (2-1). Et même dans sa réserve, puisque le jeune Alexandre Lacazette, champion d'Europe des moins de 19 ans, a donné un bon bol d'air à son équipe en inscrivant le but de la victoire d'une jolie frappe (69e). L'autre revenant, c'est Auxerre. Dans la foulée de leur succès au Parc, les Bourguignons ont réintégré la première moitié du classement à la faveur de leur succès sur Nice (2-0) grâce à des buts de Birsa et Pedretti.
Enfin, Lorient et Nancy ont profité de cette 11e journée pour se rassurer. Les Bretons, avec un Kevin Gameiro retrouvé (un but et une passe décisive), ont enfoncé encore un peu plus Arles-Avignon (2-0) tandis que les Lorrains ont signé un deuxième succès consécutif en championnat avec une belle victoire sur le terrain de Caen (2-3). L'ASNL intègre ainsi le ventre mou d'un classement extrêmement serré. Seulement six points séparent ce soir le 2e, Rennes, qui compte cependant un match en retard, du 17e et premier non-relégable, Nice.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30102010/70/ligue-1-brest-trone-sur-la-l1.html
Un Breton chasse l'autre en tête de la Ligue 1. En attendant Marseille-Rennes, reporté en raison des intempéries et qui pourrait être joué demain à 17h, Brest a pris le fauteuil de leader à son voisin rennais en disposant de Saint-Etienne (2-0) grâce à des buts de Licka (76e) et Poyet (84e). Dans ce duel entre deux des équipes surprises de ce premier tiers de saison, le club du Finistère a confirmé son étonnante solidité. Face aux Verts, les hommes d'Alex Dupont ont enchainé un huitième match sans défaite et sans prendre de but. Avec une telle série, il n'est finalement pas illogique de les retrouver en tête du classement.
Avec ce revers stéphanois et le report de Rennes-Marseille, Toulouse aurait pu se retrouver sur la deuxième marche du podium. Mais les Toulousains ont concédé un match nul à domicile face à des Lensois qui avaient bien besoin de cette performance pour se rassurer. Les Artésiens ont su rester mobilisés après l'ouverture du score de Machado (5e s.p.), Yahia offrant une juste récompense à son équipe en égalisant sur corner (27e). Les hommes d'Alain Casanova sont désormais sous la menace de Montpellier et du PSG, qui s'affronteront demain soir à La Mosson (21h00).
6 points entre le 2e et le 17e
Derrière ces deux équipes, on trouve deux revenants. L'Olympique Lyonnais, handicapé par l'absence de Lisandro et la sortie sur blessure de Michel Bastos, auteur de l'ouverture du score (31e), a puisé dans ses réserves pour venir à bout de Sochaux (2-1). Et même dans sa réserve, puisque le jeune Alexandre Lacazette, champion d'Europe des moins de 19 ans, a donné un bon bol d'air à son équipe en inscrivant le but de la victoire d'une jolie frappe (69e). L'autre revenant, c'est Auxerre. Dans la foulée de leur succès au Parc, les Bourguignons ont réintégré la première moitié du classement à la faveur de leur succès sur Nice (2-0) grâce à des buts de Birsa et Pedretti.
Enfin, Lorient et Nancy ont profité de cette 11e journée pour se rassurer. Les Bretons, avec un Kevin Gameiro retrouvé (un but et une passe décisive), ont enfoncé encore un peu plus Arles-Avignon (2-0) tandis que les Lorrains ont signé un deuxième succès consécutif en championnat avec une belle victoire sur le terrain de Caen (2-3). L'ASNL intègre ainsi le ventre mou d'un classement extrêmement serré. Seulement six points séparent ce soir le 2e, Rennes, qui compte cependant un match en retard, du 17e et premier non-relégable, Nice.
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samedi 30 octobre 2010
Le multiplex de la 11° journée en live ici
Suivez les match de la 11° journée de ligue 1 en cliquant sur ces liens
http://www.20minutes.fr/article/615915/sports-marseille-rennes-suivre-live-comme-a-la-maison-des-21h
Archavine, la star des tsars
La fatigue, il ne connait pas. L'échec, il n'aime pas. Telle une machine à gagner, Andreï Archavine fait son bonhomme de chemin avec Arsenal. Débarqué chez les Gunners lors de l'hiver 2009, le tsar russe a depuis conquis l'Emirates. Et si son coéquipier Samir Nasri illumine ces derniers temps le jeu d'Arsenal, Archavine lui a toujours été constant dans ses performances. Un gage de solidité et d'efficacité pour Arsène Wenger qui en a fait l'un des tauliers de l'équipe. L'ancien joueur du Zénith St-Petersbourg, sur le point de prolonger son contrat avec à la clé un salaire annuel de 4,5 millions d'euros, est, avec le Marseillais, le carburateur d'Arsenal. Celui qui alimente ses coéquipiers, oriente et distribue le jeu avec rapidité et précision, bref, il est l'un des grands acteurs de la réussite actuelle du club.
Manchester United accueille Tottenham
Dauphin de Chelsea, Arsenal a d'ailleurs l'ambition de retrouver un titre de Champion d'Angleterre qui le fuit depuis 2004. Cela passe forcément par une victoire ce samedi (16h00) face à la lanterne rouge West Ham. Un bon derby londonien, choc des extrêmes, histoire de mettre la pression sur le leader Chelsea. Des Blues qui se déplacent dans le même temps sur la pelouse de Blackburn (17e). Manchester City (4e) voyage également cet après-midi à Wolverhampton (19e) avec l'objectif de retrouver une place sur le podium. En début de soirée (18h30), Manchester United (3e) reçoit Tottenham (5e). Un vrai match de Ligue des Champions entrent deux équipes en course pour le titre. -
http://www.francefootball.fr/
Manchester United accueille Tottenham
Dauphin de Chelsea, Arsenal a d'ailleurs l'ambition de retrouver un titre de Champion d'Angleterre qui le fuit depuis 2004. Cela passe forcément par une victoire ce samedi (16h00) face à la lanterne rouge West Ham. Un bon derby londonien, choc des extrêmes, histoire de mettre la pression sur le leader Chelsea. Des Blues qui se déplacent dans le même temps sur la pelouse de Blackburn (17e). Manchester City (4e) voyage également cet après-midi à Wolverhampton (19e) avec l'objectif de retrouver une place sur le podium. En début de soirée (18h30), Manchester United (3e) reçoit Tottenham (5e). Un vrai match de Ligue des Champions entrent deux équipes en course pour le titre. -
http://www.francefootball.fr/
Maroc le programme
vendredi 29 octobre 2010
22h00 OCK Khouribga (1) 1-0 FAR Rabat (12)
samedi 30 octobre 2010
16h30 OC Safi (5) - KAC Kénitra (13)
17h00 Chabab Rif Al-Hoceima (11) - WAC Casablanca (2)
Fath US Rabat (3) Reporté HUSA Agadir (4)
21h00 KACM Marrakech Menara (10) - Wydad de Fès (15)
dimanche 31 octobre 2010
15h30 JSM Laâyoune (14) - Moghreb Tétouan (8)
16h00 Raja Casablanca (6) - JSK Tadla (16)
20h00 MAS Fès (7) - Difaa El Jadida (9)
22h00 OCK Khouribga (1) 1-0 FAR Rabat (12)
samedi 30 octobre 2010
16h30 OC Safi (5) - KAC Kénitra (13)
17h00 Chabab Rif Al-Hoceima (11) - WAC Casablanca (2)
Fath US Rabat (3) Reporté HUSA Agadir (4)
21h00 KACM Marrakech Menara (10) - Wydad de Fès (15)
dimanche 31 octobre 2010
15h30 JSM Laâyoune (14) - Moghreb Tétouan (8)
16h00 Raja Casablanca (6) - JSK Tadla (16)
20h00 MAS Fès (7) - Difaa El Jadida (9)
Algérie les résultats
vendredi 29 octobre 2010
16h00 JSM Béjaia (4) 4-2 JS Kabylie (6)
19h00 ES Sétif (2) 3-1 MC Saida (1)
ASO Chlef (3) 1-0 MC Alger (10)
USM Annaba (13) 0-0 MC El Eulma (5)
WA Tlemcen (11) 2-2 USM El Harrach (8)
CABB Arreridj (16) 0-1 AS Khroub (15)
samedi 30 octobre 2010
16h00 USM Alger (12) - USM Blida (14)
17h00 CR Bélouizdad (7) - MC Oran (9
16h00 JSM Béjaia (4) 4-2 JS Kabylie (6)
19h00 ES Sétif (2) 3-1 MC Saida (1)
ASO Chlef (3) 1-0 MC Alger (10)
USM Annaba (13) 0-0 MC El Eulma (5)
WA Tlemcen (11) 2-2 USM El Harrach (8)
CABB Arreridj (16) 0-1 AS Khroub (15)
samedi 30 octobre 2010
16h00 USM Alger (12) - USM Blida (14)
17h00 CR Bélouizdad (7) - MC Oran (9
Le tour des stades de la 11e journée...
Le programme
Samedi 30 octobre
(19h) Auxerre - Nice
Brest - Saint-Etienne
Caen - Nancy
Lorient - Arles-Avignon
Lyon - Sochaux
Toulouse - Lens
(21h) Marseille - Rennes (Orange Sport)
Dimanche 31 octobre
(17h) Monaco - Bordeaux
Valenciennes - Lille
(21h) Montpellier - Paris SG (Canal +)
Le classement du championnat est ici… http://sports.20minutes.fr/football/ligue-1/2011/classements/classement-general.html
Le choc
Le temps d’un match, Patrick Le Lay et Jean-Claude Dassier mettront de côté leur amitié née des années TF1. Sans être des spécialistes du ballon rond, les deux hommes président aujourd’hui deux clubs de L1. Avec une réussite durable ou passagère, la fin du championnat est encore loin. Rennes est leader, Marseille juste dans sa roue. Sans parler de «concurrent direct», Didier Deschamps a consenti à classer Rennes parmi les «bonnes équipes de L1», capables de poser quelques problèmes aux cadors du championnat. Ça tombe bien, l’OM en fait partie.
La série à stopper
Monaco n’en finit plus de dégringoler depuis deux mois. L’ASM, qui n’a plus gagné depuis la fin du mois d’août en championnat, est aujourd’hui dans la zone rouge (18e) et compte sur son sursaut, en Coupe de la Ligue (victoire après séance de tirs au but face à Sochaux), pour se remettre dans le sens de la marche. Après six matchs sans victoires, le staff et les supporters commencent même à douter du recrutement effectué pendant l’été. Aubameyang, MBokani, Hansson, Malonga ou Niculae peinent à émerger. Et pendant ce temps là, Nenê flambe au PSG.
L’absent de marque
Comment ne pas rendre hommage à Yohan Démont dont les phalanges ont besoin de soins depuis qu’il a passé ses nerfs sur une porte, à la Gaillette. En début de semaine, l’ex-capitaine lensois a préféré démolir sa main sur l’entrée dans la salle de musculation plutôt que sur le pif d’Issam Jemaâ, avec qui le ton est monté. Bilan du coup de sang: cinq semaines d’indisponibilité. Le temps pour le joueur Lensois de se calmer.
Le vengeur masqué
Un nez cassé n’a jamais empêché de jouer au football. Percuté par le coude et le genou de Cris, le week-end dernier face à Lyon, Camel Meriem avait quitté la pelouse avec une fracture. Avec six points de suture (entre le milieu du front et l’arrête nasale) et un bon masque anti choc, il pourra malgré tout tenir sa place lors du déplacement à Lorient samedi. En matière de port du casque, il peut toujours demander conseil à Immanol Harinordoquy, le vengeur masqué de Biarritz.
Les supporters à rassurer
Six mois sans victoire à domicile, cela fait beaucoup. Du côté de l’Abbé Deschamps, le public commence à gronder, même si l’AJA a renoué la semaine dernière avec le succès, sur la pelouse du PSG (2-3). En cinq matchs à domicile cette saison, les Bourguignons ont toujours calé, ce qui explique en partie pourquoi ils naviguent dans le bas du tableau (15e).
La belle histoire
Nolan Roux est formel. Les gros risquent de se casser les dents plus d’une fois cette saison face aux Bretons. Après avoir fait tomber Bordeaux (0-2), la semaine passée, les Brestois ont les armes pour enchaîner face à Saint-Etienne, ancien leader détrôné. Mine de rien, les Verts n’ont plus gagné en L1 depuis le derby face à Lyon.
http://www.20minutes.fr/article/615731/sports-ligue1-multiplex-11e-journee-suivre-live-comme-a-la-maison-des-19h
Samedi 30 octobre
(19h) Auxerre - Nice
Brest - Saint-Etienne
Caen - Nancy
Lorient - Arles-Avignon
Lyon - Sochaux
Toulouse - Lens
(21h) Marseille - Rennes (Orange Sport)
Dimanche 31 octobre
(17h) Monaco - Bordeaux
Valenciennes - Lille
(21h) Montpellier - Paris SG (Canal +)
Le classement du championnat est ici… http://sports.20minutes.fr/football/ligue-1/2011/classements/classement-general.html
Le choc
Le temps d’un match, Patrick Le Lay et Jean-Claude Dassier mettront de côté leur amitié née des années TF1. Sans être des spécialistes du ballon rond, les deux hommes président aujourd’hui deux clubs de L1. Avec une réussite durable ou passagère, la fin du championnat est encore loin. Rennes est leader, Marseille juste dans sa roue. Sans parler de «concurrent direct», Didier Deschamps a consenti à classer Rennes parmi les «bonnes équipes de L1», capables de poser quelques problèmes aux cadors du championnat. Ça tombe bien, l’OM en fait partie.
La série à stopper
Monaco n’en finit plus de dégringoler depuis deux mois. L’ASM, qui n’a plus gagné depuis la fin du mois d’août en championnat, est aujourd’hui dans la zone rouge (18e) et compte sur son sursaut, en Coupe de la Ligue (victoire après séance de tirs au but face à Sochaux), pour se remettre dans le sens de la marche. Après six matchs sans victoires, le staff et les supporters commencent même à douter du recrutement effectué pendant l’été. Aubameyang, MBokani, Hansson, Malonga ou Niculae peinent à émerger. Et pendant ce temps là, Nenê flambe au PSG.
L’absent de marque
Comment ne pas rendre hommage à Yohan Démont dont les phalanges ont besoin de soins depuis qu’il a passé ses nerfs sur une porte, à la Gaillette. En début de semaine, l’ex-capitaine lensois a préféré démolir sa main sur l’entrée dans la salle de musculation plutôt que sur le pif d’Issam Jemaâ, avec qui le ton est monté. Bilan du coup de sang: cinq semaines d’indisponibilité. Le temps pour le joueur Lensois de se calmer.
Le vengeur masqué
Un nez cassé n’a jamais empêché de jouer au football. Percuté par le coude et le genou de Cris, le week-end dernier face à Lyon, Camel Meriem avait quitté la pelouse avec une fracture. Avec six points de suture (entre le milieu du front et l’arrête nasale) et un bon masque anti choc, il pourra malgré tout tenir sa place lors du déplacement à Lorient samedi. En matière de port du casque, il peut toujours demander conseil à Immanol Harinordoquy, le vengeur masqué de Biarritz.
Les supporters à rassurer
Six mois sans victoire à domicile, cela fait beaucoup. Du côté de l’Abbé Deschamps, le public commence à gronder, même si l’AJA a renoué la semaine dernière avec le succès, sur la pelouse du PSG (2-3). En cinq matchs à domicile cette saison, les Bourguignons ont toujours calé, ce qui explique en partie pourquoi ils naviguent dans le bas du tableau (15e).
La belle histoire
Nolan Roux est formel. Les gros risquent de se casser les dents plus d’une fois cette saison face aux Bretons. Après avoir fait tomber Bordeaux (0-2), la semaine passée, les Brestois ont les armes pour enchaîner face à Saint-Etienne, ancien leader détrôné. Mine de rien, les Verts n’ont plus gagné en L1 depuis le derby face à Lyon.
http://www.20minutes.fr/article/615731/sports-ligue1-multiplex-11e-journee-suivre-live-comme-a-la-maison-des-19h
Rennes se fait tout petit
Leader depuis trois journées, Rennes vient s'étalonner à Marseille, son actuel dauphin et champion de France en titre. Mais pour l'entraîneur breton, Frédéric Antonetti, comparaison n'est pas raison. Les deux clubs ne sont pas dans le même monde. Les deux équipes non plus. Refrain bien connu.
Samedi soir, le champion de France en titre reçoit le leader de la Ligue 1. Belle affiche. Un rendez-vous au sommet? Vous n'y êtes pas. Ce n'est pas un leader qui se déplace ce week-end au vélodrome. C'est un petit qui vient rendre visite à un grand. Un petit? Historiquement, oui. Economiquement, aussi. Et en bon petit qu'il est, il n'est pas gâté par l'arbitrage, quand son hôte du jour, lui, en a les faveurs. Voilà en gros le discours servi cette semaine par Frédéric Antonetti, entraîneur du petit en question, le Stade Rennais.
Sur le fond, Frédéric Antonetti n'a pas tort. Oui, Rennes ne pèse rien dans l'histoire du football français face à l'OM. "Vous ne pouvez rien contre l'histoire, assène-t-il. L'histoire, il faut l'écrire. Rennes s'inscrit dans les clubs qui comptent depuis une dizaine d'années. Si le club avait fait ça dès les années 50, il serait aujourd'hui dans l'histoire. Moi, je crois au travail dans le temps. Etre leader aujourd'hui, c'est un petit évènement, mais remis dans un contexte historique, c'est totalement anecdotique." Une analyse incontestable, même si elle a sans doute aussi vocation à relativiser le statut actuel de son équipe, et donc à lui ôter une part de pression inhérente à la place de leader.
"On ne fait pas le même métier"
Petit à l'échelle du temps, Rennes l'est aussi à celle de l'argent. Plus encore peut-être, même, à en croire Frédéric Antonetti. Economiquement, le club breton ne pèse rien à côté des deux Olympiques, lyonnais et marseillais. Là encore, il n'a pas manqué l'occasion du déplacement au Vélodrome pour remettre les choses en perspective. "Le coût de leur équipe, c'est 90 millions d'euros. Le notre, c'est 20 millions. Ça fait plus de quatre fois plus. A un moment donné, c'est normal qu'ils soient devant", estime-t-il, même si, pour quelques heures encore au moins, "ils", les Marseillais, sont encore derrière. "Pour être champion, poursuit le technicien corse, c'est une histoire d'argent, que vous le vouliez ou non. Marseille, quand ils ont un souci devant, ils achètent Gignac et Rémy. On ne fait pas le même métier. Ne me parlez pas d'Hoffenheim, du Chievo Vérone ou de qui vous voulez, ces clubs n'ont jamais été champions que je sache. Ça ne veut pas dire que celui qui a le plus d'argent va réussir tout le temps. Mais sur 10 ou 15 ans, il va être au moins une ou deux fois champion. Le palmarès et l'histoire se construisent comme ça."
Mais au-delà de ces critères objectifs et rationnels, il en est un beaucoup plus pernicieux, à en croire Antonetti. Et c'est sans doute celui qui l'inquiète le plus: l'arbitrage. Même s'il s'en défend avec une bonne dose de mauvaise foi (lors de sa conférence de presse jeudi, sa réponse à la première question, qui n'évoquait pas du tout ce sujet, a porté pendant 5 minutes sur l'arbitrage. Puis, quand un journaliste lui demande s'il cherchait à mettre la pression en évoquant aussi abondamment l'arbitrage, Antonetti a répondu: "mais non, vous me posez des questions, j'y réponds, c'est tout!"), l'entraîneur rennais sous-entend clairement que les "gros" bénéficient d'un arbitrage différent des "petits". La source de sa colère? L'expulsion (il est vrai très sévère) et la suspension de Kader Mangane. Alors que Lyon et Marseille... "J'ai vu des matches de Marseille cette saison... Il y a par exemple deux penalties pour Nancy. Non seulement il y a penalty, mais sur la main d'Heinze, il y a rouge. Mais c'est juste un constat. Je veux seulement un arbitrage juste. C'est un problème d'uniformité."
Un choc purement virtuel?
Alors, avec tout ça, les jeux sont-ils faits d'avance? A long terme, oui. Rennes à la première place en début d'automne, pourquoi pas, mais au printemps, n'y pensez pas. Antonetti, encore: "Il y a cinq équipes devant nous: Marseille et Lyon, qui ont de loin les deux meilleurs effectifs. Puis Bordeaux, Lille et Paris. Si un de ceux-là n'est pas au rendez-vous, on peut être dans les cinq premiers." Sans trahir la pensée de Frédéric Antonetti, on l'aura donc compris, le choc de ce soir est purement virtuel. C'est un choc de début de saison, conjoncturel, entre un leader qui ne le restera pas longtemps et un dauphin qui ne joue pas dans la même catégorie. Encore une fois, sur le fond, Antonetti a probablement raison. Mais en surjouant son discours, il en atténue paradoxalement la portée. La théorie de la victimisation, comme celle du tout petit, n'est pas neuve en Ligue 1.
Mais s'il a le sens de la formule, Antonetti cache surtout derrière un redoutable esprit de compétiteur. Il suffit de rentrer dans son jeu et de le titiller pour s'en apercevoir. Quand on lui demande comment son équipe va réagir si elle perd sa première place samedi, il sort de ses gonds. "Avant de la céder, on va peut-être déjà jouer le match. On joue toujours un match pour le gagner même si c'est toujours difficile au vélodrome. Si on gagne, ce sera bon pour la confiance, bon pour les joueurs, faire un résultat à Marseille, c'est toujours intéressant." Dites-lui que son équipe peut aller loin, Antonetti vous dira qu'elle est trop petite. Evoquez devant lui l'hypothèse d'un échec samedi, et il ne parlera que de son désir de victoire. Cela s'appelle l'esprit de contradiction. Antonetti, et c'est aussi pour ça qu'on l'aime, la cultive. Et d'une certaine manière, en trustant la place de leader depuis trois semaines, Rennes se plait aussi à contredire une certaine logique...
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30102010/70/ligue-1-rennes-se-fait-tout-petit.htm
Samedi soir, le champion de France en titre reçoit le leader de la Ligue 1. Belle affiche. Un rendez-vous au sommet? Vous n'y êtes pas. Ce n'est pas un leader qui se déplace ce week-end au vélodrome. C'est un petit qui vient rendre visite à un grand. Un petit? Historiquement, oui. Economiquement, aussi. Et en bon petit qu'il est, il n'est pas gâté par l'arbitrage, quand son hôte du jour, lui, en a les faveurs. Voilà en gros le discours servi cette semaine par Frédéric Antonetti, entraîneur du petit en question, le Stade Rennais.
Sur le fond, Frédéric Antonetti n'a pas tort. Oui, Rennes ne pèse rien dans l'histoire du football français face à l'OM. "Vous ne pouvez rien contre l'histoire, assène-t-il. L'histoire, il faut l'écrire. Rennes s'inscrit dans les clubs qui comptent depuis une dizaine d'années. Si le club avait fait ça dès les années 50, il serait aujourd'hui dans l'histoire. Moi, je crois au travail dans le temps. Etre leader aujourd'hui, c'est un petit évènement, mais remis dans un contexte historique, c'est totalement anecdotique." Une analyse incontestable, même si elle a sans doute aussi vocation à relativiser le statut actuel de son équipe, et donc à lui ôter une part de pression inhérente à la place de leader.
"On ne fait pas le même métier"
Petit à l'échelle du temps, Rennes l'est aussi à celle de l'argent. Plus encore peut-être, même, à en croire Frédéric Antonetti. Economiquement, le club breton ne pèse rien à côté des deux Olympiques, lyonnais et marseillais. Là encore, il n'a pas manqué l'occasion du déplacement au Vélodrome pour remettre les choses en perspective. "Le coût de leur équipe, c'est 90 millions d'euros. Le notre, c'est 20 millions. Ça fait plus de quatre fois plus. A un moment donné, c'est normal qu'ils soient devant", estime-t-il, même si, pour quelques heures encore au moins, "ils", les Marseillais, sont encore derrière. "Pour être champion, poursuit le technicien corse, c'est une histoire d'argent, que vous le vouliez ou non. Marseille, quand ils ont un souci devant, ils achètent Gignac et Rémy. On ne fait pas le même métier. Ne me parlez pas d'Hoffenheim, du Chievo Vérone ou de qui vous voulez, ces clubs n'ont jamais été champions que je sache. Ça ne veut pas dire que celui qui a le plus d'argent va réussir tout le temps. Mais sur 10 ou 15 ans, il va être au moins une ou deux fois champion. Le palmarès et l'histoire se construisent comme ça."
Mais au-delà de ces critères objectifs et rationnels, il en est un beaucoup plus pernicieux, à en croire Antonetti. Et c'est sans doute celui qui l'inquiète le plus: l'arbitrage. Même s'il s'en défend avec une bonne dose de mauvaise foi (lors de sa conférence de presse jeudi, sa réponse à la première question, qui n'évoquait pas du tout ce sujet, a porté pendant 5 minutes sur l'arbitrage. Puis, quand un journaliste lui demande s'il cherchait à mettre la pression en évoquant aussi abondamment l'arbitrage, Antonetti a répondu: "mais non, vous me posez des questions, j'y réponds, c'est tout!"), l'entraîneur rennais sous-entend clairement que les "gros" bénéficient d'un arbitrage différent des "petits". La source de sa colère? L'expulsion (il est vrai très sévère) et la suspension de Kader Mangane. Alors que Lyon et Marseille... "J'ai vu des matches de Marseille cette saison... Il y a par exemple deux penalties pour Nancy. Non seulement il y a penalty, mais sur la main d'Heinze, il y a rouge. Mais c'est juste un constat. Je veux seulement un arbitrage juste. C'est un problème d'uniformité."
Un choc purement virtuel?
Alors, avec tout ça, les jeux sont-ils faits d'avance? A long terme, oui. Rennes à la première place en début d'automne, pourquoi pas, mais au printemps, n'y pensez pas. Antonetti, encore: "Il y a cinq équipes devant nous: Marseille et Lyon, qui ont de loin les deux meilleurs effectifs. Puis Bordeaux, Lille et Paris. Si un de ceux-là n'est pas au rendez-vous, on peut être dans les cinq premiers." Sans trahir la pensée de Frédéric Antonetti, on l'aura donc compris, le choc de ce soir est purement virtuel. C'est un choc de début de saison, conjoncturel, entre un leader qui ne le restera pas longtemps et un dauphin qui ne joue pas dans la même catégorie. Encore une fois, sur le fond, Antonetti a probablement raison. Mais en surjouant son discours, il en atténue paradoxalement la portée. La théorie de la victimisation, comme celle du tout petit, n'est pas neuve en Ligue 1.
Mais s'il a le sens de la formule, Antonetti cache surtout derrière un redoutable esprit de compétiteur. Il suffit de rentrer dans son jeu et de le titiller pour s'en apercevoir. Quand on lui demande comment son équipe va réagir si elle perd sa première place samedi, il sort de ses gonds. "Avant de la céder, on va peut-être déjà jouer le match. On joue toujours un match pour le gagner même si c'est toujours difficile au vélodrome. Si on gagne, ce sera bon pour la confiance, bon pour les joueurs, faire un résultat à Marseille, c'est toujours intéressant." Dites-lui que son équipe peut aller loin, Antonetti vous dira qu'elle est trop petite. Evoquez devant lui l'hypothèse d'un échec samedi, et il ne parlera que de son désir de victoire. Cela s'appelle l'esprit de contradiction. Antonetti, et c'est aussi pour ça qu'on l'aime, la cultive. Et d'une certaine manière, en trustant la place de leader depuis trois semaines, Rennes se plait aussi à contredire une certaine logique...
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30102010/70/ligue-1-rennes-se-fait-tout-petit.htm
L'OM veut le pouvoir
Deuxième du championnat, Marseille accueille le leader rennais lors du choc de la 11e journée. En cas de victoire, l'OM prendra la tête du classement... sauf si Brest ou Saint-Etienne, qui s'affrontent à Francis-Le Blé, en décident autrement. Lyon doit gagner face à Sochaux pour sortir du bourbier.
Et Marseille retrouve Rennes... Cinq mois après avoir décroché son neuvième titre de champion de France en battant les Bretons au Vélodrome (3-1), l'OM (2e, 18 points) croise de nouveau la route du Stade Rennais (1er, 19 points). L'enjeu est moindre. Rien de décisif cette fois-ci. Pour autant, ce choc de la 11e journée entre le leader et son dauphin pourrait marquer un premier tournant - au moins psychologique. En cas de victoire, l'OM aurait de grandes chances de prendre les commandes du championnat pour la première fois de la saison. Et ceci à une petite semaine du surmédiatisé PSG-OM. Une occasion idéale pour les Olympiens qui ont toujours marqué au Vélodrome en 2010.
A Gerland, l'Olympique Lyonnais n'est pas aussi prolifique que le champion de France 2010. Sinon, il ne serait sans doute pas embourbé à la 14e place du championnat (12 points). Bien loin de ses objectifs de début de saison. Objectifs rappelés par le président Aulas mercredi, en même temps qu'il confirmait Claude Puel dans ses fonctions. Samedi, Puel sera donc sur le banc. Mais peut-être pas encore aussi confortablement assis que JMA veut bien le dire... Tout autre résultat qu'une victoire face à Sochaux (11e, 13 points) pourrait d'ailleurs rallumer un feu pas encore tout à fait éteint.
La disette auxerroise
A Brest (4e, 18 points), il n'y pas le feu. Sinon de joie. Le promu ne prend plus de but depuis le 21 août dernier et accueille Saint-Etienne (3e, 18 points) dans l'autre choc de la journée qui peut également offrir à son vainqueur le trône de leader de Ligue 1. Saint-Etienne, qui s'est relancé cette semaine en Coupe de la Ligue, aimerait bien revenir tout en haut du championnat. Pour ce faire, les hommes de Galtier peuvent s'appuyer sur les statistiques. En L1, les Stéphanois sont les derniers à avoir gagné à France-Le Blé. C'était le 10 mai 1991.
Pour retrouver trace d'une victoire auxerroise à domicile, il ne faut pas remonter jusqu'au 10 mai 1991. Mais cela fait déjà un certain temps qu'Auxerre (15e, 11 points) n'a plus gagné sur ses terres. Sept matches exactement, plus longue disette de l’histoire de l'AJA à l'Abbé-Deschamps. Pour mettre fin à cette série noire, il faudra battre Nice (13e, 10 points). Un défi dans les cordes des hommes de Jean Fernandez, vainqueurs au Parc (2-3) dimanche dernier.
Arles-Avignon (20e, 2 points), qui reste sur une série de deux matches nuls, aimerait profiter de son déplacement à Lorient (16e, 11 points) pour décrocher une première victoire et continuer à rêver au maintien. Ce même maintien visé par Nancy (17e, 11 points) qui se déplace à Caen (9e, 14 points) ou Lens (19e, 9 points) qui débarque à Toulouse (5e, 17e) avec des bleus à l'âme. Mais pas seulement. Allez donc demander à Démont et Pollet.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30102010/70/ligue-1-l-om-veut-le-pouvoir.html
Et Marseille retrouve Rennes... Cinq mois après avoir décroché son neuvième titre de champion de France en battant les Bretons au Vélodrome (3-1), l'OM (2e, 18 points) croise de nouveau la route du Stade Rennais (1er, 19 points). L'enjeu est moindre. Rien de décisif cette fois-ci. Pour autant, ce choc de la 11e journée entre le leader et son dauphin pourrait marquer un premier tournant - au moins psychologique. En cas de victoire, l'OM aurait de grandes chances de prendre les commandes du championnat pour la première fois de la saison. Et ceci à une petite semaine du surmédiatisé PSG-OM. Une occasion idéale pour les Olympiens qui ont toujours marqué au Vélodrome en 2010.
A Gerland, l'Olympique Lyonnais n'est pas aussi prolifique que le champion de France 2010. Sinon, il ne serait sans doute pas embourbé à la 14e place du championnat (12 points). Bien loin de ses objectifs de début de saison. Objectifs rappelés par le président Aulas mercredi, en même temps qu'il confirmait Claude Puel dans ses fonctions. Samedi, Puel sera donc sur le banc. Mais peut-être pas encore aussi confortablement assis que JMA veut bien le dire... Tout autre résultat qu'une victoire face à Sochaux (11e, 13 points) pourrait d'ailleurs rallumer un feu pas encore tout à fait éteint.
La disette auxerroise
A Brest (4e, 18 points), il n'y pas le feu. Sinon de joie. Le promu ne prend plus de but depuis le 21 août dernier et accueille Saint-Etienne (3e, 18 points) dans l'autre choc de la journée qui peut également offrir à son vainqueur le trône de leader de Ligue 1. Saint-Etienne, qui s'est relancé cette semaine en Coupe de la Ligue, aimerait bien revenir tout en haut du championnat. Pour ce faire, les hommes de Galtier peuvent s'appuyer sur les statistiques. En L1, les Stéphanois sont les derniers à avoir gagné à France-Le Blé. C'était le 10 mai 1991.
Pour retrouver trace d'une victoire auxerroise à domicile, il ne faut pas remonter jusqu'au 10 mai 1991. Mais cela fait déjà un certain temps qu'Auxerre (15e, 11 points) n'a plus gagné sur ses terres. Sept matches exactement, plus longue disette de l’histoire de l'AJA à l'Abbé-Deschamps. Pour mettre fin à cette série noire, il faudra battre Nice (13e, 10 points). Un défi dans les cordes des hommes de Jean Fernandez, vainqueurs au Parc (2-3) dimanche dernier.
Arles-Avignon (20e, 2 points), qui reste sur une série de deux matches nuls, aimerait profiter de son déplacement à Lorient (16e, 11 points) pour décrocher une première victoire et continuer à rêver au maintien. Ce même maintien visé par Nancy (17e, 11 points) qui se déplace à Caen (9e, 14 points) ou Lens (19e, 9 points) qui débarque à Toulouse (5e, 17e) avec des bleus à l'âme. Mais pas seulement. Allez donc demander à Démont et Pollet.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/30102010/70/ligue-1-l-om-veut-le-pouvoir.html
Sedan à la fête
Large vainqueur à domicile de Vannes (4-0) lors de la 13e journée, Sedan s'est emparé de la tête du classement de Ligue 2. Les Ardennais devancent Le Mans, tenu en échec au Havre (1-1), à la différence de buts. Troisième à un point, Tours recevra Châteauroux lundi (20h30).
Sedan a connu une vraie soirée de gala, devant près de 20.000 spectateurs, soit plus du double de l'affluence habituelle, venus fêter les 10 ans du stade Louis Dugauguez. D'abord tendus et apprêtés, parfois en difficulté face aux attaques de Vannes, les Sedanais ont finalement livré un festival offensif avec Fauvergue, Allart et un doublé de Karaboué.
Au Havre, Le Mans avait bien entamé sa série de matches à risques susceptibles d'affirmer son rang ou de ramener l'équipe à terre, grâce à l'ouverture du score par Helstad en fin de première période. Mais les Havrais ont égalisé au retour des vestiaires par Mesloub, et malgré de bons mouvements des deux côtés, le score n'a plus évolué. Passé de la 10e à la 1re place en 4 journées grâce à une série de quatre victoires, Le Mans redescend à la 2e place, à égalité de points avec Sedan (23 pts).
Angers se venge sur Troyes
Autre candidat à la première marche du podium avant cette soirée, Troyes, déjà rentré dans le rang avec trois matches nuls, a subi la pression d'Angers (3-0), qui s'est ainsi parfaitement remis de la fessée que Le Mans lui avait infligée (3-1) à domicile lors de la dernière journée. Au Nord, Boulogne a conservé son titre de dernier club invaincu de la L2 face à Reims (1-0), et semblait en passe de consolider encore un peu plus sa couronne de roi du nul (10 lors des 12 précédentes journées), jusqu'à ce que Soumaré intervienne à 10 minutes de la fin du match.
A Clermont, Metz n'a pas réussi à se donner de l'air (1-1), laissant les Auvergnats revenir au score contre le cours du jeu en 2e période. Les Messins stagnent à la 17e place, à la limite de la relégation, dans un bas de tableau qui n'a pas bougé lors de cette journée. Troisième à 1 point de la tête du classement, Tours, qui reçoit Châteauroux lundi soir pour le match décalé de cette 13 journée, peut reprendre la main. Mais les Tourangeaux devront espérer le réveil de leur buteur Guie Guie, et se méfier d'une équipe de Châteauroux souvent imprévisible.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/29102010/70/ligue-2-sedan-a-la-fete.html
Sedan a connu une vraie soirée de gala, devant près de 20.000 spectateurs, soit plus du double de l'affluence habituelle, venus fêter les 10 ans du stade Louis Dugauguez. D'abord tendus et apprêtés, parfois en difficulté face aux attaques de Vannes, les Sedanais ont finalement livré un festival offensif avec Fauvergue, Allart et un doublé de Karaboué.
Au Havre, Le Mans avait bien entamé sa série de matches à risques susceptibles d'affirmer son rang ou de ramener l'équipe à terre, grâce à l'ouverture du score par Helstad en fin de première période. Mais les Havrais ont égalisé au retour des vestiaires par Mesloub, et malgré de bons mouvements des deux côtés, le score n'a plus évolué. Passé de la 10e à la 1re place en 4 journées grâce à une série de quatre victoires, Le Mans redescend à la 2e place, à égalité de points avec Sedan (23 pts).
Angers se venge sur Troyes
Autre candidat à la première marche du podium avant cette soirée, Troyes, déjà rentré dans le rang avec trois matches nuls, a subi la pression d'Angers (3-0), qui s'est ainsi parfaitement remis de la fessée que Le Mans lui avait infligée (3-1) à domicile lors de la dernière journée. Au Nord, Boulogne a conservé son titre de dernier club invaincu de la L2 face à Reims (1-0), et semblait en passe de consolider encore un peu plus sa couronne de roi du nul (10 lors des 12 précédentes journées), jusqu'à ce que Soumaré intervienne à 10 minutes de la fin du match.
A Clermont, Metz n'a pas réussi à se donner de l'air (1-1), laissant les Auvergnats revenir au score contre le cours du jeu en 2e période. Les Messins stagnent à la 17e place, à la limite de la relégation, dans un bas de tableau qui n'a pas bougé lors de cette journée. Troisième à 1 point de la tête du classement, Tours, qui reçoit Châteauroux lundi soir pour le match décalé de cette 13 journée, peut reprendre la main. Mais les Tourangeaux devront espérer le réveil de leur buteur Guie Guie, et se méfier d'une équipe de Châteauroux souvent imprévisible.
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vendredi 29 octobre 2010
Ben Arfa garde la pêche
Il n’y a pas une semaine sans avoir des nouvelles de la convalescence d’Hatem Ben Arfa. Comme nous l’évoquions la semaine dernière, l’opération du milieu de terrain de Newcastle s’est bien passé et HBA va devoir cravacher pour revenir à son meilleur niveau. Comme prévu, il va rester 3 semaines à Tunis chez ses grands-parents pour se ressourcer.
Interrogé par Le Parisien, son conseiller Michel Ouazine témoigne de moral retrouvé de son protégé et la raison pour laquelle il a choisi de passer quelques semaines loin de la grisaille anglaise. « Il a vraiment le moral. Il a la pêche et relativise. Sa blessure évolue bien et pour Hatem, tout se passe parfaitement dans ce contexte familial. C’est l’endroit idéal pour lui. »
http://www.footmercato.net/ben-arfa-garde-la-peche_57239
Interrogé par Le Parisien, son conseiller Michel Ouazine témoigne de moral retrouvé de son protégé et la raison pour laquelle il a choisi de passer quelques semaines loin de la grisaille anglaise. « Il a vraiment le moral. Il a la pêche et relativise. Sa blessure évolue bien et pour Hatem, tout se passe parfaitement dans ce contexte familial. C’est l’endroit idéal pour lui. »
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OL : l’agent de Lisandro ouvre la porte à un départ !
L’heure est grave du côté de l’Olympique Lyonnais. Quatorzièmes au classement du championnat de France de Ligue 1, les Gones n’ont plus le droit à l’erreur et doivent désormais enchaîner les bonnes performances, sous peine de se retrouver dans une situation plus que délicate dans les semaines à venir. Ayant opéré un remaniement en interne pour parvenir à leurs fins, les Rhodaniens savent que leur salut passe avant tout par un retour en forme de ses tauliers et en premier lieu, de Lisandro Lopez.
Véritable chouchou du public lyonnais, l’attaquant argentin a porté à bout de bras son équipe la saison passée. Généreux dans l’effort, adroit devant le but et véritable moteur dans la vie du groupe, le numéro 9 s’est rapidement imposé comme étant un élément incontournable dans la capitale des Gaules. Seulement, la vérité d’un jour n’est que très rarement celle du lendemain dans le milieu du football, et il semblerait que l’ancien joueur du FC Porto ne soit plus disposé à faire les mêmes efforts pour le bien du collectif.
Après une préparation estivale tronquée, un malaise s’est semble-t-il installé entre celui qui a été élu meilleur joueur du championnat de France la saison passée et l’encadrement rhodanien. Pas forcément sur la même longueur d’ondes que Claude Puel durant le stage de Tignes, l’avant-centre est apparu agacé. Et forcément, alors que son début de saison a été gâché par cet été compliqué, Licha s’est retrouvé à la une des gazettes. Car outre-Manche, il semblerait que Liverpool fasse le forcing pour s’attacher ses services.
Une rumeur qui devait à priori en rester là, tant l’OL a besoin de Lisandro Lopez aujourd’hui. Mais il se murmure que les Gones pourraient bien prendre tout le monde à contre-pied sur ce dossier. Ainsi, selon le Daily Mirror, le septuple champion de France serait prêt à négocier un départ de sa star dans les prochaines semaines. Une information d’ailleurs confirmée par l’agent du joueur, Fernando Hidalgo : « Il est heureux à Lyon, mais si une proposition importante arrive, ça pourrait tout changer ».
Une aubaine pour les Reds de Liverpool, qui seraient prêts à mettre sur la table un chèque de 20 M€. Une somme qui pourrait bien s’avérer insuffisante pour Jean-Michel Aulas, qui avait investi 24 M€ (auquel s’ajoute 4 M€ de bonus) il y a de cela un peu plus de 12 mois. Reste qu’une offre supérieure à celle déboursée par l’OL pourrait bien faire changer d’avis l’omnipotent président. Voilà en tout cas une nouvelle qui pourrait assombrir le ciel déjà bien sombre de la deuxième ville de France. Mais toujours est-il que Lisandro Lopez est aujourd’hui un élément indispensable au bon fonctionnement de l’Olympique Lyonnais. Un départ du serial buteur argentin dès le mercato hivernal apparaît donc malgré tout peu probable. Reste que, si la situation sportive des Gones ne s’améliore guère, un transfert pourrait alors bien être à l’ordre du jour.
http://www.footmercato.net/premier-league/transferts/ol-l-agent-de-lisandro-ouvre-la-porte-a-un-depart_57395
Véritable chouchou du public lyonnais, l’attaquant argentin a porté à bout de bras son équipe la saison passée. Généreux dans l’effort, adroit devant le but et véritable moteur dans la vie du groupe, le numéro 9 s’est rapidement imposé comme étant un élément incontournable dans la capitale des Gaules. Seulement, la vérité d’un jour n’est que très rarement celle du lendemain dans le milieu du football, et il semblerait que l’ancien joueur du FC Porto ne soit plus disposé à faire les mêmes efforts pour le bien du collectif.
Après une préparation estivale tronquée, un malaise s’est semble-t-il installé entre celui qui a été élu meilleur joueur du championnat de France la saison passée et l’encadrement rhodanien. Pas forcément sur la même longueur d’ondes que Claude Puel durant le stage de Tignes, l’avant-centre est apparu agacé. Et forcément, alors que son début de saison a été gâché par cet été compliqué, Licha s’est retrouvé à la une des gazettes. Car outre-Manche, il semblerait que Liverpool fasse le forcing pour s’attacher ses services.
Une rumeur qui devait à priori en rester là, tant l’OL a besoin de Lisandro Lopez aujourd’hui. Mais il se murmure que les Gones pourraient bien prendre tout le monde à contre-pied sur ce dossier. Ainsi, selon le Daily Mirror, le septuple champion de France serait prêt à négocier un départ de sa star dans les prochaines semaines. Une information d’ailleurs confirmée par l’agent du joueur, Fernando Hidalgo : « Il est heureux à Lyon, mais si une proposition importante arrive, ça pourrait tout changer ».
Une aubaine pour les Reds de Liverpool, qui seraient prêts à mettre sur la table un chèque de 20 M€. Une somme qui pourrait bien s’avérer insuffisante pour Jean-Michel Aulas, qui avait investi 24 M€ (auquel s’ajoute 4 M€ de bonus) il y a de cela un peu plus de 12 mois. Reste qu’une offre supérieure à celle déboursée par l’OL pourrait bien faire changer d’avis l’omnipotent président. Voilà en tout cas une nouvelle qui pourrait assombrir le ciel déjà bien sombre de la deuxième ville de France. Mais toujours est-il que Lisandro Lopez est aujourd’hui un élément indispensable au bon fonctionnement de l’Olympique Lyonnais. Un départ du serial buteur argentin dès le mercato hivernal apparaît donc malgré tout peu probable. Reste que, si la situation sportive des Gones ne s’améliore guère, un transfert pourrait alors bien être à l’ordre du jour.
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Ribéry prévoit son retour dans une semaine
Le joueur du Bayern se voit sur le banc le 6 novembre contre Mönchengladbach...
Franck Ribéry ne parle pas encore d'un retour sur les pelouses de Bundesliga, la semaine prochaine contre Monchengladbach. Mais au moins de retrouver sa place sur le banc. L’attaquant des Bleus a annoncé dans la presse allemande son retour pour le 6 novembre.
«Je crois que la probabilité est grande que je sois sur le banc la semaine prochaine. Mais contre Nuremberg (le week-end suivant), je veux à tout prix jouer», claironne Francky, blessé depuis le 21 septembre au ligament externe de la cheville droite.
De retour à l'entraînement lundi
L’international français, qui ne ressentirait plus aucune douleur, n’a pourtant pas repris l’entraînement. Il devrait renouer avec les séances de Louis Van Gaal la semaine prochaine. Pas sûr que le «Pélican» du Bayern prenne le risque d’aligner trop vite son milieu offensif convalescent.
http://www.20minutes.fr/article/615417/sports-ribery-prevoit-retour-semaine
Franck Ribéry ne parle pas encore d'un retour sur les pelouses de Bundesliga, la semaine prochaine contre Monchengladbach. Mais au moins de retrouver sa place sur le banc. L’attaquant des Bleus a annoncé dans la presse allemande son retour pour le 6 novembre.
«Je crois que la probabilité est grande que je sois sur le banc la semaine prochaine. Mais contre Nuremberg (le week-end suivant), je veux à tout prix jouer», claironne Francky, blessé depuis le 21 septembre au ligament externe de la cheville droite.
De retour à l'entraînement lundi
L’international français, qui ne ressentirait plus aucune douleur, n’a pourtant pas repris l’entraînement. Il devrait renouer avec les séances de Louis Van Gaal la semaine prochaine. Pas sûr que le «Pélican» du Bayern prenne le risque d’aligner trop vite son milieu offensif convalescent.
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Zidane n'ira pas sur le banc
Le directeur général du Real Madrid, Jorge Valdano, a confirmé jeudi que Zinédine Zidane allait apporter plus directement son expérience à l'équipe espagnole, notamment lors des matches de Ligue des champions. Mais Zizou ne prendra pas place sur le banc de touche à côté de José Mourinho.
Quel sera le nouveau rôle de Zinédine Zidane au Real Madrid ? Jorge Valdano a enfin levé une partie du voile, jeudi. "Nous allons découvrir au fur et à mesure de la saison en participant à l'aventure footballistique du club cette saison. Il nous accompagnera lors de tous les matches de Ligue des champions, et parfois en championnat", a annoncé le directeur général du club merengue. "Il ne va pas s'asseoir sur le banc mais il aidera Mourinho dans ses relations avec l'équipe. Pas dans un aspect technique, mais en apportant son expérience et en étant proche de l'entraîneur et des joueurs", a-t-il précisé.
A Milan avec le Real
Le site du journal Marca avait révélé mercredi une rencontre à Valdebebas (le centre d'entraînement du Real Madrid) entre Zidane, Mourinho et Florentino Perez, le président du club, pour parler des futures tâches du Français au sein du club. José Mourinho, qui a émis en premier le souhait de voire Zidane se rapprocher de l'équipe première, avait récemment fait savoir qu'un accord avec le Français était sur le point d'aboutir. "Quand nous aurons pris une décision, nous vous le ferons savoir. Mais je pressens que Zizou est sur le point d'être lié à l'équipe professionnelle", avait-il déclaré à la veille du match aller contre l'AC Milan en Ligue des champions (victoire 2-0).
Zinédine Zidane, ancien meneur de jeu du Real, à la retraite depuis 2006, avait auparavant annoncé qu'il allait "collaborer" avec José Mourinho. "Je serai le lien entre l'équipe première et le président. Ca m'arrange parce que je voulais rentrer un peu plus dans ce qui est la structure du club", avait souligné Zidane, conseiller de Florentino Perez depuis le 1er juin 2009. Le 3 novembre, Zidane fera donc bien le voyage à Milan en Ligue des Champions. Mais il ne s'assoira pas de tout de suite à côté de José Mourinho.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28102010/70/ligue-des-champions-zidane-n-ira-pas-sur-le-banc.html
Quel sera le nouveau rôle de Zinédine Zidane au Real Madrid ? Jorge Valdano a enfin levé une partie du voile, jeudi. "Nous allons découvrir au fur et à mesure de la saison en participant à l'aventure footballistique du club cette saison. Il nous accompagnera lors de tous les matches de Ligue des champions, et parfois en championnat", a annoncé le directeur général du club merengue. "Il ne va pas s'asseoir sur le banc mais il aidera Mourinho dans ses relations avec l'équipe. Pas dans un aspect technique, mais en apportant son expérience et en étant proche de l'entraîneur et des joueurs", a-t-il précisé.
A Milan avec le Real
Le site du journal Marca avait révélé mercredi une rencontre à Valdebebas (le centre d'entraînement du Real Madrid) entre Zidane, Mourinho et Florentino Perez, le président du club, pour parler des futures tâches du Français au sein du club. José Mourinho, qui a émis en premier le souhait de voire Zidane se rapprocher de l'équipe première, avait récemment fait savoir qu'un accord avec le Français était sur le point d'aboutir. "Quand nous aurons pris une décision, nous vous le ferons savoir. Mais je pressens que Zizou est sur le point d'être lié à l'équipe professionnelle", avait-il déclaré à la veille du match aller contre l'AC Milan en Ligue des champions (victoire 2-0).
Zinédine Zidane, ancien meneur de jeu du Real, à la retraite depuis 2006, avait auparavant annoncé qu'il allait "collaborer" avec José Mourinho. "Je serai le lien entre l'équipe première et le président. Ca m'arrange parce que je voulais rentrer un peu plus dans ce qui est la structure du club", avait souligné Zidane, conseiller de Florentino Perez depuis le 1er juin 2009. Le 3 novembre, Zidane fera donc bien le voyage à Milan en Ligue des Champions. Mais il ne s'assoira pas de tout de suite à côté de José Mourinho.
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jeudi 28 octobre 2010
Marseille et Paris s'évitent
Marseille, qui accueillera Monaco, et le Paris SG, qui se déplacera à Valenciennes, s'éviteront en quarts de finale de la Coupe de la Ligue (9 et 10 novembre) dont le tirage au sort a eu lieu mercredi à Lyon, après la qualification héroïque du PSG face à l'OL (2-1 a.p.)
"On va se déplacer, c'est pas grave. Antoine Kombouaré va nous donner des tuyaux", a réagit Ludovic Giuly. Il s'agira, en effet, des retrouvailles entre l'entraîneur du PSG et le club qu'il a entraîné jusqu'en 2009. "Je connais bien l'équipe. Ils vont vouloir nous montrer qu'ils ont de bons joueurs", a ensuite assuré le Néo-Calédonien alors que les Nordistes sont plutôt à leur aise à domicile.
Qualifié plus tôt à Guingamp (1-0), le tenant du trophée marseillais a hérité d'un tirage au sort encore plus généreux puisque Monaco est actuellement en crise en championnat et a eu toutes les peines du monde à repousser Lorient aux tirs au but (5-3, 1-1 a.p.).
Enfin, Saint-Etienne devra se rendre à Auxerre pendant que Montpellier aura l'avantage d'acceuillir Lille. Les Héraultais ayant été éliminé de l'Europa League dès le tour préliminaire, aucun quart de finale n'opposera deux équipes toujours européennes.
Les quarts de finale (9 et 10 novembre)
Auxerre (L1) - Saint-Etienne (L1)
Valenciennes (L1) - Paris SG (L1)
Marseille (L1) - Monaco (L1)
Montpellier (L1) - Lille (L1)
http://fr.sports.yahoo.com/27102010/70/coupe-de-la-ligue-marseille-et-paris-s-evitent.html
"On va se déplacer, c'est pas grave. Antoine Kombouaré va nous donner des tuyaux", a réagit Ludovic Giuly. Il s'agira, en effet, des retrouvailles entre l'entraîneur du PSG et le club qu'il a entraîné jusqu'en 2009. "Je connais bien l'équipe. Ils vont vouloir nous montrer qu'ils ont de bons joueurs", a ensuite assuré le Néo-Calédonien alors que les Nordistes sont plutôt à leur aise à domicile.
Qualifié plus tôt à Guingamp (1-0), le tenant du trophée marseillais a hérité d'un tirage au sort encore plus généreux puisque Monaco est actuellement en crise en championnat et a eu toutes les peines du monde à repousser Lorient aux tirs au but (5-3, 1-1 a.p.).
Enfin, Saint-Etienne devra se rendre à Auxerre pendant que Montpellier aura l'avantage d'acceuillir Lille. Les Héraultais ayant été éliminé de l'Europa League dès le tour préliminaire, aucun quart de finale n'opposera deux équipes toujours européennes.
Les quarts de finale (9 et 10 novembre)
Auxerre (L1) - Saint-Etienne (L1)
Valenciennes (L1) - Paris SG (L1)
Marseille (L1) - Monaco (L1)
Montpellier (L1) - Lille (L1)
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Puel reste en place
Jean-Michel Aulas a annoncé que Claude Puel était maintenu à son poste d'entraineur de Lyon après la défaite face au PSG (1-2 a.p.) en 8e de finale de la Coupe de la Ligue. "C’est une décision qui compte pour la saison, mais qui sera soumise aux prochains résultats", a précisé le président de l'OL.
Claude Puel reste l'entraineur de Lyon. Malgré le piètre nul à Arles-Avignon (1-1) dimanche et la 14e place en championnat, malgré l'élimination en 8e de finale de la Coupe de la Ligue face au PSG (1-2 a.p.) et les banderoles "Puel démission" déployées à Gerland hier soir, Jean-Michel Aulas a maintenu le technicien rhodanien à son poste. "Le conseil d’administration s’est réuni cet après-midi. Il a été pris un certain nombre de décisions. Le bilan en championnat est décevant. Au travers de ces résultats, nous avons décidé de maintenir le staff lyonnais en place", a déclaré le président de Lyon à l'issue de la rencontre. "C’est une décision qui compte pour la saison, mais qui sera soumise aux prochains résultats", a cependant ajouté JMA.
Aulas a également confirmé son rapprochement du terrain, entamé il y a un mois après la défaite face à Saint-Etienne lors du derby à Gerland (0-1). "Le conseil d'administration m'a demandé de me rapprocher un peu plus du terrain comme je l'ai fait depuis quatre semaines. Nous voyons qu'il y a des améliorations sensibles dans le jeu malgré la défaite concédée ce mercredi soir. Nous voyons des progrès", a estimé l'homme fort de l'OL, à l'instar de Bernard Lacombe. "L'OL avait sans doute disputé son meilleur match de la saison contre Paris SG. Après cette performance, on ne peut qu'être confiant pour la suite", a indiqué le conseiller du président lyonnais."Certaines choses sont en train d'évoluer positivement. Les joueurs ont besoin de confiance mais répondent à l'attente qui est la nôtre", a ajouté Aulas. "Les objectifs vont être rappelés, nous allons tenir la barre ferme. Bernard (Lacombe) va continuer avec moi, à apporter des réflexions qui nous permettent d’avancer, de mieux échanger. Tout reste possible en championnat, et en Champions League on connaît notre parcours", a-t-il conclu.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28102010/70/coupe-de-la-ligue-puel-reste-en-place.html
Claude Puel reste l'entraineur de Lyon. Malgré le piètre nul à Arles-Avignon (1-1) dimanche et la 14e place en championnat, malgré l'élimination en 8e de finale de la Coupe de la Ligue face au PSG (1-2 a.p.) et les banderoles "Puel démission" déployées à Gerland hier soir, Jean-Michel Aulas a maintenu le technicien rhodanien à son poste. "Le conseil d’administration s’est réuni cet après-midi. Il a été pris un certain nombre de décisions. Le bilan en championnat est décevant. Au travers de ces résultats, nous avons décidé de maintenir le staff lyonnais en place", a déclaré le président de Lyon à l'issue de la rencontre. "C’est une décision qui compte pour la saison, mais qui sera soumise aux prochains résultats", a cependant ajouté JMA.
Aulas a également confirmé son rapprochement du terrain, entamé il y a un mois après la défaite face à Saint-Etienne lors du derby à Gerland (0-1). "Le conseil d'administration m'a demandé de me rapprocher un peu plus du terrain comme je l'ai fait depuis quatre semaines. Nous voyons qu'il y a des améliorations sensibles dans le jeu malgré la défaite concédée ce mercredi soir. Nous voyons des progrès", a estimé l'homme fort de l'OL, à l'instar de Bernard Lacombe. "L'OL avait sans doute disputé son meilleur match de la saison contre Paris SG. Après cette performance, on ne peut qu'être confiant pour la suite", a indiqué le conseiller du président lyonnais."Certaines choses sont en train d'évoluer positivement. Les joueurs ont besoin de confiance mais répondent à l'attente qui est la nôtre", a ajouté Aulas. "Les objectifs vont être rappelés, nous allons tenir la barre ferme. Bernard (Lacombe) va continuer avec moi, à apporter des réflexions qui nous permettent d’avancer, de mieux échanger. Tout reste possible en championnat, et en Champions League on connaît notre parcours", a-t-il conclu.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28102010/70/coupe-de-la-ligue-puel-reste-en-place.html
Paris renverse Lyon
Au terme d'un match fou, le PSG a battu Lyon à Gerland (1-2 a.p.) en 8e de finale de la Coupe de la Ligue. Mené au score sur un but de Briand (38e), Paris a renversé la situation grâce à Bodmer (86e) et Giuly (101e).
LYON - PSG : 1-2
Buts : Briand (38e) pour Lyon - Bodmer (86e) et Giuly (101e) pour le PSG
L'affiche des huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue a tenu ses promesses. Tour à tour dominateurs, Lyonnais et Parisiens ont tout donné pour enlever la décision. Au terme d'une rencontre débridée, les joueurs du PSG, plus mordants en prolongation, s'imposent sur le fil (1-2) et valident le dernier billet pour les quarts de finale. Du côté de l'OL, la déception sera forcément grande mais n'influera pas sur l'avenir de Claude Puel, comme l'a confirmé après la rencontre Jean-Michel Aulas. Serein et confiant comme à son habitude, le coach des Gones avait décidé de faire souffler ses titulaires habituels pour cette rencontre très attendue.
Son homologue parisien Antoine Kombouaré a fait de même mais les joueurs choisis, eux, ne se sont posé aucune question. Partie très fort, la rencontre a vite tourné à l'avantage des Lyonnais, favorisés par un effectif plus riche. Les jeunes mais talentueux locaux, n'ont pas tardé à faire parler la poudre. Pjanic (2e), Pied (4e), Gomis (8e), Briand (10e), Gonalons (16e) ont tour à tour tenté leur chance mais tous manqué de précision. Fébrile au milieu à cause d'un trio Chantôme-Bodmer-Clement décevant, le PSG aurait pu ouvrir le score sur sa première occasion mais Vercoutre a repoussé la frappe de Sessegnon (33e). De retour dans le but parisien, Coupet, lui n'a rien pu sur le tir de Briand, dévié par Camara dans l'axe (1-0, 38e). Déchaînés après ce troisième but en trois matches de Briand, les Lyonnais auraient pu, et même dû, doubler la mise avant la pause par Gomis (41e) puis Pjanic (45e) mais Coupet et Jallet ont contré leurs tentatives.
Bodmer se rachète
Souverains en première période, les joueurs de Puel ont curieusement reculé ensuite. Dans le même temps, leurs adversaires se sont montrés plus combatifs et plus solidaires et ont commencé à relever la tête. Pendant que les Lyonnais se contentaient de quelques bons contres, les Parisiens sont devenus de plus en plus menaçants. Ils auraient pu obtenir un penalty pour une main de Lovren dans sa surface mais l'arbitre en a décidé autrement (75e). Les spectateurs de Gerland ont ensuite eu droit à une fin de match à couper le souffle. Hoarau a trouvé le poteau sur une frappe en pivot (76e), Giuly est entré en jeu (78e), le tir de Pied s'est écrasé sur la barre de Coupet (80e), celui de Pjanic a fini sur le poteau droit de l'ancien gardien des Gones (83e).
Coupable d'une mauvaise passe avant le but lyonnais en première période et longtemps décevant, Bodmer est venu sanctionner un dégagement raté de Gassama dans l'axe pour offrir l'égalisation au PSG et inscrire son premier but sous ses nouvelles couleurs (1-1, 86e). Juste avant la fin du temps réglementaire, Giuly, autre ancien Lyonnais, aurait pu donner la victoire aux visiteurs mais Vercoutre a repoussé sa tête décroisée (90e+1). L'ancien Barcelonais est revenu à la charge en prolongation et a trouvé le chemin des filets d'une puissante reprise à bout portant après un coup franc de Ceara sur la barre et un excellent travail de Luyindula (1-2, 101e). Malgré les apports de Gourcuff et de Lisandro et toute leur volonté, les Lyonnais n'ont pas pu revenir dans le match. Une nouvelle frustration après leur triste nul à Arles-Avignon (1-1) le week-end dernier en championnat.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28102010/70/coupe-de-la-ligue-paris-renverse-lyon.html
LYON - PSG : 1-2
Buts : Briand (38e) pour Lyon - Bodmer (86e) et Giuly (101e) pour le PSG
L'affiche des huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue a tenu ses promesses. Tour à tour dominateurs, Lyonnais et Parisiens ont tout donné pour enlever la décision. Au terme d'une rencontre débridée, les joueurs du PSG, plus mordants en prolongation, s'imposent sur le fil (1-2) et valident le dernier billet pour les quarts de finale. Du côté de l'OL, la déception sera forcément grande mais n'influera pas sur l'avenir de Claude Puel, comme l'a confirmé après la rencontre Jean-Michel Aulas. Serein et confiant comme à son habitude, le coach des Gones avait décidé de faire souffler ses titulaires habituels pour cette rencontre très attendue.
Son homologue parisien Antoine Kombouaré a fait de même mais les joueurs choisis, eux, ne se sont posé aucune question. Partie très fort, la rencontre a vite tourné à l'avantage des Lyonnais, favorisés par un effectif plus riche. Les jeunes mais talentueux locaux, n'ont pas tardé à faire parler la poudre. Pjanic (2e), Pied (4e), Gomis (8e), Briand (10e), Gonalons (16e) ont tour à tour tenté leur chance mais tous manqué de précision. Fébrile au milieu à cause d'un trio Chantôme-Bodmer-Clement décevant, le PSG aurait pu ouvrir le score sur sa première occasion mais Vercoutre a repoussé la frappe de Sessegnon (33e). De retour dans le but parisien, Coupet, lui n'a rien pu sur le tir de Briand, dévié par Camara dans l'axe (1-0, 38e). Déchaînés après ce troisième but en trois matches de Briand, les Lyonnais auraient pu, et même dû, doubler la mise avant la pause par Gomis (41e) puis Pjanic (45e) mais Coupet et Jallet ont contré leurs tentatives.
Bodmer se rachète
Souverains en première période, les joueurs de Puel ont curieusement reculé ensuite. Dans le même temps, leurs adversaires se sont montrés plus combatifs et plus solidaires et ont commencé à relever la tête. Pendant que les Lyonnais se contentaient de quelques bons contres, les Parisiens sont devenus de plus en plus menaçants. Ils auraient pu obtenir un penalty pour une main de Lovren dans sa surface mais l'arbitre en a décidé autrement (75e). Les spectateurs de Gerland ont ensuite eu droit à une fin de match à couper le souffle. Hoarau a trouvé le poteau sur une frappe en pivot (76e), Giuly est entré en jeu (78e), le tir de Pied s'est écrasé sur la barre de Coupet (80e), celui de Pjanic a fini sur le poteau droit de l'ancien gardien des Gones (83e).
Coupable d'une mauvaise passe avant le but lyonnais en première période et longtemps décevant, Bodmer est venu sanctionner un dégagement raté de Gassama dans l'axe pour offrir l'égalisation au PSG et inscrire son premier but sous ses nouvelles couleurs (1-1, 86e). Juste avant la fin du temps réglementaire, Giuly, autre ancien Lyonnais, aurait pu donner la victoire aux visiteurs mais Vercoutre a repoussé sa tête décroisée (90e+1). L'ancien Barcelonais est revenu à la charge en prolongation et a trouvé le chemin des filets d'une puissante reprise à bout portant après un coup franc de Ceara sur la barre et un excellent travail de Luyindula (1-2, 101e). Malgré les apports de Gourcuff et de Lisandro et toute leur volonté, les Lyonnais n'ont pas pu revenir dans le match. Une nouvelle frustration après leur triste nul à Arles-Avignon (1-1) le week-end dernier en championnat.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/28102010/70/coupe-de-la-ligue-paris-renverse-lyon.html
mercredi 27 octobre 2010
SUIVEZ LYON PSG en live ici
Une affiche de gala pour
relancer la machine
Lyon PSGen direct ici en cliquant sur ce lien à partir de 20H45
Guingamp Marseille en live ici
Suivez le match Guingamp en direct ici en cliquant sur ce lien à partir de 17H00
L'OM ne veut pas lâcher son trophée
En démarrant le championnat par deux défaites contre Caen (1-2) et Valenciennes (2-3), l'Olympique de Marseille a vécu un début de mois d'août difficile après un mercato agité. Plutôt fébriles en Ligue des Champions avec trois points en trois journées, les Olympiens ont suscité de nombreuses interrogations, mais force est de constater que le mental des Marseillais est toujours l'un de leurs points forts puisque l'OM est actuellement 2e de Ligue 1 après dix journées, à un point du leader Rennes.
Le club phocéen compte bien prolonger sa série en cours de trois victoires d'affilée contre Guingamp en 8e de finale de la Coupe de la Ligue. «Même si c'est une autre compétition, on se déplace en Bretagne, avec certes un autre onze de départ, mais avec un seul objectif : se qualifier», a expliqué Didier Deschamps, qui devrait faire tourner son effectif et laisser ses titulaires habituels souffler un peu avant le choc de samedi contre le Stade Rennais. Le technicien phocéen sait très bien que son équipe a l'occasion de prendre la tête du classement le week-end prochain.
Deschamps n'a pas oublié
Mais l'entraîneur marseillais n'a pas oublié que le succès de l'an passé dans cette compétition (3-1 contre Bordeaux en finale) avait placé sa formation sur de bons rails pour remporter le championnat. «Pour ceux qui étaient là l'an dernier, c'est surtout ne pas oublier ce que nous a procuré cette compétition, à travers le succès au Stade de France. (...) Cette victoire nous a boosté et a donné de la sérénité pour finir le championnat en boulet de canon. Cette compétition a été importante dans l'acquisition du titre de champion de France.»
Marseille compte bien défendre son trophée jusqu'au bout. Pour cela il faudra d'abord s'imposer en Bretagne. «C'est une formation qui joue bien au ballon. Il ne faut pas les sous-estimer parce qu'ils sont dans une division inférieure. C'est là qu'il faut vraiment avoir beaucoup d'envie pour ne pas être surpris. Ça va être très difficile», a confié André Ayew, qui a rencontré Guingamp la saison passée sous le maillot d'Arles-Avignon en L2. Avec une équipe remaniée, l'OM a donc l'occasion d'emmagasiner de la confiance avant de viser le fauteuil de leader de la L1 samedi.
Les compos probables :
Guingamp : Samassa - Ringayen, Koné, Bassila, Lévèque - Diallo, Mathis, Ogunbiyi, Giresse - Knockaert, Soly.
Marseille : Andrade - Kaboré, N'Diaye, Diawara, Taiwo - Abriel, Cissé, Cheyrou - J. Ayew, Brandao, A. Ayew
http://www.maxifoot.fr/football/article-10849.htm
Le club phocéen compte bien prolonger sa série en cours de trois victoires d'affilée contre Guingamp en 8e de finale de la Coupe de la Ligue. «Même si c'est une autre compétition, on se déplace en Bretagne, avec certes un autre onze de départ, mais avec un seul objectif : se qualifier», a expliqué Didier Deschamps, qui devrait faire tourner son effectif et laisser ses titulaires habituels souffler un peu avant le choc de samedi contre le Stade Rennais. Le technicien phocéen sait très bien que son équipe a l'occasion de prendre la tête du classement le week-end prochain.
Deschamps n'a pas oublié
Mais l'entraîneur marseillais n'a pas oublié que le succès de l'an passé dans cette compétition (3-1 contre Bordeaux en finale) avait placé sa formation sur de bons rails pour remporter le championnat. «Pour ceux qui étaient là l'an dernier, c'est surtout ne pas oublier ce que nous a procuré cette compétition, à travers le succès au Stade de France. (...) Cette victoire nous a boosté et a donné de la sérénité pour finir le championnat en boulet de canon. Cette compétition a été importante dans l'acquisition du titre de champion de France.»
Marseille compte bien défendre son trophée jusqu'au bout. Pour cela il faudra d'abord s'imposer en Bretagne. «C'est une formation qui joue bien au ballon. Il ne faut pas les sous-estimer parce qu'ils sont dans une division inférieure. C'est là qu'il faut vraiment avoir beaucoup d'envie pour ne pas être surpris. Ça va être très difficile», a confié André Ayew, qui a rencontré Guingamp la saison passée sous le maillot d'Arles-Avignon en L2. Avec une équipe remaniée, l'OM a donc l'occasion d'emmagasiner de la confiance avant de viser le fauteuil de leader de la L1 samedi.
Les compos probables :
Guingamp : Samassa - Ringayen, Koné, Bassila, Lévèque - Diallo, Mathis, Ogunbiyi, Giresse - Knockaert, Soly.
Marseille : Andrade - Kaboré, N'Diaye, Diawara, Taiwo - Abriel, Cissé, Cheyrou - J. Ayew, Brandao, A. Ayew
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OM : les 3 joueurs qui doivent convaincre Deschamps
Alors que le football français est en pleine réflexion et organise des états généraux, la Coupe de la Ligue fait son retour cette semaine. Si beaucoup souhaitent supprimer cette compétition, souvent jugée inutile et rébarbative, les cadors de Ligue 1 l’abordent d’une manière différente. C’est l’occasion pour eux de faire tourner leur effectif et de donner du temps de jeu aux éléments trop souvent relégués sur le banc. C’est notamment le raisonnement de Didier Deschamps, qui va se servir de la Coupe de la Ligue pour concerner un maximum de temps son groupe de joueurs. « Dans les semaines à venir, j’aurai besoin de tout le monde, c’est donc important pour ceux qui ont moins de temps de jeu de commencer les matches », a-t-il expliqué.
Surtout, alors que l’Olympique de Marseille n’a pas encore réellement dégagé une équipe-type, cela permet aux joueurs d’installer le doute dans l’esprit de l’entraîneur rhodanien. Ce soir, Benoît Cheyrou, Brandão ou encore Fabrice Abriel jouent gros. Pour le premier, il s’agit de démontrer qu’il peut prétendre à une place de titulaire tous les week-end en Ligue 1. Mis de côté en fin de saison dernière suite à l’éclosion de Kaboré, il a profité de la mauvaise passe du Burkinabé pour revenir dans les plans de Deschamps mais voit son poste de milieu axial gauche contesté désormais par André Ayew, peut-être le meilleur Marseillais du début de saison. Bien que titularisé à 9 reprises, Cheyrou vit donc une situation concurrentielle exacerbée.
Ce soir face à Guingamp, le gaucher devrait évoluer aux côtés de Fabrice Abriel, qui fait son retour au sein du onze de départ olympien. Ecarté par Deschamps en début de saison, l’ancien Lorientais a disparu de la circulation en début de saison, à une période où il avait été beaucoup utilisé l’année dernière, profitant des blessures de Lucho. Alors à son avantage, il était considéré comme la bonne surprise du mercato phocéen. La donne a aujourd’hui changé, et Abriel a du mal à exister dans le turnover de l’entraîneur marseillais. Il joue donc gros ce coir et une bonne performance pourrait lui permettre de retrouver du crédit aux yeux de Didier Deschamps.
Le problème est différent pour Brandão. Retenu cet été par les dirigeants phocéens, le Brésilien a vu Gignac et Rémy débarquer sur la Canebière. Avec Valbuena, les deux hommes semblent bien partis pour former le trident titulaire sur le front de l’attaque olympienne cette saison. Et ce ne sont pas les prestations très faibles de Brandão depuis le début de la saison qui doivent les inquiéter. Plus que du temps de jeu (déjà 497minutes cette saison), le Brésilien doit retrouver le chemin des filets et la confiance pour espérer devenir une alternative crédible aux nouveaux buteurs phocéens. La Coupe de la Ligue lui a bien réussi la saison dernière (deux doublés, en quart face à Saint-Etienne puis en demi-finale face à Toulouse). Pourquoi pas cette saison, histoire de pimenter la concurrence ?
http://www.footmercato.net/ligue1/om-les-3-joueurs-qui-doivent-convaincre-deschamps_57288
Surtout, alors que l’Olympique de Marseille n’a pas encore réellement dégagé une équipe-type, cela permet aux joueurs d’installer le doute dans l’esprit de l’entraîneur rhodanien. Ce soir, Benoît Cheyrou, Brandão ou encore Fabrice Abriel jouent gros. Pour le premier, il s’agit de démontrer qu’il peut prétendre à une place de titulaire tous les week-end en Ligue 1. Mis de côté en fin de saison dernière suite à l’éclosion de Kaboré, il a profité de la mauvaise passe du Burkinabé pour revenir dans les plans de Deschamps mais voit son poste de milieu axial gauche contesté désormais par André Ayew, peut-être le meilleur Marseillais du début de saison. Bien que titularisé à 9 reprises, Cheyrou vit donc une situation concurrentielle exacerbée.
Ce soir face à Guingamp, le gaucher devrait évoluer aux côtés de Fabrice Abriel, qui fait son retour au sein du onze de départ olympien. Ecarté par Deschamps en début de saison, l’ancien Lorientais a disparu de la circulation en début de saison, à une période où il avait été beaucoup utilisé l’année dernière, profitant des blessures de Lucho. Alors à son avantage, il était considéré comme la bonne surprise du mercato phocéen. La donne a aujourd’hui changé, et Abriel a du mal à exister dans le turnover de l’entraîneur marseillais. Il joue donc gros ce coir et une bonne performance pourrait lui permettre de retrouver du crédit aux yeux de Didier Deschamps.
Le problème est différent pour Brandão. Retenu cet été par les dirigeants phocéens, le Brésilien a vu Gignac et Rémy débarquer sur la Canebière. Avec Valbuena, les deux hommes semblent bien partis pour former le trident titulaire sur le front de l’attaque olympienne cette saison. Et ce ne sont pas les prestations très faibles de Brandão depuis le début de la saison qui doivent les inquiéter. Plus que du temps de jeu (déjà 497minutes cette saison), le Brésilien doit retrouver le chemin des filets et la confiance pour espérer devenir une alternative crédible aux nouveaux buteurs phocéens. La Coupe de la Ligue lui a bien réussi la saison dernière (deux doublés, en quart face à Saint-Etienne puis en demi-finale face à Toulouse). Pourquoi pas cette saison, histoire de pimenter la concurrence ?
http://www.footmercato.net/ligue1/om-les-3-joueurs-qui-doivent-convaincre-deschamps_57288
Benzema au pilori
Décidément, Karim Benzema n'y arrive pas. Titularisé mardi face à Murcie (D3) en 16e de finale de la Coupe du Roi (0-0), le Français n'a pas brillé et la presse espagnole ne l'a pas raté, mercredi matin. A l'image de Marca qui pense que le Français a peut-être laissé passer sa dernière occasion
Karim Benzema et le Real Madrid, c'est une histoire d'occasions manquées. Mardi soir, le Français avait l'opportunité de retrouver un peu de crédit aux yeux de son entraîneur, José Mourinho. Force est de constater que l'opération séduction est remise à une date ultérieure. A Murcie (0-0) en 16e de finale aller de la Coupe du Roi, l'ancien Lyonnais n'a pas vraiment réussi son énième examen de passage. Et ce matin, la presse espagnole n'y va pas de main morte. La Une de Marca est d'ailleurs en grande partie dédiée au Français et sans équivoque : "C'est mort", peut-on y lire. Le quotidien ajoute que "Benzema a manqué sa dernière (?) occasion."
Remplacé dès l'heure de jeu par... Gonzalo Higuain, Karim Benzema a une nouvelle fois déçu. Si Santiago Siguero, journaliste pour Marca.com, donne quelques circonstances atténuantes à l'international tricolore, en raison des conditions particulières de ce match, de l'adversaire qui n'avait rien d'autre à offrir qu'une défense acharnée et de la pression qui pesait sur l'attaquant, celui-ci remarque aussi que "une fois de plus, il (Benzema) a fait preuve d'un caractère apathique et indolent."
Mourinho ne fait pas "d'analyse individuelle"
Eurosport.es est à peine plus tendre avec le numéro 9 du Real Madrid. Selon le site ibère, "Benzema a porté sa croix dès les premières minutes du match, avec sa passivité habituelle (...). Pas un tir cadré, pas un démarquage et peut de tentatives pour y parvenir. Si Mourinho s'en tient à ce qu'il a dit avant ce match, Benzema ne sera pas du voyage à Alicante samedi et c'est peut-être même "mort" pour lui."
Quid de Jose Mourinho ? Qu'a pensé l'entraîneur du Real Madrid de la prestation de Karim Benzema, lui qui le sermonne régulièrement et l'avait mis en garde avant le match ? "Je ne veux pas faire d'analyse individuelle", a-t-il lancé après la rencontre. On a connu le Portugais plus loquace. Peut-être s'est-il déjà forgé une opinion définitive sur l'ancien meilleur buteur du Championnat de France, arrivé à Madrid l'été dernier pour la coquette somme de 35 millions d'euros.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/27102010/70/liga-benzema-au-pilori.html
Karim Benzema et le Real Madrid, c'est une histoire d'occasions manquées. Mardi soir, le Français avait l'opportunité de retrouver un peu de crédit aux yeux de son entraîneur, José Mourinho. Force est de constater que l'opération séduction est remise à une date ultérieure. A Murcie (0-0) en 16e de finale aller de la Coupe du Roi, l'ancien Lyonnais n'a pas vraiment réussi son énième examen de passage. Et ce matin, la presse espagnole n'y va pas de main morte. La Une de Marca est d'ailleurs en grande partie dédiée au Français et sans équivoque : "C'est mort", peut-on y lire. Le quotidien ajoute que "Benzema a manqué sa dernière (?) occasion."
Remplacé dès l'heure de jeu par... Gonzalo Higuain, Karim Benzema a une nouvelle fois déçu. Si Santiago Siguero, journaliste pour Marca.com, donne quelques circonstances atténuantes à l'international tricolore, en raison des conditions particulières de ce match, de l'adversaire qui n'avait rien d'autre à offrir qu'une défense acharnée et de la pression qui pesait sur l'attaquant, celui-ci remarque aussi que "une fois de plus, il (Benzema) a fait preuve d'un caractère apathique et indolent."
Mourinho ne fait pas "d'analyse individuelle"
Eurosport.es est à peine plus tendre avec le numéro 9 du Real Madrid. Selon le site ibère, "Benzema a porté sa croix dès les premières minutes du match, avec sa passivité habituelle (...). Pas un tir cadré, pas un démarquage et peut de tentatives pour y parvenir. Si Mourinho s'en tient à ce qu'il a dit avant ce match, Benzema ne sera pas du voyage à Alicante samedi et c'est peut-être même "mort" pour lui."
Quid de Jose Mourinho ? Qu'a pensé l'entraîneur du Real Madrid de la prestation de Karim Benzema, lui qui le sermonne régulièrement et l'avait mis en garde avant le match ? "Je ne veux pas faire d'analyse individuelle", a-t-il lancé après la rencontre. On a connu le Portugais plus loquace. Peut-être s'est-il déjà forgé une opinion définitive sur l'ancien meilleur buteur du Championnat de France, arrivé à Madrid l'été dernier pour la coquette somme de 35 millions d'euros.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/27102010/70/liga-benzema-au-pilori.html
Coupe de la Ligue - Janot écoeure Bordeaux
Saint-Etienne s'est imposé devant Bordeaux (1-0) en 8e de finale de la Coupe de la Ligue grâce à un énorme Jérémie Janot, mardi. Monaco est passé dans la douleur face à Lorient (1-1, 5-3 t.a.b.). Valenciennes a largement battu Boulogne-sur-Mer (4-0). Montpellier a sorti Ajaccio (2-0).
COUPE DE LA LIGUE, 1/8e DE FINALE
SAINT-ETIENNE-BORDEAUX : 1-0
But : N'Daw (11e) pour Saint-Etienne
Saint-Etienne a renoué avec le succès après un mois sans victoire. Les Verts le doivent en grande partie à leur ange gardien, Jérémie Janot, exceptionnel face aux Girondins lors de ce huitième de finale de Coupe de la Ligue. Payet et Landrin suspendus, Perrin, Bocanegra et Guilavogui blessés, l'ASSE ne disposait pas de toutes ses armes pour lutter face à des Bordelais en quête de rachat après la claque reçue face à Brest en championnat (0-2). Mais les hommes de Galtier ont réussi à compenser ces absences grâce à ce qui fait leur force depuis le début de la saison, le cœur.
Le cœur mais la raison aussi. Celle de Christophe Galtier, qui a eu la bonne idée de titulariser Guirane N'Daw, de retour en grâce après une avant-saison mouvementée. Sur le départ pendant le mercato, le Sénégalais avait eu des mots avec son entraîneur pendant un stage de préparation mais, à force de travail, il a su regagner la confiance de son coach. Et lui a rendu la monnaie en inscrivant le premier but du match quand, à la suite d'un déboulé de Rivière et d'un bon centre en retrait, il contrôle tranquillement le ballon avant d'ouvrir parfaitement son pied gauche (1-0, 11e). La rédemption est en marche. Euphoriques, les Stéphanois appuient là où ça fait mal face à des Girondins affaiblis par cette ouverture du score et Bergessio, d'une déviation du bout de la semelle est tout près de doubler la mise à bout portant mais Carrasso réalise une parade réflexe étonnante. C'est le premier round d'un duel à distance incroyable que vont se livrer les deux portiers.
Janot show
A ce petit jeu-là, Jérémie Janot sortira vainqueur aux points. La seconde période, qui voit les Verts reculer dangereusement dans l'espoir de placer quelques contres, se résume à un véritable récital. Envolées pleine lucarne, sorties aériennes, prises de balle sûres, arrêts réflexe, tout le manuel du parfait gardien y passe. Les attaques girondines, nombreuses et incessantes, vont se casser les dents sur cet écueil infranchissable. Pas en reste, Carrasso empêchera lui aussi les partenaires d'un bon Sako de se mettre à l'abri. N'empêche que ce sont bien ces derniers qui accèdent aux quart de finale. Saint-Denis, où les Verts n'ont jamais joué (hormis un match historique en Ligue 2 contre le Red Star), se rapproche. Le plus court chemin d'un point à un autre est la ligne droite. Pour le Stade de France et une qualification européenne, c'est la Coupe de la Ligue !
Monaco a eu chaud
Monaco pour sa part, a dû avoir recours aux tirs au but pour se qualifier et s'éviter, au moins momentanément, une crise qui couve depuis plusieurs semaines en raison de piètres résultats en Ligue 1 (18e au classement). Les Monégasques pensaient tenir leur qualification en ouvrant la marque par Hansson à la... 99e minute, en prolongation. Mais Sigamary Diarra redonnait l'espoir à Lorient (118e). Dans l'épreuve de tirs au but, les Monégasques se montraient plus adroits.
Dans les deux rencontres opposant des clubs de L1 et de L2, la hiérarchie a été respectée. Valenciennes s'est facilement imposé (4-0) aux dépens de Boulogne grâce à un triplé du Camerounais Vincent Aboubakar et Montpellier a battu Ajaccio (2-0) qui restait pourtant une bonne série de deux succès dans son championnat.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/26102010/70/coupe-de-la-ligue-janot-ecoeure-bordeaux.html
COUPE DE LA LIGUE, 1/8e DE FINALE
SAINT-ETIENNE-BORDEAUX : 1-0
But : N'Daw (11e) pour Saint-Etienne
Saint-Etienne a renoué avec le succès après un mois sans victoire. Les Verts le doivent en grande partie à leur ange gardien, Jérémie Janot, exceptionnel face aux Girondins lors de ce huitième de finale de Coupe de la Ligue. Payet et Landrin suspendus, Perrin, Bocanegra et Guilavogui blessés, l'ASSE ne disposait pas de toutes ses armes pour lutter face à des Bordelais en quête de rachat après la claque reçue face à Brest en championnat (0-2). Mais les hommes de Galtier ont réussi à compenser ces absences grâce à ce qui fait leur force depuis le début de la saison, le cœur.
Le cœur mais la raison aussi. Celle de Christophe Galtier, qui a eu la bonne idée de titulariser Guirane N'Daw, de retour en grâce après une avant-saison mouvementée. Sur le départ pendant le mercato, le Sénégalais avait eu des mots avec son entraîneur pendant un stage de préparation mais, à force de travail, il a su regagner la confiance de son coach. Et lui a rendu la monnaie en inscrivant le premier but du match quand, à la suite d'un déboulé de Rivière et d'un bon centre en retrait, il contrôle tranquillement le ballon avant d'ouvrir parfaitement son pied gauche (1-0, 11e). La rédemption est en marche. Euphoriques, les Stéphanois appuient là où ça fait mal face à des Girondins affaiblis par cette ouverture du score et Bergessio, d'une déviation du bout de la semelle est tout près de doubler la mise à bout portant mais Carrasso réalise une parade réflexe étonnante. C'est le premier round d'un duel à distance incroyable que vont se livrer les deux portiers.
Janot show
A ce petit jeu-là, Jérémie Janot sortira vainqueur aux points. La seconde période, qui voit les Verts reculer dangereusement dans l'espoir de placer quelques contres, se résume à un véritable récital. Envolées pleine lucarne, sorties aériennes, prises de balle sûres, arrêts réflexe, tout le manuel du parfait gardien y passe. Les attaques girondines, nombreuses et incessantes, vont se casser les dents sur cet écueil infranchissable. Pas en reste, Carrasso empêchera lui aussi les partenaires d'un bon Sako de se mettre à l'abri. N'empêche que ce sont bien ces derniers qui accèdent aux quart de finale. Saint-Denis, où les Verts n'ont jamais joué (hormis un match historique en Ligue 2 contre le Red Star), se rapproche. Le plus court chemin d'un point à un autre est la ligne droite. Pour le Stade de France et une qualification européenne, c'est la Coupe de la Ligue !
Monaco a eu chaud
Monaco pour sa part, a dû avoir recours aux tirs au but pour se qualifier et s'éviter, au moins momentanément, une crise qui couve depuis plusieurs semaines en raison de piètres résultats en Ligue 1 (18e au classement). Les Monégasques pensaient tenir leur qualification en ouvrant la marque par Hansson à la... 99e minute, en prolongation. Mais Sigamary Diarra redonnait l'espoir à Lorient (118e). Dans l'épreuve de tirs au but, les Monégasques se montraient plus adroits.
Dans les deux rencontres opposant des clubs de L1 et de L2, la hiérarchie a été respectée. Valenciennes s'est facilement imposé (4-0) aux dépens de Boulogne grâce à un triplé du Camerounais Vincent Aboubakar et Montpellier a battu Ajaccio (2-0) qui restait pourtant une bonne série de deux succès dans son championnat.
Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/26102010/70/coupe-de-la-ligue-janot-ecoeure-bordeaux.html
mardi 26 octobre 2010
La coupe de la ligue en live ici
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Coupe de la Ligue: Les doublures sortent du chapeau
Comme à chaque tour, plusieurs gardiens remplaçants prendront la place du titulaire lors des 8es de finale, mardi et mercredi...
S’il cherche encore des VRP pour défendre le bien fondé de sa Coupe, Frédéric Thiriez devrait faire appel à eux. Dans le monde pro, les gardiens remplaçants sont encore les meilleurs avocats d’une compétition qu’ils accueillent comme l’unique occasion de briller dans la saison. Même si toutes les doublures n’y ont pas droit, la plupart d’entre elles prennent traditionnellement la place du titulaire, le temps de ces matchs à élimination.
Un spécialiste nommé Vercoutre
Dans le genre, il y a deux types de suppléants. Les jeunes, pour qui la Coupe de la Ligue est l’occasion de se faire un nom. Et les vétérans en fin de parcours, appelés à prendre le relais d’un titulaire usé par l’accumulation des rencontres. Stéphane Cassard, qui gardera le but de Boulogne-sur-Mer à la place de Florian Bague, mardi soir, est de ceux là. «Moi, je ne joue pas ma saison là-dessus. De toute façon, ma carrière est derrière moi. Mais c’est du bonus. Ça permet de garder des joueurs sous pression pour qu’ils restent performants tous les jours. Aujourd’hui, il est rare de voir un gardien jouer toutes les rencontres.» Depuis ses années strasbourgeoises, le portier boulonnais connaît bien le jeu du roulement. En 2005, il avait laissé sa place à Vercoutre en finale, quand les Alsaciens avaient soulevé le trophée.
Cinq ans plus tard, Vercoutre est toujours remplaçant, avec son club (Lyon). Et toujours préposé aux matchs de cette compétition. Vainqueur à deux reprises de l’épreuve, le suppléant de Lloris a fait l’essentiel de sa carrière sur ces matchs du milieu de semaine. «C'est récurrent tous les ans, donc je ne suis pas étonné. Et puis, vu les matchs qu'enchaîne Hugo, c'est normal qu'il puisse souffler.
Perquis, Andrade, Pionnier
Pour Frédéric Petereyns, l’entraîneur des gardiens de Caen (opposé à Lille mercredi soir), il est capital de donner sa chance au remplaçant de temps en temps: «Chez nous, c’est établi dès le départ. Perquis joue en Coupe et Thébaux en championnat. Du coup, on sent chez lui la volonté de faire un grand match. Ça s’est indéniable.»
Au tour précédent, le procédé n’a pourtant pas vraiment porté chance à ceux qui l’ont testé. Sur sept équipes, seules deux (Boulogne et Caen) sont toujours en lice pour une place au Stade de France. En 8es, l’entrée des cadors de L1 permettra donc à Vercoutre, mais aussi Andrade (Marseille) et Pionnier (Montpellier) de jouer leur premier match de la saison. Une attraction pas inutile pour donner un peu de piment à cette compétition.
http://www.20minutes.fr/article/612447/sports-coupe-ligue-doublures-sortent-chapeau
S’il cherche encore des VRP pour défendre le bien fondé de sa Coupe, Frédéric Thiriez devrait faire appel à eux. Dans le monde pro, les gardiens remplaçants sont encore les meilleurs avocats d’une compétition qu’ils accueillent comme l’unique occasion de briller dans la saison. Même si toutes les doublures n’y ont pas droit, la plupart d’entre elles prennent traditionnellement la place du titulaire, le temps de ces matchs à élimination.
Un spécialiste nommé Vercoutre
Dans le genre, il y a deux types de suppléants. Les jeunes, pour qui la Coupe de la Ligue est l’occasion de se faire un nom. Et les vétérans en fin de parcours, appelés à prendre le relais d’un titulaire usé par l’accumulation des rencontres. Stéphane Cassard, qui gardera le but de Boulogne-sur-Mer à la place de Florian Bague, mardi soir, est de ceux là. «Moi, je ne joue pas ma saison là-dessus. De toute façon, ma carrière est derrière moi. Mais c’est du bonus. Ça permet de garder des joueurs sous pression pour qu’ils restent performants tous les jours. Aujourd’hui, il est rare de voir un gardien jouer toutes les rencontres.» Depuis ses années strasbourgeoises, le portier boulonnais connaît bien le jeu du roulement. En 2005, il avait laissé sa place à Vercoutre en finale, quand les Alsaciens avaient soulevé le trophée.
Cinq ans plus tard, Vercoutre est toujours remplaçant, avec son club (Lyon). Et toujours préposé aux matchs de cette compétition. Vainqueur à deux reprises de l’épreuve, le suppléant de Lloris a fait l’essentiel de sa carrière sur ces matchs du milieu de semaine. «C'est récurrent tous les ans, donc je ne suis pas étonné. Et puis, vu les matchs qu'enchaîne Hugo, c'est normal qu'il puisse souffler.
Perquis, Andrade, Pionnier
Pour Frédéric Petereyns, l’entraîneur des gardiens de Caen (opposé à Lille mercredi soir), il est capital de donner sa chance au remplaçant de temps en temps: «Chez nous, c’est établi dès le départ. Perquis joue en Coupe et Thébaux en championnat. Du coup, on sent chez lui la volonté de faire un grand match. Ça s’est indéniable.»
Au tour précédent, le procédé n’a pourtant pas vraiment porté chance à ceux qui l’ont testé. Sur sept équipes, seules deux (Boulogne et Caen) sont toujours en lice pour une place au Stade de France. En 8es, l’entrée des cadors de L1 permettra donc à Vercoutre, mais aussi Andrade (Marseille) et Pionnier (Montpellier) de jouer leur premier match de la saison. Une attraction pas inutile pour donner un peu de piment à cette compétition.
http://www.20minutes.fr/article/612447/sports-coupe-ligue-doublures-sortent-chapeau
Arsenal : Arsène Wenger veut blinder Samir Nasri !
Arrivé en provenance de Marseille il y a deux saisons, Samir Nasri a mis du temps à donner la pleine mesure de son talent. Mais aujourd’hui, Arsenal n’a d’yeux que pour lui et le milieu international tricolore ne cesse d’impressionner depuis le début de saison. S’il n’est pas encore au niveau d’un Cesc Fabregas, ses prestations font de lui un membre incontournable de la formation d’Arsène Wenger.
D’ailleurs, le technicien français ne tarit pas d’éloges au sujet de son joueur. « On juge un joueur sur ses statistiques. Or aujourd’hui (ndlr : dimanche face à Manchester City) il a marqué un but et donné une passe décisive. Je crois que c’est ce qu’on attend de quelqu’un qui possède son talent. C’est un joueur vraiment complet. Il a progressé physiquement. Il court bien avec la balle, il est rapide et c’est devenu un excellent finisseur. Je crois que c’est maintenant un grand joueur. » Acheté 12 M€ à l’OM durant l’été 2008, Nasri possède encore un contrat qui court jusqu’en 2012.
Des prestations de haut vol qui devraient permettre au natif de Marseille de signer prochainement une juteuse prolongation de contrat de cinq ans à en croire le Daily Mirror. D’ailleurs, cette prolongation est jugée comme prioritaire pour les dirigeants du club londonien qui préfèrent blinder leur nouvelle pépite de peur de voir la concurrence tourner autour du stratège français. À 23 ans, Samir Nasri est comme un poisson dans l’eau et confirme enfin son incroyable potentiel. Reste désormais à le mettre en application en équipe de France.
http://www.footmercato.net/premier-league/arsenal-arsene-wenger-veut-blinder-samir-nasri_57243
D’ailleurs, le technicien français ne tarit pas d’éloges au sujet de son joueur. « On juge un joueur sur ses statistiques. Or aujourd’hui (ndlr : dimanche face à Manchester City) il a marqué un but et donné une passe décisive. Je crois que c’est ce qu’on attend de quelqu’un qui possède son talent. C’est un joueur vraiment complet. Il a progressé physiquement. Il court bien avec la balle, il est rapide et c’est devenu un excellent finisseur. Je crois que c’est maintenant un grand joueur. » Acheté 12 M€ à l’OM durant l’été 2008, Nasri possède encore un contrat qui court jusqu’en 2012.
Des prestations de haut vol qui devraient permettre au natif de Marseille de signer prochainement une juteuse prolongation de contrat de cinq ans à en croire le Daily Mirror. D’ailleurs, cette prolongation est jugée comme prioritaire pour les dirigeants du club londonien qui préfèrent blinder leur nouvelle pépite de peur de voir la concurrence tourner autour du stratège français. À 23 ans, Samir Nasri est comme un poisson dans l’eau et confirme enfin son incroyable potentiel. Reste désormais à le mettre en application en équipe de France.
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Foot : Gerets à la tête du Maroc le 15 novembre
Eric Gerets est arrivé lundi au Maroc où il prendra «effectivement» ses fonctions de sélectionneur le 15 novembre. «M. Gerets est arrivé au Maroc aujourd'hui (lundi) et tiendra une conférence de presse mardi pour annoncer sa prise de fonction effective en tant qu'entraîneur de la sélection marocaine», a indiqué une source proche du technicien belge.
Eric Gerets « prendra effectivement ses fonctions le 15 novembre et le contrat entre lui et la Fédération (royale marocaine de football) est clair à ce sujet», avait déclaré le 12 octobre dernier Moncef Belkhayat, le ministre marocain de la Jeunesse et des Sports.
Gerets dirigera «pour la première fois une équipe nationale, le Maroc. Il a toujours dirigé des clubs», a précisé un membre de la Fédération royale marocaine de football (FRMF). Le technicien belge avait entraîné l'Olympique de Marseille avant l'arrivée de Deschamps. Son arrivée à la tête de la sélection marocaine a été accélérée après l'élimination le 21 octobre de la Ligue des champions d'Asie du club saoudien d'Al Hilal, avec lequel il était sous contrat jusqu'en 2011.
http://www.leparisien.fr/sports/foot-gerets-a-la-tete-du-maroc-le-15-novembre-25-10-2010-1123484.php
Eric Gerets « prendra effectivement ses fonctions le 15 novembre et le contrat entre lui et la Fédération (royale marocaine de football) est clair à ce sujet», avait déclaré le 12 octobre dernier Moncef Belkhayat, le ministre marocain de la Jeunesse et des Sports.
Gerets dirigera «pour la première fois une équipe nationale, le Maroc. Il a toujours dirigé des clubs», a précisé un membre de la Fédération royale marocaine de football (FRMF). Le technicien belge avait entraîné l'Olympique de Marseille avant l'arrivée de Deschamps. Son arrivée à la tête de la sélection marocaine a été accélérée après l'élimination le 21 octobre de la Ligue des champions d'Asie du club saoudien d'Al Hilal, avec lequel il était sous contrat jusqu'en 2011.
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